Last posts on licenciement2024-03-28T20:51:49+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/licenciement/atom.xmlheure-bleuehttp://heure-bleue.blogspirit.com/about.htmlDevoir de Lakevio du Goût N° 123tag:heure-bleue.blogspirit.com,2022-05-16:32691212022-05-16T09:53:52+02:002022-05-16T09:53:52+02:00 À quoi pense donc ce jeune homme si bien cerné par Aldo...
<p style="text-align: center;"><span style="color: #ff0000;"><a style="color: #ff0000;" href="http://heure-bleue.blogspirit.com/media/00/01/2628300307.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1148211" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://heure-bleue.blogspirit.com/media/00/01/3940998976.jpg" alt="Aldo Balding (218).jpg" /></a></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 13pt; font-family: 'Times New Roman', serif; color: #ff0000;">À quoi pense donc ce jeune homme si bien cerné par Aldo Balding ?<br />J’espère en savoir plus lundi…</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'comic sans ms', sans-serif;"><strong>Ce garçon semble triste comme un jour sans pain.</strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'comic sans ms', sans-serif;"><strong>Première hypothèse : Il vient de recevoir sa lettre de licenciement.<br />Il travaillait depuis cinq ans dans la même boîte et vient d'acheter un appartement.<br />Il s'est mis vingt ans de crédit sur le dos.</strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'comic sans ms', sans-serif;"><strong>Deuxième hypothèse : Il vient de voir son médecin.<br />Lequel lui a confirmé ce qu'il craignait déjà.<br />Il souffre d'une leucémie à un stade avancé.</strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'comic sans ms', sans-serif;"><strong>Troisième hypothèse : Il vient de rompre.<br />Plus exactement, il vient d'être prié de faire ses valises par sa compagne.<br />Il est juste anéanti.</strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'comic sans ms', sans-serif;"><strong>Pfff... Rien de tout cela n'est vrai !<br />Il a juste chaud, très chaud !<br />Il habite sous les toits et attend avec impatience l'arrivée de la pluie qui lui permettrait enfin de dormir à la tombée de la nuit.<br />Pour l'instant, il profite de la faible bruine dispersée par la fontaine.<br />C'est la seule chose qui l'empêche de mourir de chaleur.</strong></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'comic sans ms', sans-serif;"><strong>Voilà, c'est tout...</strong></span></p>
Thierry Krief NegoAndCohttp://negoandco.blogspirit.com/about.htmlNégociation de départ - Faut-il négocier en direct ou via un intermédiaire ?tag:negoandco.blogspirit.com,2013-04-03:29582492013-04-03T14:11:00+02:002013-04-03T14:11:00+02:00 Négociation de départ - Faut-il négocier en direct ou via...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><img id="media-735376" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://negoandco.blogspirit.com/media/02/00/2693820510.jpg" alt="négociation,licenciement,rupture conventionnell,dirigeants" /></span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong>Négociation de départ - </strong></span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong>Faut-il négocier en direct ou via un intermédiaire ?</strong></span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La question est importante car en fonction du choix, les résultats ne seront pas les mêmes voire peuvent être diamétralement opposés.</span><br /><span style="font-size: medium;"> </span><br /><span style="font-size: medium;"><strong>Sans prendre de recul, les a priori qui vous pousseront à négocier par un intermédiaire sont les suivants :</strong></span></p><ul style="font-size: 10px; text-align: justify;"><li><span style="font-size: medium;">Vous n’avez pas la force de négocier avec votre entreprise,</span></li><li><span style="font-size: medium;">Vous ne savez pas négocier,</span></li><li><span style="font-size: medium;">Vous pensez qu’un intermédiaire négociera beaucoup mieux que vous,</span></li><li><span style="font-size: medium;">Vous pensez normal dans le cadre de la séparation entre l’entreprise et vous que cela se fasse par un intermédiaire.</span></li></ul><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Maintenant le problème est de savoir si ces raisons sont les bonnes, et les conséquences de ces décisions sur votre négociation.</span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong>La négociation en direct est plus dure car elle demande d’être en première ligne. Mais elle est bien plus efficace sur tous les points.</strong></span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong>1. L’image que vous véhiculez par une négociation en direct est positive</strong></span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La négociation en direct montre à l’entreprise que vous n’avez pas peur de l’affronter et que vous rationalisez totalement la démarche de séparation ou de négociation de départ. </span><br /><span style="font-size: medium;">La négociation en direct montre également que vous êtes ouvert au dialogue, que cherchez d’abord et avant tout une solution et que vous êtes certain qu’il est possible d’amener l’entreprise à vous proposer une solution négociée.</span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong>2. La négociation en directe vous assure la bonne transmission de vos messages</strong></span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Quand la négociation est intermédiée, il y a de fort risque de déformation des messages. En effet, vous ne transmettez plus votre message directement à votre interlocuteur avec vos mots, votre émotion, votre conviction. Vous le transmettez à votre intermédiaire qui va l’interpréter puis va le retransmettre à un autre intermédiaire avec ses propres mots. Ce dernier va enfin le transmettre à l’entreprise avec ses mots, son affect voire son interprétation. Le message initial a fort peu de chance d’arriver intact auprès de l’entreprise. </span><br /><span style="font-size: medium;">Vous allez parfois apparaître agressif aux yeux de l’entreprise alors qu’à l’origine vous étiez ouvert au dialogue mais dur en négociation.</span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><strong>3. En négociant en direct, vous restez maître</strong><strong> de votre négociation et réduisez considérablement vos risques de procès</strong></span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Penser que des intermédiaires pourront négocier mieux que vous est souvent un leurre. Il faut tenir compte du fait que personne ne sera meilleur que vous pour défendre votre dossier. C’est vous qui connaissez l’entreprise et qui vivez la situation. Il faut juste qu’on vous aide à rationaliser et dépassionner la relation.</span><br /><span style="font-size: medium;">Dans le cadre d’une négociation de départ, il s’agit de votre propre vie, de votre propre avenir professionnel, personne ne peut le vivre mieux que vous, personne ne peut le ressentir mieux que vous.</span><br /><span style="font-size: medium;">De plus dans le contexte de la négociation, si vous êtes allé trop loin (copyright negoandco), il vous sera toujours possible de vous « excuser » et de reprendre vos négociations sans risque de rupture du dialogue.</span><br /><span style="font-size: medium;"> </span><br /><br /><span style="font-size: medium;"><strong>4. Par la négociation en direct, le résultat final est toujours meilleur</strong></span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Quand l’entreprise vous indique « que les Conseils discutent ensemble », ce n’est malheureusement pas forcément une bonne chose, contrairement à ce qu’il parait.</span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">L’entreprise se débarrasse totalement de la gestion de votre dossier (copyright negoandco) et vous ne représentez plus aucun problème pour elle. Ce qui est plutôt négatif dans le cadre d’une négociation.</span><br /><span style="font-size: medium;">Sur un plan strictement technique, il faut refuser cela et demander à ce que la négociation se fasse en direct même si vous êtes accompagné par une tierce personne.</span><br /><span style="font-size: medium;">La négociation entre intermédiaires fait qu’il ne vous est plus possible d’utiliser des leviers de nature politique, personnelle, humaine, des engagements que certains auraient pris à votre égard et qu’ils n’auraient pas respectés.</span><br /><span style="font-size: medium;">Or, l’humain, la relation physique sont déterminants dans une négociation.</span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Du coup, les résultats financiers reposent essentiellement sur des comparaisons avec des usages juridiques ou la menace d’un procès, ce dont certaines entreprises se moquent à court terme.</span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La négociation en direct permet de décaler le jeu et l’usage de vos leviers de négociation, déconnecte la valeur de votre négociation des usages juridiques et les résultats financiers sont forcément bien supérieurs.</span><br /><span style="font-size: medium;">Au passage, cela réduit mécaniquement considérablement la durée de règlement de votre dossier.</span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">De plus, si vous négociez en direct, vous avez plus de chance de préserver une relation de qualité ex post car une bonne négociation se termine toujours par une poignée de mains entre vous et l’entreprise, ce qui vous garantit une bonne image. Cela est déterminant car il y a des chances que vous vous recroisiez un jour.</span><br /><span style="font-size: medium;">Enfin, donner l’impression d’avoir affronté la négociation (copyrigth negoandco) sans crainte et sans panique et s’être montré dur sans être inflexible laisse à votre interlocuteur une bonne image de vous et vous rend souvent fier.</span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><br /><span style="font-size: medium;"><strong>Mais négocier en direct ne veut pas dire négocier sans accompagnement, négocier en direct ne veut pas dire négocier seul</strong></span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Bien sûr, faire cette négociation en direct seul est très hasardeux. Vous n’avez aucune ou peu de connaissances des pratiques. De plus, votre relation à l’entreprise est chargée d’affectif et d’émotion qui vont nuire à vos discussions.</span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Par ailleurs, il est indispensable que les négociations soient extrêmement bien préparées. Une négociation ne s’improvise pas.</span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Pour cela, nous vous recommandons fortement de faire une négociation en direct et de vous faire accompagner en sous-main.</span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Vous l’aurez compris, NegoAndCo recommande exclusivement la négociation en direct.</span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Je suis à votre disposition si vous souhaitez aborder votre situation précise au regard de cet article.</span></p><p style="font-size: 10px; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Thierry Krief</span><br /><span style="font-size: medium;">Président </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><em>Copyright NegoAndCo avril 2013</em></span></p>
Thierry Krief NegoAndCohttp://negoandco.blogspirit.com/about.htmlAccord National Interprofessionnel du 11 Janvier 2013 : vers un avenir très sombre pour les Cadres et les Séniors ?tag:negoandco.blogspirit.com,2013-02-04:29488872013-02-04T17:19:00+01:002013-02-04T17:19:00+01:00 A en lire certains, « les salariés ont de nouveaux droits »....
