Last posts on gouvernance2024-03-29T13:00:43+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/gouvernance/atom.xmlHECFEhttp://hecfe.blogspirit.com/about.htmlLe capitaine et la vigie, le 10 mai 2010tag:hecfe.blogspirit.com,2014-12-27:30319952014-12-27T13:19:00+01:002014-12-27T13:19:00+01:00 Rôles et missions du Directeur financier dans la Gouvernance d’entreprise :...
<p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">Rôles et missions du Directeur financier dans la Gouvernance d’entreprise : le capitaine et la vigie</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">Une manifestation conjointe des Groupements HEC Finance d’Entreprise et HEC Gouvernance, de la DFCG et de l’Institut Français des Administrateurs, avec le concours du Cabinet Orrick, publiée dans la revue Hommes et Commerces ainsi que dans Echnages, mensuel de la DFCG</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">Par Jack Aschehoug (H. 72) </span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">Cette première expérience de « fertilisation croisée » des organisations invitantes (selon le mot d’accueil de Sylvie Bretones, Présidente du Groupement HEC Finance d’Entreprise et membre du bureau DFCG IdF) mettait en présence Xavier Fontanet, Président du Conseil d’administration d’Essilor et Dominique D’Hinnin, co-gérant du Groupe Lagardère et Président du Club des Trente, avec, comme modérateurs, Olivier Casanova et Jean-Florent Rérolle.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">En préambule, Daniel Bacqueroët, Président de la DFCG, a souligné que la participation des directeurs financiers à des Comités d’audit, notamment d’autres groupes que le leur, est un thème majeur de réflexion pour l’Association en 2010. Alain Martel, Secrétaire Général de l’IFA a rappelé, de son côté, l’intérêt de l’IFA et ses différentes publications sur ce thème. </span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">Dans son propos introductif, Fabrice Patrizio (Cabinet Orrick) a défini à grands traits le cadre juridique du débat. L’Ordonnance de 2009 est en quelque sorte la version 2.1 du concept de Gouvernance, les rapports successifs de MM. Cadbury, Viénot et Bouton, en ayant constitué la version 2.0. La Gouvernance est aujourd’hui un corpus de règles juridiques, avec des organes sociaux chargés de leur mise en œuvre : parmi eux, le Comité d’Audit, exclusivement constitué d’Administrateurs, relève donc de la responsabilité de droit commun des Administrateurs. Le Directeur financier reste juridiquement un salarié de l’entreprise, bien qu’étant au cœur du dispositif, notamment parce qu’il prépare la communication financière de l’entreprise. Dans ce domaine de la communication financière, d’ailleurs, le Conseil d’administration n’est pas lui-même acteur : il ne fait que contrôler la manière dont elle a été préparée. Ainsi, les frontières des responsabilités respectives du Conseil d’administration, des mandataires sociaux et du Directeur financier sont délicates à tracer.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">Xavier Fontanet se définit lui-même comme un opérationnel, non comme un théoricien. Devenu Président Directeur Général d’Essilor en 1996, il a occupé cette fonction jusqu’en 2009, date à laquelle il a cessé d’en être le Directeur Général : il est depuis Président du Conseil d’administration. Pour lui, le Directeur Général est doté des pleins pouvoirs par le Conseil d’administration, et c’est notamment lui qui nomme le Directeur financier. Le Président du Conseil d’administration, quant à lui, doit veiller au bon fonctionnement du Conseil, en s’assurant en particulier que les Administrateurs sont recrutés pour leur compétence, non à raison de leur appartenance à une nomenclature plus ou moins prestigieuse. Dans le domaine financier, les rôles sont complémentaires et répartis entre le Directeur financier, le Comité d’audit, et les Commissaires aux comptes..</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">De son côté, Dominique D’Hinnin est frappé par trois éléments. Tout d’abord, les situations sont extraordinairement diverses, en fonction de la taille, du statut juridique, de l’existence ou non d’un contrôle majoritaire de l’entreprise. Ensuite, la fonction de Directeur financier a énormément évolué au cours des vingt dernières années. Enfin, le formalisme tend à l’emporter sur le fond : un avis positif de juriste risque de tenir lieu de justification d’une décision, dont le bien-fondé n’est, du coup, pas remis en question. La Gouvernance oblige à formaliser des règles et à être en mesure d’en justifier le respect vis-à-vis des organes de contrôle. Mais, aucun corps de règles ne saurait remplacer la « vertu » nécessaire des acteurs :, Enron ou Parmalat paraissaient exemplaires sur le plan des normes internes, mais leur management reposait sur le mensonge généralisé.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">Xavier Fontanet partage bien sûr ce point de vue. Au-delà des Codes, la transparence est un élément indispensable. Dans le domaine des normes de fonctionnement, Essilor a beaucoup appris de son passage dans l’orbite du groupe Saint-Gobain, actionnaire important de la société entre 1987 et 2009 : l’insertion dans ce groupe multinational a encouragé la Société à passer de l’informel au codifié. L’éloignement du groupe a constitué un virage stratégique considérable, lors duquel le Conseil d’administration a eu à jouer un rôle tout à fait déterminant : d’où l’intérêt de disposer au sein du Conseil d’un aréopage de personnalités sélectionnées essentiellement à raison de leur compétence.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">Répondant à une question de Jean-Florent Rérolle, Dominique D’Hinnin affirme que le Directeur financier n’est ni le stratège exclusif de l'entreprise, ni un mandataire social. Sa mission se trouve en revanche renforcée par l’émergence du Comité d’audit. La communication financière l’amène à répondre aux questions des différents publics d’investisseurs financiers… mais son travail fondamental est la mise en œuvre du contrôle interne. Il doit être aidé en cela par le Directeur juridique, et encadré à la fois par les Commissaires aux comptes et par le Comité d’audit.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">Comment définir ce qu’il faut entendre par « personnalité compétente » pour faire partie du Comité d’audit ? A cette question, posée par Mme Viviane Neiter, Présidente de l’Association Pour la Promotion de l’Actionnariat Individuel, Xavier Fontanet dresse une sorte de portrait : une personne dotée de compétences techniques reconnues, et d’un tempérament indépendant marqué, les deux éléments étant liés dans son esprit (« l’indépendance découle de la compétence ») ; par ailleurs, l’expérience forge la compétence, et il faut se garder de désigner des personnes trop jeunes (« le temps se venge toujours de ce qu’on fait contre lui »). </span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">A la question d’Olivier Casanova : « Le Directeur financier devrait-il faire partie du Conseil d’administration ? » Dominique D’Hinnin répond par la négative, sauf parfois dans le cas particulier des sociétés à contrôle majoritaire familial. Par ailleurs, le Directeur financier ne doit pas être l’interlocuteur unique du Comité d’audit : le Comité doit aussi auditionner le responsable du Contrôle interne. Quant à savoir s’il a un « devoir d’alerte » vis-à-vis du Conseil d’administration, la réponse est là aussi négative : le « devoir d’alerte » en question doit être exercé vis-à-vis du Directeur général, pas vis-à-vis du Conseil d’administration.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">Pour sa part, Xavier Fontanet, est d’avis que le Directeur général ne doit pas participer au Comité d’audit : chargé de contrôler les résultats de la gestion du Directeur général, le Comité doit pouvoir le faire en toute indépendance vis-à-vis de celui-ci. En revanche, le Directeur financier, tout comme le responsable du Contrôle interne, doivent en être les interlocuteurs permanents. Le Président doit s’assurer que le Comité d’audit a les moyens de sa mission et que l’entreprise est ouverte à ses demandes. </span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">Quelle attitude tenir en cas de conflit entre le Directeur financier et le Directeur général à propos d’orientations contraires à l’intérêt des actionnaires que ce dernier prendrait ? Les deux orateurs conviennent qu’il s’agit de situations extrêmes horribles à vivre et à gérer. Le Directeur financier se doit d’abord d’essayer de persuader le Directeur général de revenir sur ses décisions : sinon, il se rend complice de la situation. Au-delà, et en cas d’échec : démissionner ? Saisir le Conseil d’administration, voire les actionnaires principaux (quand il en existe) ? Alerter les Commissaires aux comptes ? Aucune solution n’est satisfaisante, ni d’ailleurs généralisable : la réponse doit dépendre des situations et personnalités respectives, et du degré de transparence prévalant entre les différents acteurs.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">Pour Xavier Fontanet une forte présence d’un actionnariat salarié favorise grandement.la transparence. Chez Essilor, la généralisation de l’actionnariat salarié facilite l’échange des informations entre les niveaux locaux et le niveau central : l’Assemblée générale de Valoptec, association qui réunit les salariés actionnaires, délibère chaque année et se prononce à bulletins secrets sur les orientations stratégiques présentées par le Directeur général. Et pour que cet actionnariat salarié ait du sens, il faut que l’investissement de chaque salarié représente une fraction significative du patrimoine de chacun.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;">Ceci étant, pour Dominique D’Hinnin, aligner la situation patrimoniale des salariés sur le cours de bourse de l’entreprise a ses limites, car la Bourse : « …çà va, çà vient ! ». Aussi bien Xavier Fontanet estime-t-il qu’il doit s’agir d’un mécanisme d’accumulation très progressif, étalé sur l’ensemble de la carrière au sein de l’entreprise, dans lequel l’implication doit croître avec le rôle dans la société.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: x-small;"> </span></p>
