Last posts on sensible2024-03-29T06:33:22+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/sensible/atom.xmlhommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlLa gauche doit-elle être plus sensible ?tag:leshommeslibres.blogspirit.com,2014-10-01:32992512014-10-01T12:45:41+02:002014-10-01T12:45:41+02:00 Etre attentif La révolution capitaliste, l’irruption de la...
<p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/02/801583513.jpg" target="_blank"><img id="media-178815" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/156569326.jpg" alt="yves citton,écologie de l'attention,gauche,sensible,affect,empathie,individualité" width="274" height="402" /></a>Etre attentif</span></strong><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">La révolution capitaliste, l’irruption de la publicité, le monde numérique, ont multiplié les objets d’attention, ce qui conduit à un état de distraction et de stress, avec inhibition du choix entre deux choses. Le comportement consumériste, anxieux, voire exalté, se développe alors avec une tendance à suivre les consignes: mode, politique, etc.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://rue89.nouvelobs.com/2014/09/21/gauche-doit-redevenir-sensible-attentionnee-254972" target="_blank"><span style="text-decoration: underline; color: #800000;">Yves Citton propose de remplacer</span></a> «l’économie de l’attention» par une «écologie de l’attention».</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">«<span style="color: #000080;">C’est d’abord pour l’aborder de manière plus englobante. L’écologie, c’est une affaire d’écosystèmes, d’inscription de l’être dans un collectif et c’est un moyen différent d’articuler la relation entre les êtres. L’économie qui domine aujourd’hui est basée sur les préférences individuelles. Si on dit « économie de l’attention », on ne s’intéresse donc qu’à l’individu, et à ce qu’il peut faire tout seul, à la manière dont tout seul il répartir son temps : moi qui lis ce livre, et qui pendant que je lis ce livre, ne lis pas tel autre livre. Pourquoi pas ?</span></span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><span style="color: #000080;">Mais le choix que je fais d’accorder mon attention à tel ou tel objet ne me semble compréhensible que si on l’inscrit dans un environnement, dans un écosystème. Ce qui conditionne mon choix de me plonger dans cet objet – et ce qui conditionne ma relation avec l’objet –, ce sont des phénomènes environnementaux, qui relèvent, par exemple, de l’environnement médiatique.</span>»</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Souvent, il est vrai, un événement extérieur appelle à porter son attention sur un sujet. L’environnement social et l’actualité du monde modèlent en partie nos intérêts. </span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Toutefois on ne peut écarter le fait qu’une idée personnelle, une intuition, un besoin individuel, génèrent une dynamique personnelle et aboutissent à remodeler l’environnement social. Nombre d’innovations technologiques ou de créations artistiques ne sont pas issues directement d’une prise d’information sur l’environnement mais d’un mouvement intérieur. Cette dynamique personnelle est susceptible d’influer sur l’environnement et de le modifier ou de le compléter.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">L’idée donc de faire dépendre notre attention d’un contexte principalement, tend à inscrire le collectif comme dominant sur l’individuel. Or toute l’évolution va au contraire vers cet individuel: libre consentement, mariage pour tous, contractualisation des relations, etc. Le collectif ne devient, peu à peu, que l’expression unique et temporaire d’une somme d’individus. Vouloir réinscrire l’individuel dans le collectif et donner la prévalence à celui-ci c’est faire fi du basculement qui s’est opéré vers l'individu depuis au moins 2’000 ans et qui s’est accéléré ces derniers siècles. </span><br /><br /><br /><strong><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/01/2104356993.jpg" target="_blank"><img id="media-178816" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/2124765148.jpg" alt="yves citton,écologie de l'attention,gauche,sensible,affect,empathie,individualité" /></a>Etre sensible</span></strong><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">L’identité