<p style="text-align: justify;"><span style="color: black; font-family: 'Calibri','sans-serif'; font-size: medium; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR;">A en lire certains, « les salariés ont de nouveaux droits ». Mais <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">a-t-on bien pris conscience des conséquences humaines d’un tel accord sur les Cadres et les Séniors</strong> ?</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; mso-outline-level: 1;"><span style="font-size: medium;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR;"> </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; mso-outline-level: 1;"><span style="color: black; font-family: 'Calibri','sans-serif'; font-size: medium; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR;">En s’appuyant sur sa connaissance fine des pratiques managériales, NegoAndCo a réalisé une analyse technique de l’accord du 11 janvier 2013 afin d’anticiper l’usage que risquerait d’en faire les entreprises et ses conséquences humaines sur l’emploi des Cadres et les Séniors.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; mso-outline-level: 1;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; mso-outline-level: 1;"><span style="font-size: medium;"><span style="color: black; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR;">Les articles 7, 15 et 25 auront à eux seuls un impact majeur sur les Cadres et les Séniors. </span><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR;">Ces articles et leurs interactions légalisent, à nos yeux, des pratiques aujourd’hui abusives et encourageront fortement l’arbitraire</span></strong><span style="color: black; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR;">. </span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: black; font-family: 'Calibri','sans-serif'; font-size: medium; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR;">Le projet de sécurisation professionnelle par la mobilité externe proposée dans l’article 7, qui a tout son sens dans la fonction publique, nous semble être <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">un leurre dans le secteur privé</strong> malgré de bonnes intentions. En effet, <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">il risque d’être utilisé pour obtenir le départ d’un cadre à moindre coût en lui suggérant fortement d’aller voir ailleur</strong>s. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: black; font-family: 'Calibri','sans-serif'; font-size: medium; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR;">La souplesse de la mobilité interne proposée dans l’article 15 ouvre, à nos yeux, la voie à <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">un nouveau motif de licenciement : le licenciement pour refus de mobilité forcée</strong>.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: black; font-family: 'Calibri','sans-serif'; font-size: medium; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR;">Enfin, la facilité de la conciliation prud’homale annoncée dans l’article 25 s’apparenterait plutôt, d’après notre analyse, à la <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">création d’une nouvelle forme de licenciement : le licenciement sans motif et sans prise en compte des préjudices</strong> (barème calculé uniquement sur l'ancienneté). Il sera alors difficile aux cadres de rebondir sereinement.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: black; font-family: 'Calibri','sans-serif'; font-size: medium; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR;">Cela risque également d’ouvrir les portes au licenciement massif des Séniors par la réduction des coûts et des risques, susceptibles de créer un effet d’aubaine.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: black; font-family: 'Calibri','sans-serif'; font-size: medium; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR;">Alors, l'emploi va-t-il en sortir vainqueur ? Espérons-le car nous avons l'intime conviction que <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">les Cadres et les Séniors paieront mécaniquement très cher cet accord s’il est voté sans garde-fou</strong>. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><div style="padding: 1pt 4pt; border: 1pt solid windowtext; text-align: justify; mso-element: para-border-div; mso-border-alt: solid windowtext .5pt;"><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; padding: 0cm; border: currentColor; text-align: justify; mso-outline-level: 1; mso-border-alt: solid windowtext .5pt; mso-padding-alt: 1.0pt 4.0pt 1.0pt 4.0pt;"><span style="color: black; font-family: 'Calibri','sans-serif'; font-size: medium; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR;">Pour recevoir l’analyse complète (Presse uniquement) ou pour en savoir plus, merci de contacter Thierry Krief ou Stéphane Dassé au 01 45 27 21 60</span></p></div><p style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; mso-outline-level: 1;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: small;"> </span></span></strong></p><p><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: 'Helvetica','sans-serif'; font-size: 12pt; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: EN-US; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-language: AR-SA;"><br style="page-break-before: always; mso-special-character: line-break;" clear="all" /> </span></strong></p>
Thierry Krief NegoAndCohttp://negoandco.blogspirit.com/about.htmlLe forfait social va t'il avoir raison de la Rupture Conventionnelle ?tag:negoandco.blogspirit.com,2013-01-18:29461992013-01-18T13:57:00+01:002013-01-18T13:57:00+01:00 18/01/2013 Billet d'humeur Depuis le 1er janvier, les...
<div id="container"><!-- container --><div id="header">18/01/2013</div><div>Billet d'humeur</div><div id="content"><div id="content_in"><div id="center_int" class="cell_content"><div class="line_info"><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Depuis le 1er janvier, les entreprises doivent payer un forfait social de 20% sur les indemnités de rupture conventionnelle. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">En tant qu'intervenant dans la négociation des ruptures du contrat de travail pour les Cadres Supérieurs et Dirigeants, nous constatons depuis peu une chute brutale du nombre de ruptures conventionnelles proposées par les entreprises et un retour massif aux licenciements.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Cqfd, non ?!</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Nous attendons avec intérêt les chiffres de janvier indiquant le nombre de ruptures conventionnelles. Le Gouvernement aurait-il atteint son objectif de limiter l'usage de cet outil de séparation jusque là trop défavorable au salarié ? Sûrement.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Par contre, l'accord négocié entre le MEDEF et les partenaires sociaux le 11 janvier, d'après notre lecture, facilite grandement les licenciements surtout dans son article 25. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">En effet, ce dernier définit un barême forfaitaire qui fait totalement disparaître la notion de réparation de préjudices suite à un licenciement voire même la notion d'indemnité conventionnelle relative à l'ancienneté.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">L'indemnisation se fait en fonction de l'ancienneté quels que soient les préjudices. Et avec deux ans d'ancienneté, vous pourrez avoir 2 mois de salaire d'indemnisation. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Pas sûr que cela vous aide à rebondir en toute sérénité suite à un licenciement. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Pas sûr non plus que cela indemnise vos préjudices d'image de marque, de crédibilité professionnelle et de stress associés à une situation que vous n'avez pas souhaité voire pour laquelle vous n'êtes pour rien. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Or, le Chef de l'Etat a rappelé hier qu'il ferait tout pour que la loi reprenne fidèlement cet accord.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">C'est à ne plus rien y comprendre ....</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Thierry Krief</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Président NegoAndCo</span></p><p> </p></div></div></div></div></div>
JPChttp://necronomie.blogspirit.com/about.htmlSearch and De(s)troytag:necronomie.blogspirit.com,2012-07-12:31550332012-07-12T17:06:00+02:002012-07-12T17:06:00+02:00 Les nécronomistes résidents du blogs connaissent le...
