Last posts on agroalimentaire2024-03-28T17:03:23+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/agroalimentaire/atom.xmlBredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlLa faim en Europetag:bar-zing.blogspirit.com,2023-01-03:33348072023-01-03T15:55:00+01:002023-01-03T15:55:00+01:00 WILLIAM SAURIN : Après la conserve, le cercueil ?
<pre style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>WILLIAM SAURIN : </strong></span><br /><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>Après la conserve, le cercueil ?<br /></strong></span></pre><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/4197864450.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1345995" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/3845795420.jpg" alt="william saurin,halal,groupe cofigeo,agroalimentaire" /></a></p>
pjourdanhttp://leconsobattant.blogspirit.com/about.html[#PromiseConsulting] [#Consolab] Les géants de l'agroalimentaire prudents sur la déconsommationtag:leconsobattant.blogspirit.com,2019-09-12:31414962019-09-12T11:04:42+02:002019-09-12T11:04:42+02:00 Les principaux groupes présents dans les rayons alimentation des grandes...
<p><img src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/01/3813882667.jpg" id="media-1074306" alt="" /></p><p class="sc-1bl2tmk-6 y0jyj9-0 gUvhjD o39wsg-0 eJdSlc">Les principaux groupes présents dans les rayons alimentation des grandes surfaces répondent à la baisse des ventes des produits de grande consommation par une évolution de leur offre. La plupart voient peu de changements dans les prix.</p><p class="sc-1bl2tmk-6 y0jyj9-0 gUvhjD o39wsg-0 eJdSlc">La question des prix fait toujours, sur les entreprises agroalimentaires, l'effet du citron sur l'huître fraîche. Interrogées sur le constat fait par IRI du retour de l'inflation dans les linéaires au premier semestre, les grands groupes disent, pour la plupart, attendre la fin de l'année pour se faire une opinion. Et surtout pour analyser les raisons du « retour de l'inflation » pointé par la société d'études IRI.</p><p class="sc-1bl2tmk-6 y0jyj9-0 gUvhjD o39wsg-0 eJdSlc"><a title="http://bit.ly/2k9w1tA" href="http://bit.ly/2k9w1tA" target="_blank" rel="noopener">[Lire plus]</a> </p><p class="sc-1bl2tmk-6 y0jyj9-0 gUvhjD o39wsg-0 eJdSlc">#agroalimentaire #prix #consommation #prix #consommation #alimentation #france #nutrition #moderation</p>
maplanetehttp://maplanetea.blogspirit.com/about.htmlInitiative. « Jean et Lisette », la nouvelle biscuiterie née à Saint-Jean-d’Angély (17), est biotag:maplanetea.blogspirit.com,2018-10-31:33171402018-10-31T10:30:00+01:002018-10-31T10:30:00+01:00 Un partenariat innovant autour d'un outil commun de production ...
<p><strong>Un partenariat innovant autour d'un outil commun de production </strong></p><p>Autour du projet, le fondateur de la biscuiterie, <strong>Maxence d'Audiffret</strong>, un entrepreneur de 36 ans diplômé de l'Ecole Centrale Paris, et des <strong>acteurs locaux et nationaux de la filière bio</strong> : la<strong> <a href="http://corab.org/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Coopérative régionale d'agriculture biologique du Poitou-Charente (CORAB)</a>, </strong><strong>Jean Paul Bellot</strong> (président de la minoterie Bellot), <a href="https://leanature.com/" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><strong>Léa Nature</strong></a> et <a href="https://www.biocoop.fr/Biocoop/Activites/Defi-bio" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><strong>DefiBio</strong></a> (filiale d’investissement de la chaîne<strong> <a href="https://www.biocoop.fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Biocoop)</a></strong> Le tout dans<strong> un partenariat innovant de coopération entre tous les acteurs de la filière</strong>, coopérative, minoterie, industriel et distributeur, autour d’un même outil de production. La biscuiterie "Jean et Lisette" doit en effet contribuer à la <strong>structuration des filières locales de céréales bio</strong> avec un outil industriel moderne et la création d’une marque propre. La première réalisation de ce type à avoir vu le jour en 2011, <strong><a href="https://www.biofil.fr/actualites/actualites-nationales/sica-silo-bio-ouest-un-outil-structurant-pour-la-filiere/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Silo Bio Ouest</a>,</strong> a d'ailleurs initié le lancement de Val Bio Ouest.</p><p><iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/ENBFenonG7M" frameborder="0" allow="autoplay; encrypted-media" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p><strong>Le soutien actif de Léa Nature</strong></p><p><strong>La biscuiterie produira bien sûr également des gourmandises sucrées pour des acteurs bio,</strong> dont <a href="https://leanature.com/" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><strong>Léa Nature</strong></a>, le fabricant français bien connu et en plein essor de produits bio et naturels dans les domaines de l'alimentation, la santé et la diététique, la cosmétique et la maison. Pour Maxence d’Audiffret, ce partenariat était une évidence. "Léa Nature m’a fait part de sa recherche de partenariat avec un biscuitier pour travailler sur des <strong>produits innovants.</strong> Le marché porteur ainsi que les demandes émanant d’autres acteurs de la bio m’ont permis de monter ce projet et de réunir les partenaires de la filière autour d’un but commun", explique-t-il.</p><p>Acteur local de référence basé à La Rochelle, Léa Nature s'est engagé de son côté à apporter <strong>son soutien et ses compétences</strong> afin de favoriser et d’accompagner au mieux le démarrage de cette entreprise, "pour qu’elle s’installe durablement dans l’écosystème de la bio", assure son président-fondateur, Charles Kloboukoff. "Cette nouvelle usine qui se crée, au cœur d’un pôle d’activités valorisant le bio et la production locale, est une opportunité pour Léa Nature de concrétiser son attachement à la Charente Maritime et au développement des territoires et des filières", se réjouit-il.</p><p><strong>8 millions de biscuits par an</strong></p><p>La construction de l’usine, s’est achevée en mai 2018 avec la mise en route des lignes de production. Une fois la certification Bio obtenue, <a href="https://www.sudouest.fr/2018/08/08/charente-maritime-la-biscuiterie-bio-jean-et-lisette-a-commence-sa-production-5294498-10413.php" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><strong>les premières productions ont pu sortir dès juillet 2018</strong></a>. "Jean et Lisette" vise la production de <strong>8 millions de paquets de biscuits par an</strong> d'ici à 2022, et veut fabriquer une grande variété de biscuits : des fourrés, des tartelettes, des nappés des cookies et de nombreux autres formats pour répondre à la demande de biscuits innovants, tous gourmands et bio. Les nouveautés seront dans les rayons dès la fin de cette année sous<strong> les marques Jardin Bio et Bisson</strong>. La marque Jean et Lisette suivra dans un deuxième temps en 2019. Miam ! </p><p><strong><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Cathy Lafon</a></strong></p><p><strong>►PLUS D'INFO</strong></p><ul><li>Située sur le site de Val Bio Ouest (activement soutenu depuis ses débuts par la Communauté de Communes des Vals de Saintonge, le département de Charente Maritime et la Région Nouvelle Aquitaine), à la sortie de l’autoroute A10, l’usine "Jean et Lisette" s’étend sur 2400 m2. Ce projet a bénéficié du soutien financier des fonds FEDER et Avenir Bio, de la Communauté de Communes des Vals de Saintonge et de la Prime à l’Aménagement du Territoire. "Jean et Lisette" a également fait une demande de soutien auprès des fonds LEADER. Un soutien logistique est apporté par la Communauté de Communes et Interbio Nouvelle Aquitaine. </li></ul><p><strong>►A LIRE</strong></p><ul><li><strong>Sur le site de Sudouest.fr : <a href="https://www.sudouest.fr/2018/10/04/le-biscuit-revient-a-saint-jean-5448510-1485.php" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Charente-Maritime : le grand retour du biscuit à Saint-Jean-d’Angély</a></strong></li></ul><p><strong>►LIRE AUSSI</strong></p><ul><li><strong>Les articles de Ma Planète sur le bio : <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/bio/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">cliquer ICI</a></strong></li><li><strong>Pour retrouver toutes les initiatives vertes de Ma Planète : <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/initiative" target="_blank" rel="noopener noreferrer">cliquer ICI </a></strong></li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-357357" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/01/4171070268.jpg" alt="saint-jean-d'angely,biscuiterie,céréale,biscuit,agroalimentaire,jean et lisette" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em>"Jean et Lisette" vise la production de 8 millions de paquets de biscuits par an d'ici à 2022. Photo Sud Ouest / Xavier Léoty</em></span></p><p style="text-align: left;">Le 3 octobre 2018,<strong><a href="http://www.valbioouest.fr/category/actualites/" target="_blank" rel="noopener noreferrer"> la biscuiterie "Jean et Lisette"</a></strong> a inauguré son usine destinée à fabriquer des biscuits bio à Saint-Jean-d'Angély, sur le<strong> <a href="http://www.valbioouest.fr" target="_blank" rel="noopener noreferrer">site Val Bio Ouest</a>,</strong> dédié aux entreprises agroalimentaires bio. Au total, ce sont près de 7 millions d’euros qui ont été investis, avec de nombreux emplois à la clé. </p><p><strong>Quand le bio vient revitaliser un territoire économique</strong></p><p>Une quinzaine de personnes travaillent d’ores et déjà sur le site et à l’horizon 2020, 27 emplois seront créés. Pour Saint-Jean-d’Angely, c'est aussi un signe fort du <strong>renouveau de la ville</strong> après la fermeture des usines Brossard en 2013. Quatre anciens salariés de Brossard travaillent d'ailleurs dans l’équipe Jean et Lisette. Pour Saint-Jean-d’Angely, après la fermeture des usines Brossard en 2013, l'arrivée de la biscuiterie bio est aussi un signe fort du <strong>renouveau économique de la ville. </strong>Quatre anciens salariés de Brossard travaillent d'ailleurs dans les équipes de "Jean et Lisette". </p>
pjourdanhttp://leconsobattant.blogspirit.com/about.html[CONSO LAB] [TENDANCE] | #Food #delivery, #millennials, #réseaux sociaux : trois #opportunités pour l'#agroalimentaire |tag:leconsobattant.blogspirit.com,2017-10-02:30966562017-10-02T11:00:00+02:002017-10-02T11:00:00+02:00 DE AUDE CHARDENON | LSA | http://bit.ly/2hnMPYp #Food #delivery,...