Goseinhttp://semanticien.blogspirit.com/about.htmlGouvernance.tag:semanticien.blogspirit.com,2014-12-01:30236472014-12-01T09:05:00+01:002014-12-01T09:05:00+01:00 Il est du devoir pour ceux qui possèdent une quelconque influence objective...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Il est du devoir pour ceux qui possèdent une quelconque influence objective de montrer du doigt les dysfonctionnements, les erreurs, les fautes, les malversations, de la « gouvernance » actuelle, des précédentes et dévoiler les ambiguïtés des propositions de ceux qui prétendent à une gouvernance future. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"> L’erreur est humaine dit-on ! Persister dans l’erreur est diabolique !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Ouvrons les yeux ne nous laissons plus enfumer par des idéologues de toute obédience. Laissons nos émotions au vestiaire, ne nous fions pas au physique, aux belles paroles des uns et des unes. Soyons sceptiques, portons sur les événements, les pratiques, les gens qui aspirent à nos futurs suffrages, NOTRE regard, NOTRE main.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Soyons exigeants, ne laissons RIEN passer, demandons systématiquement des comptes….et nous aurons une petite chance d’avoir des élus qui œuvrent pour NOUS çà nous changera de ceux qui roulent pour eux, leur plan de carrière, leur enrichissement…entre amis !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Francis NERI</span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"> 01 12 14</span></p>
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlValoriser l'immatériel : le Capital Gouvernancetag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2014-10-12:30185682014-10-12T20:05:00+02:002014-10-12T20:05:00+02:00 A investissement identique, deux actionnaires peuvent avoir une valeur très...
<p><strong>A investissement identique, deux actionnaires peuvent avoir une valeur très différente pour l'entreprise</strong> : au-delà du fait qu'ils sont détenteurs de tout ou partie du capital, <strong>les actionnaires sont porteurs d'une part de valeur immatérielle qui correspond à leurs qualités propres</strong>.</p><p>Ces qualités remarquables, parce qu'utiles à l'entreprise, sont de tous ordres :</p><p>- <strong>capacités financières supplémentaires</strong> susceptibles de soutenir des projets de développement et de financer durablement la croissance, interne ou externe </p><p>- <strong>capacité à accepter l'évolution et la consolidation de l'entreprise dans la durée</strong> plutôt qu'à exiger un retour sur investissement immédiat : lorsque les actionnaires exigent beaucoup de valeur ajoutée à court terme, tout investissement à moyen ou long terme est amputé et les actions dont les conséquences financières sont immédiatement visibles sont privilégiées, au mépris, bien souvent, du capital immatériel (capital humain, R&D, informatique de gestion...).</p><p>- <strong>capacités en matière d'élaboration d'une véritable stratégie propre à pérenniser l'entreprise</strong> et à l'adapter à ses environnements divers (environnements concurrentiels, législatifs, commerciaux...).</p><p>- <strong>capacité en terme de notoriété</strong> : un actionnaire dit "de référence" inspire confiance aux acteurs externes de l'entreprise (banquiers, fournisseurs, clients...) comme aux acteurs internes (salariés, encadrement...)</p><p>- <strong>capacité en terme d'influence</strong> : un actionnaire influent pourra obtenir des marchés pour l'entreprise et promouvoir ses activités en dehors du cadre classique des actions menées par l'interne.</p><p>Comme toute valorisation d'actifs immatériels, certains experts-comptables vont considérer l'évaluation du Capital Gouvernance comme "la bouteille à l'encre" des évaluations... cela peut néanmoins être assez simplement traduit en chiffres, ne serait-ce qu'en faible pourcentage des gros marchés obtenus ou à obtenir qui seraient directement liés à la nature et à l'interventions des actionnaires. Peut s'y rajouter une part, même infime, des résultats supplémentaires obtenus grâce au développement largement financé par des augmentations de capital successives...</p><p>Ainsi, la gouvernance peut jouer un rôle essentiel dans l'évolution des entreprises comme dans la dimension qu'elle accorde à leurs projets, comme le couple propriétaire-armateur est essentiel dans l'exploitation d'une flotte de bateaux.</p><p>Les entreprises doivent devenir plus agiles et créatives pour faire face à leurs environnements : <strong>en tant que dirigeants, nous nous devons aussi d'être plus proactifs, agiles et créatifs en matière de gestion et de la valorisation de nos entreprises</strong>. A ce sujet, je vous rappelle mon article de 2012 concernant la nécessaire attention que l'on doit porter à son profil bilanciel afin de permettre à tous les efforts quotidiens d'être plus visibles et de concourir plus directement à la crédibilité de l'organisation en affichant ses compétences :</p><p> <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff;">http://lentrepriseperenne.blogspirit.com/archive/2012/05/24/consolider-son-haut-de-bilan.html</span></span></p><p><span style="color: #000000;">Nos entreprises sont riches de qualités diverses qui peuvent avoir de réelles incidences sur leur devenir et nous devons pouvoir afficher cela à l'actif de nos bilans afin que la photographie du patrimoine qu'ils représentent en soit le reflet fidèle et significatif.</span></p><p><span style="color: #000000;">Il nous restera à traiter le Capital Organisationnel et le Capital Humain... the last, but not the least avant de développer plus longuement l'holocratie en tant que modèle organisationnel incontournable dans nos entreprises de demain.</span></p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p>
Goseinhttp://semanticien.blogspirit.com/about.htmlSouveraineté populaire et démocratietag:semanticien.blogspirit.com,2014-08-28:30145962014-08-28T10:00:00+02:002014-08-28T10:00:00+02:00 Etymologiquement, "démocratie" signifie "le pouvoir au peuple", autrement...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Etymologiquement, "démocratie" signifie "le pouvoir au peuple", autrement dit la participation de tous les citoyens aux décisions sur les sujets d'intérêt collectif. L'origine grecque du mot s'explique par l'importance historique de l'exemple donné par la démocratie athénienne dans l'Antiquité. Tous les citoyens d'Athènes étaient amenés à se réunir pour décider de la gestion des affaires communes.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Les notions de "démocratie" et de "souveraineté populaire" sont pratiquement synonymes, à condition de ne pas assimiler la souveraineté populaire au seul principe du suffrage universel, qui ne suffit pas à garantir un mode démocratique de gouvernement, du fait, par exemple, que les candidats à la gouvernance ont depuis longtemps pris conscience qu’il suffisait de désinformer et de "déséduquer" un peuple pour le priver de sa souveraineté et de faire une fois au pouvoir l’inverse de ce sur quoi ils se sont engagés.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Le Président Hollande en est le dernier et le parfait exemple.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Cela conduit à souligner l'importance de la nature de l'information transmise par le système éducatif et par les médias aux citoyens et aux futurs électeurs.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Cela pose aussi la question de la place des minorités, et de leur importance compte tenu, au mieux de leur faible poids électoral, au pire, de leur absence totale de participation à la vie politique.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">L’exemple de l’absence totale d’influence politique du Front National sur le « système » est éloquente.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Enfin, le droit de vote des étrangers par exemple, reste une menace sur la souveraineté nationale. Agitée périodiquement par les tenants du multiculturalisme et du mondialisme qui, en cela, souhaitent « diluer » la souveraineté populaire et nationale pour mieux la manipuler et « transformer » le peuple de France.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Celle-ci doit rester assimilée à la souveraineté nationale si l’on veut conserver l’essence même de l’identité et de la « qualité intrinsèque » d’un peuple.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Cela pose aussi la question du « retour » de l’information (rétroaction) qui dépend de la « qualité » de celle-ci et non pas de sa quantité.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">La manipulation de l’information, de l’éducation, de la réalité historique, ont atteint un tel niveau de désinformation que nous pouvons considérer que c’en est fini de la démocratie et du peuple souverain.</span><br /> <br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"> En conclusion, nous pouvons affirmer, avec force et conviction, qu’il nous appartient, après avoir libéré la France de ses oligarques, de libérer les médias et l’éducation nationale. </span><br /> <br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"> Notre premier devoir serait d’apprendre au peuple à DISTINGUER, à porter sur les choses, les gens, les événements SON regard et ensuite SA main !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Je rappellerai donc, une nouvelle fois, un des « NON AXIOME » du Systémicien : « S’élever pour mieux voir, relier pour mieux comprendre, distinguer pour mieux agir »</span><br /> <br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"> Francis NERI</span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"> 28 08 14</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"> </span></p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlUne gouvernance mondiale par ordinateurs?tag:leshommeslibres.blogspirit.com,2014-04-26:32990782014-04-26T17:19:00+02:002014-04-26T17:19:00+02:00 Le sentiment d’appartenance Toute gouvernance suppose une...