de la gauche a longtemps été le collectivisme, dans la lutte des classes par exemple. Elle a étrangement abouti à la sacralisation de l’individu, en particulier dans les moeurs. Il en résulte une contradiction majeure que la gauche ne sait pas synthétiser: privilégier le choix individuel à tendance au-générée, ou la dépendance à l’environnement social. La tentation est grande de reconstruire une nouvelle collectivisation, avec d'autres mots, plus à la mode comme <em>écologie</em>. La droite n'inscrit pas son volet social et son respect de l'individu dans une théorie mais dans un pragmatisme non affectif. La gauche voudrait se démarquer de la droite, trouver une nouvelle aimantation sur la population. D'où cette tentation d'un retour aux fondamentaux: le collectivisme et le désir d'intrusion dans la conscience des besoins. Imaginez un politicien qui dis: <em>Je suis attentif à vous et en empathie!</em> Quoi de mieux pour séduire?</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Yves Citton, auteur de «Ecologie de l’attention», relie alors attention et sensibilité.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">«<span style="color: #000080;">L’attention, c’est aussi « être attentionné ». Etre attentionné envers quelqu’un, c’est être attentif à ses besoins, c’est cultiver le rapport qu’on a avec cette personne ou ce collectif. (...) C’est peut-être un peu simpliste d’expliquer le destin de la gauche à partir de la question de l’attention, mais une des tares de l’organisation de la gauche, ça a été une sorte de radicalisme qui impliquait un manque de sensibilité aux sensibilités d’autrui. C’est aussi politique de se dire que nous à gauche, nous avons un travail à faire pour mieux faire tenir ensemble le petit groupe, dans le but évidemment de gagner en pouvoir collectif. La gauche doit redevenir sensible et attentionnée.</span>»</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Le terme <em>sensible</em> recouvre différentes significations, avec une base: être capable d’empathie et d’attention aux besoins de l’autre. En soi c’est un beau programme. Je dirais même que c’est la base de la vie en société et dans la nature. Etre attentif est indispensable pour s’adapter au monde. Etre sensible, capable de percevoir et de ressentir, est une condition de l’attention.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Mais cela concerne-t-il uniquement la gauche? Certes non. Tous les humains, toutes les tendances politiques, sont supposées perçevoir des besoins et les traduire en programme ou en objectifs d’action.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Evidemment, les mots <em>«sensible et attentionné»</em> résonnent avec <em>«affectivité et bienveillance»</em>. La gauche a longtemps revendiqué le monopole du coeur. J’y ai cru moi-même. C’est une erreur: elle a mélangé ambition politique et sentiments. Elle confond plusieurs choses: les besoins, le coeur, les sentiments, le bien, la famille, le maternage. Présenté crûment, être <em>«sensible et attentionné»</em> est une forme de maternage. La gauche se veut maternante. On voit d’ailleurs avec François Hollande qu’elle a abandonné l’homme, le père, le masculin <em>(que l’on peut aujourd'hui humilier publiquement sans qu'il réagisse)</em>, au profit de femmes toutes-puissantes <em>(Trierweiler, Royal, Lauvergeon, etc)</em>.</span><br /><br /><br /><strong><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/01/778150796.jpg" target="_blank"><img id="media-178817" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/02/226434948.jpg" alt="yves citton,écologie de l'attention,gauche,sensible,affect,empathie,individualité" /></a>Maternage d’Etat</span></strong><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Mais la politique doit-elle être maternante? Non. Elle doit transcrire des aspirations en donnant les moyens de les réaliser. Un politicien n’a pas à être en empathie, à être le papa ou la maman, ou pire: le thérapeute des populations qu’il représente.