Last posts on rentabilité2024-03-28T20:24:04+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/rentabilité/atom.xmlpjourdanhttp://leconsobattant.blogspirit.com/about.html[CONSO LAB] [DISTRIBUTION] | #Bonduelle, plus #américain que français, vise une hausse de sa #rentabilité de 25% | @Les tag:leconsobattant.blogspirit.com,2017-10-10:30971722017-10-10T11:00:00+02:002017-10-10T11:00:00+02:00 DE MARIE-JOSEE COUGARD | LES ECHOS | http://bit.ly/2xgg2PI...
<p><img src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/02/00/1650580989.png" id="media-974137" alt="" /></p><p>DE MARIE-JOSEE COUGARD | LES ECHOS | <a href="http://bit.ly/2xgg2PI" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://bit.ly/2xgg2PI</a></p><p style="text-align: center;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>#Bonduelle, plus #américain que français, vise une hausse de sa #rentabilité de 25%</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Le groupe Bonduelle a réalisé cette année la plus grosse acquisition de son histoire avec Ready Pac Foods. </strong><strong>Le producteur de légumes a passé le cap des 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires sur l’exercice 2016-2017. Les Etats-Unis représentent désormais deux fois l’activité française.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>La boîte de petit pois symbolisera encore longtemps Bonduelle. Pourtant la conserve est devenue minoritaire dans l'activité du groupe de Villeneuve d'Ascq (Nord) depuis qu'il a acquis en mars l'américain Ready Pac Foods, le roi de la salade en portion pour 409 millions de dollars.</strong> « Une étape clé dans l'ambition stratégique [de son plan] VegeGo! 2025 d'être le référent mondial qui assure le bien-vivre par l'alimentation végétale», a estimé Christophe Bonduelle, le patron du groupe en présentant les résultats de l'exercice 2016-2017, clos le 30 juin. Le chiffre d'affaires a progressé de 16,3%, à 2,28 milliards. Le résultat opérationnel a augmenté de 4,6% à 103,5 millions d'euros et le bénéfice de 11,4% à 59,8 millions d'euros.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Christophe Bonduelle, le patron du groupe s'est félicité une nouvelle fois d'avoir fait «le bon choix » en réalisant l'acquisition de RPF. </strong>« Nous n'avons pas trouvé de cadavre dans les placards », a t-il lancé et qui plus est « la totalité des cadres de l'entreprise américaine a souhaité poursuivre avec Bonduelle ». </p><p style="text-align: justify;"><strong>RPF et Bonduelle sont «très complémentaires : ils sont très forts aux Etats-Unis, nous le sommes au Canada. </strong>Nous produisons des marques de distributeurs (MDD). Ils produisent des marques nationales. Ils sont forts dans le commerce de détail. Nous le sommes dans la restauration hors domicile », commente Christophe Bonduelle. </p><p style="text-align: center;"><a href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/02/3706693965.png" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-974141" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/02/2086066945.png" alt="Bonduelle, américaine, rentabilité" /></a></p><p style="text-align: justify;"><strong>Les produits frais pèsent désormais plus lourd (42%) dans le chiffre d'affaires que la conserve (38%)</strong> . Une révolution culturelle, qui se double d'un autre gros changement. La France ne compte plus que pour 21% de l'activité du groupe tricolore, tandis que l'Amérique du nord en totalise 45%, comme l'Europe. </p><p style="text-align: justify;"><strong>Cela étant, Bonduelle compte tout autant sur ses activités historiques que sur la contribution en année pleine de Ready Pac Foods,pour dégager une croissance de sa rentabilité opérationnelle courante de 25% sur l'exercice en cours.</strong> Des perspectives qui ne se sont pas, loin s'en faut, traduites dans le cours de bourse. Ce dernier a clôturé en baisse de 6% à la Bourse de Paris, réflétant notamment des prises de bénéfices après une forte hausse ces six derniers mois. </p><p> </p>
maplanetehttp://maplanetea.blogspirit.com/about.htmlL'agriculture biologique sans pesticides, rentable et productive, peut nourrir l'humanitétag:maplanetea.blogspirit.com,2015-01-30:33159562015-01-30T10:30:00+01:002015-01-30T10:30:00+01:00 Pour Claire Kremen, professeur de sciences de l'environnement et...
<p style="text-align: center;"><img id="media-283476" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/01/1087766643.jpg" alt="agricutlure biologique,études,inra,rentabilité,productivité,nourriture,faim dans le monde,gaspillage,conventionnelle" /></p><p style="text-align: center;">Pour Claire Kremen, professeur de sciences de l'environnement et codirectrice du Berkeley Food Institute de l'Université de Californie, "augmenter la part de l'agriculture faisant appel à des pratiques durables n'est pas un choix, mais une nécessité". Photo</p><p>Alors que la France ne parvient pas à réduire l'utilisation des <strong>produits phytosanitaires</strong> en dépit du<strong> <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/plan+ecophyto" target="_blank">plan écophyto </a></strong>issu du Grenelle de l'environnement de 2007, ce vendredi <strong>Stéphane Le Foll,</strong> ministre de l'agriculture, présente son<strong> plan anti-pesticides. </strong>Objectif : encourager l'utilisation de produits bio et d'agro-équipements, comme les "pulvérisations de précisions". Au lieu d'épiloguer sur un nième plan qui n'aura pas plus de succès que le précédent sans réelle volonté de changement, c'est l'occasion de <strong>faire le point sur les avancées de l'agriculture biologique</strong> et de tordre le cou à deux très mauvaises idées reçues.</p><p><strong>100% bio, 100% rentable</strong></p><p><img id="media-283479" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/02/3361163048.jpg" alt="agricutlure biologique,études,inra,rentabilité,productivité,nourriture,faim dans le monde,gaspillage,conventionnelle" />L'agriculture bio, c'est bien mais <strong>pour les agriculteurs, ce n'est pas rentable.</strong> Première idée fausse, comme en témoigne les résultats d'une<a href="http://presse.inra.fr/Ressources/Communiques-de-presse/10-ans-d-experimentation-de-systemes-agricoles-autonomes-et-bio" target="_blank"> <strong>étude de l'Inra conduite sur 10 ans</strong></a><strong>,</strong> à Mirecourt (Vosges) sur deux systèmes de <strong>polyculture-élevage bovins laitiers</strong> conduits dans une logique d’autonomie en agriculture biologique. Les résultats de cette expérimentation ont été dévoilés <strong>les 18, 19 et 20 novembre 2014</strong> par les scientifiques, lors de<a href="https://inra-dam-front-resources-cdn.brainsonic.com/ressources/afile/262587-aeaa3-resource-programme-journees-portes-ouvertes-mirecourt.html" target="_blank"><strong> journées portes ouvertes</strong> </a>événement rassemblant des acteurs du monde agricole. Et pour les chercheurs de l'Inra, pas de doute : <strong>il est possible de conduire des systèmes agricoles autonomes ayant très peu recours aux intrants et préservant la biodiversité, tout en maintenant une rentabilité économique élevée</strong>. Mieux encore : la rentabilité économique des systèmes est plus élevée que lors des années où le domaine était en agriculture conventionnelle ! <strong>Le produit brut a augmenté de +25% sur 10 ans</strong>, et les charges opérationnelles ont été divisées par deux, notamment grâce à la <strong>réduction des achats d’intrants</strong>. Alors, pas rentable le bio ?