<p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/01/2033750580.jpg" target="_blank"><img id="media-168382" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/00/3921400103.2.jpg" alt="monde,gouvernance,gouvernement mondial,nationalisme,régions,oligarchie,frontières,élection,délégation,compétition,appartenance,planification" /></a>Le sentiment d’appartenance</span></strong></p><p class="p2" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Toute gouvernance suppose une administration. Il faut collecter l’impôt, entretenir les routes, lever les poubelles, attribuer les subventions, entre autres. Imaginons donc un gouvernement mondial, situé par exemple en Amérique du sud. Il prend des décisions d’ordre général, planifie les besoins alimentaires et assure la police entre les anciens pays et grandes régions - car rien ne démontre que les humains ne tenteraient pas de se battre entre eux. Les grandes régions - anciens Etats souverains ou entités nouvellement créées - disposent à leur tour d’une administration, ne serait-ce que pour les tâches de police locale, de cadastre et de levée des poubelles, etc.</span></p><p class="p2" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Et ainsi, de palier en palier, jusqu’à des entités petites pouvant correspondre aux anciennes communes.</span></p><p class="p2" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">On remarque qu’une organisation mondiale unifiée n’est pas très différente de la situation actuelle, avec la différence qu’il n’y a plus de pays, de nations, d’Etats souverains. Mais il y a des groupes répartis sur des territoires administratifs avec une administration. Et donc de possibles compétitions économiques régionales.</span></p><p class="p2" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Jusque là pourquoi pas? Le fédéralisme fait ses preuves dans des Etats souverains, il pourrait sans doute le faire au niveau mondial. Mais une gouvernance mondiale impose une mentalité unifiée de la part des responsables des administrations comme des citoyens. Aux premiers elle demande une parfaite neutralité dans les planifications et la répartition des subventions ou des infrastructures. Il ne peut plus se trouver de clans, de partis politiques, d’idéologies différentes qui induisent des préférences et du clientélisme: seule la technocratie serait admise.</span></p><p class="p2" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Des seconds on devrait attendre l’éradication de tout sentiment d’appartenance particulier, ou - si l’on autorise l’expression de certaines appartenances et valorisations régionales, elles devront impérativement être associées à une renonciation à cette appartenance afin d’éviter les dérives claniques ou nationalistes. </span></p><p class="p2" style="text-align: justify;"> </p><p class="p2" style="text-align: justify;"> </p><p class="p1" style="text-align: justify;"><strong><span class="s1" style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">La dilution des pouvoirs<a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/2674897662.jpg" target="_blank"><img id="media-168386" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/1899708022.jpg" alt="monde,gouvernance,gouvernement mondial,nationalisme,régions,oligarchie,frontières,élection,délégation,compétition,appartenance,planification" /></a><br /></span></strong></p><p class="p2" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Car la gouvernance mondiale a d’abord pour objectif de suppléer aux carences étatiques, par exemple l’incapacité des Etats à signer des accords de paix et de coopération de très longue durée, 2’000 ans par exemple. Elle a aussi pour but d’éviter de trop grandes concentrations de pouvoirs entre les mains de trop peu de pays, comme c’est le cas actuellement. </span></p><p class="p2" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Cependant, comme la délégation <em>(par l’élection, le tirage au sort, la cooptation ou autre)</em> resterait le système de base pour désigner les responsables des administrations, seul un nombre extrêmement petit de personnes dirigeraient le monde. La concentration de pouvoirs y serait aussi importante qu’aujourd’hui, sinon plus car l’unification politico-technocratique donnerait une prééminence totale aux membres du gouvernement mondial.</span></p><p class="p2" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Si l’on veut éviter les désagréments du nationalisme on devra formater tous les dirigeants de tous les paliers administratifs selon le même moule exactement, pour éviter ce qui est inhérent à l’humain: les goûts, les préférences, les copinages, les lobbys, les communautarismes. On en est très loin puisque actuellement ces travers si humains sont la règle dans nombre de pays, y compris dans des démocraties dites avancées comme la France.</span></p><p class="p2" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">On devrait priver l’humain ce qu’il a de si humain: son sentiment d’appartenance - à une région, une famille, un clan, un groupe, une entreprise. Et donc désamorcer un moteur fondamental: l’esprit de compétition ou de différenciation, si nécessaire dans l’évolution des cultures, des économies et des technologies. L'appartenance a trait à quelque chose de l'ordre de l'âme, soit d'un sentiment intime et profond de sa construction et de sa cohérence, unifiant corps, émotions et pensée.</span></p><p class="p2" style="text-align: justify;"> </p><p class="p3" style="text-align: justify;"> </p><p class="p4" style="text-align: justify;"><strong><span class="s1" style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;"><br /><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/3870847703.jpg" target="_blank"><img id="media-168385" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/02/3001756052.jpg" alt="monde,gouvernance,gouvernement mondial,nationalisme,régions,oligarchie,frontières,élection,délégation,compétition,appartenance,planification" /></a>Vers un monde de fourmis?</span></strong></p><p class="p3" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Comment réaliser cela sans décérébrer émotionnellement les futurs dirigeants? En les remplaçant par des ordinateurs. L’informatique déciderait du taux des impôts et de la répartition des subventions, de l’entretien des routes automatique après X années, de nommer les policiers, etc. On éviterait ainsi toute préférence et clan, pierre d’achoppement des humains.</span></p><p class="p3" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Mais un tel système est incapable de programmer l’imprévu. Par exemple une détérioration des routes après des intempéries exceptionnelles, ou le besoin de subventions particulières dans un secteur donné. En effet les ordinateurs seraient programmés en vue d’un égalitarisme total pour éviter toute forme de préférence. On pourrait parler d’un totalitarisme égalitariste dans un monde contrôlé par une planification permanente décidée par quelques-uns. Vu sous cet angle et par contraste la notion de marché est une grande liberté.</span></p><p class="p3" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">On comprend ici que l’on va à l’encontre de ce qui fait l’identité individuelle de groupe: la différence et l’appartenance qui induit la préférence. On va vers un monde de fourmis. Il manque peut-être des éléments à mon raisonnement, et je veux bien lire d’autres choses à ce sujet. Mais reste la question de l’identité individuelle et de groupe, donc l’appartenance, et la compétition naturelle qui en découle et sert de moteur à la créativité.</span></p><p class="p3" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Pour ce qui est du nationalisme, je lis beaucoup d’opinions négatives à ce sujet. Je ne suis moi-même pas un défenseur farouche ou de principe du nationalisme, au contraire. Mais ma réflexion a évolué. Je considère aujourd’hui que le nationalisme - modéré, administratif et en partie culturel - n’est pas le diable. On peut ériger des frontières sans vivre dans un monde particulièrement hostile. Les accords internationaux servent aussi à suppléer aux frontières.</span></p><p class="p3" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">L’appartenance à une région ou à une forme de culture reste un fondement de l’identité. Comment un écrivain africain pourrait-il décrire la vie quotidienne des lapons de la naissance à la mort? Et comment un rocker de la côte ouest jouerait-il du chant grégorien? Si la paix doit s’installer durablement, je doute qu’elle puisse être imposée d’en haut par une oligarchie dirigeant le monde - car un gouvernement mondial est forcément oligarchique. Je crois qu’elle viendra davantage des populations qui apprennent à se connaître et à collaborer tout en respectant leurs différences.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"> </p><p class="p3" style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Si en théorie une gouvernance mondiale pourrait apporter de la paix au monde, je ne vois pas en pratique comment dépasser les écueils actuels. Il ne pourrait y avoir de gouvernance sans une délégation de pouvoirs. Le monde est en effet trop grand pour la démocratie directe.</span></p>
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlFinances et Comptabilitétag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2013-04-02:29581212013-04-02T18:00:00+02:002013-04-02T18:00:00+02:00 Dirigeants d'entreprise, le niveau de capitalisation de votre entreprise...