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Yves Citton semble vouloir renouer avec cette vieille quête de la gauche: endosser une identité toute proche de l’affect. Ce qui ne peut qu’entretenir une confusion malsaine. Une famille politique n’est pas une famille d’amour et d’affect. L’Etat n’a pas à materner les populations - ce qui serait une forme de dictature douce, mais une dictature quand-même. Serait-ce que, ayant contribué à démanteler la famille de sang et d’affect, ayant soutenu tout ce qui va dans le sens d’une liberté individuelle illimitée, la gauche voudrait combler le manque de proximité réelle, affective, sociale, conséquence de ce démantèlement? Yves Citton ne fait que suivre ici la philosophie du <em>Care</em> chère à Martine Aubry, où le soin mutuel prime sur l’initiative individuelle.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Ce n’est pas le rôle de l’Etat de combler l'affect. Ce sont les citoyens eux-mêmes, les familles, les groupes divers, qui doivent s'y atteler et être en empathie. Le politique, lui, garde une distance. Trop d’attention et de sensibilité aux besoins - donc à tous les besoins - emprisonne l’élu et limite l’autogestion individuelle du citoyen. Trop de proximité crée une confusion et une dépendance.</span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"> La démarcation droite-gauche se clarifie cependant: plus d'autonomie individuelle à droite, plus de dépendance aux autres et d'emprise de l'Etat </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">à gauche</span>.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">A mon avis, aucune structure politique, aucune institution, ne doit remplacer les liens naturels entre les individus et leur propre capacité à exprimer leurs besoins. Un parti n'a pas à s'immiscer dans la conscience des besoins, il ne fait que récolter leur expression par un groupe et leur traduction en propositions politiques. Dans la quête identitaire de la gauche, la tentative de réhabiliter le monopole du coeur est une impasse, et une manière de vouloir fusionner avec le peuple. C’est à terme incompatible avec la liberté et la responsabilité individuelle.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">La société peut et doit soutenir ceux qui en ont vraiment besoin. Mais nous n’avons pas besoin d’une société globalement maternante, donc de politiciens trop proches de l’affect. A moins d’en trouver qui savent distinguer empathie et sentiment, qui savent écouter sans prendre parti affectivement. Mais, même dans ce cas, la confusion reste car le citoyen, lui, prendra des vessies pour des lanternes, et l’attention sensible pour des fiançailles.</span><br /><br /><br /><br /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Lu sur Rue89 cette recherche d’identité de la gauche. Professeur de littérature, Yves Citton s’attelle à décortiquer l’économie de l’attention, soit le fait de capter l’attention de la population pour la transférer vers, par exemple, un produit à acheter.</span></p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlBach to musictag:leshommeslibres.blogspirit.com,2010-07-31:32972822010-07-31T19:46:01+02:002010-07-31T19:46:01+02:00 J’ai toujours été plus littéraire que matheux. Les matheux...
<p style="text-align: justify;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/02/503255621.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/118543444.jpg" id="media-61814" alt="bach_facsimilie_400.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-61814" /></a>J’ai toujours été plus littéraire que matheux. Les matheux m’intriguaient: je me demandais où ils mettaient leur feeling. En fait je n’en sait rien. Et pour avoir en partie donné dans le feeling j’en connais aussi les pièges. Le sensible met en contact des mondes parfois si différents, avec le sentiment d’une possible communion. Il peut s’y fonder un langage commun. Toutefois la subjectivité du sensible fait qu’en dehors des grandes extases on ne peut être sûr de rien. Et ce monde-là s’use à brûler ses yeux dans la quête de la lumière, d'où sa propension à devoir se renouveler pour se sentir régénéré. Et se renouveler c'est changer: changer de voiture, d'amour, de décor. Le sensible est le moteur d'un monde où la consommation tient une grande place. La richesse et l'épuisement s'y côtoient en permanence. Je ne suis pas certain qu'il y ait évolution dans ce monde-là, mais seulement remplacement: on remplace une chose par une autre afin de provoquer la bouffée régénérante.