<p><strong>DE AUDE CHARDENON | LSA | <a href="http://bit.ly/2hnMPYp" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://bit.ly/2hnMPYp</a></strong></p><p style="text-align: center;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>#Food #delivery, #millennials, #réseaux sociaux : trois #opportunités pour l'#agroalimentaire</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Comment les acteurs traditionnels peuvent-ils profiter des évolutions technologiques qui révolutionnent le secteur alimentaire ?</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Premier enjeu : répondre aux attentes des millennials, appelés également "génération Y".</strong> Ces consommateurs, nés entre les années 1980 et le milieu des années 1990, pèseront en France la moitié de la population active en 2020. "Les millennials représentent un poids démographique et donc économique", rappelle Pascale Grelot-Girard, Directrice Market Intelligence Kantar TNS. "Ce sont sont les consommateurs de demain car on emmène avec soi son comportement d’achat en vieillissant", ajoute Diane Fleutiaux, Strategic Business Unit Director chez Kantar Worldpanel. Or bien connaître leurs pratiques permet de mieux cerner leurs attentes et leurs besoins. "Ils ont une consommation media très majoritairement online, poursuit Pascale Grelot-Girard. Ils pratiquent davantage le digital dans le domaine alimentaire, notamment dans les échanges et les relations avec les marques". Selon l’étude Connected Life 2016 TNS-Sofres, ces générations témoignent un engouement plus élevé pour les objets connectés en cuisine et les applications qui aident à monitorer les prises alimentaires. Les imprimantes 3D alimentaires suscitent également davantage d’intérêt chez les millennials que chez les autres générations, surtout chez les très jeunes.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Cet attrait pour les nouvelles technologies se reflète dans les comportements d’achat</strong>. "Ils ne mangent pas de la même façon que leurs aînés, précise Diane Fleutiaux. Ils consomment plus de snacks, ne prennent pas d’entrée, mangent moins de fromages et de desserts. Le repas se structure autour d’un plat unique", explique la jeune femme. Seul moment traditionnel qui résiste selon Kantar : l’apéritif, qui évolue cependant un vrai repas. Dans le chariot de courses, cela se traduit par la présence de beaucoup de produits plaisirs, sucrés et doux, comme les gâteaux, les bières aromatisées, les capuccinos… "On note aussi une appétence pour les produits pratiques et immédiats, comme les plats cuisinés au rayon traiteur et les pâtes fraîches", poursuit l’analyste. Autre tendance : la cuisine d’assemblage avec des préférences d’achat pour les pâtes et riz et sauces, aides à la pâtisserie, pâtes à tarte. Enfin, "le bio explose auprès de cette cible, plus touchée par la vague du naturellement sain car ultra informée sur le food bashing", ajoute Diane Fleutiaux. Une vision partagée par Kevin Camphuis, cofondateur de Shake Up Factory. "En termes de tendances, c’est très positif, explique-t-il. On mangera mieux demain car les millennials sont nés pendant la crise environnementale et ils sont donc sensibles à ces enjeux". Une forte adhésion pour les produits "sans" (gluten, colorants...) est également notable.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/00/00/2924281754.png" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-973138" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/00/00/696172979.png" alt="Food, delivery, millennials, réseaux sociaux, opportunités, agroalimentaire" /></a></p><p style="text-align: justify;"><strong>Si les millennials sont déjà conquis, ce marché présente un énorme potentiel auprès des autres catégories de population.</strong> En croissance exponentielle grâce aux progrès de la techno GPS, le food delivery séduit désormais des distributeurs traditionnels comme Franprix, qui a mis en place avec la start-up Stuart une offre de livraison express de petit-déjeuner. "Le magasin physique a toujours un rôle à jouer, explique Cécile Guillou, Directrice Générale Adjointe Franprix. Le maillage physique en ville est un vrai atout. On sait livrer des plats chauds et des boissons fraîches et toucher tous les moments clés de la journée... Et on dispose de l’omnicanal pour pousser les commandes en ligne." Le distributeur, qui travaille également avec Resto in et Glovo, fait donc le pari de la proximité pour devenir un acteur à part entière du food delivery. Après six mois d’expérimentation, l’enseigne revendique plusieurs centaines de commandes par jour. Pour Benjamin Chemla, cofondateur de Stuart, "la proximité est l’atout de la distribution physique, les commerçants sont au plus près des consommateurs". "Un client vient en moyenne 1,6 fois par semaine en moyenne dans un Franprix, cela souligne le rôle populaire du magasin", rappelle Cécile Guillou.</p><p style="text-align: justify;"><strong>L’alimentaire est aujourd’hui l’un des sujets quotidiens phares des réseaux sociaux. Les chiffres sont éloquents : le mot snacking a ainsi fait l’objet de 10 millions de mentions depuis 2014, tandis que food fait l’objet de plus de 200 millions de posts sur Instagram.</strong> Sur YouTube, on dénombre 1,5 milliard de requêtes liées à cette thématique.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://bit.ly/2hnMPYp" target="_blank" rel="noopener noreferrer">[LIRE LA SUITE]</a></p><p><img src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/00/02/2663472472.png" id="media-973137" alt="" /></p>
maplanetehttp://maplanetea.blogspirit.com/about.htmlSpécial panier bio : les douceurs de la rentrée à ne pas ratertag:maplanetea.blogspirit.com,2017-09-17:33167912017-09-17T10:30:00+02:002017-09-17T10:30:00+02:00 1. La confiture de fraise Tous les jours sont bio Vous n'avez pas eu le...