<p><strong>Dirigeants d'entreprise, le niveau de capitalisation de votre entreprise devient un élément primordial pour son développement à venir</strong> car il conditionnera la capacité de l'entreprise à obtenir des financements en tous genres : ne nous y trompons pas, aucun financeur -les banques en premier- n'acceptera de prêter à une exploitation dont les capitaux permanents ne couvrent pas les actifs immobilisés. Cela reviendrait à cautionner une des plus grosses maladreses de gestion qui consiste à financer une partie des immobilisations de l'entreprise par des dettes à court terme.</p><p>Dans le précédent article, nous avons évoqué <strong>l'importance du lien qui unit dirigeants et actionnaires</strong> dans la conduite des entreprises : une gouvernance qui se veut équilibrée fera en sorte que les intérêts des uns et des autres convergent. Dans le cas où les dirigeants sont aussi actionnaires, il importera de bien traiter les aspects stratégie et financement de l'entreprise en regard des véritables intérêts liés aux finances détenues et à leur utilisation. Un planning des investissements en regard des objectifs à atteindre permettra alors d'élaborer une politique financière adaptée.</p><p><strong>Finances et Comptabilité n'ont rien à voir : <span style="text-decoration: underline;">la notion de temps</span>, essentielle, <span style="text-decoration: underline;">les sépare</span>.</strong></p><p><strong>Au regard d'un financier, le temps c'est de l'argent et il augmente le coût du capital</strong>. Le coût du passif est important et les dirigeants doivent y être attentifs.</p><p><strong>Au regard de l'expert comptable</strong> et du commissaire aux comptes, <strong>la qualité de l'information est cruciale et il n'y a pas d'entreprise sans analytique. </strong>Cependant, le dirigeants ne peut pas se satisfaire d'attendre les résultats comptables pour prendre ses décisions et mettre en place les plans d'actions adéquats à la stratégie retenue. <strong>C'est la mise en place d'un système de pilotage adapté qui sécurisera le financier</strong>.</p><p>De même, l'expert comptable et/ou le commissaire aux comptes fournira les informations essentielles à la valorisation de l'entreprise pour peu que leur connaissance de cette dernière soit telle qu'aucun élément constitutif du bilan ne leur échappe en terme d'évaluation.</p><p><strong>Finances et comptabilité sont deux fonctions différentes et complémentaires au sein de l'entreprise, et il importe que le système de gouvernance sache aussi faire le lien entre les deux. </strong></p>
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlGouvernance, haut et bas de bilantag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2013-03-25:29568622013-03-25T02:39:00+01:002013-03-25T02:39:00+01:00 Dans la prolongation des précédents articles sur les différents modes de...
<p>Dans la prolongation des précédents articles sur les différents modes de financement, refinancement et création d'entreprise, nous allons faire un petit "arrêt sur image" pour observer la manière dont ont pu évoluer les <strong>grands principes de gouvernance</strong> ces dernières décennies au niveau des PME.</p><p>Tant que les dirigeants de PME bénéficiaient des "largesses" des banquiers qui finançaient leurs projets de développement alors essentiellement basés sur des investissements en matériels, ils restaient actionnaires de leurs entreprises qu'ils géraient en toute connaissance de leur métier, bien souvent de manière assez empirique, sans aucun dispositif de pilotage formalisé.</p><p>Nos PME françaises sont actuellement trop peu capitalisées et ne peuvent plus bénéficier de certains financements.</p><p>Aujourd'hui, <strong>les PME ont besoin de concours extérieurs en haut de bilans pour assurer leur développement</strong> et doivent ouvrir leur capital à des actionnaires privés. Encore faut-il savoir le faire et s'y préparer.</p><p>C'est ainsi que le concept de gouvernance d'entreprise va prendre toute sa valeur : <strong>les dirigeants ont pour rôles essentiels de s'occuper de la stratégie et des financements de leurs activités</strong> alors que <strong>les actionnaires financiers n'auront pour objectif que celui de gérer leurs finances</strong> et donc, de s'occuper de <strong>rentabiliser leurs investissements</strong>.</p><p><span style="text-decoration: underline;"><strong>La gouvernance d'entreprise crée ce lien indispensable entre les dirigeants et les actionnaires</strong></span>... vaste programme qui consistera à faire converger les intérêts de l'entrepreneur avec ceux de l'investisseur puisque chacun a son rôle, les deux doivent cohabiter et se comprendre malgré l'asymétrie des informations qui les intéresse et qu'ils considèrent. </p><p><strong>La gouvernance d'entreprise devient un élément indispensable à la pérennité de l'entreprise</strong> et nécessite la mise en place d'un système de pilotage intégrant les différents indicateurs propres à renseigner aussi bien les dirigeants que les actionnaires. Le système d'informations devra donc comporter toutes les indications nécessaires au suivi des plannings d'investissements et de la réalisation des objectifs.</p><p><strong>La restructuration du haut de bilan concourt à l'évolution des entreprises et doit être réalisée en considérant l'impérieuse nécessité de restructurer parallèlement voire de constituer un système de gouvernance adapté et réaliste. </strong></p><p><span style="text-decoration: underline;"><strong>Un système de gouvernance mal conçu peut, à lui seul, mettre en péril la pérennité des entreprises.</strong></span></p>
Bernard LECOMTEhttp://lecomte-est-bon.blogspirit.com/about.htmlLa marche arrièretag:lecomte-est-bon.blogspirit.com,2012-09-03:29226812012-09-03T09:31:00+02:002012-09-03T09:31:00+02:00 On commence à cerner la nouvelle "gouvernance" de François Hollande....
