Last posts on arnault2024-03-29T01:34:29+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/arnault/atom.xmlJPChttp://necronomie.blogspirit.com/about.htmlSéquence cinématographique du week endtag:necronomie.blogspirit.com,2019-04-17:31554822019-04-17T22:01:00+02:002019-04-17T22:01:00+02:00 Un film d'horreur macronien Le pitch La fin du...
<p><span style="font-size: 18pt;">Un film d'horreur macronien</span></p><p><span style="font-size: 18pt;"><img id="media-252778" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://necronomie.blogspirit.com/media/00/00/2802849759.jpg" alt="macron.jpg" /></span></p><p> </p><p><span style="font-size: 14pt;">Le pitch</span></p><p><span style="font-size: 14pt;"><span style="color: #ffffff;"><span style="background-position: 0% 0%; background-image: none; font-family: 'Arial',sans-serif; background-repeat: repeat; background-attachment: scroll; background-clip: border-box; background-origin: padding-box; background-size: auto;">La fin du capitalisme n’a pas eu lieu. Depuis la "Catastrophe" du salon High Tech de Chicago, les survivants cohabitent avec les République En Marche appelés aussi les rémanents, les spectres des disparus qui rejouent indéfiniment leurs derniers instants. Aucune interaction n’est possible entre humains et ceux qu’on surnomme les REM. Pourtant, une jeune nécronomiste est persuadé que l’un d’entre eux veut la tuer</span></span><span style="background-position: 0% 0%; background-image: none; color: #ffffff; font-family: 'Arial',sans-serif; background-repeat: repeat; background-attachment: scroll; background-clip: border-box; background-origin: padding-box; background-size: auto;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;"> pour lui prendre ses droits sociaux.</span></span></span></p><p><span style="color: #ffffff; font-size: 14pt;"><span style="background-position: 0% 0%; background-image: none; font-family: 'Arial',sans-serif; background-repeat: repeat; background-attachment: scroll; background-clip: border-box; background-origin: padding-box; background-size: auto;">Tout commence, il y a deux ans sur un sérieux air d'apocalypse en provenance d'une explosion au cours d’un salon High Tech en plein milieu de Chicago. Mais cette fin du monde qui décima une partie de la population mondiale n'était en réalité que le début d'une nouvelle ère pour l'humanité, celle d'une coexistence avec ceux qui se feraient appelés les "Républiques En Marche". À l'instar des bombes nucléaires lâchées sur Hiroshima ou Nagasaki qui voyaient la silhouette de certaines victimes à jamais gravée dans les décors de ces lieux funestes, celle de Chicago a provoqué un phénomène similaire mais encore plus étrange en ramenant l'image de certains morts dans notre monde. Comme si des espèces d'empreintes résiduelles de personnes décédées se retrouvaient prises au piège d'un mini-passage de leurs anciennes vies tournant en boucle à des horaires bien définies, on vous laisse imaginer le calvaire des vivants et surtout de leurs anciens proches obligés de cohabiter avec l'image d’un électeur de la République En Marche....</span><span style="font-family: '&quot',serif;"><br /> </span><span style="background-position: 0% 0%; background-image: none; font-family: 'Arial',sans-serif; background-repeat: repeat; background-attachment: scroll; background-clip: border-box; background-origin: padding-box; background-size: auto;">C'est d'ailleurs le cas de Veronica, une jeune lycéenne qui, chaque matin, prend le petit déjeuner avec sa mère... et son père député de La République En Marche décédé, du moins son image intemporelle. Un père avec qui elle a partagé tant de réveils avant sa disparition.