<p style="text-align: center;"><img id="media-251683" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://necronomie.blogspirit.com/media/02/01/2550537329.jpg" alt="998850156.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;">Les nécronomistes résidents du blogs connaissent le double dong et le châtiment des neufs orifices à la japonaise (vous serez punis par tous les orifices avec lesquels vous avez consommé...) ce scénario japonais dont Paul Krugman est le spécialiste (la trappe à liquidités), nous le vivons et le découvrons à travers PSA.</p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;">Qu'a fait Toyota à l'époque pour échapper à la faillite ?</p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;">Réponse : il a transformé ses 26 000 ouvriers en commerciaux du jour en lendemain avec pour mission de vendre une voiture à un de leur proche pour échapper au déshonneur du licenciement..</p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;">C'est ainsi que Toyota fut sauvé....Patriotisme économique oblige...Ce business model a été autrefois le business model des assurances en vie en France (embaucher des gens à la commission)en sachant qu'ils n'arriveront à vendre des assurances qu'a leurs proches, il peut désormais être adapté a tous les pans de notre économie. Le localisme étant le seul rempart face à la mondialisation...</p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;">Ce modèle ne peut évidemment être réalise en France puisque nous n'avons pas subi le double dong du Japon dans les années 90 (Krach immo krach boursier).</p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;">De même, nous avons eu déjà l'occasion d'en parler si Renault a délocalisé en Turquie à Bursa la verte devenu le nouveau Detroit motor city, c'est tout simplement parce que les ouvriers turcs acceptaient de prendre une position sous la voiture interdite en Europe...</p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;">Dans ce cas précis, nous ne sommes plus dans la compétitivité mais dans le danger...Gimme Danger</p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="font-style: normal; margin-bottom: 0cm;"> </p>
alfaV12http://www.alfavendee.com/about.htmlDéprime pour certain .. et pas pour d'autres !tag:www.alfavendee.com,2011-10-23:24122062011-10-23T09:06:00+02:002011-10-23T09:06:00+02:00 J'ai toujours montré Alfa Romeo quand la marque apparaissait dans...
<p>J'ai toujours montré Alfa Romeo quand la marque apparaissait dans l'actualité ! Certes, là, depuis quelques temps, l'actualité est moins rose .. moins rouge même !! "L'hôtel de luxe situé place Vendôme à Paris va fermer courant 2012 pour 27 mois de travaux et se séparer de l'essentiel de ses salariés."</p><p> <a href="http://www.alfavendee.com/media/00/01/2797390064.jpg" target="_blank"><img id="media-620379" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px;" title="" src="http://www.alfavendee.com/media/00/01/3807832040.jpg" alt="0ritz.jpg" /></a></p><p>ça se voit sur I télé sur le lien : <a href="http://www.itele.fr/video/licenciements-au-ritz">http://www.itele.fr/video/licenciements-au-ritz</a></p><p> </p>
clemenceauhttp://front-europeen-et-republicain.blogspirit.com/about.htmlSARKOZY LICENCIE....ET IL LE REVENDIQUE !tag:front-europeen-et-republicain.blogspirit.com,2010-10-25:19975912010-10-25T18:59:37+02:002010-10-25T18:59:37+02:00 Peu de médias en ont parlé mais le 21/10 dernier Nicolas Sarkozy...
<p> </p> <p>Peu de médias en ont parlé mais le 21/10 dernier Nicolas Sarkozy déclaré «<em>sans aucun transfert de compétences, les régions créent pourtant plusieurs milliers de postes chaque année». Il a ajouté avoir, lui, supprimé 135 000 postes de fonctionnaires, comme il s'y était engagé, et a invité les collectivités territoriales et la Sécurité sociale à «se lancer dans le même travail</em>».</p> <p><a href="http://www.courrierdesmaires.fr/P_detail_france.php?id=20776"><span style="color: #000000;">http://www.courrierdesmaires.fr/P_detail_france.php?id=20776</span></a></p> <p>Ainsi le président reconnait que la République a fait l'un des plus grands plans sociaux depuis qu'il est au pouvoir et il faudrait que les dirigeants des collectivités locales qui ont donc moins d'effectifs à leur service par exemple pour assurer la sécurité de leurs concitoyens, i doivent donc la compenser par des effectifs locaux ou intercommunaux , lui disent merci ...</p> <p>Ce qui était auparavant financer par l'impot national l'est maintenant par l'impot local quelque soit l'echelle (commune, département, région EPCI) et il faudrait que les élus locaux merci !</p> <p>Et en plus il faudrait que les familles de ceux qui n'ont pas été pris pour remplacés les fonctionnaires lui disent merci !</p> <p>Combien cela fait t-il de consommateurs, d'acheteurs d'appartements, de rentrée fiscales en moins de charges sociales en moins (notamment pour financer les retraites)</p> <p>En plus les dotations de l'Etat ont baissé...et les collectivités quelque soit leur couleur politique ont déjà du faire des efforts budgétaires depuis 2007 !</p> <p>Mais c'est vrai que lorsqu'on s'augmente d'entrée de jeu de 150 % on peut après ne plus s'augmenter...les collectivités auraient bien aimé avoir le même traitement que le chef de l'état ! </p>
arlequinhttp://arlequin.blogspirit.com/about.htmlDes vivants désespérés...tag:arlequin.blogspirit.com,2010-10-22:19965112010-10-22T19:13:33+02:002010-10-22T19:13:33+02:00 Vu, comme vous, sûrement, les 8 épisodes de la magnifique série de...
<div style="text-align: center"><img src="http://arlequin.blogspirit.com/media/00/01/1711736889.jpg" alt="vivants.w.jpg" id="media-528014" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div> <div style="text-align: center">Vu, comme vous, sûrement, les 8 épisodes de la magnifique série de Gérard Mordillat <strong>"Des vivants et des morts".<br /></strong>C'est la gorge nouée que j'ai assisté à l'agonie d'une petite usine déclarée "non rentable" et condamnée à mort par un vague Fonds de pension américain.<br /> Situation tellement banale dans la France d'aujourd'hui. Continental, Moulinex, Cellatex, Valeo, Ericsson, Lejaby... et des centaines d'autres.<br /> <strong>Enfin la télé ose montrer et avec quel talent, ce que ce pouvoir de riches cherche à camoufler: les drames que vivent ceux qu'on jette violemment, après les avoir si bien exploités.<br /></strong>Le <strong>cynisme des employeurs capitalistes</strong> "le marché ne connaît qu'une loi: payer ou être payé", auquel répond la lâcheté des responsables.<br /> <strong>L'opportunisme manipulateur des hauts fonctionnaires</strong> qui n'hésitent pas à envoyer les CRS tabasser des femmes et des enfants.<br /> Et enfin <strong>l'impuissance des élus</strong> du peuple et des représentants syndicaux qui, même lorsqu'ils trahissent, finissent par y laisser leur peau!<br /> C'est vrai, cette série est un événement à la télé. Pour une fois, le travail ouvrier est montré comme un ensemble de métiers, de savoirs, de savoir-faire, de relations sociales et non comme des petits boulots qu'on prend pour éviter le chômage.<br /> Nombreux sont les films documentaires qui ont dénoncé la <strong>violence inouïe</strong> dont sont victimes les salariés des entreprises délocalisées, souvent après leur avoir imposé des sacrifices inutiles. Chantage à l'emploi, aux salaires, aux RTT, etc.. (cf les films de Marcel Trillat)</div> <div style="text-align: center">Le mérite de G. mordillat est d'avoir réalisé une - longue - fiction plus réaliste qu'un reportage, plus juste et plus vraie qu'un documentaire.</div> <div style="text-align: center">Merci à lui.</div>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlEn France comme en Iran ...tag:bar-zing.blogspirit.com,2010-09-24:19854922010-09-24T15:32:00+02:002010-09-24T15:32:00+02:00 UN MARI ADULT È RE CONGEDI É PAR LA...