<p style="text-align: left;"><strong>1. La confiture de fraise Tous les jours sont bio</strong></p><p>Vous n'avez pas eu le temps de faire vos confitures de fraises, ce printemps ? Pas de soucis. Incontournable du petit-déjeuner et du goûter, <strong>la confiture de fraise de la gamme <a href="https://www.botanic.com/page/tous-les-jours-sont-bio.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Tous les jours sont bio</a></strong> de la marque Botanic (on aime aussi particulièrement maïs, avec lequel on peut cuisiner un délicieux houmous) est élaborée à l'ancienne, de façon traditionnelle: les fruits sont cuits dans un chaudron de cuivre, avant d'être accommodés avec du sucre de canne bio. Comme à la maison. Un régal.<strong> 2,99 euros.</strong></p><p><strong>2. Le Muesli Charles Vignon... garanti sans glyphosate</strong></p><p>Ultra-saines, les céréales Charles Vignon ont tout pour plaire à l'ONG Générations Futures, qui bataille pour faire interdire ces pesticides et autres herbicides, dont on trouve des résidus dans les produits alimentaires. Tout est bio dans le <strong>Muesli bio croustillant</strong> de la marque spécialisées dans les céréales, qui décline de multiples recettes gourmandes (on vous recommande <strong>amande vanille</strong> et avoine complète <strong>enrobée de caramel au beurre salé,</strong> qui excitent particulièrement les papilles). Ultra-éco-responsable, il est fabriqué en France, issu de circuits court et garanti sans gluten et sans huile de palme. Un défaut ? C'est une vraie tuerie, alors gare à votre ligne ! <strong>3,90 euros.</strong></p><p><strong>3. Les pâtes à tartiner Rapunzel </strong></p><p><img id="media-341882" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/00/809625512.jpg" alt="produit alimentaire,gâteaux" />Vous ne le savez peut-être pas, mais Rapunzel a tué Nutella. Ultra-gourmande, <a href="http://www.rapunzel.fr/pates-a-tartiner-bio" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><strong>la gamme des pâtes à tartiner sucrées et veganes</strong></a> de la marque bio bien connue, vous fera oublier définitivement le pot de Nutella dont vous êtes dépendant depuis votre plus jeune âge. Le plus difficile est de ne pas devenir addict aux pâtes à tartiner veloutées et crémeuses, praliné-noisette et coco-amandes (elle hante mon placard) Rapunzel, tout simplement divines. En tartine au petit-déjeuner, à la cuillère dès qu'on a envie de se faire un petit plaisir, sur une crêpe ou une tranche de quatre-quart, le régal est garanti. A l'image du Muesli Charles Vignon, c'est une tuerie : quand on attaque le pot, impossible de s'arrêter ! <strong>A partir de 5,75 euros.</strong></p><p><strong>4. Les jus de fruits Marcel bio</strong></p><p>Raisin, poire, pomme, abricot, orange... L'automne est là, c'est le moment de faire le plein de vitamines ! Heureusement, <a href="http://marcel-bio.com/" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><strong>Marcel bio</strong></a> se décarcasse pour vous donner à boire des jus sains et savoureux, issus de fruits cultivés selon les principes de l'agriculture bio par un club de producteurs soigneusement sélectionnés par la marque. <strong>A partir de 2,85 euros la bouteille.</strong></p><p><strong>5. Les sablés choco noir Bonneterre</strong></p><p>Le<strong> sablé au chocolat au lait Bonneterre</strong> est un grand classique du goûter des petits (mais aussi des grands). La marque familiale bio renouvelle son best-seller avec une<a href="https://www.bonneterre.fr/produit/sables-au-chocolat-noir-bio" target="_blank" rel="noopener noreferrer"> <strong>nouvelle formule au chocolat noir</strong></a> (70% de cacao), encore plus savoureuse, fabriquée au coeur de la Normandie, à la recette traditionnelle. Idéal pour les petits creux et avec le café, après le déjeuner. <strong>1,99 euros.</strong></p><p><strong> 6. Les barres énergétiques Baoum ! et Vego</strong></p><p>Un petit coup de pompe au bureau, en milieu de matinée ou dans l'après-midi ? Les barres énergétiques se déclinent désormais en bio et ne sont définitivement plus réservées aux sportifs et aux randonneurs. A chaque cas particulier son en-cas : la marque <strong>Organic nutrition</strong> propose des barres nutritionnelles <a href="https://www.baouw-organic-nutrition.com/presentation" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><strong>Baoum !</strong> </a>"homme", "femme", "enfant", mais aussi "endurance" ou "performance", qui se déclinent en plusieurs saveurs. Des recettes inédites produites dans les Alpes, avec des ingrédients naturels et bio comme des fruits et des plantes, des fruits secs et des épices, sans céréales ni sucres raffinés, sans adjuvants chimiques ni conservateurs. Qui dit mieux ?<strong>2,90 euros.</strong></p><p>Prêt à grimper au septième ciel ? Bio et bon, <strong>100% vegan,</strong> la barre<strong> Vego de Naturalia,</strong> avec son chocolat noir, ses noisettes entières et sa pâte de noisette vous y conduira direct.<strong> 1,99 euros.</strong></p><p><strong><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Cathy Lafon</a></strong></p><p><strong>►LIRE AUSSI </strong></p><ul><li><strong>Les articles de Ma Planète sur le bio :<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/bio/" target="_blank" rel="noopener noreferrer"> cliquer ICI</a></strong></li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-341880" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/01/806639785.jpg" alt="produit alimentaire,gâteaux" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em>Les Muesli Charles Vignon bio font partie des musts des gourmandises vertes de la rentrée. Photo Charles Vignon</em></span></p><p>Ca y est, les vacances sont bel et bien finies. Au boulot comme à l'école, on a définitivement repris le collier... Et en plus, il pleut ! Pour vous consoler, du petit-déjeuner au dessert, en passant par le goûter, voici une sélection de <strong>gourmandises saines et bio</strong> que vous trouverez en rayon, au supermarché ou dans votre boutique bio favorite. Histoire aussi de vous aider à accomplir l'une de vos bonnes résolutions de la rentrée : faire attention à sa santé et à celle de sa petite famille, en mangeant bio, équilibré.. et savoureux. Cerise verte sur le gâteau sans gluten, tous ces produits bio sont issus de <strong>circuits courts, locaux, éco-responsables</strong> et, c'est tendance et c'est bon pour la planète, la plupart du temps <strong>vegan</strong>.</p>
maplanetehttp://maplanetea.blogspirit.com/about.htmlLe lait, ami ou ennemi pour la vie ? Ce soir, une enquête diffusée par Arte fait le pointtag:maplanetea.blogspirit.com,2017-01-10:33165722017-01-10T10:30:00+01:002017-01-10T10:30:00+01:00 Boire du lait est légitime... "Le lait est parfaitement adapté au...
<p><strong> Boire du lait est légitime...</strong></p><p>"Le lait est parfaitement adapté au petit de l'homme, toutefois, au delà de 6 mois, l'homme, omnivore, peut et doit manger de tout", explique dans le film, le<strong> Dr Jean-Michel Lecerf,</strong> médecin nutritionniste auteur du livre <strong>"La viande, un peu, beaucoup, passionnément ou pas du tout ?"</strong> On sait aujourd'hui que plus de la moitié des êtres humains sur la planète (70 à 75% de la population terrestre) ne digère pas, ou mal, le lactose après l'âge de 5 ou 6 ans. Un problème dû à un déficit partiel en lactase, l'enzyme participant à la digestion du lactose. Cependant, précise-t-il, "ce n'est pas une maladie mais un trait génétique, et cela n'entraine une intolérance au lactose (avec gêne digestive) qu'en cas d'apport élevé de lait, supérieur à 250 ml par jour."</p><p><strong>... à condition d'être raisonnable</strong></p><p>"Quant aux recommandations officielles selon lesquelles il faudrait consommer trois à quatre produits laitiers par jour pour prévenir les fractures, elles ne reposent pas sur la science mais sur des considérations économiques", analyse le journaliste <strong>Thierry Souccar</strong>, qui a publié <strong>"Lait, mensonges et propagande".</strong> Cet autre protagoniste français de l'enquête d'Arte fustige les autorités officielles qui, selon lui, cherchent plus à écouler les surplus de la production laitière qu'à protéger la santé des consommateurs. Les résultats d'études récentes montrent que le lait joue un rôle dans l'apparition de nombreuses maladies, telles que les allergies ou le diabète. Il faudrait au contraire, se limiter à <strong>un, voire deux produits laitiers par jour</strong>. "Au-delà, rappelle-t-il, il existe statistiquement<strong> un risque accru de pathologie</strong>, notamment pour le cancer de laog prostate ou la maladie de Parkinson". </p><p><img id="media-331189" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/02/2365308316.jpg" alt="lait,arte,documentaire" />Pour l'espèce humaine, le lait n'est ni le poison ni le meilleur ami que les uns ou les autres décrivent. Comme dans bien des cas, le secret de la bonne attitude alimentaire, réside dans une <strong>consommation modérée.</strong> Si on digère mal le lait, relativise dans son livre Jean-Michel Lecerf, "le lactose des yaourts est autodigéré et la plupart de fromages n'en contiennent pas". Sauf, bien évidemment, si l'on présente une <strong>véritable intolérance au lactose</strong>, ou une maladie auto-immune, ce qui se vérifie par un simple test. Rien n'interdit donc de se régaler de temps à autre d'une bonne tranche de fromage de brebis... Par ailleurs, rappellent les nutritionnistes, comme pour tous les aliments qui atterrissent dans notre assiette, on limitera les risques sanitaires en choisissant du<strong> lait et des produits laitiers bio,</strong> ou provenant de petits élevages.</p><p>Enfin, si le lait n'est pas à proscrire quand on le tolère, il n'est pas non plus indispensable : les légumes sont aussi d'excellentes sources du calcium indispensable au bon équilibre de notre organisme...</p><p><strong>►A VOIR : "le Lait -Mensonges et vérités", de Winfried Oelsner (Allemagne, 1h), Arte, 20h55.