<p class="MsoNormal"> <span style="font-size: 10.0pt; font-family: Arial;"><img id="media-687362" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lecomte-est-bon.blogspirit.com/media/01/00/2419733247.jpg" alt="Holland.jpg" width="86" height="72" />On commence à cerner la nouvelle "gouvernance" de François Hollande. </span><span style="font-size: 10.0pt; font-family: Arial;"><span style="font-size: 10.0pt; font-family: Arial;">On a vu Ayrault revenir sur le passage à 7 % de la TVA sur le livre. </span>On a vu Sapin revenir sur le report de la retraite à plus de 60 ans. On a vu Moscovici revenir sur la défiscalisation des heures sup. On a vu Peillon revenir sur la suppression de l’histoire en terminale "S". On a entendu Cahuzac remettre en cause la suppression de la pub le soir sur France Télévision. On a vu Filipetti annuler la décision de créer une Maison de l’Histoire de France. Et on a entendu Hollande, vendredi, à Chalons, reprendre un discours de Fillon d’il y a quatre ans. On l’a compris, la nouvelle façon de conduire le char de l’Etat s’appelle : la marche arrière !</span></p>
pikipokihttp://piki-blog.blogspirit.com/about.html2 centimes pour la crisetag:piki-blog.blogspirit.com,2011-11-02:24217772011-11-02T22:27:00+01:002011-11-02T22:27:00+01:00 C'est sans doute un peu dérisoire comparé aux montants astronomiques en...
<p style="text-align: justify;"><img id="media-623258" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://piki-blog.blogspirit.com/media/02/02/3253204100.gif" alt="121_grece.1272233077.gif" />C'est sans doute un peu dérisoire comparé aux montants astronomiques en jeu, d'autant que mes deux centimes seront en mots. Vous serez encore plus atterrés en apprenant que je suis loin d'être une lumière en économie, et que j'en profite pour appeler <a href="http://econoclaste.org.free.fr/dotclear/" target="_blank">ceux qui sont plus doués que moi</a> pour corriger ce que j'écris ici, et m'indiquer ce qui est le plus pertinent à dire, par exemple pour impressionner une fille rencontrée en soirée (mais ce n'est vraiment qu'un exemple).</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">La crise actuelle, de son doux nom "crise de la dette" (une crise sans petit nom n'est pas une vraie crise), m'étonne à plusieurs titres.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">La première chose qui me surprend, c'est le déni irrationnel qui entoure la situation de la Grèce. Si j'en crois ce que je lis et ce que j'entends ici et là, cela fait plusieurs mois que l'on sait qu'elle ne peut pas rembourser toute sa dette. On le savait déjà avant l'été, voire même bien plus tôt. Pourtant, les marchés et les politiques ont fait comme si de rien n'était, et il a fallu attendre fin octobre pour que cette réalité soit enfin reconnnue. Aujourd'hui d'ailleurs, tout le monde dit craindre la faillite de la Grèce. Mais techniquement, et très officiellement, on vient bien de dire à tout le monde qu'elle était en faillite à 50% non ? Et étant donné le mécanisme pervers dans lequel les grecs sont maintenant entrés (les taux augmentent, donc la dette est plus diffiicle à rembourser, donc les taux augmentent), grosso modo on sait déjà que la décote doit être plus forte que 50%. Je caricature peut-être, mais j'ai l'impression qu'on ne débat plus que sur du vocabulaire pour savoir si on va déclarer ou non la faillite.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">La deuxième chose qui me tarabuste, c'est le zoom persistant mis sur la Grèce. Les marchés ont d'une certaine façon déjà avalé l'hypothèse du défaut grec, connaissant sur tous les continents une chute brutale depuis juillet, qui dépasse très largement ce que représente l'économie grecque dans le monde ou même en Europe. Pourtant, au moindre filet d'information sur les difficultés héléniques, patatras, il se recassent la figure. Bien sûr, ils n'évaluent pas que la situation grecque mais aussi l'instabilité qu'elle génère en Europe et sans doute le risque systémique dont elle peut être le premier symptôme marquant. Mais tout de même, je trouve cela excessif. Ou plus exactement, il me semble que la Grèce ne doit plus être la question centrale et ne devrait donc plus susciter de telles réactions. Je ne vois pas bien ce qu'on va concrètement résoudre en sauvant 10% de plus ou de moins de la dette grecque. L'enjeu désormais est sur d'autres pays si on veut justement éviter l'effet domino. Il s'agit de l'Italie, de l'Espagne, du Portugal, et dit-on aussi, de la France (et là vus nos fondamentaux, je ne comprends pas complètement je dois dire).</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">Je m'attarde un tout petit peu sur ce deuxième point qui m'intéresse beaucoup. Je me demande s'il n'est pas un cas d'école de psychologie collective. Qu'est-ce qui crée une tension ? En physique on mesure la tension par la différence de potentiel entre deux bornes électriques. Chez un individu, c'est une situation vécue de paradoxe, comme un dialogue intérieur qui se ferait entre deux voix qui tirent dans des sens opposés. Par exemple, une personne qui doit apporter un changement à sa vie est en situation de tension tant qu'elle n'a pas réellement pris la décision d'aller vers ce changement en renonçant à ses vielles habitudes. Une partie d'elle la pousse vers la transformation, l'autre la retient dans ses travers. Le jour où elle accepte d'abandonner ses habitudes, elle retrouve la sérénité et peut aller vers le changement plus efficacement.</p><p style="text-align: justify;">Les marchés et les politiques me donnent tous l'impression de ne pas avoir encore accepté la situation grecque comme une réalité. Comme s'ils disaient tous en serrant les dents "je ne veux pas y croire, je ne veux pas y croire". Du coup ils restent très (trop) sensibles à toute nouvelle qui concerne la Grèce. Sauf que c'est déjà arrivé. C'est derrière nous maintenant. Ca ne veut pas dire qu'il faut laisser couler les grecs dans leur coin. Mais il me semble que nos radars doivent être tournés vers d'autres directions si l'on veut avancer.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">Cette crise par ailleurs, apporte à mes yeux des enseignements que je trouve très intéressants. Le plus important est celui de la place nécessaire du politique dans le monde moderne. Depuis pas mal d'années on a lu de tous côtés que ce sont les marchés, les grandes multinationales, etc, qui font le monde et que les politiques ne sont plus que des pantins sans réel pouvoir. Il me semble que rien n'est plus faux et que la crise actuelle en est un exemple éclatant. Les marchés n'attendent que ça tous les jours justement : savoir ce que les politiques décident, en espérant être rassurés.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">On ne peut pas avancer dans une économie mondialisée sans politique. Pour une raison qui m'apparaît aujourd'hui aussi limpide qu'évidente, et qui m'amène à ma deuxième constatation : la mondialisation exige une vision systémique, et donc des dispositifs de gouvernance systémiques. On ne raisonne plus dans le monde d'aujourd'hui, comme on pouvait raisonner il y a 30 ans. Et c'est maintenant notre défi, celui auquel cette crise nous confronte, de mettre en place les dispositifs de gouvernance adéquats. C'est cette question que l'on pose déjà en Europe lorsqu'on évoque la gouvernance de l'euro. Et je rejoins totalement Authueil lorsqu'<a href="http://www.authueil.org/?2011/10/31/1906-le-suicide" target="_blank">il écrit</a> que la question pour nous est celle de l'Europe fédérale. Je persiste à penser que personne n'est mûr pour ça. Mais c'est bien la question que nous aurons à résoudre dans les années à venir.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">Je termine avec un point inspiré par <a href="http://www.youtube.com/watch?v=VSwT4fGqWbQ&feature=share" target="_blank">cette vidéo</a>. Je ne suis pas un apôtre de la décroissance. Sans doute sans bien savoir pourquoi. Mais d'un point de vue logique, la croissance éternelle me pose un problème. C'est des maths. La croissance éternelle signifie l'application d'une fonction exponentielle à l'infini. Dans un monde fini je ne comprends pas comment ça peut marcher. Pourrait-on imaginer que désormais, au moins en occident, nous avons atteint le niveau de richesse suffisant pour bien vivre tous ? Et que la question n'est donc plus d'accroître cette richesse mais de savoir mieux l'utiliser ? Peut-on évoluer vers une croissance "horizontale", je veux dire par là vers une autre forme de croissance, qui ne seraient plus économique ?</p><p> </p><p><span style="font-size: x-small;">P.S : bien sûr vous aurez reconnu en illustration un <a href="http://vidberg.blog.lemonde.fr/2010/04/26/special-minceur-avec-angela-merkel/" target="_blank">dessin</a> de Vidberg, qui est définitivement mon blog bd favori.</span></p>
François MARChttp://francois-marc.blogspirit.com/about.htmlNouvelle gouvernance du Sénattag:francois-marc.blogspirit.com,2011-10-14:24119892011-10-14T10:15:00+02:002011-10-14T10:15:00+02:00 Ce mardi 11 octobre 2011, j’ai écouté avec la plus grande attention mon ami...