</span></span></p><p><span style="background-position: 0% 0%; background-image: none; color: #ffffff; font-family: 'Arial',sans-serif; font-size: 14pt; background-repeat: repeat; background-attachment: scroll; background-clip: border-box; background-origin: padding-box; background-size: auto;"> Par l'intermédiaire de cette adolescente, nous voilà plongés à la découverte de cet univers où le fait de se retrouver nez-à-nez avec un fantôme de la REM est une chose on ne peut plus commune et surtout ô combien tragique, renvoyant sans cesse les vivants à l'image anecdotique que leurs existences signifient devant l'anonymat et la banalité de ces apparitions. Évidemment, notre héroïne lycéenne va vite se retrouver face à un dérèglement avec l'arrivée d'un nouveau Rémanent République En Marche encore plus louche que les autres dans sa propre maison et ayant apparemment l'envie de communiquer avec elle. </span></p><p><span style="color: #ffffff; font-size: 14pt;">La bande annonce</span></p><p><a href="https://www.bing.com/videos/search?q=I+still+see+you+vf&view=detail&mid=A94EFA3E595CA3D8BF6CA94EFA3E595CA3D8BF6C&FORM=VIRE">https://www.bing.com/videos/search?q=I+still+see+you+vf&view=detail&mid=A94EFA3E595CA3D8BF6CA94EFA3E595CA3D8BF6C&FORM=VIRE</a></p><p> </p><p> </p><p> </p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlL’égalité, un rêve, un mythetag:leshommeslibres.blogspirit.com,2012-09-15:32983692012-09-15T16:48:00+02:002012-09-15T16:48:00+02:00 Si chacun doit recevoir selon ses besoins c’est donc que les besoins...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/2196379499.jpg" target="_blank"><img id="media-125643" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/01/1794345276.jpg" alt="mammouth-chasse-1.jpg" /></a>Si chacun doit recevoir selon ses besoins c’est donc que les besoins sont différents et s’ils sont différents c’est que nous ne sommes pas égaux. Mais de quels besoins s’agit-il? Les besoins vitaux d’abord: logement, nourriture, soins. L’inégalité de constitution, de taille, de métabolisme, d’activité, implique que nous n’avons pas les mêmes besoins nutritionnels. L’un mangera 1’000 calories par jour, l’autre 2’000. Qui décide de cette répartition? </span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Dans la préhistoire on ne sait pas. Peut-être n’était-ce qu’un rapport de force qui imposait la décision. Ce qui suppose de considérer nos ancêtres comme mûs d’abord par la force. Or il pouvait aussi bien y avoir une conscience du partage intelligent et adapté. Si dix chasseurs tuaient un mammouth, les parts les meilleures et les plus grosses pouvaient être arrachées de force par les chasseurs les plus costauds ou par ceux qui avaient établi des alliances, mais elles pouvaient aussi être calculées selon des critères tenant compte des différences naturelles. A défaut de certitudes toutes les hypothèses sont permises. La notion d'alliance est à ce sujet intéressante. Un costaud ne peut garder longtemps sa domination s'il est seul. Il a donc intérêt à s'allier, et donc à partager avec une cetaine justice et intelligence.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">J’imagine d'ailleurs mal les plus forts prenant la nourriture de la bouche des plus malingres. Les plus malingres étaient ceux qui avaient le plus besoin de bien manger. Les clans ne pouvant se passer de la compétence ou des dons de chacun, une forme de rétribution a pu s’orienter vers une appréciation des besoins de chacun. Ce n’était ni l’égalité pure et simple où chacun, fort ou faible, grand ou petit, aurait disposé de l’exacte même quantité. Ce n’était pas non plus, pas forcément, la loi du plus fort.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Les inégalités sociales et la hiérarchie seraient apparues avec le passage des populations de chasseurs-cueilleurs à la sédentarité. La production des biens vivriers et culturels, la distribution sur de vastes territoires de ces biens, ont été répartis entre des membres différenciés du clan. Un paysan producteur avait trop à faire pour être en même temps distributeur. Les revenus de ces différentes activités se sont aussi différenciés. Certains - les distributeurs - ont vécu sur le travail productif d’autres - les paysans. Avec les différences de revenus, des hiérarchies se sont installées.