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: "Arial", sans-serif;"><span style="font-size: x-large;"><strong>UN MARI ADULT<span style="font-family: Segoe UI;">È</span>RE</strong></span></span></span></p> <p style="text-align: center;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: "Arial", sans-serif;"><span style="font-size: x-large;"><strong><br /></strong></span></span></span></p> <p style="text-align: center;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: "Arial", sans-serif;"><span style="font-size: x-large;"><strong>CONGEDI<span style="font-size: large;"><span style="font-family: Arial,sans-serif;"><span style="font-size: x-large;"><strong>É</strong></span></span></span> PAR LA RELIGION</strong></span></span></span></p> <p style="text-align: center;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: "Arial", sans-serif;"><span style="font-size: x-large;"><strong><br /></strong></span></span></span></p> <div style="text-align: center"><span style="font-size: large;"><a target="_blank" href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/1539412210.jpg"><img src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/1280610792.jpg" alt="Mari-adultère.jpg" id="media-519871" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" name="media-519871" /></a></span></div> <p style="text-align: center; margin-bottom: 0cm;"> </p>
Françoisehttp://legranddeblocage.blogspirit.com/about.htmlIls sont futés....tag:legranddeblocage.blogspirit.com,2010-06-19:19479712010-06-19T16:56:14+02:002010-06-19T16:56:14+02:00 Dans le super marché où je suis obligée d'aller le plus souvent... parce...
<div style="text-align: center"><img src="http://legranddeblocage.blogspirit.com/media/00/00/93360849.jpg" id="media-495549" alt="super.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div> <p>Dans le super marché où je suis obligée d'aller le plus souvent... parce que c'est le plus proche... jusqu'à maintenant une dame charmante ou un jeune homme souriant pesait fruits et légumes, collait prestement l'étiquette et en prime nous avions droit à un sourire...</p> <p>Terminé tout ça ! le sourire a été remplacé par des balances...</p> <p>La manoeuvre doit être rentable ! une balance, si belle et pratique soit elle, s'amortit probablement rapidement ! alors que le salaire d'un employé... il faut l'aligner tous les mois, y compris les charges sociales.</p> <p>Une personne bien placée m'a précisé que ces postes de "peseurs" étaient généralement occupés par des personnes souffrant d'un handicap... Elles n'ont pas été licenciées, mais on leur a donné un travail que, au fil du temps, il ne pourront accomplir, si on tient compte de leur problème.... handicapant !</p> <p>On m'a précisé que c'est une façon de les pousser lentement mais sûrement vers la sortie.....</p> <p>Et merde... pourquoi ils ne les fusillent pas tout de suite ? pourquoi les laisser mariner dans le couloir de la mort, la petite mort du chômage, de la recherche d'emploi sans espoir d'en trouver, de la formation qui n'existe pas... ou si elle existe, qu'on leur refuse parce que ceci... ou cela ! Vous avez remarqué, tous les prétextes sont bons pour refuser et vous si vous avez de bonnes raisons pour prier, demander un petit rien.... juste votre droit parfois.... on vous envoie.... sur les roses ! et je suis extrêmement polie.....</p>
Mahor CHICHEhttp://mahorchiche.blogspirit.com/about.htmlLa procédure de licenciement pour motif personnel : les étapes cléstag:mahorchiche.blogspirit.com,2010-06-17:19472322010-06-17T17:44:00+02:002010-06-17T17:44:00+02:00 La crise économique actuelle conduit de nombreux employeurs à licencier pour...
<p style="text-align: justify;">La crise économique actuelle conduit de nombreux employeurs à licencier pour des motifs souvent mal fondés, le salarié qui se retrouve licencié pour motif personnel ignore trop souvent le déroulé de la procédure et les pièges à éviter. Le présent article tend à rappeler les grandes étapes de la procédure de licenciement et de l’action au fond devant les Conseils de prud’hommes ainsi qu’à dédramatiser ce recours.</p> <p style="text-align: justify;">Tout employeur qui envisage de rompre - après la période d’essai - le contrat de travail à durée indéterminée d’un salarié pour un motif personnel doit pouvoir justifier d’une cause réelle et sérieuse et suivre une procédure de licenciement respectueuse du droit du travail.</p> <p style="text-align: justify;">En l’absence de démission du salarié ou de rupture conventionnelle, la procédure classique de rupture du contrat de travail est le licenciement pour motif personnel.</p> <p style="text-align: justify;"><b>-La mise à pied à titre conservatoire</b></p> <p style="text-align: justify;">Dans l’hypothèse d’un licenciement pour faute lourde ou grave, le salarié peut être mis à pied à titre conservatoire pendant la durée de la procédure (le salarié se voit alors interdire l’accès aux locaux de la société). Cette mise à pied -qui n’est pas une sanction disciplinaire- peut être verbale, mais elle doit impérativement être notifiée par écrit. Si elle a fait l’objet d’une notification séparée, elle doit être mentionnée ou rappelée dans la lettre de convocation à l’entretien préalable.</p> <p style="text-align: justify;"><b>-L’entretien préalable :</b></p> <p style="text-align: justify;">L’entretien doit permettre :</p> <p style="text-align: justify;">• à l’employeur, d’indiquer les motifs du licenciement envisagé,</p> <p style="text-align: justify;">• au salarié, d’exposer et de défendre ses arguments.</p> <p style="text-align: justify;">Cet entretien est souvent l’objet de stress du salarié convoqué, mais il faut savoir qu’il est généralement de courte durée et que l’employeur a d’ores et déjà pris sa décision de rompre le contrat. Il est recommandé de s’y rendre accompagné afin que des notes de cet entretien puissent être prises et faire l’objet d‘un compte rendu officiel utilisable en justice.</p> <p style="text-align: justify;">L’employeur doit veiller à ne pas révéler son intention de licencier avant d’avoir adressé la notification de ce dernier (il évitera par exemple de publier une annonce visant à recruter un remplaçant pour le même poste). Le salarié veillera à contester les griefs qui lui sont faits.</p> <p style="text-align: justify;">Trop souvent, le salarié sur-estime son importance et croit pouvoir obtenir une solution amiable ou des dommages et intérêts élevés. Le rôle de l’avocat est alors de le ramener à la réalité des solutions possibles.</p> <p style="text-align: justify;">Salarié ou employeur, l’entretien avec un Avocat à ce stade peut être très utile pour éviter toute faute de procédure ou erreur stratégique.</p> <p style="text-align: justify;"><b>-Le licenciement pour faute</b></p> <p style="text-align: justify;">La lettre de licenciement fixe les limites du litige, elle doit être précise et motivée. Il convient donc pour l’employeur de bien choisir les griefs formulés. Le débat juridique portera sur la portée des fautes retenues par l’employeur. Les fautes alléguées justifient-elles le licenciement ? A ce stade avoir préparé son dossier aide à déterminer l’opportunité de poursuivre ou non la procédure.</p> <p style="text-align: justify;">La faute peut être simple, grave ou lourde. Cette qualification est importante en matière de préavis et de droits à l’indemnité légale. <span style="color: #0b333c;">Seule la faute lourde fera perdre au salarié le droit à ses certaines indemnités telle que l'indemnité compensatrice de préavis (mais le salarié conserve son droit aux ASSEDICS.</span></p> <p style="text-align: justify;">La lettre de licenciement doit être signée par l’employeur, un mandataire ou un représentant.</p> <p style="text-align: justify;">Sauf faute grave ou lourde, un préavis doit être observé ; l’employeur peut en dispenser le salarié. Le salarié qui souhaite en conserver la rémunération ne doit surtout pas demander à l’employeur à en être dispensé (sinon il ne lui sera pas rétribué).</p> <p style="text-align: justify;">Lorsque le licenciement concerne un salarié protégé (délégué du personnel, membre du comité d’entreprise, délégué syndical…), l’employeur doit obtenir une autorisation de l’inspecteur du travail pour pouvoir le licencier.</p> <p style="text-align: justify;">Une fois la lettre de rupture adressée au salarié, la voie de l’action judiciaire est ouverte.</p> <p style="text-align: justify;"><b>-La procédure devant le Conseil des Prud’hommes</b></p> <p style="text-align: justify;">A défaut de transaction amiable possible, le Conseil des prud’hommes peut être saisi par lettre recommandée ou déposée au secrétariat-greffe dans un délai de cinq ans. Il est toutefois recommander de faire respecter ses droits le plus rapidement possible après la réception de sa lettre de rupture.</p> <p style="text-align: justify;">Juridiction spéciale, le Conseil de prud’hommes est compétent pour juger tout conflit survenant entre un salarié du secteur privé et son employeur à propos de l’exécution du contrat de travail ou de sa rupture.</p> <p style="text-align: justify;">Le Conseil des Prud’hommes compétent est celui dans le ressort duquel se trouve l’établissement où est effectué le travail. Si le travail est réalisé en dehors de tout établissement (VRP, travailleurs à domicile…), la demande est portée devant le Conseil de prud’hommes du domicile du salarié. En tout état de cause, le salarié peut toujours saisir le Conseil de prud’hommes du lieu de signature du contrat ou celui du siège social de l’entreprise qui l’emploie. Le siège social étant le siège réel des organes de direction de la société.</p> <p style="text-align: justify;">Un procès est toujours une épreuve, il convient donc de le préparer en ayant recueilli le maximum d’attestations et de pièces prouvant votre version des motifs de la rupture. Il convient également de se préparer à répondre éventuellement aux questions qui vous seront posées à la barre, toutefois il est parfois hasardeux de demander la parole sans avoir préparé ce que vous souhaitiez déclarer avec votre Conseil.</p> <p style="text-align: justify;"><b>-Le Bureau de conciliation</b></p> <p style="text-align: justify;">La tentative de conciliation est obligatoire et les parties (l’employeur et le salarié) doivent comparaître (se présenter) personnellement ou être représentés par un mandataire muni d’un écrit. Les deux juges (un salarié, un employeur) qui vous recevront n’entrent pas dans le fond du litige, ils cherchent juste à examiner si une conciliation est possible. Cette phase paraît souvent frustrante et rares sont les solutions trouvées, mais c’est une étape à ne pas négliger ; en effet, elle permet de jauger l’argumentation adverse.