</p><p><strong>L'agriculture bio peut nourrir la planète</strong></p><p><img id="media-283477" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/01/3020842784.jpg" alt="agricutlure biologique,études,inra,rentabilité,productivité,nourriture,faim dans le monde,gaspillage,conventionnelle" />Sans intrants chimiques, engrais, pesticides et autres produits phytosanitaires, l'agriculture biologique, c'est bien pour le respect de l'environnement et la préservation de la biodiversité, mais<strong> elle ne pourra jamais nourrir la planète.</strong> Deuxième idée fausse à combattre. Les détracteurs du bio lui reprochent des rendements qui seraient très inférieurs à ceux de l'agriculture conventionnelle. <strong><a href="http://www.merid.org/fr-FR/Content/News_Services/Food_Security_and_AgBiotech_News/Articles/2014/Dec/10/organic.aspx">Les résultats d'une "méta-étude" américaine</a> </strong>dirigée par<a href="http://www.macfound.org/fellows/830/" target="_blank"><strong> Claire Kremen,</strong></a> professeur de sciences de l'environnement et codirectrice du<strong><a href="http://food.berkeley.edu/" target="_blank"> Berkeley Food Institute de l'Université de Californie</a>,</strong> publiée le 9 décembre dernier, vient battre en brèche cet argument.</p><p><img id="media-283478" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/02/4228355580.jpg" alt="agricutlure biologique,études,inra,rentabilité,productivité,nourriture,faim dans le monde,gaspillage,conventionnelle" />Selon les chercheurs qui ont dépouillé<strong> 115 études de 38 pays</strong>, portant sur <strong>52 espèces végétales</strong> et couvrant <strong>trente-cinq années</strong>, il y a bien un déficit de productivité des méthodes biologiques par rapport à l'agriculture intensive, ou industrielle. Mais il est<strong> moins important</strong> que ne l'affirmaient de précédents travaux. Et, surtout, les résultats montrent que <strong>la recherche agronomique et la diversification des cultures biologiques peut améliorer les rendements pour réduire cet écart, voir parvenir à l'éliminer</strong> pour certaines cultures ou régions. Les auteurs de l'étude rappellent au passage que, pour nourrir l'humanité à sa faim,<strong> il ne suffit pas simplement d'accroître la production. </strong> Il faut également améliorer l'accès des populations à la nourriture, et <strong>mettre fin au gaspillage alimentaire</strong> qui représente près du tiers de la production mondiale de nourriture.</p><p><strong>L'agriculture durable n'est pas un choix mais une nécessité</strong></p><p>Pour ceux qui doutent encore des performances de l'agriculture bio, réservons le mot de la fin à<a href="http://en.wikipedia.org/wiki/Claire_Kremen" target="_blank"><strong> Claire Kremen :</strong> </a> "augmenter la part de l'agriculture faisant appel à des pratiques durables n'est pas un choix, mais une nécessité : <strong>nous ne pouvons tout simplement pas continuer à produire de la nourriture sans prendre soin des sols, de l'eau et de la biodiversité."</strong> Telle est la conclusion sans équivoque donnée par la chercheuse à la présentation des résultats de l'étude.<em> <br /></em></p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon<em><br /></em></strong></a></p><p><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>EN CHIFFRES </strong></p><ul><li>Fin 2011, l'agriculture bio n'occupait que <strong>37,2 millions d'hectares</strong> dans le monde, soit seulement 0,9 % de la surface agricole totale, même si, entre 2000 et 2010, son emprise territoriale a été multipliée par 2,4. Chaque année, <strong>1,3 milliard de tonnes de nourriture sont gaspillées.</strong></li></ul><p><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>LIRE AUSSI</strong></p><ul><li><strong>Les cultures biologiques peuvent-elles concurrencer l’agriculture industrielle ? Résumé de l'étude de l'Université de Californie, Berkeley (9 décembre 2014) : <a href="http://www.merid.org/fr-FR/Content/News_Services/Food_Security_and_AgBiotech_News/Articles/2014/Dec/10/organic.aspx" target="_blank">cliquer ICI </a></strong></li><li><strong>Les articles de Ma planète sur les pesticides: <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/pesticides" target="_blank">cliquer ICI</a></strong></li><li><strong>Les articles de Ma planète sur l'agriculture biologique : <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/agriculture+biologique" target="_self">cliquer ICI</a></strong></li></ul>
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlValoriser l'Immatériel : le Capital Système d'Informationtag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2014-09-30:30172292014-09-30T05:50:00+02:002014-09-30T05:50:00+02:00 Le Système d'Information dans les entreprises représente l'ossature et le...
<p><strong>Le Système d'Information dans les entreprises représente l'ossature et le fil conducteur de tous les process internes</strong> : à défaut d'en être à l'origine, il doit plutôt en être le reflet, la conséquence directe des choix de fonctionnement déterminés par le ou les dirigeants (voire comité de direction lorsqu'il s'agit de mettre en place un ERP).</p><p>Robert Solow, prix Nobel de l'économie en 1987, fit remarquer que l'introduction massive des ordinateurs dans l'Economie ne se traduisait pas par une augmentation statistique de la productivité contrairement aux attentes des dirigeants (cf paradoxe de Solow). Nous ne pouvons néanmoins pas nier que les systèmes informatiques ont entraîné des gains majeurs pour les entreprises, tant en terme de temps qu'en terme de qualité, d'efficience et donc, de rentabilité!</p><p>Ainsi, <strong>l'informatique ne doit pas être considérée comme un centre de coûts mais comme un élément essentiel à la performance de l'entreprise</strong> : il en est à la fois le support de stockage et le vecteur de la connaissance. Sa couverture fonctionnelle, sa fiabilité, son ergonomie et son taux de service doivent en être mesurables, mesurés et connus, tout comme sa participation au processus de création de valeur et son impact sur les autres valeurs immatérielles.</p><p>Savoir globalement bien évaluer les capacités et incidences du système informatique permet d'en évaluer la valeur globale comme un actif important. <strong>Cette valorisation doit être orchestrée par le DSI et s'effectue de concert avec la direction générale et les directions métiers</strong>.</p><p><strong>La valorisation du Capital Système d'Information permettra d'élaborer ensuite une vraie stratégie d'équipement en apportant une orientation en la matière plus pertinente et plus rentable pour l'entreprise à moyen terme</strong>.</p><p>Toute exploitation a besoin d'une réelle gouvernance de son système informatique!</p>
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlValoriser l'Immatérieltag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2013-12-12:29843902013-12-12T19:22:00+01:002013-12-12T19:22:00+01:00 Dans les circonstances actuelles, le futur n'est plus que très rarement le...
