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Voir les dernières notes mises à jour Tag : jacques sicard

Dernières notes publiées

  • LE ROMANESQUE DEVENU FOU

    Figure noire de la psychanalyse, à qui l'on pourrait attribuer que "la vie est une maladie en pleine expansion", Freud est "inconsciemment" mélodramatique. Et sinon pourquoi le désarroi du regard mercuriel de Montgomery Clift pour mieux que tout autre l'interpréter ? A ses yeux, l’homme... Lire la suite...

    Publié le 14/05/2012 dans C I N E M A T I Q U E

  • ET TREMBLE D'ETRE HEUREUX

    C'est à partir de blocs de scènes hétérogènes que se monte le cinéma de Paul Vecchiali. Neutralisant ainsi la constitution de l'unité, substance de la réalité. Pour lui, il l'a dit, ce qui n'est pas dialectique, et une dialectique sans l'apaisement d'une synthèse, est vulgaire. Vulgaire l... Lire la suite...

    Publié le 03/05/2012 dans C I N E M A T I Q U E

  • SPLENDEUR ET MALFAISANCE

    Serait-ce pour tromper une vie de suif et l'incroyable pitrerie qui aujourd'hui en règle la quotidienne déconfiture, à savoir l'intendance, puisque l'économie n'est que la puissance de l'intendance, le pouvoir des casseroles - que Twixt réunit Coppola, Poe, Odilon Redon, soit le temps im... Lire la suite...

    Publié le 26/04/2012 dans C I N E M A T I Q U E

  • A JAMAIS

         Twixt est la contraction de betwixt qui signifie : entre. Entre est l'anagramme partielle d'éternité. L'éternité est une absence de temps sise entre tous les temps possibles et qui ne sont possibles que par cet entre-là. Où chaque temporalité  un jour ou l'autre ent... Lire la suite...

    Publié le 23/04/2012 dans C I N E M A T I Q U E

  • L'ULCERATION ET LA SUTURE

       Rien ne peut faire qu'on ne se retrouve un jour sur les chemins. Parfois, une déception amoureuse nous y jette. Peut-être au XVIIIème siècle, dans la campagne idéalisée de Gainsborough ou de Richard Wilson. Comme si elle avait été peinte à seule fin de masquer la sauvagerie cons... Lire la suite...

    Publié le 10/04/2012 dans C I N E M A T I Q U E

  • NIHILISTE EN SON PRINCIPE

          Les formes générées par la technique cinématographique ne produisent un si puissant effet de reconnaissance (dû à l’enregistrement) que pour mieux en nier les conséquences (via sa grammaire, pourtant sommaire).    Que ce soit par le moyen... Lire la suite...

    Publié le 02/04/2012 dans C I N E M A T I Q U E

  • RIEN DE NATUREL

    Le rouge gorge qui l'hiver picore la boule de graisse qu'on lui laisse. Il sautille, pique, observe, s'envole à deux pas puis revient et recommence son manège. Il ne se méfie de personne. Il arrive même qu'il la suive : cela n'en fait pas un ange gardien. Parfois, sa tête guetteuse semble op... Lire la suite...

    Publié le 26/03/2012 dans C I N E M A T I Q U E

  • LE DRAME DES CHOSES

       Le jardin ; la maison, à travers un essaim de moucherons ; la fenêtre où le soleil grésille mais dont seule la courbure du verre, avec son effet de moire, rend justice à l’idée de l’arc-en-ciel ; les murs bruts, nus, habités par la volonté positive d’être des mur... Lire la suite...

    Publié le 19/03/2012 dans C I N E M A T I Q U E

  • ARIANE MENT

    Maigrichonne Ariane, que l’on ne saurait par où saisir pour avoir quelque chose sous la main, Ariane a un crâne qui affleure sous la peau – mais une peau dont le grain est de beauté – la beauté même – celle qui ment – et Ariane ment – elle ment, comme la beauté qui ne dure pas – elle ment d’... Lire la suite...

    Publié le 12/03/2012 dans C I N E M A T I Q U E

  • OMBRES FRIABLES

          La Taupe de Tomas Alfredson ne vaut que pour son atmosphère poussiéreuse que sécrètent les personnages qui la respirent. Personnages tels que des sculptures de sombres grains lentement érodées par un dur rayonnement intérieur. Et dont l’univers est la condensa... Lire la suite...

    Publié le 05/03/2012 dans C I N E M A T I Q U E

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