</p> <p style="text-align: justify;"><b>-La phase cruciale des échanges</b></p> <p style="text-align: justify;">Bien que la procédure reste en principe orale, l’échange d’arguments et de pièces est une étape importante. La communication des éléments est souvent tardive aussi il convient de préparer son dossier en amont pour ne pas être surpris.</p> <p style="text-align: justify;"><b>-Le Bureau de Jugement</b></p> <p style="text-align: justify;">Les parties sont convoquées à l’audience de jugement par lettre, ou verbalement avec émargement (signature) au dossier lors de l’audience de conciliation. Elles doivent comparaître en personne mais peuvent se faire représenter en cas de motif légitime.</p> <p style="text-align: justify;"><b>-Délibéré :</b></p> <p style="text-align: justify;">Le jugement est pris à la majorité absolue des conseillers prud’homaux (au minimum trois voix sur quatre).</p> <p style="text-align: justify;">En cas de partage des voix, l’affaire est renvoyée devant le même bureau présidé par un juge professionnel (juge départiteur). Dans cette hypothèse, l’affaire est de nouveau plaidée. En général, l’instance est ainsi retardée de six mois.</p> <p style="text-align: justify;"><b>-Exécution du jugement :</b></p> <p style="text-align: justify;">Une fois le jugement obtenu, les parties au procès peuvent exécuter spontanément le jugement ou le faire exécuter par voie d’huissier.</p> <p style="text-align: justify;"><b>-Recours :</b></p> <p style="text-align: justify;">L’appel est également ouvert durant 3 mois après la réception de sa notification.</p> <p style="text-align: justify;">Ce rappel des principales étapes procédurales de la rupture doit permettre de mieux appréhender cette juridiction particulière que constitue encore aujourd’hui le Conseil des Prud’hommes ; ils sont accusés de beaucoup de maux, mais ils sont surtout une justice humaine ou les faits ont parfois plus d’importance que le droit.</p> <p style="text-align: justify;">Aux prud’hommes, les histoires se content pour parvenir à atteindre le cœur des Conseillers prud’hommaux ; malgré tout, un solide dossier demeure un dossier préparé et étayé juridiquement.</p> <p style="text-align: justify;">Car, in fine, une victoire devant le Conseil des prud’hommes obtenue uniquement grâce à l’art oratoire sera infirmée en appel.</p> <p style="text-align: justify;"> </p>
Mahor CHICHEhttp://mahorchiche.blogspirit.com/about.htmlLa rupture conventionnelle expliquéetag:mahorchiche.blogspirit.com,2009-11-09:18505392009-11-09T20:40:00+01:002009-11-09T20:40:00+01:00 Normal 0 21 Normal 0 21 Dans les...
<p><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:DoNotOptimizeForBrowser /> </w:WordDocument> </xml><![endif]--></p> <p><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:DoNotOptimizeForBrowser /> </w:WordDocument> </xml><![endif]--></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Dans les conditions fixées par les articles L. 1237-11 à L. 1237-16 du Code du travail, issus de la loi n° 2008-596 du 25 juin 2008 « portant modernisation du marché du travail » (JO du 26 juin), l’employeur et le salarié peuvent convenir d’un commun accord des conditions de la rupture du contrat de travail qui les lie.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Avec la démission du salarié, le licenciement personnel ou économique, la résiliation judiciaire et la prise d’acte, il s’agit d’un nouveau mode de rupture du contrat de travail.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">La classique transaction s’en distingue par le fait que le licenciement est à ce stade déjà en cours.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Depuis l’été 2008, ce sont 150 000 ruptures conventionnelles qui ont été homologuées ; En mars 2009, ce sont 13 617 Contrats à Durée Indéterminées qui se sont terminés par le biais de la rupture conventionnelle.</span></p> <p class="Paragraphedeliste" style="margin: 7.5pt 0cm 7.5pt 36pt; background: white none repeat scroll 0% 0%; text-align: justify; text-indent: -18pt; line-height: normal;"><!--[if !supportLists]--><b><span style="font-size: 12pt;">1-</span></b> <!--[endif]--><b><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">La rupture conventionnelle,</span></b> <span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";"><b>Un projet ambitieux :</b></span></p> <p class="MsoNormal" style="margin: 7.5pt 0cm; background: white none repeat scroll 0% 0%; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Ce nouveau mode de rupture trouve sa philosophie dans la volonté d’apaiser la relation employeur salarié et en particulier sa rupture et sa caractéristique traumatique.</span></p> <p class="MsoNormal" style="margin: 7.5pt 0cm; background: white none repeat scroll 0% 0%; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">De même, l’idée est de permettre aux parties prenantes de mettre fin à la relation contractuelle sans perdre (trop de temps) et d’échapper aux méandres bureaucratiques.</span></p> <p class="MsoNormal" style="margin: 7.5pt 0cm; background: white none repeat scroll 0% 0%; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Surtout, comme en matière de divorce, il n’ait plus besoin d’alléguer une faute ou de trouver une justification à la rupture, la seule intention des parties suffit à autoriser la rupture. Pourvu qu’il s’agisse bien d’un choix libre et éclairé du salarié.</span></p> <p class="MsoNormal" style="margin: 7.5pt 0cm; background: white none repeat scroll 0% 0%; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">La Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la formation professionnelle (DDTEFP) qui reçoit le projet de rupture est censée garantir cette libre manifestation de la volonté de rupture du salarié.</span></p> <p class="MsoNormal" style="margin: 7.5pt 0cm; background: white none repeat scroll 0% 0%; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Enfin, il convient de voir dans ce projet, la volonté d’éviter les licenciements de complaisance issus d’un accord réciproque entre employeur et salarié et qui nuisent à l’ensemble de la société.</span></p> <p class="MsoBodyText"><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:DoNotOptimizeForBrowser /> </w:WordDocument> </xml><![endif]--></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:DoNotOptimizeForBrowser /> </w:WordDocument> </xml><![endif]--></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Le principal effet espéré étant la baisse du contentieux devant les Conseils de PRUD’HOMMES.</p> <p class="MsoNormal" style="margin: 7.5pt 0cm; background: white none repeat scroll 0% 0%; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";"><!--[if !supportEmptyParas]--> <!--[endif]--></span></p> <p class="Paragraphedeliste" style="margin: 7.5pt 0cm 7.5pt 18pt; background: white none repeat scroll 0% 0%; text-align: justify; line-height: normal;"><b><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">2-La rupture conventionnelle, une procédure scrupuleuse à respecter</span></b></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">La rupture conventionnelle est encadrée, ainsi de nombreuses étapes : rendez-vous entre le salarié et l’employeur, délai d’attente à respecter entre chaque entretien, et homologation par la DTTEFP.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">L’employeur et le salarié conviennent du principe d’une rupture conventionnelle lors d’un ou plusieurs entretiens.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Cette rupture résulte d’une convention signée par les parties au contrat, c’est-à-dire l’employeur et le salarié ; cette convention définit les conditions de cette rupture, notamment le montant de « l’indemnité spécifique de rupture conventionnelle » qui sera versée au salarié. Ce montant ne peut pas être inférieur à celui de l’indemnité légale de licenciement prévue à l’article L. 1234-9 du Code du travail. L’indemnité versée sera taxée comme une indemnité de licenciement classique.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Surtout, cette rupture assure au salarié de toucher les indemnités chômage, contrairement à la démission.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Cette convention fixe également la date de rupture du contrat de travail, qui ne peut intervenir avant le lendemain du jour de l’homologation de la convention par l’autorité administrative.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Sous cette réserve, les parties sont libres de fixer, à leur convenance, la date de la fin du contrat de travail.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">En principe, l’autorité administrative dispose d’un délai d’instruction de 15 jours ouvrables (c’est à dire que sont exclus les dimanches et les jours fériés), <span style="text-decoration: underline;">à compter de la réception de la demande</span>, pour s’assurer du respect de la liberté de consentement des parties et des conditions prévues par le Code du travail : respect des règles relatives à l’assistance des parties, au droit de rétractation, au montant minimal de l’indemnité spécifique de rupture conventionnelle…</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Il convient de noter que le temps d’analyse par la DTTEFP est souvent plus long qu’escompté et que parfois la date de rupture prévue est dépassée au moment de la réception de l’accord de l’homologation, en effet le courrier de l’employeur tarde trop souvent a être reçu par le bon service.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Il convient par conséquent de prévoir un délai bien plus important que les 15 jours théoriques minimum prévu. Malheureusement, cette prudence nécessaire n’est pas compatible avec le souci de rapidité qui avait été voulu.</span></p> <p class="MsoNormal" style="margin-left: 18pt; text-align: justify; line-height: normal;"><b><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">3- Faiblesse de la garantie des droits du salarié :</span></b></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">L’existence du consentement mutuel est garanti par la signature d’une convention, le délai de rétractation offert, et l’homologation prévue.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Selon le n° 1614 du 22 octobre 2009 de <i>Gestion Sociale La lettre hebdomadaire des dirigeants</i> mentionne « que les (…) <i>Entreprises et salariés maîtrisent bien les ruptures conventionnelles. À Paris, moins de 1% des dossiers traités par la direction départementale du travail de janvier à septembre 2009 ont été refusés. À peine 12 % des partants (ancienneté moyenne : cinq ans) ont sollicité l’assistance d’un représentant du personnel</i>." La DTTEFP a peu de moyens de contrôler la libre volonté du salarié, elle peut juste contrôler le respect du formalisme prévu (l'absence de liberté de consentement, le non-respect des règles de l’assistance, le respect du minimum légal quant au montant de l’indemnité de rupture perçue, le respect du délai de rétractation de 15 jours non respecté).