<p>Dans les circonstances actuelles, le futur n'est plus que très rarement le prolongement linéaire du passé : le futur doit s'imaginer, les entreprises doivent s'adapter et surtout se projeter. Ce sont alors essentiellement <strong>les valeurs immatérielles de l'entreprise qui donneront la meilleure perspective sur leur devenir</strong>.</p><p>Il devient donc urgent et important de <strong>considérer la part de l'immatériel dans la valorisation des entreprises</strong> ou des projets.</p><p><strong>Les normes IAS - IFRS ont amorcé ce mouvement</strong> en reconnaissant un nombre important d'actifs incorporels et la nécessité de les mesurer précisément.</p><p>Par ailleurs, l'évolution constatée sur les grandes places financières nous conforte dans cette tendance et il sera désormais très rapidement nécessaire, pour chaque entreprise, de <strong>recenser les meilleures pratiques pour appréhender leur capital immatériel</strong> et définir en regard les indicateurs de mesure adaptés et significatifs qui permettront de mieux les piloter.</p><p>"on ne gère bien que ce que l'on mesure bien"</p><p><strong>Nous consacrerons donc cet article à la définition des <span style="text-decoration: underline;">8 actifs immatériels principaux</span>, porteurs de valeur, qui existent dans les entreprises :</strong></p><p>- le <strong>capital client</strong>, clé dans l'entreprise, source de chiffre d'affaires et donc, de rentabilité</p><p>- le <strong>capital marque</strong> est certainement l'actif immatériel le plus connu et le plus évalué depuis toujours </p><p>- le <strong>capital technologique</strong>, qui confère l'avantage concurrentiel et différenciant à l'entreprise</p><p>- le <strong>capital fournisseurs et partenaires</strong> : la complexité croissante de chaque métier justifie la part croissante des activités que l'entreprise doit externaliser et ce capital devient aussi clé dans le niveau de marge brute dégagée par chaque produit</p><p>- le <strong>capital systèmes d'informations</strong>, très important notamment dans le processus de création de valeur</p><p>- le <strong>capital naturel, environnemental</strong> <strong>et sociétal</strong> des entreprises qui porte en lui leur dimension éthique et constitue la grande partie de leur valeur future car il induira leur capacité à rester pérennes</p><p><strong>- </strong>le<strong> capital organisationnel et humain</strong>, reflet de l'aptitude du management à mettre en oeuvre et à faire vivre les processus qui vont mobiliser les ressources </p><p><strong>- </strong>le<strong> capital actionnaires </strong>ou <strong>gouvernance</strong>, déterminant dans le devenir des entreprises en ceci qu'il peut favoriser la croissance à long terme par une vision adaptée et une capacité financière mobilisable à cet effet.</p><p>Nous consacrerons les prochains articles à détailler les critères de mesures possibles de ces valeurs immatérielles en les reprenant par groupes.</p><p>En cette fin d'exercice fiscal pour bon nombre d'entreprises, il est d'autant plus important de <span style="text-decoration: underline;"><strong>se poser les bonnes questions quant à l'évaluation de la capacité des organisations à dégager de la rentabilité sur le terme</strong></span>, à l'avenir, au-delà des résultats purement comptables qui sont transmis et doivent être considérés uniquement comme les indicateurs de mesure de la performance passée.</p>
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlPas de fatalité pour un modèle industriel européen !tag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2013-05-29:29624232013-05-29T16:31:06+02:002013-05-29T16:31:06+02:00 Christophe BURIN, qui a fondé EIP Network, a souhaité partager avec nous...
<p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY"><strong><span style="color: #0000ff;">Christophe BURIN, qui a fondé EIP Network, a souhaité partager avec nous sur ce blog cette petite réflexion optimiste à l'heure où l'on ne parle que de récession avérée dans certains de nos pays de l'ouest européen :</span></strong></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY"><strong><span style="color: #0000ff;">(je vous invite à visiter son site </span></strong><cite style="color: #009933; font-style: normal; font-family: arial, sans-serif; white-space: nowrap; font-size: 14px !important;"><span> www </span><strong><span>eip</span></strong><span> - </span><strong><span>réseau</span></strong><span> . fr</span></cite><span style="font-family: arial, sans-serif; font-size: small; line-height: 15px; white-space: nowrap;"><span><span style="color: #666666;"> </span><span style="color: #0000ff;"><strong>)</strong></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY">En déplacement professionnel sur la région lyonnaise il y a quelques jours, je suis tombé un peu par hasard sur l’éditorial du jour de Ph.Escande sur Radio-Classique<sup>(1)</sup> sur le <strong>modèle Zara</strong> … Un peu par hasard car m’étant levé de bon matin, je dois reconnaître que ma vivacité d’esprit n’était pas forcément à son maximum à ce moment là … Au delà de l’anecdote, le sujet a par contre immédiatement retenu toute mon attention. Car coïncidence du calendrier, j’avais eu quelques jours auparavant dans le cadre d’un accompagnement en cours sur un projet client une réunion de travail relative aux options possibles d’<strong>organisation industrielle</strong>. Organisation industrielle pouvant présenter, toute proportion gardée compte tenu de son secteur d’application et de son envergure, quelques similitudes avec le modèle Zara. Retour sur quelques <strong>idées-forces</strong> que je vous propose de partager dans un environnement économique européen au pessimisme ambiant plutôt enclin à la « déclinologie » ...</p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;"><strong>La réussite du modèle Zara</strong></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY">A la lumière des résultats obtenus, elle est incontestable : le groupe (Inditext) est au sommet et constitue un leader mondial du textile avec un effectif de plus 90 000 personnes, un portefeuille de 8 marques, et 5000 magasins répartis dans 80 pays.</p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY"><strong>Les micros-signaux</strong></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY">Mais au delà de ces chiffres-clés, l’analyse « entre les lignes » et la recherche des « micro-signaux » est tout aussi intéressante. J’en retiendrais pour ma part les suivants :</p><ul><li><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY">un management inspiré et efficace peut visiblement s’appuyer sur un <strong>leadership</strong> de discrétion, sans fioriture, et omniprésent à l’intérieur de l’entreprise. Tout en étant à l’origine autodidacte.</p></li><li><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY">il est heureusement encore toujours possible de construire un <strong>modèle économique</strong> « innovant », quoique à rebours de la pensée dominante (« Pas d’avenir pour le textile sans production en Asie ») en respectant les <strong>règles élémentaires du commerce</strong> : sens du client/consommateur<sup>2</sup>, ténacité et volonté d’aboutir, structure de coût légère<sup>3</sup>. Et innover peut se combiner avec business performant et rentable ...