</strong></p><p><strong><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr" target="_blank">Cathy Lafon</a></strong></p><p><strong>►A LIRE</strong></p><ul><li><strong>"La viande, un peu, beaucoup, passionnément ou pas du tout ?", Dr Jean-Michel Lecerf, éd. Buchet-Chalstel, 2016, 12 euros.</strong></li><li><strong>"Lait, mensonges et propagande", Thierry Souccar, Thierry Souccar Editions, 2008, 19 euros.</strong></li></ul><p><strong>►LIRE AUSSI </strong></p><ul><li><strong>Les articles de Ma Planète sur l'alimentation :<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/alimentation/" target="_blank"> cliquer ICI</a> </strong></li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-331188" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/02/52324932.jpg" alt="lait,arte,documentaire" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em> Photo Arte</em></span></p><p>Le lait de vache, bon ou mauvais pour la santé ? Avec la viande et le gluten,<strong> la consommation de lait et des produits laitiers dérivés</strong> qui font l'objet d'une promotion appuyée de de la part des autorités françaises depuis les années 1950, nourrit aujourd'hui les plus vives controverses et déchaine les passions. A tort ou à raison ? Faut-il vraiment arrêter de boire du lait et de manger fromages, yaourts et desserts lactés en tous genre, comme le prônent les vegans ? Ou, au contraire, s'en gaver pour les bienfaits du calcium qu'ils contiennent ?</p><p>Depuis plusieurs années, <strong>le débat fait rage entre pro et anti-lait,</strong> des nutritionnistes aux professionnels de la santé, en passant par les industriels de l'agroalimentaire. Difficile pour le consommateur d'y voir clair. Ce soir, le documentaire de <strong>Winfried Oelsner,</strong> <strong>"Le lait, mensonges et vérités"</strong> part à la rencontre de scientifiques , médecins, producteurs et représentants du secteur laitier pour tenter d'apporter des réponses.</p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlÉlise Lucet, bras du pouvoirtag:leshommeslibres.blogspirit.com,2016-09-18:32999032016-09-18T18:33:00+02:002016-09-18T18:33:00+02:00 Je ne suis pas outré par les propos du sénateur, et la sorte de fatwa...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/2868943943.jpg" target="_blank"><img id="media-215130" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/795002549.jpg" alt="cash investigation,elise lucent,agroalimentaire,lobby,sénateur," /></a>Je ne suis pas outré par les propos du sénateur, et la sorte de fatwa des ayatollahs d’internet contre la bouffe industrielle ne me convainc pas. D’abord, imaginer que les élus n’ont pas besoin d’informations, c’est leur donner des compétences qu’ils n’ont pas. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Ils vont donc chercher là où ils trouvent quelque chose. </span><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Parfois auprès des fabricants eux-mêmes. Parfois des assoc d’agrobio, ou autres. Les lobbys existent des deux côtés. La démocratie c’est encore que tout le monde puisse faire valoir son point de vue, y compris des industriels de l’agro-alimentaire puisque les décisions gouvernementales impacteront directement leurs activités.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Ensuite le système de notation est rudimentaire, du niveau de la maternelle. La vidéo ci-dessous le montre: une étiquette avec des notes des A à E, du Bon (vert) au Mauvais (rouge). L’association des couleurs tend à figer également </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Il y a le Bon et le Mauvais. Le <em>Bien</em> et le <em>Mal</em>, quoi, en filigrane. L’État dicte de plus en plus sa religion. Il nous conditionne ouvertement, les yeux dans les yeux.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Mais en fonction de quoi, de quels critères, de quelle grille de lecture cette notation est-elle établie? De celle des carnivores? Des végétariens? De ceux qui ne feront jamais de cholestérol? De celles qui traînent des allergies pendant des décennies? Je ne m’oppose pas à <span style="text-decoration: line-through;">l’éducation</span> l’information des personnes qui ignorent les questions diététiques, mais je trouve plus utile d’en parler par exemple à l’école.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Élise Lucet est un bras du pouvoir, en plus d’avoir des méthodes de harceleuse (tiens, là c’est normal de vouloir contraindre les gens chez eux). Elle aurait déjà dû prendre un carton étiqueté <em>rouge</em> pour ses méthodes. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Car le résultat alimente la haine française de l’entreprise et permet aux autoritaires de tous poils de tenter de réimposer à ces entreprises, par la bande, ce qu’on leur allège ailleurs.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Michel Raison:</span></em></p><p style="text-align: justify;"><iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/9HEeyEQyEbY" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Une critique adressée au sénateur français Michel Raison l’accuse de céder aux lobbies de l’alimentation. Il est interviewé pour <em>Cash Investigation</em>, magazine animé par Élise Lucet. Le sénateur se retire un instant avec une collaboratrice et, oubliant son micro-cravate, il défend les industriels. C’est présenté comme une preuve directe de son inféodation aux lobbies.</span></p>
François MARChttp://francois-marc.blogspirit.com/about.htmlGaspillage alimentaire : ça suffit !tag:francois-marc.blogspirit.com,2016-02-05:30659072016-02-05T10:27:00+01:002016-02-05T10:27:00+01:00 Entre 90 et 140 kg, c’est le volume de nourriture par habitant perdu en...
<p><a title="Stop au gaspillage alimentaire" href="http://www.lessocialistes.fr/node/8086#sthash.xcx6oOWw.dpbs" target="_blank"><img id="media-904868" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://francois-marc.blogspirit.com/media/01/01/1091757751.jpg" alt="quatre-initiatives-pour-le-combattre.jpg" /></a>Entre 90 et 140 kg, c’est le volume de nourriture par habitant perdu en France chaque année sur l’ensemble de la chaîne, de la production à la consommation ! Dans notre pays, le gaspillage alimentaire représenterait entre 12 et 20 milliards d’euros chaque année !</p><p>J’ai donc soutenu avec conviction la <a title="Lutte contre le gaspillage alimentaire" href="http://www.senat.fr/dossier-legislatif/ppl15-245.html" target="_blank">proposition de loi</a> émanant des députés socialistes qui a été adoptée ce mercredi 3 février au Sénat.</p><p>Précisément, ce texte de loi :</p><ul><li>- inscrit dans la loi la hiérarchie des actions à mettre en place pour récupérer et valoriser les denrées alimentaires et pour éviter leur gaspillage, de la prévention à l’utilisation à des fins énergétiques, en passant par la récupération à des fins de consommation ou pour l’alimentation animale ;</li><li>- rend obligatoire le recours à une convention pour les dons réalisés entre un distributeur de denrées alimentaires et une association caritative ;</li><li>- prévoit une sanction pour éviter la destruction volontaire de denrées alimentaires encore consommables par les commerces de détail ;</li><li>- modifie le régime juridique de la responsabilité des producteurs du fait de produits défectueux, afin de lever le blocage des dons de biens alimentaires sous marques de distributeur par leur fabricant ;</li><li>- intègre explicitement la lutte contre le gaspillage alimentaire au parcours scolaire, ainsi que dans le champ de la responsabilité sociale des entreprises.</li></ul>
maplanetehttp://maplanetea.blogspirit.com/about.htmlAlerte au foie gras : Pamela Anderson débarque à l'Assemblée nationale !tag:maplanetea.blogspirit.com,2016-01-20:33162612016-01-20T11:36:00+01:002016-01-20T11:36:00+01:00 La patrie en danger S'il est une élue qui remplit le mandat pour lequel...
<p><strong>La patrie en danger</strong></p><p><img id="media-311137" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/02/303111592.jpg" alt="droit animal,souffrance,agroalimentaire,foie gras,avicultture,palmipède" />S'il est une élue qui remplit le mandat pour lequel elle a été élue, faire des lois, c'est bien <strong>Laurence Abeille. </strong>Très active, la députée Europe Ecologie - Les Verts des Yvelines qui a également proposé au printemps dernier d'<strong>interdire l'accès aux arènes des corridas</strong> aux moins de 14 ans, a notamment à son actif des <a href="http://laurence-abeille.fr/participez-nombreux-au-forum-pour-linterdiction-des-pesticides-neonicotinoides-2/" target="_blank"><strong>projets de loi contre les pesticides, notamment pour protéger les abeilles,</strong> </a>et a fait voter, en janvier 2015, une<a href="http://www.vie-publique.fr/actualite/panorama/texte-discussion/proposition-loi-relative-sobriete-transparence-concertation-matiere-exposition-aux-ondes-electromagnetiques.html"><strong> loi visant à modérer l'exposition aux ondes électromagnétiques</strong>,</a> afin de protéger la santé des utilisateurs de wifi, téléphones portables.</p><p><strong>"Patrimoine culturel"</strong></p><p>Mais, concernant le gavage des oies, son initiative tombait plutôt mal, <strong><a href="http://www.sudouest.fr/2016/01/17/grippe-aviaire-ce-qui-nous-attend-dans-les-prochains-mois-2245308-7496.php" target="_blank">en plein épisode de grippe aviaire</a> </strong>qui frappe <strong>la filière gras</strong> (2 milliards d'euros de chiffre d'affaires) de plein fouet, menace 30.000 emplois direct et plus de 100.000 emplois indirects, notamment dans le grand Sud-Ouest, et fait craindre le manque à gagner de dizaines de millions d'euros ... Aussi, a-t-on assisté à une levée de boucliers d'une férocité quasi unanime chez les députés, devant l'"attaque intolérable" d'un "patrimoine culturel", et d'une "filière d'excellence gastronomique et alimentaire". Les voix des élus et des ministres, de<strong> Christian Jacob</strong> (LR) à <strong>Germinal Peiro</strong> (secrétaire PS à l'agriculture et député de Dordogne), en passant par celle du ministre de l'Agriculture, <strong>Stéphane Le Foll, </strong>ont tonné dans l'hémicycle pour fustiger l'élue écologiste et son invitée, venue en "vedette américaine", rien que "pour faire un coup médiatique".