</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Trop souvent, par volonté d’aller plus vite, les parties antidatent les premiers courriers faisant état de leur intention.</span></p> <p class="MsoBodyText"><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:DoNotOptimizeForBrowser /> </w:WordDocument> </xml><![endif]--> <span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">En théorie, la rupture ne peut être imposée par l’une ou l’autre des parties ; toutefois, qui peut dire si le salarié victime de risques psycho-sociaux à qui l’employeur daignerait offrir une porte de sortie ne risque pas de l’accepter au détriment de la juste réparation à laquelle il aurait droit devant le Juge prud’homal.</span></p> <p class="MsoNormal" style="margin: 7.5pt 0cm; background: white none repeat scroll 0% 0%; text-align: justify; line-height: normal;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Bien sur</span> <b><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman"; font-weight: normal;">chaque partie dispose d’un délai de quinze jours pour se rétracter et rendre ainsi nul et non avenu l’accord intervenu ; mais u</span></b><b><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman"; font-weight: normal;">ne fois le protocole signé, la rétractation est impossible puisque le visa des articles 2044 et suivants du Code Civil lui confère l’autorité de la chose jugée ce qui interdit toute saisine du Conseil des PRUD’HOMMES.</span></b></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">L'aggravation de la crise peut faire craindre que ce nouveau mode de rupture du CDI ne soit détourné par les entreprises pour supprimer des emplois, notamment de seniors, plutôt que de faire des licenciements plus complexes et coûteux.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-indent: 35.4pt;"><b><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";"><!--[if !supportEmptyParas]--> <!--[endif]--></span></b></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-indent: 35.4pt;"><b><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">4- Le salarié en rupture conventionnelle et les assurances</span></b></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Le salarié en rupture conventionnelle qui a souscrit une assurance sous la forme d’une garantie de salaire en cas de licenciement a aujourd’hui d’importantes difficultés à obtenir le dit versement.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">En effet, les assureurs s’acharnent à considérer que cette hypothèse n’est pas prévue dans le dit contrat au moment de sa conclusion, et que dès lors que le salarié a été partie prenante de la dite rupture, il y a consenti et ne peut bénéficier de l’application de l’assurance souscrite.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">Un large contentieux sur cette question devrait se développer.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><b><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";"><!--[if !supportEmptyParas]--> <!--[endif]--></span></b></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><b><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";">La rupture conventionnelle est ainsi très utile et utilisée, mais son régime demeure incertain.</span></b></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";"><!--[if !supportEmptyParas]--> <!--[endif]--></span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman";"><!--[if !supportEmptyParas]--> <!--[endif]--></span></p>
clemenceauhttp://front-europeen-et-republicain.blogspirit.com/about.htmlDES CALCULS SO BRITISHtag:front-europeen-et-republicain.blogspirit.com,2009-06-17:17803312009-06-17T18:26:35+02:002009-06-17T18:26:35+02:00 BA a essuyé une perte nette de 375 millions de livres (425 millions...
<p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Arial;">BA a essuyé une perte nette de <strong><span style="font-family: Arial;">375 millions de livres</span></strong> (425 millions d'euros) sur l'année achevée le 31 mars, contre un bénéfice de 712 millions un an plus tôt. La compagnie a énormément souffert de la crise économique, qui a fait s'effondrer le trafic de ses très lucratives classes supérieures</span></span></span></b></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Arial;">La compagnie aérienne britannique <strong><span style="font-family: Arial;">British Airways</span></strong> (BA) a appelé ses employés à suivre l'exemple de leur patron Willie Walsh et à <strong><span style="font-family: Arial;">travailler gratuitement</span></strong> une semaine à un mois, afin d'aider leur entreprise "à survivre",</span></span></span></b></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="color: black;"><span style="font-size: small; font-family: Arial;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Arial;">Ce que ne nous disent pas les articles du nouvel obs. et de Lci, c’est que cette forme de gestion avait commencé bien avant. En effet pour réduire la masse salariale B.A est prête à tout.</span></span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="color: black;"><span style="font-size: small; font-family: Arial;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Arial;"><span style="color: black;">Ainsi, comme nous le dit le site de la BBC, dans un premier temps, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span>L'idée a été lancée le mois dernier lorsque la compagnie a demandé au personnel d’être bénévoles pour un mois de congé non rémunéré, ou à travailler gratuitement pour l'époque. Cela a attiré plus de 1000 candidats</span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="mso-ansi-language: EN-GB;" lang="EN-GB" xml:lang="EN-GB"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Arial;">A moins que je ne comprenne mal l’anglais,il est marqué dans l’extrait <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« It asks staff to volunteer by the end of this month for between one week and one month of unpaid leave or unpaid work.</i>”</span></span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small; font-family: Arial;">Or volunterr veut bien dire bénévoles.Ce qu’en France nous pourrions plus facilement traduire par stagiaires !</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="color: black;"><a href="http://news.bbc.co.uk/2/hi/business/8102862.stm"><span style="font-size: small; color: #800080; font-family: Arial;">http://news.bbc.co.uk/2/hi/business/8102862.stm</span></a></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="color: black;"><span style="font-size: small; font-family: Arial;"> </span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Arial;">Cette proposition s'ajoute à une batterie de mesures d'économies déjà proposées par BA à ses employés. Depuis le mois dernier, le groupe leur propose, là aussi sur une <strong><span style="font-family: Arial;">base volontaire</span></strong>, de prendre des congés non payés ou de travailler à temps partiel, afin d'aider à <strong><span style="font-family: Arial;">réduire la masse salariale</span></strong></span></span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Arial;">Les dirigeants ont montré l’exemple <span style="color: black;">en annonçant qu'ils travailleraient pour rien pendant le mois de juillet.(il serait étonnant de voir les dirigeants d’une quelconque entreprises licenciant du personnel en France annonçant qu’il prend des congés sans solde)</span></span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small; font-family: Arial;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small; font-family: Arial;">Mais ce qu’on ne nous pas ou peu c’est que certains employés et syndicats ont dénoncé le plan, en disant que des améliorations dans la gestion de la compagnie aérienne auraient été une plus grande priorité</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><strong><span style="color: black; font-family: Arial;"><span style="font-size: small;"> </span></span></strong></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Arial;">D’autres part ça grince à B.A. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>puisque l'équipage de cabine et les bagagistes contacté par la BBC, a rejeté le plan</span></span></b></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small; font-family: Arial;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: Arial;">Deux remarques quant à cette affaire</span></span></b></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small; font-family: Arial;">1 ) Lorsque B.A a fait des bénéfices à tour de bras je ne suis pas certain, je pourrais toujours vérifié, qu’elle ai embauché autant qu’elle licencie aujourd’hui</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small; font-family: Arial;">2) Ceux qui nous rabâche sans cesse que les couts de la main d’œuvre sont trop élevés en France peuvent aller se rhabiller Quand une entreprise a besoin de main d’œuvre elle emploi, quand elle est en difficulté elle licencie…c’est bête comme le capitalisme mais c’est ce qui a permis de faire avancer l’économie.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small; font-family: Arial;"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: small; font-family: Arial;"> </span></p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlEntreprise textile Carremantag:bar-zing.blogspirit.com,2009-05-09:17531822009-05-09T15:45:00+02:002009-05-09T15:45:00+02:00 CARREMAN FAIT ECOLE
<p style="text-align: center;"><span style="color: #3366ff;"><span style="font-family: Arial,sans-serif;"><span style="font-size: x-large;"><b>CARREMAN FAIT ECOLE</b></span></span></span></p> <div style="text-align: center"><b><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/1042958308.jpg" target="_blank"><img src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/283125314.jpg" id="media-353924" alt="Carreman.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" name="media-353924" /></a></b></div> <p> </p>
Robert PAPINhttp://blog.robertpapin.com/about.htmlMon conseil de management aux entrepreneurs : Faut-il se séparer des hommes et des femmes de plus de 55 ans ?tag:blog.robertpapin.com,2009-05-01:17492182009-05-01T11:36:00+02:002009-05-01T11:36:00+02:00 "Comment va le monde, Môssieur ?" "Il tourne, Môssieur ". Cette réplique,...