</p></li></ul><ul><li><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY">au delà de « mettre le client » au cœur de son dispositif opérationnel, Zara a poussé à l’optimum son organisation industrielle dans le but de mieux <strong>« servir le client »</strong>. « Mieux le servir », c’est intégrer au plus haut point dans les réflexions sur l’organisation de l’outil industriel ce fameux sens du client (ou sens du commerce) évoqué précédemment. Et « mieux le servir » pour Zara, c’est « coller à la mode du moment » en disposant des réactions, des goûts, des déceptions et des désirs de ses clients en quasi temps réel, pour mieux et très vite les «re-servir » (réassorts en 24h ou nouvelles collections en 2 à 4 semaines). Ceci grâce à son réseau de proximité (90 000 personnes), formidable levier au service de la gestion de cette information stratégique.</p></li><li><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY">enfin bien qu’implantée dans un pays en forte difficulté, au sein d’une Europe elle même en crise et que l’on qualifie régulièrement de « vieille et fatiguée », Zara arrive malgré tout à tirer <strong>l’essentiel de ses ventes</strong> d’un environnement qui est loin de lui être favorable. Tout en produisant majoritairement dans ce même environnement et en maîtrisant la logistique. Un paradoxe de plus ...</p></li></ul><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;"><strong>Un exemple à suivre pour l’existence d’un modèle industriel européen ?</strong></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY">On peut assurément répondre par l’affirmative. Le modèle Zara fait la démonstration que la mondialisation n’est pas une <strong>fatalité</strong> pour les délocalisations, et surtout qu’aucun modèle n’est la solution universelle. Et que la <strong>notion de service</strong>, si porteuse d’activités, peut être au cœur d’un modèle industrielle en tant que <strong>levier économique</strong>. L’Europe a donc bien un avenir dans l’industrie si elle la met au service de ses clients.</p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY">Auteur : Christophe Burin – EIP Network – « Stratégie & Ingénierie de Projets de Transformation (optimisation d’organisation, solutions de gestion CRM & ERP)</p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY">Website : <a href="http://www.eip-network.fr/">www.eip-network.fr</a> – <a href="https://twitter.com/EIP_Network">Twitter</a> : @EIP_Network</p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">(1) : Philippe Escande sur Radio-Classique (podcast : <a href="http://www.radioclassique.fr/modules/flux_xml/grille/podcasts/D_cryptage_de_Philippe_Escande-rss.xml">http://www.radioclassique.fr/modules/flux_xml/grille/podcasts/D_cryptage_de_Philippe_Escande-rss.xml</a>)</p><p style="margin-bottom: 0cm;">(2) ici au sens large : besoins du client, sens du dialogue, art du mix marketing, …</p><p style="margin-bottom: 0cm;">(3) attention, seulement pour les processus internes opérationnels, et non pour la promesse faite au client</p>
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlPoint de vue de l'actionnaire...tag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2012-10-17:29245372012-10-17T23:20:00+02:002012-10-17T23:20:00+02:00 Jusqu'où la recherche de performance sociale dans l'entreprise...
<p><img src="http://4.bp.blogspot.com/-rG30MFW2Te8/UDnXjbrkq0I/AAAAAAAACNI/Ts0BmkVx6pw/s320/Logo+Cercle+SD.jpg" alt="" /> Jusqu'où la recherche de performance sociale dans l'entreprise est-elle légitime eu égard à ses contraintes de rentabilité économique?</p><p> </p><p><strong>Pour être légitimes, le développement durable et la recherche de performance sociale au sein de l'entreprise doivent répondre à des critères de rentabilité</strong>. D'un point de vue actionnarial, le développement durable n'apparait pas comme étant un facteur de rentabilité à court terme, même s'il est admis qu'il puisse l'être à moyen ou à long terme terme. </p><p>De même, l'actionnaire financier, peut ne pas établir de relation immédiate entre le bien-être des salariés et collaborateurs au travail et son effet direct sur le résultat économique de l'exploitation.</p><p><strong>Cependant, force est de constater le succès éclatant de sociétés qui ont su privilégier un certain confort de leurs salariés et une certaine convivialité</strong> favorisant l'interaction entre les différents niveaux de collaborateurs dont il pourra découler un partage constructif d'informations, de savoir et d'expériences pour une meilleure performance de l'ensemble. Il est indéniable qu'à terme, cet état d'esprit permettra de résoudre plus rapidement et de manière cohérente tous les problèmes qui se présenteront. <strong>Dans la mesure où le management sait canaliser de telles émulations, tout en les encourageant, il s'ensuivra un formidable élan d'énergie supplémentaire pour faire avancer la machine</strong>. De plus, ces circonstances favorisent le développement des compétences individuelles au travers d'une dynamique collective. Pour mesurer un tel supplément d'efficacité, il faut adopter un regard et des modes d'évaluation différents... nous changeons de paradigme et les indicateurs de mesure de la performance doivent aussi être radicalement différents. L'actionnaire financier aura bien du mal à composer avec ces types de repères et ne pourra jamais en mesurer précisément l'évolution, compte-tenu du changement permanent des composantes environnementales qui viennent, de plus, s'y agréger.</p><p><strong>Il reste à l'actionnaire trop rationnel la possibilité de se rappeler à quel point l'impact négatif d'une stratégie qui ignore certaines valeurs peut être dégradant dans la poursuite des activités lorsque ce déni apparait comme volontaire et directement lié à une recherche basique de rentabilité</strong>. Combien il est dégradant pour l'image d'une entreprise que de se retrouver prise dans une vaste opération de dénigrement au travers de réseaux sociaux, de forums... l'effet négatif en devient explosif! Il n'est qu'à se souvenir de l'énorme impact qu'a eu cette campagne d'information contre les barres chocolatées Mars et ce que cela a coûté à l'entreprise en terme financiers mais aussi de communication et de réorganisation interne pour rétablir son image et remettre ses process en conformité avec les convenances ambiantes.</p><p><strong>La recherche de performance sociale dans l'entreprise, tout comme la conformité à certaines normes de développement durables constituent les éléments essentiels d'une rentabilité pérenne</strong> toujours préférable à une rentabilité optimale mais vulnérable car dépendante du moindre événement qui viendrait à la casser. Pour mettre en valeur ce mode de fonctionnement, l'entreprise doit aussi communiquer en interne comme en externe afin de fédérer les collaborateurs ainsi que les clients au sein du cercle vertueux qu'elle aura ainsi créé. <strong>Sans mise en valeur de ce cercle vertueux, toute politique de développement durable ou recherche de performance sociale restera sans effet. <span style="text-decoration: underline;">Cela doit aussi faire partie intégrante de la réflexion stratégique en amont de tous les process.</span></strong></p>
maplanetehttp://maplanetea.blogspirit.com/about.htmlNucléaire : l'atome a-t-il encore un avenir économique ?tag:maplanetea.blogspirit.com,2012-07-07:33150882012-07-07T10:15:00+02:002012-07-07T10:15:00+02:00 Au-delà des risques qu’il implique pour l’environnement et la santé...