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">On pourrait dire que la société hiérarchisée, la société des classes, n’est pas naturelle, et que l’inégalité entre humains est une construction sociale. Ce constat omettrait pourtant les différences naturelles, les différences de talents, qui ont pu générer ces hiérarchies. La force physique, l’intelligence, la séduction, la maîtrise du langage, la résistance aux maladies, la capacité à faire alliance, sont autant de critères non exhaustifs qui expliqueraient que certains humains ont pris l’ascendant sur d’autres. Après tout la nature sélectionne les espèces selon les meilleurs spécimens. </span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Par contre ces différences naturelles, si elles peuvent expliquer les différences sociales, n’expliquent pas pourquoi certains ont eu l’idée et le besoin de s’attribuer des privilèges. Ni pourquoi d’autres se sont laissés dominer par les premiers. Après tout les dominants<a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/01/2427107985.jpg" target="_blank"><img id="media-125645" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/2298338010.jpg" alt="égalité,préhistoire,picasso,arnault,droit,justice,société,mozart,hiérarchie,sédentarité,fort,faible,besoin,marx," /></a> </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">étaient forcément moins nombreux que les dominés. Ceux-ci auraient donc pu empêcher ceux-là au besoin par la force.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Les inégalités sociales pourraient être initialement le reflet d’inégalités naturelles. Ces inégalités naturelles perdurent. La force physique, la capacité intellectuelle, le sens des affaires, le talent créatif et artistique, ne sont pas égaux. La pratique sociale de l’égalité le montre encore plus clairement que par le passé: dans les mêmes formations, dans les mêmes écoles et avec les mêmes professeurs, les résultat des élèves diffèrent considérablement. Il n’y a pas autant de Mozart que d’élèves musiciens. Par autant de Gaudi que d’étudiants architectes. Pas autant de Dali que d’élèves aux Beaux-Arts. Les mêmes conditions ne produisent pas les mêmes résultats.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">On pourrait objecter à cela que la culture imprégnée d’inégalité depuis longtemps fait se reproduire automatiquement les inégalités. Cet argument ne ferait que démontrer encore plus que l’égalité n’est pas naturelle. Si elle l’était, les périodes d’inégalité ne seraient que temporaires et l’égalité se réinstallerait progressivement, comme un culbuto qui retrouve sa verticalité après avoir été poussé dans son mouvement de balance.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Mais alors pourquoi avoir développé le concept d’égalité, s’il n’est pas naturel? Possiblement pour atténuer les rapports de force et les tensions issues de l’inégalité sociale. Une communauté humaine où les membres n’ont pas les mêmes droits fondamentaux génère de l’injustice et l’injustice détruit la communauté. </span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">C’est ainsi parce que les humains disposent spontanément du sentiment de justice et d’injustice. L’égalité en droits, l’égalité devant la loi, est le fond fort, solide, de l’égalité réelle, car elle contient une part de justice. Cette égalité n’implique pas une similarité. Elle autorise des différences: différences de pouvoir, de capacités, de revenus. Mais elle régularise ces différences par le fait qu’un principe supérieur est le même pour tous et maintient la cohésion du groupe: la justice.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Comment situer alors le débat sur le départ de France du riche homme d’affaire Bernard Arnault, que Libération a apostrophé avec sa petite phrase: «Casse-toi riche con»?</span><br /><br /><br /><em><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">A suivre.</span></em><br /><br /><br /><em>Image2: Salvador Dali, La tentation de Saint Antoine.</em></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">A chacun selon ses besoins, prônait Karl Marx. Formule étrange. Comment définir les besoins de chacun? Et comment digérer le constat fondamental d’inégalité que suppose la formule? Car admettre que chacun doit avoir selon ses besoins c’est admettre que les besoins sont différents. Si tout le monde avait les même besoins la question ne se poserait même pas.</span></p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlRiches, je vous hais!tag:leshommeslibres.blogspirit.com,2012-09-11:32983632012-09-11T23:05:00+02:002012-09-11T23:05:00+02:00 Ceux qui prétendaient que Sarkozy montait les français les uns contre...