</p><p><strong> "Propos particulièrement choquants, sexistes, machistes, misogynes"</strong></p><p>Pamela Anderson, qui selon l'AFP, "dans l'esprit des députés comme des médias, qui ont assailli le service de presse de l'Assemblée pour être accrédités, reste visiblement associée à l<strong>'image de blonde plantureuse en maillot de bain</strong> immortalisée par son rôle de sauveteuse dans la série télé", habituée au politiquement correct américain, s'attendait-elle de son côté à <a href="http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2016/01/19/25001-20160119ARTFIG00361-venue-defendre-les-oies-a-l-assemblee-pamela-anderson-provoque-la-cohue.php" target="_blank"><strong>susciter une telle cohue</strong> </a>(les gendarmes ont dû intervenir !) et un tel déchaînement de déclarations outrancières ? <strong>"La venue de Pamela Anderson, ça me gave et ça me gonfle</strong>. C'est de la politique spectacle", a réagi l'un des porte-parole du groupe PS, Hugues Fourage. "C'est le degré zéro de la politique", a renchéri le chef de file des députés LR Christian Jacob. Dans un communiqué, le mouvement CPNT (Chasse, pêche, nature et traditions) a été jusqu'à écrire que Laurence Abeille <strong>"préfère les dindes gonflées au silicone aux bonnes oies gavées au maïs des Landes, du Périgord..."</strong> Très élégant. Que l'on soit pour ou contre le gavage des palmipèdes, on ne peut que convenir avec Laurence Abeille que de tels propos sont "particulièrement choquants, sexistes, machistes, misogynes".</p><p><object id="flashObj" width="400" height="225" classid="clsid:D27CDB6E-AE6D-11cf-96B8-444553540000" codebase="http://download.macromedia.com/pub/shockwave/cabs/flash/swflash.cab#version=9,0,47,0"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="movie" value="http://c.brightcove.com/services/viewer/federated_f9?isVid=1&isUI=1" /><param name="bgcolor" value="#FFFFFF" /><param name="flashVars" value="videoId=4712083200001&playerID=1330248265001&playerKey=AQ~~,AAAAjgltpmk~,3G6d8W41NOQ19IiTezZ7ZLKgEaJIflU4&domain=embed&dynamicStreaming=true" /><param name="base" value="http://admin.brightcove.com" /><param name="seamlesstabbing" value="false" /><param name="allowFullScreen" value="true" /><param name="swLiveConnect" value="true" /><param name="allowScriptAccess" value="always" /><embed wmode="transparent" src="http://c.brightcove.com/services/viewer/federated_f9?isVid=1&isUI=1" bgcolor="#FFFFFF" flashvars="videoId=4712083200001&playerID=1330248265001&playerKey=AQ~~,AAAAjgltpmk~,3G6d8W41NOQ19IiTezZ7ZLKgEaJIflU4&domain=embed&dynamicStreaming=true" base="http://admin.brightcove.com" name="flashObj" width="400" height="225" seamlesstabbing="false" type="application/x-shockwave-flash" allowfullscreen="allowfullscreen" allowscriptaccess="always" swliveconnect="true" pluginspage="http://www.macromedia.com/shockwave/download/index.cgi?P1_Prod_Version=ShockwaveFlash" /></object></p><p><strong>"La souffrance animale ne doit pas être un sujet tabou"</strong></p><p>Comment dire ? <strong><a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2015/03/02/confits-et-foies-de-canard-c-est-la-saison-des-conserves-1033034.html" target="_blank">Nombre d'écolos sont amateurs de foie gras</a>,</strong> certains en cuisinent et, vraisemblablement, d'autres encore sont eux-mêmes éleveurs. L'objectif de la <strong>proposition de loi n'est pas d'interdire le foie gras,</strong> mais <strong>une méthode, le gavage</strong>, qui inflige, c'est un fait, une souffrance aux palmipèdes. Le problème étant qu'il n'existe pas aujourd'hui d'autres moyens pour obtenir le mets divin, faut-il vraiment en arriver à se passer du foie gras ? Et dans ce cas, quel avenir économique pour la filière gras ? Si la période choisie par Mme Abeille pour lancer le débat n'était pas vraiment pas la plus judicieuse, l'accueil aurait-il été différent à un autre moment ? On peut en douter. <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2013/10/25/une-petiton-en-faveur-de-nos-amies-les-betes-1011002.html" target="_blank"><strong>La souffrance animale est une réalité</strong>,</a> que s'efforce de reconnaître la loi française. Pourquoi ne peut-on <strong>mettre au moins ce sujet sur le tapis, </strong>y réfléchir et en discuter, entre adultes, avec passion mais dans un<strong> respect mutuel</strong> ? Pour reprendre les propos sensés du <strong>député UDI Yves Jégo, "la société française évolue"</strong>, et<strong> la venue de Pamela Anderson interroge sur la souffrance animale</strong> qui ne doit pas être "un sujet tabou," mais "un sujet de débat", pour lequel l'Assemblée nationale est donc un lieu tout indiqué.</p><p>Pour Laurence Abeille, "on peut continuer à très bien manger sans infliger de souffrance aux animaux". Lors de cette conférence de presse, la fondation Brigitte Bardot, a dévoilé les résultats d'un sondage où <strong>70% des Français se disent opposés au gavage</strong>, "sachant qu'il existe des alternatives" pour produire du foie gras. Que ce dernier point ne soit pas d'actualité, ne devrait pas empêcher le débat dans une démocratie dynamique et non bloquée, attentive aux évolutions et aux questionnements des différentes composante de sa société. Sur le foie gras, comme sur quantité d'autres sujets.</p><p> <a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr" target="_blank"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p><strong>►LIRE AUSSI </strong></p><ul><li><strong>Les articles de Ma Planète sur les droit des animaux : <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/animal/" target="_blank">cliquer ICI</a></strong></li><li><strong><a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2015/03/02/confits-et-foies-de-canard-c-est-la-saison-des-conserves-1033034.html" target="_blank">Confits et foies de canard : tout ce qu'il faut savoir pour réussir ses conserve</a></strong></li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-311138" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/02/2729800775.jpg" alt="droit animal,souffrance,agroalimentaire,foie gras,avicultture,palmipède" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em>Pamela Anderson, l'ex-vedette d'"Alerte à Malibu" a soutenu la députée EELV Laurence Abeille (a gauche) à l'Assemblée nationale, aux côtés de Paul Watson (Sea Shepherd, à droite). Photo AFP</em></span></p><p>S'y attendait-elle ? Certainement, mais peut-être pas à ce point. La <a href="http://laurence-abeille.fr/" target="_blank"><strong>députée écologiste Laurence Abeille</strong> </a>qui veut déposer <a href="http://laurence-abeille.fr/depot-dune-proposition-de-loi-pour-interdire-le-gavage-lors-de-la-production-de-foie-gras/" target="_blank"><strong>une proposition de loi pour interdire le gavage des canards et des oies pour produire du foie gras</strong>,</a> une pratique selon elle "barbare et indigne de l'être humain", a déclenché ce mardi un séisme d'une intensité inouïe à l'Assemblée nationale, en invitant la starlette <a href="http://www.sudouest.fr/2016/01/19/pamela-anderson-n-aime-pas-le-foie-gras-et-vient-le-dire-a-l-assemblee-nationale-2247307-3452.php" target="_blank"><strong>Pamela Anderson,</strong></a> à venir soutenir ce projet, à l'occasion d'une conférence de presse co-organisée avec la<strong> <a href="http://www.fondationbrigittebardot.fr/" target="_blank">Fondation Brigitte-Bardot. </a></strong></p><p>A 48 ans, l'actrice américano-canadienne, ancienne vedette d'<strong>"Alerte à Malibu"</strong>, série culte des années 90, est outre-atlantique ce que Brigitte Bardot est en France : une <strong>personnalité engagée depuis plusieurs années dans la protection animale </strong>et une militante active de campagnes contre le port de la fourrure et du cuir ou les expérimentations animales.</p>
François MARChttp://francois-marc.blogspirit.com/about.htmlGad doit repartirtag:francois-marc.blogspirit.com,2014-05-23:30061472014-05-23T17:40:00+02:002014-05-23T17:40:00+02:00 La fermeture de la société GAD à Lampaul-Guimiliau en octobre 2013 fut une...
<p><img id="media-802940" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://francois-marc.blogspirit.com/media/01/00/772533361.9.jpg" alt="images.jpg" />La fermeture de la société GAD à Lampaul-Guimiliau en octobre 2013 fut une véritable catastrophe pour des centaines de salariés et pour toute l’activité économique du bassin de Landivisiau.</p><p>On ne peut que se réjouir de l’initiative de cinq ex-cadres de porter un projet de reprise sur le site, <strong><span style="color: #000000;">Lampaul Agro</span></strong>, avec création de 250 emplois.</p><p>Faute d’activité d’abattage, la filière porcine nord-finistérienne serait très lourdement handicapée, tant dans les activités amont qu’aval. Restait à savoir si le projet Lampaul Agro était viable et doté d’un bon "business plan".</p><p>Les choses sont aujourd’hui clarifiées car conduite à la demande de la région du département du Finistère, l’<span style="color: #000000;"><strong>étude du cabinet Deloitte</strong></span> conclut à la fiabilité du modèle économique présenté par Lampaul Agro.</p><p>Tout doit être mis en œuvre pour faire démarrer ce projet dans les plus brefs délais. Il importe à mes yeux que la CECAB, propriétaire du site, comprenne que c’est <span style="color: #000000;"><strong>l’intérêt de tous</strong></span> que de céder aujourd’hui les clés du site ; car c’est <span style="color: #000000;"><strong>toute la filière qui aura demain à gagner d’une telle décision</strong></span>.</p>
François MARChttp://francois-marc.blogspirit.com/about.htmlLe marché chinois, une perspective prometteuse pour les produits bretonstag:francois-marc.blogspirit.com,2014-03-28:29995542014-03-28T11:57:00+01:002014-03-28T11:57:00+01:00 Dans le cadre de la visite d’État chinoise en France, le Président...