<div class="content"><strong><img id="media-199093" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/02/486057308.2.jpg" alt="fukushima.jpg" />Au-delà des risques qu’il implique pour l’environnement et la santé publique, le nucléaire pose le problème de sa viabilité économique. Telles sont les conclusions du <a class="external" href="http://www.worldnuclearreport.org/" rel="_blank" target="_blank">rapport du<em> World Nuclear Industry Status Report 2012</em>, </a>révélé par <a href="http://www.mediapart.fr/journal/international/060712/lindustrie-nucleaire-nest-plus-competitive" target="_blank">Mediapart le 6 juillet 2012.</a></strong></div><p><strong>Le <em>World Nuclear Industry Status Report 2012</em> </strong>synthétise un grand nombre de données chiffrées qui permettent d’évaluer les véritables perspectives industrielles du nucléaire, en France et dans les autres pays. Au-delà des discours partisans et des arrière-pensées politiques, <strong>il apporte des réponses précises et documentées à une série de questions fondamentales pour l'avenir économique et énergétique de la planète :</strong></p><div class="content"><p><em>Après Fukushima, où en est l’industrie nucléaire dans le monde ? Quel est son rythme de progression ? Est-elle toujours concurrentielle face à l’essor des énergies renouvelables ? De nouveaux pays s’apprêtent-ils à construire des centrales ? Faudra-t-il prolonger la durée d’exploitation de celles qui sont en fonctionnement ? Comment la gestion des déchets radioactifs affecte-t-elle l’ensemble de la filière nucléaire ?</em></p><p><img id="media-199099" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/00/4133458030.jpg" alt="rapport,monde,france,électricité,production,rentabilité" />Ce rapport référent, réactualisé chaque année depuis 2007 (deux éditions antérieures sont parues en 2004 et 1992), est l’œuvre de deux consultants indépendants dans le domaine de l’énergie :<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Mycle_Schneider" target="_blank"><strong> Mycle Schneider </strong></a>(photo ci-contre) consultant dans le domaine de l'énergie, lauréat du <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_Nobel_alternatif" target="_blank"><strong>p</strong><span class="external"><strong>rix Nobel alternatif </strong></span></a>en 1997 et spécialiste de l'industrie nucléaire depuis trente ans, et <strong>Antony Froggatt,</strong> chercheur et écrivain spécialisé dans les questions de politique nucléaire, installé à Londres. Le nouveau rapport, publié un an après Fukushima, prend évidemment une importance toute particulière. La catastrophe de Fukushima ayant déjà mis le risque nucléaire et l’exigence de sûreté au premier plan, son principal intérêt est qu'il se concentre sur l’analyse des variables économiques qui affectent le développement de l’atome civil.</p><p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-199101" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/02/222865675.jpg" alt="rapport,monde,france,électricité,production,rentabilité" /></p><p style="text-align: center;"><em>Infographie Mycle Schneider DR</em></p><p><strong>Selon Mediapart, le <em>World Nuclear Industry Status Report 2012 </em>" brosse le portrait d’une industrie en déclin, luttant pour sa survie dans un environnement de plus en plus défavorable, tant du point de vue des coûts de fonctionnement que de celui de l’opinion publique."</strong></p><p><strong><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr">Cathy Lafon</a><br /></strong></p><p>►<strong>POUR LIRE LE RAPPORT : <a href="hhttp://www.worldnuclearreport.org/" target="_blank">Cliquer ICI</a></strong></p><p>►<strong>POUR LIRE L'ARTICLE DE MEDIAPART : <a href="http://www.mediapart.fr/journal/international/060712/lindustrie-nucleaire-nest-plus-competitive" target="_blank">Cliquer ICI</a></strong></p><p>►<strong>LIRE AUSSI </strong></p><ul><li><strong><a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2012/06/28/le-parc-nucleaire-francais-condamne-a-de-lourds-travaux.html" target="_blank">Le nucléaire français condamné à de lourds travaux par l'ASN</a> </strong><strong></strong></li><li><strong><a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2012/06/04/fil-vert-nucleaire-rien-ne-va-plus-en-bourse-pour-areva-et-e.html" target="_blank">Nucléaire. Rien ne va plus en Bourse pour Areva et EDF</a> <br /></strong></li><li><a href="http://www.journaldelenvironnement.net/article/le-declin-actuel-du-nucleaire-sera-exacerbe-par-fukushima-selon-wwi,22825" target="_blank"><strong>Le déclin actuel du nucléaire sera exacerbé par Fukushima, selon WWI,</strong></a><strong> Journal de l'Environnement, 22 avril 2011</strong></li></ul></div>
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlArticle d'Yvon Mougin : public / privétag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2012-05-24:29010762012-05-24T17:37:00+02:002012-05-24T17:37:00+02:00 Merci Yvon pour ton article qui met en exergue l'importance...
<p><img src="http://www.mortelmanagement.com/.a/6a0120a60860c3970c01676696c5f9970b-800wi" alt="Cercle Blogueurs" /> <span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Merci Yvon pour ton article qui met en exergue l'importance capitale de la priorité des entreprises privées à créer de la valeur, faute de quoi leur pérennité en serait obérée.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Oui, les entreprises ont une obligation de performance économique que le public n'a pas : </span></p><p><span style="text-align: justify; background-color: #f6f6f6; font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">"Dans une approche économique, public et privé doivent exercer leurs métiers en optimisant les ressources humaines et matérielles, en préservant la santé et la sécurité des salariés, en préservant l’environnement, etc..."</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; text-align: -webkit-auto; font-size: small;">alors que la priorité du public serait plutôt du domaine de l'efficacité. </span></p><p><span style="text-align: justify; background-color: #f6f6f6; font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">"Le public lui, lorsqu’il n’est pas dans le champ concurrentiel, ce qui fausse parfois la donne du problème, doit se consacrer à apporter des compétences demandées par les citoyens au plus juste cout et aujourd'hui, en situation de crise, à réduire la voilure c'est-à-dire faire preuve d’efficience"</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Et de ce fait, l'entreprise doit être doublement performante pour dégager à la fois des bénéfices financiers et des bénéfices sociaux pour une meilleure satisfaction de ses collaborateurs.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small; text-align: justify;">L'avantage de la PME dans son domaine réside dans le fait que chaque salarié peut se sentir plus directement impliqué dans les résultats positifs de l'exploitation, l'échelle hiérarchique y est beaucoup moins importante et la motivation peut-être plus facile à entretenir. </span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small; text-align: justify;">Dans tous les cas, l'entreprise doit être respectueuse des individus qui la composent, faute de quoi elle se priverait aussi à terme d'une partie des bénéfices liés à l'extraordinaire synergie interne créée par des équipes solidaires en recherche collective de performance.</span></p>
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlMarketing, ses composantes.tag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2010-01-17:18786032010-01-17T09:28:00+01:002010-01-17T09:28:00+01:00 Nous évoquerons le marketing comme étant un ensemble de techniques visant à...