<br /> <br /> Il y a dans la rigueur logique quelque chose de fascinant, une clarté dans le déroulement de la pensée. On sait où on met les pieds. Une chose est une chose, pas une autre. C’est le monde des faits. Il ne devrait pas y avoir de malentendu. Tout a une place. Mais j’en vois aussi les limites: l’enfermement du monde dans un concept défini, donc fini. La tentation logique, débranchée du sensible, finit par être totalitaire. Car la logique tend à tout expliquer. Le «Je ne sais pas», ou la contradiction, n’y ont guère leur place. Toutefois ce monde-là ne s'use pas. C'est mon impression.<br /> <br /> Romantique, je vient du sensible. Une part du monde m'était donc inconnue, comme absente. Pourtant le monde est tel que tout y a sa place. La seule limitation ou absence vient de l’esprit de celui qui regarde le monde et qui ne sait encore en voir la globalité. Cette réflexion m'accompagne au fur et à mesure de mon évolution. J'ai en général privilégié le sensible, que je connaissais mieux, plus que le logique. Mais j’ai appris à mettre de la rigueur dans le sensible. Démarche passionnante et nécessaire, vitale pour mon sentiment de cohérence intérieure. J’avais déjà admis que je suis contradictoire, et que je n’a pas à choisir - sauf exception - entre deux termes d’une contradiction mais seulement à les considérer et à les laisser faire leur chemin en moi, dans leur silence prodigue. J’avais aussi perçu le monde comme un hologramme, et comme une représentation de l’un dans le multiple. «N’être qu’un, oui, mais lequel?» disait Alphonse Allais?<br /> <br /> Comment donc associer la rigueur de Bach et le sensible? J’ai commencé à entrouvrir une porte dans ce sens. En me faisant expliquer Bach. Il y a dans ses mathématiques musicales une autre forme d’extase que dans le sensible et elle n’est pas moins belle et forte.<br /> <br /> La musique est pour moi un espace d’exploration des émotions et de communication, de communion. Bach compose de la musique. Il communique donc bien quelque chose. Voici les premières pistes que j’emprunte pour comprendre la musique de Bach. Et depuis cela je ne l’écoute plus de la même façon.</p> <p style="text-align: justify;">La première vidéo est pédagogique. Elle explique l’un des canons qui figure dans «L’offrande musicale». L’expression elle-même fait déjà rêver: "L'offrande musicale"! La deuxième illustre le même thème un peu différemment.<br /> <br /> <br /> <object height="385" width="480" data="http://www.youtube.com/v/4VFJdMRg_Yo&hl=fr_FR&fs=1" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="wmode" value="transparent" /> <param name="allowFullScreen" value="true" /> <param name="allowscriptaccess" value="always" /> <param name="src" value="http://www.youtube.com/v/4VFJdMRg_Yo&hl=fr_FR&fs=1" /> <param name="allowfullscreen" value="true" /></object><br /> <br /> <br /> <object height="385" width="480" data="http://www.youtube.com/v/36ykl2tJwZM&hl=fr_FR&fs=1" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="wmode" value="transparent" /> <param name="allowFullScreen" value="true" /> <param name="allowscriptaccess" value="always" /> <param name="src" value="http://www.youtube.com/v/36ykl2tJwZM&hl=fr_FR&fs=1" /> <param name="allowfullscreen" value="true" /></object></p><p style="text-align: justify;">Comment découvrir Bach sans ce sentiment d’une musique très calculée, cérébrale? Je n’ai jamais apprécié Jean-Sébastien Bach à cause de cela. Je n’y sentais pas d’émotion, comme j'en ressentais dans Debussy, Ravel ou Chopin.</p>
Frédéric Jouethttp://atelierduregard.blogspirit.com/about.htmlLe partage du sensible_Jacques Rancière_La Fabrique Editions_2000_tag:atelierduregard.blogspirit.com,2010-02-03:18893612010-02-03T14:14:17+01:002010-02-03T14:14:17+01:00 "D'autre part, il faut aussi penser la façon dont l'art des artistes s'est...
<p style="text-align: justify;">"D'autre part, il faut aussi penser la façon dont l'art des artistes s'est trouvé défini à partir d'une double promotion du travail : la promotion économique du travail comme nom de l'activité humaine fondamentale, mais aussi les luttes des prolétaires, pour sortir le travail de sa nuit, de son exclusion de la visibilité et de la parole communes."</p>
Jipeshttp://jipesmood.blogspirit.com/about.htmlYuLeS de la pop sensible en concert à Paristag:jipesmood.blogspirit.com,2008-04-05:15228502008-04-05T21:49:29+02:002008-04-05T21:49:29+02:00 Hier soir c’etait sortie concert dans un bar de Colmar pour assister à la...