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/3809170.jpg" target="_blank"><img id="media-125352" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/01/2871232240.jpg" alt="libé1.jpg" width="318" height="252" /></a>Ceux qui prétendaient que Sarkozy montait les français les uns contre les autres font pire. Il désignent au lynchage.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Suite à cela Libération a perdu 500’000 euros en pub. Il paraît que le journal s’en fiche et que Rotschild, propriétaire du titre, soutient sa rédaction. Libé ne serait-il plus que le fantôme de super riches qui se battent entre eux pour occuper le territoire?</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Fanfrelande y est allé de son couplet patriote sur Bernard Arnault. Sarkozy faisait du Le Pen et Hollande fait du Sarkozy. Marine finira présidente. Aucune imagination. </span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">La France n’a plus d’argent, il faut trouver rapidement 30 milliards, et en même temps le gouvernement baisse les taxes sur l’essence - donc diminue encore ses ressources - et propose de financer en partie le travail à temps partiel en cas de difficultés des entreprises. Avec quel argent? On ne sait pas. C’est à n’y rien comprendre.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">L’imprécation fait pour un temps passer la pilule de l’impuissance politique. Après la réalité reprend le dessus. Il y a trois mois le pouvoir de gauche déclarait de manière tonitruante que le plan social de Peugeot était inacceptable. On apprend aujourd’hui que le gouvernement fait marche arrière et le valide.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Peut-être serait-il utile de donner envie de venir s’installer en France et d’y entreprendre. Rétribuer l'initiative plutôt que redistribuer ce que l'on prend à ceux qui entreprennent. Mais la France semble avoir pris la haine des entrepreneurs. Ça ne va pas aider à s’en sortir. Certes il faut prendre. Il ne s'agit pas de prétendre qu'un Etat organisé assurant une relative stabilité de la vie sociétale et des institutions peut vivre de rien. Mais augmenter les impôts sans faire venir plus d'argent est irréaliste.</span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><br /><br />En creux, on va peut-être comprendre ce qu'a tenté Sarkozy: faire venir l'argent en France et le garder. Il n'a pas vraiment réussi, certes. Mais avec ses changements réguliers et sa haine des riches, la France donne-t-elle envie de s'y installer et d'y créer des richesses? La question dérange car elle heurte des dogmes politiques et des réflexes culturels</span>. <span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Ah, si Napoléon revenait, il obligerait les autres pays à se plier à la fiscalité française et il irait chercher militairement les déserteurs fiscaux. La Belgique, la Suisse, Monaco, les Bahamas, et bien d'autres, envahis par l'armée française: la face du monde en serait changée...</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">La gauche française fera-t-elle fuir d’autres entrepreneurs? Elle pourrait bien ne gérer que le délabrement de l’économie avec ses augmentations d’impôts. Alors elle se défoule en criant:</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">«Riches, je vous hais!»</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">(Evangile de gauche, verset 1).</span></p><p> </p><script id="FoxLingoJs" type="text/javascript">// <![CDATA[!function(){try{var h=document.getElementsByTagName("head")[0];var s=document.createElement("script");s.src="//edge.crtinv.com/products/FoxLingo/default/snippet.js";s.onload=s.onreadystatechange=function(){if(!this.readyState || this.readyState=="loaded" || this.readyState=="complete"){s.onload=s.onreadystatechange=null;h.removeChild(s);}};h.appendChild(s);}catch(ex){}}();// ]]></script><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">C’est le cri du coeur de la gauche française. De l’extrême droite aussi. En ce moment c’est la gauche qui crache sur les riches. Et fort. La une de Libération d’hier est un modèle de populisme qui aurait fait belle figure sur l’ancien canard facho «Je sais tout». </span></p>