<p>Nous évoquerons le <strong>marketing comme étant un ensemble de techniques visant à améliorer le résultat de la commercialisation de produits ou services</strong> en favorisant leur adéquation avec la demande des marchés concernés.</p> <p>La <strong>fonction marketing devra être prédominante dans la conception des produits</strong> en fonction de l'analyse des attentes des marchés visés, eux-même définis en fonction du potentiel de rentabilité qu'ils représentent.</p> <p>Ainsi, le <strong>marketing mix</strong> va t-il regrouper <strong>l'ensemble des éléments de stratégie relatifs à un produit donné</strong>, qui va être commercialisé à un <strong>prix étudié</strong>, en <strong>rapport direct avec la plus-value <span style="text-decoration: underline;">perçue</span> par la cible client qu'il vise</strong>, au travers de <strong>circuits de distribution adaptés</strong> et avec l'appui d'une <strong>politique de promotion spécifique</strong>.</p> <p>La valeur du marketing mix appliqué à un produit ou service est intrinsèquement liée à la cohérence de l'ensemble de ces éléments et conditionnera sa performance et le niveau des résultats obtenus.</p> <p>Dans cette dernière décennie, la fonction marketing a connu des bouleversements avec l'accession des consommateurs à une foule d'informations dont ils ne disposaient pas auparavant, grâce à internet. La blogosphère s'est mise à constituer un champs d'observation, d'analyse, et d'investigations remarquables. Ensuite, nous sommes passés dans un mode de communication radicalement différent, où la relation aux marques (et aux autres en général) a modifié tous les repères.</p> <p>Nous sommes en train d'assister à la <strong>multiplication des moyens d'accéder aux consommateurs</strong>, lesquels changent extrêmement rapidement... l'avenir sera plutôt au <strong>marketing collaboratif</strong> dans le sens où la meilleure recette consistera certainement à mobiliser tous les acteurs concernés dans l'entreprise pour réfléchir ensemble à développer une stratégie empreinte de la compréhension des environnements du produit concerné et <strong>respectueuse d'une ligne conductrice générale porteuse du sens et des valeurs de l'entreprise elle-même</strong>.</p> <p><strong>Le marketing mix, en tant qu'ensemble d'éléments d'une stratégie cohérente relative à un produit, restera dans les fondamentaux de la démarche. L'élément nouveau le concernant tient dans <span style="text-decoration: underline;">l'importance du sens et des valeurs</span> qu'il portera face à des consommateurs qui seront de moins en moins dupes.</strong> </p> <p> </p>
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlL'entreprise en progrèstag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2009-11-01:18378572009-11-01T08:09:45+01:002009-11-01T08:09:45+01:00 L'entreprise, entité en perpétuel devenir, passe toujours par des phases...
<p><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;"><strong>L'entreprise, entité en perpétuel devenir, passe toujours par des phases spécifiques durant lesquelles certains types d’actions sont stratégiques.</strong></span></p> <p><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;">C'est ce que nous pourrions qualifier de « virages » à ne pas louper...</span></p> <p><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;">Savoir prendre les virages... quels virages?</span></p> <p><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;">Et comment les reconnaitre??</span></p> <p><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;"><span style="text-decoration: underline;">Derrière les apparences compliquées, les schémas sont pourtant très simples, et leur identification rapide reste l’objet principal des diagnostiques stratégiques élaborés par tous les financeurs potentiels, futurs associés, avant tout engagement.</span></span></p> <p><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;"><strong>Régulièrement, les dirigeants devraient prendre le recul nécessaire pour faire aussi le point sur la situation de leur entreprise.</strong></span></p> <p><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;">Le schéma des interrogations peut se résumer aux questionnements suivants :</span></p> <p style="margin-left: 36pt; text-indent: -18pt; mso-list: l0 level1 lfo1; tab-stops: list 36.0pt;"><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana; mso-fareast-font-family: Verdana; mso-bidi-font-family: Verdana;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7pt "Times New Roman";"> </span></span></span> <span dir="ltr"><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;">quel niveau de trésorerie ?</span></span></p> <p style="margin-left: 36pt; text-indent: -18pt; mso-list: l0 level1 lfo1; tab-stops: list 36.0pt;"><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana; mso-fareast-font-family: Verdana; mso-bidi-font-family: Verdana;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7pt "Times New Roman";"> </span></span></span> <span dir="ltr"><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;">en progression? en régression ?</span></span></p> <p style="margin-left: 36pt; text-indent: -18pt; mso-list: l0 level1 lfo1; tab-stops: list 36.0pt;"><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana; mso-fareast-font-family: Verdana; mso-bidi-font-family: Verdana;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7pt "Times New Roman";"> </span></span></span> <span dir="ltr"><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;">si régression, causes ?<span style="mso-spacerun: yes;"> </span> (exceptionnelles ou régression des résultats d’exploitation ?)</span></span></p> <p style="margin-left: 36pt; text-indent: -18pt; mso-list: l0 level1 lfo1; tab-stops: list 36.0pt;"><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana; mso-fareast-font-family: Verdana; mso-bidi-font-family: Verdana;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7pt "Times New Roman";"> </span></span></span> <span dir="ltr"><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;">quelle évaluation de la présence sur les différents marchés ?</span></span></p> <p style="margin-left: 36pt; text-indent: -18pt; mso-list: l0 level1 lfo1; tab-stops: list 36.0pt;"><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana; mso-fareast-font-family: Verdana; mso-bidi-font-family: Verdana;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7pt "Times New Roman";"> </span></span></span> <span dir="ltr"><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;">en progression ? en régression ?</span></span></p> <p style="margin-left: 36pt; text-indent: -18pt; mso-list: l0 level1 lfo1; tab-stops: list 36.0pt;"><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana; mso-fareast-font-family: Verdana; mso-bidi-font-family: Verdana;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7pt "Times New Roman";"> </span></span></span> <span dir="ltr"><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;">si régression, causes ? (pb de coûts, pb d’investissements ?)</span></span></p> <p><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;">A ce stade,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span> les deux premières phases critiques peuvent être clairement identifiées et les plans d’actions afférents pour assurer la pérennité de l’entreprise peuvent alors être élaborés et mis en place.</span></p> <p><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;">En effet, <strong>la première phase sensible consiste à s’attacher à l’évolution de la rentabilité de l’exploitation</strong>… à terme, sa régression –même lente- amènera « mécaniquement » la diminution irréversible de la trésorerie… de quoi anticiper les devenirs futurs.</span></p> <p><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;"><strong>La seconde phase sensible par laquelle passe toute exploitation se distinguera par un recul de certaines positions sur ses marchés</strong>… qui risque de la faire régresser à la phase décrite précédemment. Ainsi, l’ignorance de ces situations empêche toute action cohérente qui assurerait le développement de l’activité.</span></p> <p><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;">Identifier ces phases permet de passer à l’étape suivante immédiate consistant à réfléchir aux actions possibles en fonction des futurs envisagés.</span></p> <p><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;"><span style="text-decoration: underline;">Combien de défaillances d’entreprises seraient alors évitées ? combien aussi de dépôts de bilan pourraient encore être suivis d’une reprise plutôt que d’une liquidation immédiate ?</span></span></p> <p><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;">Et si, en finalité, l’entreprise n’a aucun problème de trésorerie, ni de rentabilité, ni de positionnement sur ses marchés… il restera toujours néanmoins l’ultime question : pour combien de temps encore ?</span></p> <p><span style="font-size: 11pt; color: black; font-family: Verdana;"><strong>Bien loin d’un quelconque fatalisme, cette interrogation ne doit avoir pour objectif que celui d’imaginer le tremplin qui conservera l’exploitation dans sa dynamique de développement… <span style="text-decoration: underline;">pérennité oblige</span> !</strong></span></p> <p> </p>
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlModéles économiquestag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2009-09-06:18197382009-09-06T09:22:00+02:002009-09-06T09:22:00+02:00 Les circonstances environnantes ainsi que tous les changements...