<p><img src="http://blog.robertpapin.com/media/01/00/118334801.jpg" id="media-350806" alt="iStock_000005068740XSmall.jpg" style="border-width: 0; float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 1.4em;" />"Comment va le monde, Môssieur ?" "Il tourne, Môssieur ". Cette réplique, tirée d'une pièce de Jean-François Billetdoux, ravissait les Français dans les années 60. Aujourd'hui, vous ajouteriez volontiers : " Môssieur, il tourne de plus en plus vite et c'est pourquoi la vie est devenue si compliquée ".<br /> Si compliquée ? Certes oui, sauf si vous avez accepté l'idée que votre succès professionnel reposera de plus en plus sur votre capacité à lutter contre l'engourdissement qui, insidieusement, vous coupe de notre environnement et vous empêche ainsi de détecter puis d'exploiter les opportunités. La clé de notre réussite ? Votre curiosité, votre imagination et votre agilité intellectuelle.<br /> Ces qualités là peuvent se perdre à 20 ans car le système éducatif se charge bien souvent de les anesthésier. Elles peuvent également se régénérer ou se développer à n'importe quel âge c'est pourquoi il vous a sans doute été donné de rencontrer des hommes et des femmes de cinquante ans qui étaient devenus ou redevenus de grands dirigeants.<br /> Hélas ! Dans notre pays, nous considérons trop souvent que les gens de cinquante ans ont fait leur temps. <strong>Et dans notre pays nous clouons au pilori ceux qui ont échoué considérant qu'ils échoueront à nouveau si nous leur donnons un peu d'argent.<br /> Quel gâchis pour notre économie !</strong></p> <p>La moitié du corps professoral que j'avais constitué pour créer puis développer HEC Entrepreneurs était composé de dirigeants d'entreprise âgés de plus de cinquante ans qui ont réussi merveilleusement à développer la curiosité, l'imagination et l'agilité mentale de mes étudiants. Plus de la moitié des hommes et femmes mis en retraite anticipée possèdent également ces qualités qui leur permettraient d'aider leurs patrons de relever de nouveaux défis. En se débarrassant des " vieux compagnons " les entreprises se privent donc d'un capital parfois inestimable mais elles risquent aussi de démotiver ceux qui vont rester, et notamment l'encadrement. Comment peut-on en effet s'attacher à une entreprise qui pourrait demain vous remplacer par des personnes plus jeunes et moins bien payées ?</p> <p>Hélas ! l'importance excessive des prélèvements sociaux (et parfois aussi le refus de certains collaborateurs d'abandonner les avantages acquis) contraignent les entreprises à comprimer leur masse salariale pour résister à une concurrence internationale exacerbée par la crise économique. C'est probablement la raison pour laquelle la France figure parmi les nations les plus performante… pour la conception de machines capables de supprimer la main d'œuvre non qualifiée.</p> <p>Mais que faire pour éviter que les nécessités à court terme aient des répercussions néfastes à moyen terme ? Il ne m'appartient pas de suggérer une exonération des charges sociales pour les personnes de plus de 55 ans. Elles n'aimeraient guère qu'on les considère comme des assistées. Je me contenterai d'inciter les dirigeant à bien réfléchir avant de s'en débarrasser et suggérerai à ceux qui ont fait leur temps : "<em>demandez (ou exigez) de ceux auxquels vous avez tant donné qu'ils vous aident à prendre un nouveau départ. La retraite ne doit pas être considérée par vous comme la fin de votre vie professionnelle mais comme une opportunité pour relever de nouveaux défis. Et pour mettre toutes les chances de votre côté, cultivez votre curiosité, éviter de tuer votre imagination et préservez votre agilité intellectuelle en maintenant votre esprit en éveil. Si vous procédez ainsi vous aurez peut-être devant vous 15 ans, 20 ans pour vous éclater. Et si vous échouez, recommencez, recommencer jusqu'à ce que ça marche. Et si ça ne marche pas, soyez fiers d'avoir osé</em>".</p> <p> </p> <p><strong>Licencier des collaborateurs de plus de 50 ans pour les remplacer par des jeunes sous-payés, n'est-ce pas le meilleur moyen pour détruire la rentabilité future de l'entreprise mais également la motivation de tous ses collaborateurs ? </strong></p>
clemenceauhttp://front-europeen-et-republicain.blogspirit.com/about.htmlSARKOZY NE DEGRAISSE LA GRANDE MUETTEtag:front-europeen-et-republicain.blogspirit.com,2008-06-16:15758502008-06-16T17:10:28+02:002008-06-16T17:10:28+02:00 Livre blanc défence 1994-2003 2ème_partie.pdf Les conclusions du Livre...