<div align="justify"><a href="http://jipesmood.blogspirit.com/media/01/01/8f84afd2f874ba0d95b9d7e2b14f8226.jpg" target="_blank"><img src="http://jipesmood.blogspirit.com/media/01/01/1f5224dbd7cc535c1cdebf48820f715a.jpg" id="media-168121" title="YuLeS concert" alt="8f84afd2f874ba0d95b9d7e2b14f8226.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt; float: left" /></a>Hier soir c’etait sortie concert dans un bar de Colmar pour assister à la répétition générale du set de <b>YuLeS</b>. Ce groupe de Haute Saône délivre une pop sensible et acoustique dont les influences lorgnent vers Simon & Garfunkel, la pop anglaise des Beatles voire même du folk du groupe América (rappellez vous “A horse with no name”). Guillaume et Bertrand, deux frères qui ont progressé petit à petit depuis un combo blues (dans les années 80) puis au sein des <b>Nain’s porte quo</b><b>i</b> groupe satyrique et jovial, pour maturer vers <b>YuLeS</b>, groupe pop intelligent et aux superbes climats acoustiques.<br /></div> <br /> <div align="center">Je vous intègre le clip de leur single “Desperation Land”</div> <div align="center"> </div> <div style="text-align: center"><object classid="clsid:D27CDB6E-AE6D-11cf-96B8-444553540000" codebase="http://download.macromedia.com/pub/shockwave/cabs/flash/swflash.cab#version=6,0,29,0" width="425" height="355"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/9xx_ynojgyY&hl=en" /> <param name="quality" value="high" /> <param name="menu" value="false" /> <param name="wmode" value="" /> <embed src="http://www.youtube.com/v/9xx_ynojgyY&hl=en" wmode="" quality="high" menu="false" pluginspage="http://www.macromedia.com/go/getflashplayer" type="application/x-shockwave-flash" width="425" height="355" /></object></div> <p> </p> <p align="justify"> </p> <a href="http://jipesmood.blogspirit.com/media/01/00/e769ac9cb2e4dc5a36ddd10df237b717.jpg" target="_blank"><br /></a><br /> <div align="justify"><b>Guillaume</b> auteur compositeur des chansons s’exprime dans l’idiome de Shakespeare avec talent et un accent impeccable. il joue<a href="http://jipesmood.blogspirit.com/media/01/01/d57a0d11f77eeedf1dab743a2c511106.jpg" target="_blank"><img src="http://jipesmood.blogspirit.com/media/01/01/8f3ddc0fc83f46f3b24aa149622ebaa8.jpg" id="media-168117" title="bertrand YuLeS basse" alt="d57a0d11f77eeedf1dab743a2c511106.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.2em 0pt 1.4em 0.7em; float: right" /></a> alternativement une superbe guitare Martin ou s'installe pour certains titres au clavier. <b>Bertrand</b> quand à lui tient la basse tsur une superbe Telecaster bass. Le goupe se complète d’un nouveau membre <b>Julien</b> au jeu de batterie très dynamique et tout en nuances (il a notamment participé à l’aventure d’Aldebert). Les chansons sont empreintes de sensiblités, parfois douces amères avec des arrangements mettant en valeur la voix et les choeurs.<br /></div> <div align="justify"><br /> <b>Guillaume</b> réalise les choeurs en live gràce à un looper RC-20. Après plusieurs EP ils viennent de concrétiser leur belle progression avec leur premier album “<b>The Release</b>“. Fort du succès de 4 soirs en première partie d’I<u>lene Barnes</u> à l’Européen mi-mars, <b>YuLeS</b> sera en concert au Nouveau Casino le Vendredi 11 Avril 2008 (109 rue Oberkampf 75011 Paris) et grâce à une promotion vous pourrez bénéficier de deux places pour une achetée, pour bénéficier de cette promotion <a href="http://www.billetreduc.com/liste.htm?ar=yules&type=3" title="Promotion sur les places de concert">suivez simplement le lien !</a></div> <div align="justify"> </div> <div align="justify"><a href="http://jipesmood.blogspirit.com/media/02/02/df6eb474b219742733a24fca70b87157.jpg" target="_blank"><img src="http://jipesmood.blogspirit.com/media/02/02/64d630e02f6f2fae4e4f3606d62757d7.jpg" id="media-168119" title="the release CD yules" alt="df6eb474b219742733a24fca70b87157.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt; float: left" /></a>Pour vous faire une idée supplémentaire je vous joins également un mp3 issu de l’album <b>Over in América</b> que j’aime beaucoup<br /> <a href="http://boomp3.com/m/435746e335c9/over-in-america" onclick="javascript:pageTracker._trackPageview('/outgoing/boomp3.com/m/435746e335c9/over-in-america');">boomp3.com</a> <p>Pour écouter d’autres extraits rendez vous sur <a href="http://www.myspace.com/yulesband" onclick="javascript:pageTracker._trackPageview('/outgoing/www.myspace.com/yulesband');" title="Myspace YuLeS">leur Myspace</a> ou <a href="http://www.yuleslesite.com/" onclick="javascript:pageTracker._trackPageview('/outgoing/www.yuleslesite.com/');" title="Le site de YuLEs">leur site web</a>.</p> Si vous êtes sur Paris allez les soutenir je vous assure quevous ne regretterez pas le déplacement !<br /></div>