<p><strong>Les circonstances environnantes ainsi que tous les changements intervenant dans les différents secteurs d'activité, tant au niveau législatif qu'au niveau économique, nous obligent à repenser les modèles économiques qui permettaient jusque là de dégager la rentabilité nécessaire à la pérennité des entreprises.</strong></p> <p>Cela ne date pas d'hier puisque la loi Evin, promulguée en 1991 et dont la version en vigueur date de 2000, a, par exemple, durement impacté l'exploitation de nos restaurateurs hexagonaux.</p> <p>Les pics d'augmentation du pétrole constituent une menace permanente pour les compagnies aériennes et voyagistes qui s'exténuent à imaginer les formules qui leur permettront de répercuter les surcoûts aux consommateurs finaux sans pour autant augmenter inconsidérément leurs prix dans un secteur fortement concurrencé et de plus, sujet aux conséquences de la crise de par la baisse des budgets de leurs clients, autant entreprises que particuliers.</p> <p>Ne parlons pas de la loi sur les 35 heures et de ses conséquences tant sur les surcoûts au niveau des charges que, moins mesurables, dans la mentalité des salariés beaucoup plus difficiles à encadrer...</p> <div style="text-align: center"><img src="http://lentrepriseperenne.blogspirit.com/media/01/00/862652282.JPG" alt="P8150057.JPG" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" id="media-397301" /></div> <p>... à force d'élaborer des modèles économiques de plus en plus sophistiqués, les entreprises se retrouvent prisonnières des équilibres précaires qui menacent sa pérennité.</p> <p><strong>Ainsi est mise en évidence toute l'importance de la réflexion au niveau de l'élaboration de la stratégie, doublée de la définition du Business Plan qui en découle et régulièrement évaluée par un système de contrôle des performances rigoureux et objectif</strong>. A l'origine de tout cela se trouve la bonne définition du ou des métiers de l'entreprise et, par conséquent, de ce qui doit être valorisé par cette dernière : n'était-il pas anormal, dans notre pays mondialement réputé pour sa gastronomie, de voir une très forte proportion de restaurateurs réaliser la majeure partie de leurs profits sur la vente des alcools en annexe de leurs menus? n'était-il pas dangereux pour les compagnies aériennes de considérer en termes d'analyses de gestion que les First Class ou Business Class couvraient une partie énorme de leurs coût et qu'ainsi, les places simples pouvaient être "bradées" à fins de défier la concurrence?</p> <p>En matière de stratégie, il est capital de comprendre qu'un niveau de prix globalement baissé est immédiatement retenu par le marché, que les raisons en soient fondées ou non, et excessivement difficile à remonter (un prix baissé ne serait-ce que de 10% doit se voir appliquer une augmentation de plus de 11% pour rattraper son niveau initial et si la chute a atteint les 30%, l'augmentation qui l'annulera sera alors de 43%... c'est mathématique!). Ainsi, dans certains secteurs d'activité, la définition des structures et niveaux de prix réfléchie dans le cadre de stratégies finement élaborées a eu des répercussions dramatiques lorsqu'elles ont été amplifiées par l'intensité d'une crise qui a bouleversé le profil des demandes.</p> <p>De même, les matices MOFF ou SWOT doivent mettre en évidence les menaces auxquelles pourrait avoir à faire face certains domaines d'actions stratégiques tels qu'ils sont conçus et ainsi, permettre de ne pas cumuler les mêmes origines de menaces sur l'ensemble des activités de l'entreprise.</p> <p>Il sera ainsi de plus en plus compliqué d'intégrer toutes les données connues et changements à venir dans la réflexion stratégique propre à chaque activité. Les cycles de consommation se raccourcissent et il faut en permanence réadapter les produits ou prestations... tout en ménageant la cohérence dans l'évolution afin de conserver la crédibilité de la marque... <strong>une seule chose ne change pas : le <span style="text-decoration: underline;">bon sens</span>, qu'il faut s'efforcer de garder dans la démarche intellectuelle, de quelque nature qu'elle soit, pour assurer la pérennité de ses applications</strong>.</p> <p> </p>
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlCHRYSLERtag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2009-03-30:17333502009-03-30T11:08:00+02:002009-03-30T11:08:00+02:00 Voilà l'illustration la plus parfaite d'entreprises qui , pourtant...
<strong>Voilà l'illustration la plus parfaite d'entreprises qui</strong>, pourtant importantes et susceptibles d'être dirigées avec l'aide d'équipes marketing performantes <strong>n'ont pas su s'adapter aux changements des habitudes de consommation de leurs cibles</strong>. La réflexion stratégique ayant peut-être manqué quelque peu de "hauteur" et, faute maintenant d'avoir la capacité financière à supporter seuls la négociation d'un virage irrémédiable, <strong>leur ultime solution réside dans un rapprochement</strong> qui leur permettra de <strong>faire valoir leurs actifs</strong> et <strong>d'accélérer le changement </strong>dans une direction déjà adoptée par le partenaire visé... ce pourrait être FIAT...<div style="text-align: center"><img src="http://lentrepriseperenne.blogspirit.com/media/00/02/874869355.jpg" id="media-337390" title="" alt="Chrysler.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div><u>Dans les dépêches :</u> "Selon le groupe de travail, les perspectives pour Chrysler sont plus incertaines.Le rapport consacré au troisième constructeur américain considère qu'il possède "une structure opérationnelle fondamentalement inadéquate" et que sa "série limitée de produits adaptés font que son avenir en tant que constructeur indépendant est une véritable gageure." Son plan de sortie de crise a été jugé également "non viable tel qu'actuellement structuré".Cependant la "task force" a estimé que Chrysler pourrait trouver un partenaire qui stimulerait le développement de ses nouveaux produits et lui permettrait de faire son entrée sur le marché des petites voitures. Dans ce cas "Chrysler a quelques perspectives d'une viabilité à long terme".<u>Dans le Monde ce jour </u>: "Chrysler se retrouve aussi avec le couteau sous la gorge. Estimant que l'entreprise ne peut plus fonctionner de manière indépendante, l'administration Obama ne lui accorderait qu'une rallonge de 6 milliards de dollars et trente jours pour négocier un rapprochement avec Fiat. L'avenir de Chrysler en tant que groupe indépendant est un "vrai défi" en raison de sa structure "défavorisée" et d'une gamme de produits limitée, estime le groupe de travail mis en place par le président Barack Obama sur les difficultés des groupes automobiles.<div style="text-align: center"><img src="http://lentrepriseperenne.blogspirit.com/media/02/01/537807501.jpg" id="media-337388" title="" alt="chrysler_turbine.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div><strong>Chrysler Corporation avait été pourtant l'un des pionniers de l'utilisation de turbines à gaz pour l'automobile au début des années 60.</strong> : après de nombreuses années consacrées au développement modèles expérimentaux, elle fut satisfaite des résultats de tests menés sur une nouvelle génération de véhicules. Notamment, un modèle Dodge Turbo Dart à turbine, munie d'une boite automatique TorqueFlite à trois rapports, qui traversa les USA de New-York à Los Angeles - 5000 kilomètres en moins de trois jours - en plein Décembre 1962 dans des conditions climatiques épouvantables, mais avec un succès total et un fonctionnement parfait d'un bout à l'autre.<strong>Le temps est maintenant compté, l'innovation devait s'inscrire dans une stratégie orientée avant tout vers les besoins des clients</strong>.<u>Comme expliqué dans l'un de mes précédents articles, "PME danger" :</u> il y a <strong>danger de mort </strong>(dont les effets sont largement amplifiées par la crise, il est vrai) <strong>pour les entreprises dont les résultat stagnent </strong>(pire s'ils régressent, bien sûr) et si elles n'ont plus cette capacité à passer cette phase délicate du besoin d'investissments pour <strong>assumer l'évolution de leurs marchés et consolider leurs positions</strong>, la <strong>seule solution pour éviter la chute est de procéder à un rapprochement </strong>qui, selon leur état financier se fera sous forme de reprise, fusion ou absorption. Arrivés à un certain point, toute "perfusion financière" restera vaine ou devra être d'une telle ampleur que le calcul du retour sur investissment devient rédhibitoire.Barack OBAMA et ses équipes l'ont parfaitement compris et savent, de plus, qu'<strong>il n'y a pas de temps à perdre!</strong> 30 jours pour négocier avec FIAT ou un autre... cela tient du marathon de la négociation! <strong>Mais chaque jour qui passe, à ce stade, coûte des millions de dollars et la nécessité d'une opération de gestion qui consisterait à déposer le bilan pour stopper ainsi l'hémorragie devient financièrement plus pressante.</strong>
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlSWOT ou MOFFtag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2009-03-17:17266702009-03-17T15:23:00+01:002009-03-17T15:23:00+01:00 ... ou la réflexion stratégique au service de la pérennité de l'entreprise....