<p style="text-align: justify;"><img id="media-620094" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt;" title="" src="http://francois-marc.blogspirit.com/media/00/02/1511781343.jpg" alt="senat.jpg" />Ce mardi 11 octobre 2011, j’ai écouté avec la plus grande attention mon ami Jean Pierre BEL, nouveau Président du Sénat, évoquer dans son discours d’ouverture la nécessité de recourir à une gouvernance «modeste» et parcimonieuse de la maison «Sénat».</p><p style="text-align: justify;">Depuis des mois sous le feu des critiques quant à son train de vie, le Sénat doit effectivement s’installer avec le changement de majorité, dans des pratiques de gestion renouvelée.</p><p style="text-align: justify;">C’est dans cet esprit que j’ai pour ce qui me concerne, pris une première décision en refusant, en tant que Président de Commission, de me voir affecter de façon individualisée une voiture de fonction et un chauffeur. J’ai en effet la conviction que pour exercer la fonction de Président de la commission qui m’a été confiée, je suis en mesure de m’appuyer sur les moyens de transport habituels (pool de voiture, taxis) sans oublier les transports en commun particulièrement accessibles dans la capitale.</p><p style="text-align: justify;">Pour autant, je conçois bien entendu que d’autres fonctions de responsabilité plus exigeantes en déplacements «aléatoires» puissent avoir besoin d’un tel service individualisé de voiture affectée !</p>
Olivier Beaunayhttp://oliveretcompagnie.blogspirit.com/about.htmlDircom (2.1.3.) Communication, management et gouvernance (”It's about getting stuff done”)tag:oliveretcompagnie.blogspirit.com,2011-04-06:22774772011-04-06T22:32:00+02:002011-04-06T22:32:00+02:00 Il n'est pas inutile, à défaut d'être très confortable, d'avoir bataillé un...
<p>Il n'est pas inutile, à défaut d'être très confortable, d'avoir bataillé un certain temps au sein d'une organisation déboussolée représentant une industrie attaquée de toutes parts pour bien prendre la mesure de ce qu'il faut bien appeler l'impératif stratégique<em></em>.</p><p>Lorsque pendant deux années particulièrement intenses, j'ai ainsi été en charge de la communication d'une organisation de ce type, il y eut de nombreux moments où, pris dans des urgences et des missions, je ne savais littéralement plus où j'habitais. Il y avait bien sûr les voyages incessants aux quatre coins de la planète minière. Il y avait encore un lieu de travail éloigné de mon lieu de résidence qui me laissait l'essentiel de la semaine et certains week-ends loin de mon domicile.</p><p>Mais je crois qu'il y eut plus encore cette sorte de folie des événements au milieu de laquelle il nous devenait quasiment impossible de <em>réfléchir</em>. D'une crise, on passait toutes les semaine à une autre - deux ou trois mini-crises hebdomadaires n'étaient pas rares - et, au plus fort de la crise économique, la stratégie était revue tous les mois et les budgets modifiés tous les quinze jours. Il fallait tout faire et rendre compte de tout simultanément (1) dans un contexte où des actionnaires aux quatre coins du monde n'étaient à peu près d'accord sur rien.</p><p><strong>Quand l'organisation est le problème</strong></p><p>Dans une telle configuration, il devient rapidement évident que le problème majeur, ce n'est plus l'accumulation des crises, c'est l'organisation elle-même. Deux ou trois points de base sont alors à clarifier aussi vite que possible pour le bon exercice de son métier par le dircom dans le cadre plus large de l'organisation dans laquelle il évolue.</p><p>Premièrement, développer une équipe pluridisciplinaire, multiculturelle et diverse, ce qui est une excellente chose, ne signifie pas autoriser tout le monde à s'occuper de tout, ce qui est un cauchemar. Il faut un cadre et une autorité pour éviter que la transversalité ne confine à l'anarchie.</p><p>Deuxièmement, ce n'est pas parce qu'un membre de l'organisation voit un encadré dans son journal le matin à Londres, Moscou ou Pékin, qu'il faut déclencher l'alerte générale et mobiliser soudain tout le monde sur une affaire qui n'en est pas une. Jean-Pierre Beaudoin, le patron de l'agence I&E, a de ce point de vue parfaitement raison de souligner que le premier travail en matière de communication de crise, ce n'est pas de descendre dans l'arène, c'est de s'assurer : 1°) qu'il y a en effet crise ; 2°) que l'organisation est bien directement concernée.</p><p>Troisièmement enfin, il n'y a rien de pire que de préserver les apparences du consensus lorsqu'en réalité, il n'existe pas. Une stratégie indolore est une stratégie vouée à l'inefficacité. Le résultat est qu'au lieu de prendre le pas sur les événements et de les anticiper sur la base d'un cap clair, on passe son temps à les subir et à godiller dans une approche erratique au prix d'un gaspillage de ressources considérables. Inversement, une stratégie <em>consistante</em>, au double sens français et américain de la substance et de la cohérence, ne va pas sans rugosité. C'est une tâche inconfortable mais nécessaire et qui suppose d'être capable d'accepter, au moins un temps, un certain degré de conflictualité.</p><p>Le problème du dircom dans ce genre de configuration, c'est d'assurer la mise en oeuvre du plan d'action, fût-il chaotique, tout en s'efforçant de remettre les choses sur les rails, et donc de faire porter ses efforts au moins autant sur la gouvernance que sur l'action. Pari risqué ? Pas nécessairement. D'abord, le risque est beaucoup plus grand à laisser pourrir la situation sans tâcher de la rectifier. Ensuite, il est dans une telle situation d'autant plus impératif de s'assurer que les principales réalisations attendues seront menées à bien. Enfin, on attend aussi d'un dircom qu'il soit capable d'apporter une vision neuve et solide de ce que sa fonction peut apporter à l'organisation.</p><p><strong>Le conseiller et le dirigeant</strong></p><p>Il y a de vraies crises dont il faut s'occuper sérieusement et de fausses crises qu'il faut annihiler sans état d'âme. L'ordre normal des choses, c'est la stratégie, l'équipe, puis les opérations et la tactique, donc la performance - non l'inverse. Ne pas le faire sous la pression (de l'organisation, du court-terme, des équilibres divers, etc) ou plutôt en acceptant que la pression puisse toujours prendre le pas sur la délibération, c'est ne pas bien faire son travail et, à la limite, c'est ne pas le faire du tout, donc aller à la catastrophe.</p><p>Cela fait une différence entre un dircom-conseiller qui s'occupe de son bac à sable et un dircom-dirigeant qui se sent solidairement dépositaire de l'intérêt à long terme de l'organisation qu'il sert. Cela peut conduire parfois à remplacer de lourdes et coûteuses productions de consultants par un recadrage de bon sens s'appuyant davantage sur les ressources internes. C'est par exemple le cas dans des organisations où le degré de confiance entre instances de gouvernance et de management n'est pas suffisamment établi.