<a href="http://front-europeen-et-republicain.blogspirit.com/media/02/02/5c2dad824e409c6e084cdcb0a76c1fad.pdf" id="media-208502">Livre blanc défence 1994-2003 2ème_partie.pdf</a><strong>Les conclusions du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale n’ont rien de surprenant.Elles étaient même prévisibles. Il suffit pour cela de lire le précédent livre blanc qui couvrait la période de 1994 à 2003 et qui avait donc été fait par la même majorité pour se rendre compte de certaines incohérences.Incohérences non dénoncées par les socialistes en leur temps Ainsi dans le précédent livre blanc il est marqué noir sur blanc que la France est attachée</strong><strong>Au service national : un cadre nécessaire.</strong>La conscription, par le potentiel qu’elle recèle, est et sera en mesure de fournir les ressources humaines qui rendront possible le format des armées permettant de faire face, avec l’ensemble de ces moyens, aux risques du futur.Le service national demeure le meilleur gage de l’attachement de la nation et des citoyens à leur défense. Il renforce ainsi la crédibilité de la dissuasion exercée par les forces nucléaires qui dépend, aussi, de la détermination que les Français montrent à préserver leur existence. Il conforte la légitimité des actions extérieures que la France engage, au nom du respect de droit, des droits de l’homme, de la démocratie. La conscription est, également, un moyen qui permet de fournir des réserves, riches notamment d’un nombre de spécialistes suffisant. Ce faisant, la conscription autorise aussi l’une des conditions essentielles d’une éventuelle constitution de forces etd’un changement de format.De même, la conscription joue un rôle important pour la défense du territoire à laquelle l’ensemble de la population est ainsi directement associée. La participation d’unités militaires, composées d’appelés, à la défense civile, et notamment aux missions de service public, telles que la protection des populations et des biens, renforce ce sentiment d’osmose.Enfin, chacun a pleinement conscience du rôle que le service militaire a joué dans la création de l’identité nationale et dans la défense de Face aux difficultés inhérentes, à la fois, à la polarisation urbaine de l’espace fiançais et aux atteintes à la cohésion sociale et si une telle situation ne saurait justifier, à elle seule, le maintien du service national, celui-ci contribue déjà à la lutte contre les exclusions. Il doit demeurer un creuset d’intégration, une école de civisme, un modèle d’appartenance des à la France. <strong>Ce dont n’a pas voulu tenir compte Jacques Chirac et que la Gauche n’a pas exploité lors du passage à l’armée de métier</strong><strong>Ce livre blan souligne les contraintes de l’armée de métier</strong>L’armée de métier ne permettrait pas de répondre à l’ensemble des missions déjà évoquées, sauf à imaginer des dépenses budgétaires et un flux d’engagements qui paraissent déraisonnables, voire hors de portée.<strong>Pour la seule armée de terre, un format de 230 000 hommes permet dans les conditions actuelles, d’affecter 130 000 hommes environ dans les formations opérationnelles,</strong> si l’on tient compte des participations extérieures interministérielle...), des effectifs indisponibles, des effectifs du soutien et de l’administration. <strong>Ce montant est juste suffisant pour répondre aux missions</strong>, compte tenu des nécessaires relèves et de la multiplication de nos engagements. <strong>Faudrait donc, dans l’hypothèse d’une professionnalisation généralisée, prendre en charge un volume important d’engagés</strong>, <strong>Outre cette difficulté budgétaire, l’armée de métier pose une réelle difficulté de recrutement</strong>. <strong>Elle implique un doublement, voiré -pour l’armée de terre un triplement des flux de recrutement d’engagés.</strong> La part actuelle de personnels de carrière ou sous contrat n’est en effet que de 43 % dans l’armée de terre (62 % pour l’armée de l’air, 71 % pour la marine, 86 % pour la gendarmerie). Or, sur 20 000 engagés annuels, une moitié souscrit son engagement lors de son incorporation au service national cèlui-ci apparaît donc comme une source de recrutement difficilement remplaçable. Par ailleurs, le recrutement pour les 100 000 emplois à caractère non-militaire occupés par des appelés spécialistes et souvent de haut niveau devient aléatoire, à moins de recourir à l’emploi de civils, ce qui augmenterait le évoqué plus haut.Le Livre blanc d’aujourd’hui ne repends pas des conclusions existantes il y a près de 15 ans.Si effectivement nous voulons une armée de métier, cela coute extrêmement cher et<strong> ce n’est pas 54 000 postes qu’il faut supprimer mais prés du double</strong> (je ne met pas prêt du double par gaité de cœur mais entre 95 et aujourd’hui les salaires ont progresse chaque année et la masse salariale est beaucoup plus importante il faut donc en supprimer d’avantage) !En effet le rapport arrivent d'aujourd'hui arrive à peu pret au meme chiffre que celui de 1994 alors que le budget total a été réduit de 20 % et ce sans tenir compte "du volume important d'engagés qu'il serait necessaire de prendre en compte" En fait pour professionnionaliser complétement l'armée Il faudrait au maximum 160 000 à 180 000 hommes ExtraitL’hypothèse d’un format nettement inférieur pour l’armée de terre, de 160 à 180 000 hommes, serait probablement compatible avec les possibilités de recrutement. Mais ce format, s’il permettrait, en concentrant les effectifs en question sur les forces opérationnelles, de répondre aux missions envisagées, supposerait de confier l’ensemble des autres missions personnel civil. <strong>Cette nouvelle configuration est à l’évidence, en rupture profonde avec toute l’histoire et les modes de vie et de fonctionnement de l’armée de terre pour n’évoquer que cette arméeOutre le recrutement des engagés, le choix d’une armée de métier suppose celui d’un grand nombre de civils pour remplacer les conscrits.</strong> Il nécessite donc un fort accroissement des dépenses de personnel au détriment des dépenses d’équipement et d’investissement.<strong> La masse salariale, hors charges sociales, d’un échantillon hiérarchisé de 1 000 personnes est ainsi de 195 aux Etats-Unis et de 273 en Grande-Bretagne par rapport à une base 100 en France</strong>. Aussi un passage à l’armée de métier dans notre pays, à effectifs comparables, impliquerait-il de bouleverser l’équilibre entre les dépenses de fonctionnement et d’investissement du budget de la défense, avec d’inévitables conséquences sur l’industrie de la défense.Pourquoi je veux revenir à la conscription !1) Pour des raisons historiques La nation en armes : les décrets de 1793 et la loi Jourdan de 1798 ne peuvent se comprendre si l’on ignore la naissance dune nouvelle société qui fait aussi du citoyen un soldat qui fait triompher ses principes à travers l’Europe qui suit un mouvement, une histoire bouleversée.L’armée républicaine issue de la révolution et fondée sur ce devoir qu’a tout Français de contribuer à la défense de son pays, quelle que soit la forme qu’elle prenne, au des années, a traversé deux siècles dont bien des moments ne furent pas loin s’en faut harmonieux. Mais que le peuple français demeure, tout compte fait, responsable de sa défense, est le principal vecteur de l’esprit de défense qui unit l’Armée à la Nation dont elle est à la fois, le prisme et le miroir ce qui fait que l’on ne peut concevoir l’une sans l’autre.Cet esprit de défense est fondé sur un patriotisme ouvert, qui défend à travers la France des valeurs universelles : pour cette raison, il n’est vraiment fort et assuré que lorsqu’il unit la nation tout entière. C’est dire l’importance de l’esprit civique.Le service militaire demeure l’épine dorsale du service national. Il lui confère sa légitimité.Au total les formes civiles et les protocoles représentent, en 1994, un effectif de 27 000 annelés, soit près de 10 % du contingent.C’est surtout pour l’armée la possibilité d’effectuer un recrutement gratuit !Enfin cela permettra de faire plus d'investissement dans le matériel . Que se soit au niveau national ou européen l'essentiel est de faire mieux que les américains et d'exporter ! Mais l'ingénieurie et la recherche nous le savons coute extrémement cher .<strong>Il faut faire des choix . A long terme. Et qui rapportent. Nous avons déjà fait Ariane pourquoi pas des armements européens !</strong>
JPChttp://necronomie.blogspirit.com/about.htmlKärchertag:necronomie.blogspirit.com,2007-03-12:31544012007-03-12T21:25:00+01:002007-03-12T21:25:00+01:00A mes lecteurs marketeurs, qui pouraient trouver ce blog trop théorique, je...
A mes lecteurs marketeurs, qui pouraient trouver ce blog trop théorique, je voudrai soumettre cette étude de cas qui vous éclairera sur le business model du Nécronomiste et l'extrême vulnérabilité des Marques. <br /><br />Dans le figaro de ce jour, une demi page de publicité :<br />.<br />« <em>Face à l’utilisation répétée de notre marque loin de notre univers de communication habituel, nous souhaitons prendre la parole afin de lever tout malentendu, toute imcompréhension et tout quiproquo qui pourraient être liés à l’emploi de notre nom. »<br />La société Kârcher sort aujourd’hui de la discrétion car elle ne peut se reconnaître dans les propos et amalgames récents auquels est associés son nom… »<br />Par respect pour l’ensemble des personnes qui travaillent à nos cotés de notre entreprise nous avons décidé de réaffirmer ce qui fait la notoriété et la popularité de la marque Kärcher…</em> »<br /><br /><br />Il aura fallu , une phrase de 15 seconde de notre ministre le plus libéral, reprise dans les médias pour porter préjudice à une marque crée il ya 70 ans par Alfred Kärcher et adoptée par plusieurs générations de français.<br />Le gouvernement sera –il responsable des licenciements chez Karcher ?<br />N'est ce pas un dossier qui justifie l'intervention d'un Nécronomiste ?<br />.<br />