Last posts on Nokia2024-03-28T15:33:20+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/Nokia/atom.xmlOlivier Beaunayhttp://oliverbe.blogspirit.com/about.htmlRetour de Chicago (Jour 4) En descendant Old Towntag:oliverbe.blogspirit.com,2007-07-10:13225292007-07-10T22:00:00+02:002007-07-10T22:00:00+02:00Démarrer la journée à l'Argo Tea, à l'angle de Rush et Randolph, en...
Démarrer la journée à l'Argo Tea, à l'angle de Rush et Randolph, en parcourant le Chicago Tribune. Slalomer à travers le Loop en remontant vers le Nord. Savourer l'alternance des trottoirs ombragés et des grandes trouées de soleil qui, du Lac, transpercent la ville à chaque coin de block jusqu'aux faubours de l'Ouest. A hauteur de Marina City - deux immeubles jumeaux sur trois parties : une marina, un parking apparent, puis les étages d'habitation -, bifurquer vers l'Est en remontant la Chicago River, puis s'engouffrer dans Michigan Avenue. Au pied du siège de la Tribune (comme du Waker Drive, du Hilton ou de la Sears Tower), lever les yeux au droit des murs qui s'élèvent vers le ciel ; le premier building au monde est réputé avoir été construit ici après le Grand Incendie de 1871 (le Home Insurance Building par William Le Baron Jenney) et, depuis lors, la ville fait office de laboraroire architectural. Multiplier les angles impossibles. Joindre aux quatre coins de l'objectif l'extrêmité des toits dans un même cliché. Puis, photographier le ciel.Faire quelques emplettes chez Nokia - la boutique, au design très épuré de bleu ciel intenses et de gris sombres, se clôt d'une petite salle de présentation intimiste inspirée des grandes bijouteries -, jeter un oeil chez Eres et Gap. S'apercevoir que le musée de la photographie contemporaine était sur <em>South</em> et non sur <em>North</em> Michigan Avenue. Dériver vers Streeterville et rentrer au Museum of Contemporay Art par le jardin ombragé et la terrasse, qui donnent sur le Lac. Jeter un oeil, sans conviction, sur l'expo "Escultura Social", d'une nouvelle génération d'artistes mexicains ; un autre, plus intéressé, sur le travail de Jana Gunstheimer, "Status L Phenomenon" - une approche originale, multimedia, de la désolation post-industrielle, qui associe l'engagement social et l'inventivité. Se dire que cet esprit ludique qui, malgré tout ici, manque un peu d'humour, fait le meilleur de l'art moderne. Se retrouver dans le hall et se laisser glisser vers le square, aux allures d'un parc des faubourgs. Redescendre vers Navy Pier en coupant par Olive Park. Louer des vélos et remonter vers North Side par la côte, le long du Lakerfront Trail en surfant, au soleil, sur la piste. Dépasser Oak Street Beach en regardant, au passage, les parties de beach volley. Penser : "On dirait Sydney". Pousser jusqu'à Lincoln Park. Là, redescendre lentement le long des allées cossues et ombragées d'Old Town. Déambuler sur Oak Street, l'avenue Montaigne de la ville. Un peu plus haut, avaler un hamburger Angus et un club sandwich sur une terrasse de Rush Street. Se laisser happer par une conversation de voisinage, sympathique mais banale, avec un type du Connecticut, accompagné de son beau-frère (on dirait, lui, qu'il monte toujours la garde à Fort Wayne) qui tient à nous faire part de son amour de la France. Un peu plus tard, sur Randoplh, entre la marina et les parcs, sentir la ville commencer à vibrer des préparatifs d'Independance Day.Faire un aller-retour rapide en cab à l'hôtel. Revenir se nicher sur Westshore pour participer à l'attente trépidante et bon enfant des réjouissances. Trinquer d'un cabernet-sauvignon de Mondavi, avant les hot dogs. Se prélasser sur l'herbe en attendant que ça pète. Regarder alentour : des adolescents seuls au monde, les équipées familiales, un club californien en goguette, les filles qui se trémoussent sur les bateaux au son des <em>raves</em>, les barbecues improvisés, le ballet continuel des passants en contrebas... Une gigantesque <em>family party </em>à ciel ouvert.Plus tard, redescendre par Millenium, sous une pluie battante. En repensant au livre de Mauvignier, rester à distance de la foule qui s'amasse, dense et massive, sur les transversales de Grant Park. Hâter le pas entre la police montée qui parade, un dernier air de rock sur Wildflower Works et les longues files d'attente devant les stations de métro sur Wabash Avenue. Marcher sous la pluie au beau milieu d'Adam Street. S'engouffrer dans l'hôtel. Redescendre plus tard prendre l'air entre les éclairs et les trombes d'eau qui s'abattent sur la ville. Au matin, prendre la Kennedy Expressway et filer vers la 90 en traversant les faubourgs industrieux du Sud-ouest. Capter un air de blues à la radio, prendre un rythme de croisière. Garder en soi quelque chose de la vibration de la ville.