<p><em><strong><img id="media-791720" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://francois-marc.blogspirit.com/media/02/01/2994626273.JPG" alt="porcs-cochons-agriculture-france-viande-filiere-po-1129530-jpg_1003269.JPG" />Dans le cadre de la visite d’État chinoise en France, le Président Hollande s’est attaché à rééquilibrer la relation commerciale entre notre pays et la Chine. </strong></em></p><p>40% du total du déficit du commerce extérieur de la France provient de nos importations chinoises ! Il est impératif d’augmenter la présence française en Chine.</p><p>De ce point de vue, la Bretagne a une carte à jouer. En termes d’<span style="color: #000000;"><strong>écoulement des viandes de porcs</strong></span> qui font depuis peu l’objet d’un embargo russe, ou bien de perspective d’export très prometteuses de <span style="text-decoration: underline; color: #000000;"><a title="Le savoir-faire agroalimentaire français reconnu à Carhaix" href="http://francois-marc.blogspirit.com/archive/2014/01/10/le-savoir-faire-agroalimentaire-francais-reconnu-a-carhaix-2990888.html" target="_blank"><span style="color: #000000;"><strong>poudre de lait chinoise fabriquée à Carhaix</strong></span></a></span> , la Chine et son marché d’1,3 milliards de consommateurs constituent une nouvelle destination pour dégager de nouveaux débouchés. A cet égard, on ne peut que se réjouir de l’<strong>ouverture confirmée du marché chinois pour 13 abattoirs français</strong>, obtenue il y a deux jours.</p><p>Même si nous sommes tous conscients que le régime politique chinois doit être amené à évoluer au plus vite, la France doit se tourner vers les pays porteurs d’échanges commerciaux.</p><p>Le groupe Caisse des dépôts, sa filiale PBI et la China Developpment Bank ont d’ailleurs concrétisé le 26 mars la création d’un fonds commun d’investissement de 500 millions € dans le domaine du développement durable, du tourisme et du financement des entreprises.</p>
François MARChttp://francois-marc.blogspirit.com/about.htmlPourquoi tant de travailleurs étrangers dans l’agroalimentaire breton ?tag:francois-marc.blogspirit.com,2014-03-25:29991892014-03-25T14:48:00+01:002014-03-25T14:48:00+01:00 Dans un communiqué paru vendredi, la Cfdt du Finistère pointe du doigt le...
<p><img id="media-791044" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://francois-marc.blogspirit.com/media/00/01/3297695551.4.jpg" alt="françois marc,sénateur,sénateur françois marc,finistère,cfdt,agroalimentaire,travailleurs,bas coût,main d'oeuvre,concurrence déloyale,distorsion de concurrence,dumping social,europe,nord finistère,agriculture" />Dans un communiqué paru vendredi, la Cfdt du Finistère pointe du doigt le nombre important de travailleurs (entre 600 et 800) d'origine étrangère dans les champs d'échalotes du Nord Finistère.</p><p>La Cfdt souligne à juste titre <strong>une situation aberrante à laquelle il est crucial de mettre un terme</strong>.</p><p><span style="text-decoration: underline;"><strong><a title="La Cfdt du Finistère s'étonne du nombre important de travailleurs étrangers " href="http://www.agrisalon.com/fr/permalien/article/7004207/La-Cfdt-du-Finistere-s-etonne-du-nombre-important-de-travailleurs-etrangers.html" target="_blank">Lire le communiqué</a></strong></span></p>
François MARChttp://francois-marc.blogspirit.com/about.htmlTilly-Sabco : Mobilisation pour sauver l’entreprise et des centaines d’emploistag:francois-marc.blogspirit.com,2014-02-24:29956112014-02-24T17:30:00+01:002014-02-24T17:30:00+01:00 Comme mes collègues élus, j’ai été alerté à plusieurs reprises sur la...
<p class="chapo"><strong><em>Comme mes collègues élus, j’ai été alerté à plusieurs reprises sur la nécessité de sauver les emplois de Tilly-Sabco et les emplois associés en amont et en aval de la filière. Beaucoup d’efforts sont aujourd’hui engagés dans ce sens.</em></strong></p><p>Dans le cadre de réunions presque quotidiennes, la mobilisation des acteurs de la filière, des partenaires financiers, des collectivités et de l’État ont permis de s’accorder sur un certain nombre de dispositifs. Un tour de table financier avec le Conseil Régiona<strong class="bots">l</strong> de Bretagne, le Conseil Régional des Pays de Loire, SOFIPROTEOL et les banques régionales a permis de rassembler 15 millions €. Le Conseil Régional de Bretagne a déjà adopté une délibération le 13 février 2014 permettant de mobiliser 4 millions € au profit de ce mécanisme. Les financeurs ont accepté de participer au dispositif à la condition que le mécanisme soit parfaitement sécurisé (les fonds seront décaissés au fur et à mesure que seront produits les justificatifs qui permettront ensuite d’activer l’aide européenne). Le dispositif doit être opérationnel pour des premiers versements d’avance courant marsa par ailleurs été sollicitée afin d’examiner très rapidement avec l’entreprise un préfinancement du CICE 2014.</p>
François MARChttp://francois-marc.blogspirit.com/about.htmlLa filière porcine dans l’impasse ?tag:francois-marc.blogspirit.com,2013-07-04:29702722013-07-04T17:35:00+02:002013-07-04T17:35:00+02:00 Télécharger le communiqué de presse Cliquer...
<p style="text-align: right;"><a href="http://videos.senat.fr/video/videos/2013/video18995.html" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;"><strong><span style="color: #0000ff;"><a id="media-746727" href="http://francois-marc.blogspirit.com/media/01/01/3133200108.pdf"><span style="color: #0000ff;"><strong><em>Télécharger le communiqué de presse</em></strong></span></a></span></strong></span></a></p><p> </p><p><a href="http://videos.senat.fr/video/videos/2013/video18995.html" target="_blank"><img id="media-746728" style="margin: 0.2em auto 0.7em; display: block;" title="" src="http://francois-marc.blogspirit.com/media/00/01/3736083903.jpg" alt="françois marc,agroalimentaire,gad" /></a></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: x-small;"><em><strong>Cliquer sur la photo pour voir la vidéo.</strong></em></span></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-size: x-small;"><strong></strong><span style="text-decoration: underline;"><strong><br /></strong></span></span></em></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline; color: #000000;"><strong><a href="http://www.senat.fr/cra/s20130704/s20130704_2.html#par_560" target="_blank"><span style="color: #000000; text-decoration: underline;">Le sénateur François MARC a interrogé ce jour Guillaume GAROT</span></a></strong></span>, Ministre délégué en charge de l'agroalimentaire sur l’impasse dans laquelle se trouve la filière porcine française (séance des Questions d'actualité au Gouvernement du jeudi après-midi).</p><p style="text-align: justify;">Si les industries agroalimentaires (IAA) se sont jusqu’alors caractérisées par une certaine robustesse, elles traversent depuis 10 ans une mauvaise passe. Les difficultés s'accumulent et ceci se traduit de manière dramatique dans les zones à forte production animale, comme en Bretagne, considérée jusqu'alors comme le fer de lance de l'agroalimentaire français.</p><p style="text-align: justify;">Les difficultés de la filière volaille (dépôt de bilan du Groupe DOUX en 2012), de la filière saumon (fermeture annoncée de Marine Harvest), de la filière légumes (fermeture annoncée de Boutet Nicolas) plongent plusieurs milliers de travailleurs du secteur agroalimentaire et leur famille dans la plus grande détresse.</p><p style="text-align: justify;">S’agissant de la filière porcine (secteur crucial pour le territoire), l’inquiétante perspective d’une mise en liquidation au cours de l’été de l’entreprise GAD pourrait conduire à près d’un millier de licenciements dans le Finistère.</p><p style="text-align: justify;">Etant donné le degré de gravité du dossier, François MARC a interpellé le Ministre sur trois questions brûlantes :</p><ol><li>Pourquoi faire plus de 1 000 km pour aller abattre des porcs en Allemagne plutôt qu'en France ?</li><li>Qu'a-t-on fait depuis 10 ans pour mieux réguler les salaires des travailleurs en Europe ?</li><li style="text-align: justify;">Pourquoi la filière agroalimentaire française et porcine en particulier a-t-elle tant tardé à entreprendre la nécessaire modernisation de l'appareil productif ? </li></ol><p style="text-align: justify;">Dans sa réponse, le Ministre a rappelé les dispositions du plan que le gouvernement met en place pour favoriser une vraie politique de filière et son urgente et nécessaire restructuration.</p><p style="text-align: justify;">En particulier, il a indiqué que le Contrat de filière alimentaire signé le 19 juin dernier par l’Etat, la région et toute la filière serait mis en œuvre sans tarder dans le Finistère.</p><p style="text-align: justify;">Enfin, il a réaffirmé l’entière mobilisation du gouvernement pour sauvegarder un maximum d’emplois en proposant des solutions réalistes, concrètes et durables.</p>
eurocitoyenhttp://eurocitoyen.blogspirit.com/about.htmlLa viande de cheval retrouvée dans du soi-disant « pur bœuf » met en lumière l’efficacité relative du système européen dtag:eurocitoyen.blogspirit.com,2013-02-15:29508422013-02-15T00:29:00+01:002013-02-15T00:29:00+01:00 Le consommateur européen doit pouvoir lire le contenu d’un produit sur son...