</p><p>Consultants et agences sont certes le plus souvent nécessaires, mais leurs interventions ne sont optimales que lorsque l'organisation dispose d'un minimum de diagnostic et d'expertise dans le domaine concerné. Cela ne va pas sans beaucoup de discussions et un peu de courage qui souligne d'autant plus l'intérêt de s'appuyer sur des fondamentaux solides, et qui justifie que ces fondamentaux soient de nature plus psychologique ou politique que technique. On y revient : il s'agit de comprendre et de convaincre avant de faire.</p><p>Le partage du diagnostic et l'échange d'informations sont parmi les raisons qui militent en faveur de l'intégration de la communication au sein des instances dirigeantes - une configuration d'ailleurs généralisée aujourd'hui avec, ici ou là, des adaptations ou des remises en cause. Là-dessus, le dircom désabusé d'un grand groupe français me confie un jour : "Changez de métier. L'intégration de la communication aux instances exécutives n'est pas solidement établie. La fonction est fragilisée".</p><p><strong>Ethique et efficacité</strong></p><p>Est-ce une nécessité absolue ? Pas obligatoirement, en particulier dans les groupes où les instances exécutives se consacrent essentiellement à l'étude des investissements. Ce qui est fondamental d'abord, c'est d'être rattaché au patron de l'organisation, faute de quoi la prise du dircom sur l'actualité, la vision et les problèmes à résoudre a toutes chances de se révéler tôt ou tard lacunaire et décalée, bref, problématique. Sous une forme ou sous une autre, une liaison avec le DRH, sur les sujets internes, est par ailleurs souhaitable et peut se réveler très féconde si la complémentarité des rôles est bien comprise et utilisée.</p><p>Membre ou non du comité exécutif, du comité de direction ou du comité de management, le dircom doit ensuite de toutes façons tisser des relations de travail étroites avec les dirigeants de son organisation. Enfin, sur cette base, il n'est pas idiot, notamment en début de carrière, de construire d'abord sa légitimité sur le terrain, au service des différentes divisions et de leur problématiques de communication, avant de prétendre rejoindre les instances dirigeantes.</p><p>En réalité, au-delà des crises et de la question de l'accès à l'information, et dans la mesure où sa vocation première est d'aider à régler les problèmes, la participation du dircom est d'autant plus justifiée qu'une vocation fondamentale de la communication est non pas seulement d'accompagner un changement décidé par d'autres mais aussi de convaincre les autres que le changement est parfois nécessaire. Sortir de cette boucle, c'est priver la communication à la fois de son éthique (le sens de son action), de sa portée (sa capacité d'influence) et de son efficacité (son impact).</p><p>En somme, si une intégration correcte de la fonction aux instances de gouvernance et aux mécanismes de management s'impose donc, c'est parce que <em>in fine</em>, l'objet de la communication n'est pas le discours, mais l'action.</p><p>_____</p><p>(1) Dans une interview qu'il donna il y a quelque temps au FT, Tom Peters, l'auteur de <em>In Search For Excellence</em>, est très clair à ce sujet. Si vous avez le choix, dit-il en substance, entre écrire un beau rapport qui correspond à des réalisations médiocres ou bien faire un super job en faisant un rapport médiocre, laissez tomber le rapport : faites le job. A l'époque consultant chez McKinsey, il développa l'idée que le management est essentiellement un art de l'exécution. Une thèse accueillie froidement en plein essor du concept de stratégie, avant de se vendre à plus de 10 millions d'exemplaires. Devenu par la suite une sorte de gourou du management, il décrit son job de façon à la fois modeste et décisive : "Vous êtes face une assemblée de 500 personnes. Là dedans, il y en a quatre sur le point de faire quelque chose de vraiment intéressant. Il faut leur donner envie de le faire". "It's about getting stuff done", Financial Times, 22-23 novembre 2008.</p>
MGBhttp://quincas.blogspirit.com/about.htmlLes sans-gêne de la République -tag:quincas.blogspirit.com,2010-06-18:19475432010-06-18T12:33:00+02:002010-06-18T12:33:00+02:00...
<p><a href="http://www.marianne2.fr/La-reforme-des-retraites-et-les-sans-gene_a194146.html">http://www.marianne2.fr/La-reforme-des-retraites-et-les-sans-gene_a194146.html</a></p> <p><a href="http://www.jeanfrancoiskahn.com/La-grosse-affaire-Woerth_a164.html">http://www.jeanfrancoiskahn.com/La-grosse-affaire-Woerth_a164.html</a>?</p> <p><strong>COMMENTAIRE Posté par register le 18/06/2010 11:42</strong></p> <p>On le dit et on le répète ici (mais en vain) : si on était en démocratie il y a longtemps que les hommes actuellement au pouvoir auraient du démissionner. On dénonce souvent les raisons de cette situation :</p> <ul> <li>l'absence d'une opposition crédible (le PS ne se préoccuppe que des enjeux de carrière de ses dirigeants et pas du pays, de ses citoyens, de ses valeurs ...)</li> <li>l'absence de media indépendants et courageux (à part le Canard qui dénonce quelques scandales et Marianne qui fait quelques analyses)</li> <li>mais il y a une troisième raison, jamais évoquée et pourtant la plus importante : c'est qu'un scandale chasse l'autre et que leur nombre les relativise. On finit par trouver plus ou moins grave tel manquement comparé à tel autre gravissime. On peut même se demander si le choix de ministres qui ont tous quelque chose à se reprocher n'est pas VOLONTAIRE afin de noyer chaque crapulerie dans la masse et nous faire oublier celle de la veille. Et à l'image de la MAFIA les rendre solidaires les uns des autres du genre : je soutiens tes écarts, tu soutiens les miens !</li> </ul> <p>Car si on y regarde de près de quoi se compose le gouvernement, combien de ministres ne trainent aucune casserole, ne se sont jamais servis dans la caisse, bref, combien pourraient être ministres dans une vraie démocratie ? Une seule : madame Jouanno ! C'est peu sur 40 !</p> <p>En effet 33 cumulent les fonctions, les mandats et les rémunérations en tous genre ! Un cas unique en Europe ! Sans parler des conflits d'intérêt évidents, des cigares aux frais du contribuable, des appartements de fonctions pour la famille, des jets privés, des soupçons de fraude fiscale, des aveux de tourisme sexuel, des bricolages avec la junte birmane ou les dictatures africaines, des propos racistes, de conjointes exilée fiscale à Las Vegas etc ...la liste est interminable.</p> <p>Ne nous y trompons pas. C'est une stratégie. Qui fait partie de l'idéologie Sarkozyste.</p>
La rédactionhttp://www.edgarie.fr/about.htmlChanger de méthodestag:www.edgarie.fr,2009-12-31:18736152009-12-31T09:13:00+01:002009-12-31T09:13:00+01:00 Au niveau local, sur le fond et en théorie, la plupart des sujets...