Olivier Beaunayhttp://oliveretcompagnie.blogspirit.com/about.htmlNew Deal au sommet (2) Nouvelle cuisine managériale (la recette n'est pas le déjeuner)tag:oliveretcompagnie.blogspirit.com,2007-06-24:13098872007-06-24T06:35:00+02:002007-06-24T06:35:00+02:00Une bonne manière d'initier le changement peut être alors de redéfinir la...
Une bonne manière d'initier le changement peut être alors de redéfinir la mission de la firme et son business modèle de telle manière que chacun puisse y souscrire. A l'instar de ce que proposa Lou Gerstner à la tête d'IBM, cela peut être l'occasion d'un retour aux sources synthétisé, dans ce cas d'espèce, dans la formule : "le leader mondial des infrastructures de systèmes d'information" - une définition, à l'évidence, d'autant plus aisée que les activités de l'entreprise sont homogènes.Il reste qu'au-delà de la formulation d'une vocation commune pour le groupe, encourager l'interdépendance, développer un sens partagé des missions et le respect de la contribution des autres unités, cela représente un changement fondamental et difficile dans la culture de l'entreprise. Trois approches principales ont été retenues à cet égard par la plupart des firmes qui se sont engagées dans une telle aventure.La première consiste à donner aux dirigeants la responsabilité, non pas d'une business unit, mais de différentes étapes de la création de valeur, ainsi que l'a fait SAP dans son projet de réunification à partir de 2005. Cela conduit à un fort développement de la coopération et améliore la qualité des échanges. Claus Heinrich confie ainsi : "Lorsque j'ai rejoint le comité, j'ai été impressionné de constater combien les discussions y étaient ouvertes. Créer de l'ouverture et de la coopération, cela n'est pas une question d'outils ou de déjeuners. La vraie recette, c'est d'abord de discuter au sommet comme au sein d'une équipe. Il ajoute : "On s'apprécie, mais l'on est dur les uns avec les autres au cours de nos débats. Nous travaillons en équipe sur tous les sujets, et non avec l'attitude qui consiste à dire, par exemple : "Je suis le patron des RH, donc je ne suis pas concerné par le développement des produits". Si je ne suis pas d'accord, si j'ai quelque chose à dire, peu importe d'où je viens, ni de quel secteur j'ai la responsabilité".Une seconde voie, souvent empruntée par les entreprises dont les métiers sont moins homogènes, passe par des organisations matricielles croisant secteurs verticaux et fonctions horizontales. Dans de telles configurations, les directions fonctionnelles peuvent être amenées à jouer un rôle important, comme c'est le cas chez Nokia avec les fonctions en charge des clients et des marchés, ou de la technologie. Les patrons de business units prennent alors conscience qu'ils sont dépendants de la contribution des fonctions supports, et cette situation génère des flux d'idées riches entre les deux groupes.Une troisème approche, enfin, consiste à mettre en valeur, dans des entreprises de type conglomérat, un business model commun, comme c'est par exemple le cas chez EasyGroup spécialisé dans la fourniture à bas coûts de produits temporaires (vols aériens, croisières martimes, réservation d'hôtels, location de voitures, etc). Reflétant cette organisation, la salle des comités de direction y est d'ailleurs formée d'une vaste pièce ronde : tout autour de la salle siègent les principaux dirigeants et leurs équipes, au centre se trouve l'équipe du président. La revue des activités y implique la participation de l'ensemble des équipes. Elle est enrichie de brain-storming informels.Ces trois approches, sans être exclusives, sont les plus répandues. Elles conduisent aussi à donner une complète responsabilité au niveau groupe aux dirigeants d'unités prenant en charge une fonction corporate. Elles peuvent aussi amener l'organisation à redistribuer le pouvoir pour donner le signal des nouvelles logiques à l'oeuvre, en confiant par exemple une importante responsabilité corporate au patron d'une petite unité.Mais, une fois ces fondamentaux en place, comment faire vivre le système et s'assurer en particulier que les membres de l'équipe travaillent effectivement mieux ensemble ?
alfaV12http://www.alfavendee.com/about.htmlAlfa GT Nokia .. si, si !!tag:www.alfavendee.com,2006-11-22:10812622006-11-22T09:25:00+01:002006-11-22T09:25:00+01:00" Nuevo Alfa GT Nokia Series ", c'est la nouvelle Alfa GT série limitée Nokia...
"<strong>Nuevo Alfa GT Nokia Series</strong>", c'est la nouvelle Alfa GT série limitée Nokia .. <a href="http://www.alfavendee.com/images/medium_nokia2.JPG" target="_blank"><img src="http://www.alfavendee.com/images/thumb_nokia2.JPG" alt="medium_nokia2.JPG" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" /></a> elle existe bien .. mais <strong>seulement en Espagne </strong>!! et semble être livrée avec un <strong>Nokia N70 </strong>.. <a href="http://www.alfavendee.com/images/medium_nokia.JPG" target="_blank"><img src="http://www.alfavendee.com/images/thumb_nokia.JPG" alt="medium_nokia.JPG" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" /></a>A voir directement sur le site : <a href="http://www.alfaromeo.es/main.php" target="_blank">http://www.alfaromeo.es/main.php</a>