<p><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Le consommateur européen doit pouvoir lire le contenu d’un produit sur son emballage. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Ce principe de transparence alimentaire découle d’une réglementation européenne de 2002. La traçabilité permet d’assurer, en premier lieu, la sécurité sanitaire des aliments vendus dans toute l’Union européenne. <img id="media-720217" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://eurocitoyen.blogspirit.com/media/01/02/1454299299.jpg" alt="cheval,findus,traçabilité,agroalimentaire" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Les plats cuisinés de l’industrie agroalimentaire multiplient les fabricants et les origines géographiques. Résultat : des risques de faille plus importants. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Pourrait-on limiter le nombre d’intermédiaires ? Non. Ce serait contraire à un droit fondamental de l’Union : la liberté de circulation des marchandises. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">L’Europe impose des obligations pour l’étiquetage des produits afin d’apporter des garanties aux acheteurs et de satisfaire notre droit à l’information. Mais ce sont les autorités locales (nationales ou régionales) qui sont responsables des contrôles. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Les règles communes, appelées <em>"Paquet hygiène",</em> adoptées en 2004, reposent sur la responsabilité des producteurs et des fabricants, assortis d'une surveillance des autorités publiques. Autrement dit, le contrôle est « délégué » aux entreprises de l’agroalimentaire, en France, comme ailleurs.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Dans un communiqué, le syndicat français des inspecteurs en santé publique vétérinaire préconise <em>"un juste équilibre (…) entre autocontrôles et contrôles officiel</em>s". Comme le reconnaît le ministre français de la consommation, Benoît Hamon, l’Etat ne peut pas contrôler tout, tout le temps.</span></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Le consommateur n’est donc pas à l’abri d’une erreur ou d’une tromperie sur la marchandise. </span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Il est plus aisé de « tracer » son steak chez son boucher qui a l’obligation d’étiqueter l’origine de la viande. Mais il peut aussi s’avérer impossible de connaître la composition exacte des lasagnes proposées par son traiteur habituel. Les industriels, eux, ne sont pas obligés d'indiquer la provenance de la viande dans un plat cuisiné.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Dans le cas de la viande de cheval contenue dans les surgelés « pur boeuf » de la société suédoise Findus, il y aurait au moins sept intermédiaires à travers cinq pays membres de l’UE. Heureusement, il ne s’agit pas de crise sanitaire, comme dans le cas de la « vache folle ». <br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">L’enquête, appuyée par la Commission européenne, pourrait mettre en évidence une fraude. Sanction prévue dans cette hypothèse : 37 500 euros d'amende et deux ans de prison.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">La filiale française du groupe Findus a réagi en annonçant des tests ADN sur l'ensemble de ses lots contenant de la viande de boeuf avant de les commercialiser. Ce degré supplémentaire de traçabilité, décidé par l’entreprise elle-même, entraînera-t-il une hausse des prix ? </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Le ministre français de l’agriculture, Stéphane Le Foll, a déclaré souhaiter un meilleur étiquetage des produits transformés. L’Etat peut imposer cette règle sans attendre une impulsion européenne. Les éleveurs français y sont d’ailleurs favorables, confortés par la tendance au « made in France ».</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Le système européen de traçabilité offre en tout cas deux certitudes relatives : une faille (erreur ou fraude) est toujours possible et le consommateur a toujours le choix.</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><strong>D'AUTRES INFOS EUROPEENNES SUR <a title="eurosidus cheval" href="http://www.eurosidus.com" target="_blank">EUROSIDUS</a></strong><br /></span></p>
maplanetehttp://maplanetea.blogspirit.com/about.htmlConsommation. Vivre sans Nutella, est-ce possible ?tag:maplanetea.blogspirit.com,2013-02-05:33152742013-02-05T10:25:00+01:002013-02-05T10:25:00+01:00 En novembre dernier 2012, la commission des Affaires sociales du...
<p style="text-align: center;"><img id="media-220423" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/01/3967968399.jpg" alt="nutella day.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><em>En novembre dernier 2012, la commission des Affaires sociales du Sénat a adopté un <strong>«</strong>amendement Nutella<strong>»,</strong>visant à augmenter de 300% la taxe sur l’huile de palme. Photo AFP</em></span></p><p><strong>C'est aujourd'hui la <a href="http://www.madmoizelle.com/journee-internationale-nutella-30102" target="_blank">journée mondiale du Nutella.</a> N</strong>on ? Si. Vous avez bien lu. La journée internationale du Nutella existe. Elle a été lancée en 2007 par deux femmes, consommatrices et passionnées de Ferrero,<strong> <a class="ext-link" href="http://www.msadventuresinitaly.com/blog/" rel="external nofollow" target="_blank">Sarah</a> </strong>et <strong><a class="ext-link" href="http://www.bleedingespresso.com/" rel="external nofollow" target="_blank">Michelle</a>.</strong> Ce qui tend à prouver que la femme n'est pas toujours l'avenir de l'homme. Cette journée doit se caractériser par une profusion d'échanges de recettes, photos, dessins, poèmes... absolument tout, tout ce qui vous plaira, mais sur le Nutella.</p><p><strong>"L'amendement Nutella"</strong></p><p><img id="media-220419" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/02/3967968399.jpg" alt="nutella day.jpg" />Cette année, <strong><a href="http://www.ferrero.fr/nos_marques/nutella" target="_blank">Nutella</a></strong> a bien besoin d'une journée internationale pour <strong>redorer son blason</strong>, sérieusement terni par<strong> les accusations qui pèsent sur l'huile de palme</strong> qui entre dans sa composition et qui serait responsable d'effets nocifs, sur la santé mais aussi sur l'environnement.</p><p><strong>En France, le Nutella a échappé de peu à une véritable mise à l'index. </strong>En novembre dernier, la commission des Affaires sociales du Sénat a adopté un <a href="http://www.sudouest.fr/2012/11/07/les-senateurs-socialistes-veulent-taxer-le-nutella-872942-4696.php" target="_blank"><strong>«amendement Nutella»,</strong></a>visant à augmenter de 300% la<strong> taxe sur l’huile de palme</strong> contenue dans la célèbre pâte à tartiner. Défendu par Jean-Louis Roumegas (EELV), cet<a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20121121.OBS0187/huile-de-palme-l-amendement-nutella-repousse.html" target="_blank"><strong> amendement a finalement été repoussé</strong></a> lors de la nouvelle lecture en commission du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2013.</p><p><strong>Que reproche-t-on au juste à l'huile de palme ?</strong></p><p>Tout, ou presque. Cet ingrédient, très utilisé dans l'industrie agroalimentaire serait mauvais pour la santé humaine, mais aussi pour l'environnement. Il est en effet à à l'origine d'une <a href="http://www.greenpeace.org/france/PageFiles/300718/La%20derni%C3%A8re%20fronti%C3%A8re%20de%20l%E2%80%99huile%20de%20palme%20Afrique%20-%20Briefing.pdf" target="_blank"><strong>déforestation massive,</strong></a> effectuée au profit de la plantation de palmiers à huile, dénoncée notamment par l'ONG <strong><a href="http://www.greenpeace.org/france/fr/" target="_blank">Greenpeace</a>.</strong> L'amendement créait une contribution additionnelle de 300 euros la tonne à la taxe spéciale prévue sur les huiles de palme, de palmiste et de coprah destinées à l'alimentation humaine. Cela aurait rapporté de l'ordre de<strong> 40 millions d'euros. </strong></p><p><strong>L'empire Ferrero contre-attaque</strong></p><p>Depuis l'épisode de l'"amendement Nutella", la marque de <strong>Ferrero</strong>, l'entreprise italienne fabricant le Nutella, a contre-attaqué en finançant une grande campagne publicitaire tous médias, <a href="http://nutellaparlonsen.fr/" target="_blank"><strong>"Nutella, parlons-en",</strong></a> destinée à restaurer son image de marque. Et persiste et signe : <a href="http://www.sudouest.fr/2012/11/11/la-recette-du-nutella-ne-changera-pas-875292-7.php" target="_blank"><strong>elle continuera à utiliser l'huile de palme</strong></a> dans sa recette, car, pour la marque, elle assure à son célèbre produit une onctuosité à nulle autre pareille. «Nutella se retrouve, de manière injuste, au cœur d'un débat sur l'huile de palme(…). Contrairement aux idées reçues, l'huile de palme n'est pas dangereuse pour la santé. Une tartine de Nutella contient moins de <strong><a href="http://sante.lefigaro.fr/mieux-etre/nutrition-aliments/huiles-vegetales/quest-ce-que-cest?position=1&keyword=huile+de+palme" target="_blank">matières grasses saturées </a></strong>que la plupart des goûters ou petits déjeuners», affirme le groupe italien.