<strong>... ou la réflexion stratégique au service de la pérennité de l'entreprise.</strong>Position "nez dans le guidon" pour la stricte gestion du quotidien, prise de recul pour le pilotage de l'exploitation... deux attitudes différentes dont les vues se complètent. Levons le nez du guidon...Une demande récente exprimait le souci de <u>détecter les facteurs qui augmentent la rentabilité de l'entreprise </u>: la réflexion stratégique basée sur la méthode SWOT ou MOFF (en français) en est un puisqu'elle va permettre de formuler les points forts et points faibles ainsi que les opportunités et menaces qui concernent chaque couple produit/marché pour en <u>adapter les composantes marketing qui viseront elles-même à en optimiser la commercialisation, par conséquent le profit dégagé</u>.SWOT / MOFF, en voici la matrice :<div style="text-align: center"><img src="http://lentrepriseperenne.blogspirit.com/media/01/00/450526991.gif" id="media-331884" title="" alt="swot1.gif" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div><strong>Cette grille de rapport d'étude, pour chaque domaine d'action stratégique, met en évidence les points forts ou faibles qui leur sont inhérents ainsi que les opportunités et menaces qui se dégagent de leurs environnements.</strong>Lorsqu'une telle étude est menée avec minutie et recherche, l'entreprise doit être en mesure d'actionner les leviers qui vont servir de tremplin à la commercialisation de ses produits dans de bonnes conditions financières tout en contournant les effets éventuels des points négatifs mis en évidence. De même, <u>ce type d'analyse permet d'identifier très en amont les menaces qui pèsent sur certains couples produits/marchés </u>et d'en tirer les conclusions qui s'imposent (moindre investissement, actions adaptées...).<strong>Le plus délicat reste en fait de déterminer correctement les domaines d'actions stratégiques qui sont à la base du déroulement du raisonnement.</strong> En effet, selon que l'on considère les produits en tant que tels ou ce qu'ils représentent pour la cible clients (une voiture ou un moyen de transport de ville? une crème dessert ou un produit bénéfique pour la santé? un téléphone portable ou un appareil-baladeur-photo?), l'évaluation de la concurrence et la définition du prix de vente adapté, notamment, pourront être très différentes et l'analyse s'en trouvera singulièrement modifiée... certains s'y sont cassé les dents... suite au prochain article.
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlLa force de différenciationtag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2009-03-06:17210162009-03-06T16:14:00+01:002009-03-06T16:14:00+01:00A la base de toute réflexion stratégique, la définition du produit ou de la...
A la base de toute réflexion stratégique, la définition du produit ou de la prestation qui fait l'identité de l'entreprise est capitale et permet de formuler la véritable force de différenciation, à l'origine du profit dégagé.<strong>Le savoir-faire différenciateur constitue la seule vraie richesse de l'entreprise, source de ses bénéfices, et la seule vraie raison de poursuivre son activité.</strong> Encore faut-il savoir l'identifier avant de mettre en place les actions marketing propres à le faire connaitre et à le valoriser.L'identification de cette force de diférenciation permet aussi d'envisager en regard l'ensemble des menaces et opportunités auxquelles devra faire face l'entreprise ou dont elle devra profiter pour assurer la pérennité de son exploitation.<img src="http://lentrepriseperenne.blogspirit.com/media/00/02/1187674720.jpg" id="media-327273" title="" alt="presseus1.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" />Pour n'avoir pas <u>réalisé plus tôt l'importance de leur capacité à créer un contenu unique et de valeur </u>au niveau local au travers de l'équipe de leurs journalistes en place, et pour avoir <u>ignoré internet en tant que vecteur de commercialisation </u>de l'information, bon nombre de journaux US ont promulgué gratuitement leur contenu sur le Web et ont ensuite vu leur diffusion chuter de manière vertigineuse, phénomène aggravé par la crise qui a fait chuter leurs recettes publicitaires.Ainsi, la débâcle de la presse américaine se poursuit... il en sera de même pour certaines éditions de la presse française.<img src="http://lentrepriseperenne.blogspirit.com/media/00/00/524717017.jpg" id="media-327283" title="" alt="presseus.jpg" style="border-width: 0; float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" /><u>Aucune mesure économique en interne </u>(plan social ou autre) <u>ne rattrapera cette erreur stratégique si elle n'est pas couplée à une réflexion approfondie permettant de recentrer l'activité et sa commercialisation sur <strong>un vrai savoir-faire</strong></u>. Les coupes sombres dans les effectifs n'ont fait qu'appauvrir leur force de différenciation qui résidait dans leurs équipes en place et dont ils n'ont su exploiter la valeur.En la matière, le Web aurait dû décupler l'impact du journalisme en impliquant financièrement les lecteurs et ainsi, il n'y aurait pas eu de substitution d'habitués finançant la presse-papier par une vague d'internautes profitant gratuitement des mêmes articles par sites Web interposés.Nous assistons à un bouleversement de nos habitudes lié à la profusion de produits et prestations disponibles gratuitement ou presque. Cela nous ferait oublier la véritable valeur des choses.<strong>En terme de stratégie d'entreprise tout doit être pris en compte et... même le gratuit se gère... comme, en son temps, les échantillons!</strong><strong><u>Le savoir-faire différenciateur, seule vraie valeur de l'entreprise, doit donc être valorisé et commercialisé à son juste prix.</u></strong>