</p><p><strong>Le test des pâtes à tartiner en vidéo</strong></p><p><img id="media-220428" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/02/2040365076.jpg" alt="produit alimentaire,huile de palme,conflit,amendement,sénat,nutella" />Une éventuelle déroute économique pour une entreprise dont le produit alimentaire phare serait discrédité, c'est une chose. Ne plus pouvoir manger de Nutella, ou l'équivalent, pour les écolos gourmets et gourmands que nous sommes, c'en est une autre, qui pourrait être vécue comme une véritable catastrophe... Surtout à l'époque de la Chandeleur : comment accommoder nos crèpes ? <strong>Heureusement, vivre sans Nutella, c'est possible ! </strong>Il existe plusieurs autres pâtes à tartiner au chocolat, sans huile de palme, déjà disponibles dans le commerce. Des bio, en prime. Et chance, le site <a href="http://www.neo-planete.com/2012/11/09/on-a-teste-les-pates-a-tartiner-sans-huile-de-palme-amendement-nutella-vivre-sans-nutella-noisette-de-casino-bio/" target="_blank"><strong>Néoplanète</strong></a> a enquêté pour nous ! <strong>Alors, pour effectuer un petit tour d’horizon de ces délices de substitution</strong> : <a href="http://www.neo-planete.com/2012/11/09/on-a-teste-les-pates-a-tartiner-sans-huile-de-palme-amendement-nutella-vivre-sans-nutella-noisette-de-casino-bio/" target="_blank"><strong> cliquez ICI</strong></a></p><p>La rédaction de <strong>Néoplanète</strong> a même poussé le professionnalisme jusqu'à faire goûter à <strong>Gérald Ariano</strong> (photo ci-dessus), journaliste de<a href="http://www.ushuaiatv.fr/ushuaiatv/magazines/bougez-vert/" target="_blank"><strong> "Bougez vert"</strong></a> sur Ushuaia TV (groupe TF1) différentes pâtes à tartiner. Vu sa ligne, il n'a pas dû abuser... A lui de voter pour la meilleure alternative au Nutella. Laquelle remportera le concours ?<strong> La réponse est dans la vidéo de l'émission : <a href="http://www.neo-planete.com/2013/01/16/pate-tartinerbougez-vert-n52/" target="_blank">cliquer ICI. </a></strong></p><p>Alors, on dit pas merci ?</p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p><strong>EN SAVOIR PLUS</strong></p><ul><li>N<strong>utella est une <span class="mw-redirect">marque déposée</span> de pâte à tartiner à la noisette et au cacao,</strong> créée le 20 avril 1964 dans le Piémont par la société italienne Ferrero. Les pots de Nutella vendus sur le marché français sont fabriqués dans l'usine Ferrero de Villers-Écalles (Seine-Maritime), qui fabrique également des barres chocolatées Kinder Bueno.<strong></strong></li><li><strong>Avec 75.000 tonnes annuelles, la France représente le quart des ventes mondiales de Nutella.</strong></li></ul>
Regishttp://regis-pnl-coaching.blogspirit.com/about.htmlQue penser des OGM ?tag:regis-pnl-coaching.blogspirit.com,2012-10-21:29319242012-10-21T15:29:01+02:002012-10-21T15:29:01+02:00 Pour savoir exactement à quels dangers s'attendre, il est de coutume...
<p><span style="font-size: small;">Pour savoir exactement à quels dangers s'attendre, il est de coutume de faire des études sur les rats, dont la vie est plus courte que la notre, deux ans en moyenne.</span></p><p><span style="font-size: small;">Or les autorités européennes ont accepté que les études statistiques sur les OGM soient limitées à 3 mois, sur la demande des industriels concernés... L'argument de ces derniers étant que les études statistiques coûtent cher et qu'il fallait aller de l'avant, lancer les cultures OGM à gande échelle, ainsi apparaitraient plus facilement les effets secondaires...</span></p><p><span style="font-size: small;"><em><strong>Nos enfants deviendront-ils des rats de laboratoire ?</strong></em></span></p><p><span style="font-size: small;">Je vous invite à voir ce documentaire video, paru sur France 5 le 16 octobre dernier. Il commente la seule étude réalisée sur une durée de 2 ans, ce qui semble bien la moindre des choses. Les résultats sont édifiants :</span></p><p><span style="font-size: small;"><a href="http://www.pluzz.fr/ogm-vers-une-alerte-mondiale---2012-10-16-20h35.html">http://www.pluzz.fr/ogm-vers-une-alerte-mondiale---2012-10-16-20h35.html</a></span></p><p><span style="font-size: small;">Merci au professeur Seralini, à Corine Lepage, à France 5 et à tous ceux qui ont participé à cette étude, malgré les barrages qui leur ont été faits.</span></p><p><span style="font-size: small;">Bonne vidéo.</span></p>
eurocitoyenhttp://eurocitoyen.blogspirit.com/about.htmlMirabelles de Lorraine : une filière à redéveloppertag:eurocitoyen.blogspirit.com,2012-08-17:29200702012-08-17T18:15:00+02:002012-08-17T18:15:00+02:00 4.500 tonnes. C’est l’estimation de la récolte des mirabelles de Lorraine...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Arial; font-size: 14pt;">4.500 tonnes. C’est l’estimation de la récolte des <strong>mirabelles de Lorraine</strong> cette année. <span style="background: white;">Le volume est ridicule comparé à une année moyenne (10 à 12.000 tonnes). La faute aux caprices du ciel… La chaleur des derniers jours aidant, la prune régionale jouit toutefois d'un calibre intéressant. Et les amateurs apprécieront sa belle robe et son caractère particulièrement juteux.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt; mso-layout-grid-align: none;"><span style="font-family: Arial; background: white; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt; mso-layout-grid-align: none;"><span style="font-family: Arial; background: white; font-size: 14pt;">Le <strong>fruit emblématique</strong> du terroir lorrain voyagera beaucoup, même si la quantité est réduite. En effet, la mirabelle de Lorraine entre, chaque année, dans les fabrications des industriels de la transformation fruitière.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt; mso-layout-grid-align: none;"><span style="font-family: Arial; background: white; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt; mso-layout-grid-align: none;"><span style="font-family: Arial; background: white; font-size: 14pt;">Près de Nancy, à Saint-Nicolas-de-Port (Meurthe-et-Moselle), la coopérative <a title="Végafruits Saint-Nicolas-de-Port" href="http://www.vegafruits.fr/systeme/m1.php" target="_blank">Végafruits</a> - plaque tournante du label Mirabelles de Lorraine réunissant environ 200 arboriculteurs – procède à la surgélation et au séchage d’une partie de la récolte. Mais le gros de <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">la production à transformer</strong> quitte la Lorraine. Des tonnes de mirabelles sont acheminées, chaque été, vers l’Allemagne ou le sud de la France. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt; mso-layout-grid-align: none;"><span style="font-family: Arial; background: white; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt; mso-layout-grid-align: none;"><span style="font-family: Arial; background: white; font-size: 14pt;">Les industriels valorisent la mirabelle dans des confitures de marque, en compotes, en pralinés pour la pâtisserie, en desserts décongelés, en liqueurs…</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; mso-layout-grid-align: none;"><span style="font-family: Arial; background: white; font-size: 14pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; mso-layout-grid-align: none;"><span style="font-family: Arial; background: white; font-size: 14pt;">La prune jaune était, il y a quelques années, essentiellement transformées dans sa région d’origine. La Lorraine comptait plusieurs dizaines de conserveries et confituriers. Le phénomène économique de concentration dans le secteur agro-alimentaire a réduit le potentiel lorrain à peau de chagrin. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; mso-layout-grid-align: none;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; mso-layout-grid-align: none;"><span style="font-family: Arial; background: white; font-size: 14pt;">Le défaut d’organisation d’une filière fruitière régionale peut expliquer essentiellement cette situation qui a déplacé des emplois potentiels vers d’autres bassins. La concurrence historique entre petits transformateurs lorrains n’a pas résisté au nécessaire équilibre entre les stocks et les débouchés, sur un marché européen du fruit devenu très concurrentiel. Phénomène connu aussi dans le secteur du bois...</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><strong><span style="font-family: Arial; background: white; font-size: 14pt;"> </span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Arial; background: white; font-size: 14pt; mso-bidi-font-weight: bold;">Si l’on en croit certains professionnels du fruit, la réflexion est engagée pour relancer une filière industrielle autour de la mirabelle de Lorraine. Le label pourrait ainsi devenir 100% lorrain. De quoi renforcer le poids de <a title="insee lorraine agroalimentaire" href="http://www.insee.fr/fr/regions/lor/default.asp?page=themes/ouvrages/ecoscopie_54/agro.htm" target="_blank">l'agroalimentaire</a> lorrain, tout en intéressant des groupements comme <a title="Lorraine Terre de Luxe" href="http://www.mylorraine.fr/article/la-lorraine-terre-de-luxe-/13057/" target="_blank">Lorraine Terre de Luxe</a>…</span></p>