<p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal">Au niveau local, sur le fond et en théorie, la plupart des sujets sont consensuels. Que l'on regarde les orientations générales (le développement durable, l'équilibre des territoires, la mixité sociale, la préservation du cadre de vie, le soutien à la vie économique et associative etc) ou les délibérations dont plus de 95 % sont votées à l'unanimité, l'union l'emporte indéniablement sur la désunion et le conflit.</p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal">Ce constat est moins flagrant au niveau national, mais il s'applique aussi à de nombreux domaines : on le voit dès qu'on prend la peine d'étudier une question sérieusement - cf les Grenelles qui ont germé depuis 2007.</p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal">Dans ce contexte, et je reviens ici au niveau local, ce ne sont pas les objectifs affichés qui font vraiment la différence, mais plutôt les méthodes. D'où cette chronique publiée en janvier 2010 dans le Journal Muncipal de Crolles.</p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 16pt; font-family: "Arial","sans-serif";">La politique autrement : et si on changeait de méthodes ?</span></b></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";">Le phénomène est connu : le progrès se fait par le transfert d’innovations. Résumons : un inventeur génial ou, bien plus souvent, un collectif organisé et tenace expérimente avec succès une technologie ou un outil. Ensuite, intervient un processus de diffusion. Les plus malins s’approprient l’invention, la modifient pour la mettre à leur main et en tirent profit. Les idées appartiennent à ceux qui les saisissent.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";">Ce schéma pourrait donner un programme politique : prendre le meilleur des bonnes pratiques qui ont fleuri ailleurs, les acclimater chez nous, en tirer un bénéfice d’intérêt général et faire partager notre expérience.</span></b></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";">Il faudrait commencer par installer sur le site web de la commune une boite à idées, pour collecter, puis évaluer les bonnes pratiques repérées par les citoyens.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";">Prenons deux exemples concrets qui illustrent en politique ce que les industriels connaissent bien : la qualité des processus détermine la qualité des produits. Dit autrement : aucune chance de réussir un chantier si on s’y prend comme un manche ….</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";">Qu’est ce qui a fait le succès du Grenelle de l’Environnement ? Comment a-t-il pu produire un consensus aussi large sur le diagnostic, les orientations et de nombreuses mesures à prendre ? C’est la méthode qui a été fructueuse : aborder le problème globalement et de manière pluraliste, en transparence, en s’appuyant sur les connaissances scientifiques et techniques disponibles.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";">Pourquoi le Grenelle de l’Environnement reste-t-il un échec à ce jour ? Car les bonnes méthodes ont été oubliées si tôt le discours de clôture prononcé !</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";">La même analyse s’applique à de nombreuses commissions mises en place pour traiter des grands sujets : la commission Vallini de réforme de la justice après l’affaire d’Outreau, la commission Balladur sur la réforme constitutionnelle … On voit bien que ce qui est déterminant dans le résultat de ces commissions, c’est la méthode, bien plus que la personnalité ou le talent des présidents de commission.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";">Prenons le cas d’un projet consensuel dans son principe : la médiathèque. Que manque-t-il à ce projet pour qu’il se déroule correctement en lien avec les besoins et les attentes de la commune ? Il manque, tout simplement, la dimension démocratique : publier le dossier en explicitant les objectifs, les scénarios étudiés, les choix à faire … ce qui permettrait aux personnes intéressées de contribuer aux études et / ou de donner leur avis, et aux élus de jouer leur rôle de « représentant ».</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";">Tenir à jour et publier la liste des projets de la commune, avec une fiche de synthèse pour chaque projet, serait le B.A. BA d’une gouvernance « par projets ». La gestion de projet a été formalisée, pour une bonne part, aux Etats-Unis à l’occasion de la préparation du débarquement de 1944. Diffusée en Europe via l’industrie, elle est popularisée et enseignée partout depuis les années 1990. Nous sommes en 2010. Il serait judicieux de s’approprier les principes clefs de la gestion de projet et de les appliquer à la vie démocratique locale.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";">Ce qui est encourageant, c’est qu’on voit bien qu’il ne faudrait pas grand chose pour améliorer la qualité et l’efficacité de l’action publique. Nul besoin d’efforts insurmontables, mais de faire évoluer les méthodes de gouvernance.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";"> </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif";">Nous vous souhaitons, en toute simplicité, une très bonne année 2010.</span></p> <p><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 11pt; font-family: "Arial","sans-serif"; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA;">Corinne Durand, Françoise Dragani et Francis Odier</span></b></p>
PERENNENTREPRISEhttp://lentrepriseperenne.blogspirit.com/about.htmlL'Humaintag:lentrepriseperenne.blogspirit.com,2009-07-01:17771092009-07-01T00:17:56+02:002009-07-01T00:17:56+02:00 Stratégie, finances, gestion, organisation... Et l'Humain dans tout...
<p>Stratégie, finances, gestion, organisation... <strong>Et l'Humain dans tout cela ?</strong></p> <p>Principal souci des dirigeants de PME, <strong>composante essentielle dans la mise en oeuvre des stratégies</strong> élaborées par les actionnaires, l'aspect humain reste peut-être celui qui est le plus stratégique : salariés, quel qu'en soit le niveau dans la hiérarchie, capables du meilleur lorsqu'ils sont fédérés autour d'un projet (du projet "entreprise")... et capables du pire lorsqu'à l'inverse un événement (parfois extérieur) a détérioré la communication, ou lorsqu'une situation personnelle devient incompatible avec la situation professionnelle et que cela complique les relations à la société.</p> <p><strong>En parallèle de toutes les démarches visant à développer l'entreprise, il est préférable de</strong> <strong>connaitre, voire d'anticiper les blocages humains</strong> au niveau des acteurs intervenant directement ou non dans les process internes concernés.</p> <p>C'est ainsi que l'on constate qu'en amont de toute instigation de changement, les éventuels problèmes de personnes doivent être pris en compte, que ce soit même simplement pour en ignorer les conséquences dans la décision finale : cette décision est alors prise en connaissance de cause.</p> <p><strong>Ce phénomène est amplifié dans la conduite ou l'accélération de changements</strong> en interne : l'inertie opposée par certains peut avoir des effets dévastateurs, il est alors important d'en tenir compte soit pour provoquer néanmoins une forme d'adhésion qui ne compromet pas l'aboutissement du projet en y apportant un minimum de contribution (situation idéale), soit pour "sortir" le ou les "opposants" au projet afin de respecter la poursuite des objectifs à partir du moment où ceux-ci sont malgré tout validés.</p> <p>L'Humain est ainsi fait qu'il est mû par différents types de besoins :</p> <div style="text-align: center"><img src="http://lentrepriseperenne.blogspirit.com/media/02/01/219993115.jpg" alt="humain.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" id="media-374622" /></div> <div style="text-align: left;">qui ne correspondent pas toujours avec la réalité de ses fonctions ou de son rôle dans l'entreprise à un moment donné.</div> <p>L'élaboration des stratégies ainsi que la gouvernance des groupes, filiales ou PME ne peut ignorer cet aspect humain, même s'il est relativisé par rapport aux priorités établies. <strong>Les divergences d'intérêts doivent, autant que possible, être traitées au profit de l'entité qui entretient le plus grand nombre. </strong></p>
Casadeihttp://casadei.blogspirit.com/about.htmlGouvernance du Festival de la Chaise-Dieutag:casadei.blogspirit.com,2009-05-13:17556012009-05-13T16:08:00+02:002009-05-13T16:08:00+02:00 Comme attendu (cf. chronique du 9 avril dernier), Daniel Boudet , le...
<p style="text-align: justify;"><img id="media-355857" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://casadei.blogspirit.com/media/00/00/886058051.2.jpg" alt="portraitcziffra400.jpg" />Comme attendu (cf. chronique du 9 avril dernier), <strong>Daniel Boudet</strong>, le président par interim de <em>l'Association culturelle de La Chaise-Dieu</em> qui gère le <strong>Festival de musique</strong>, vient d'inviter par écrit l'ensemble des adhérents de l'association à une assemblée générale extraordinaire le samedi 13 juin prochain., à 9 h 30 salle neuve de l'écho, à La Chaise-Dieu.</p><p style="text-align: justify;">Cette assemblée générale aura pour objet de compléter le conseil d'administration puisqu'à la suite de la démission de son Président, <strong>Guy Ramona</strong>, 22 autres administrateurs avaient démissionné, qui par solidarité avec <strong>Guy Ramona</strong>, qui pour ne pas avoir à assurer la tâche de Président par intérim.</p><p style="text-align: justify;">L'assemblée générale extraordinaire aura comme unique ordre du jour d'élire 23 administrateurs, à l'exclusion donc de tout changement de statuts. Dix des 23 administrateurs élus auront un mandat jusqu'en 2010, les treize autres jusqu'en 2013, les mandats étant de six ans et le Conseil d'administration étant renouvelable par moitié. La répartition des mandats sera effectuée par tirage au sort.</p><p style="text-align: justify;">Le nouveau conseil d'administration élira le même jour, le nouveau bureau et son nouveau président.</p><p style="text-align: justify;">Sagement, les nouvelles demandes d'adhésion, qui doivent statutairement être agréées par le bureau, sont suspendues du 22 avril jusqu'à l'élection du nouveau bureau, cela évitera d'éventuelles demandes d'adhésion ayant pour seul objet de favoriser l'élection de tel ou tel au conseil d'administration.</p><p style="text-align: justify;">Les candidatures au Conseil d'administration doivent être adressées au bureau du Festival par courrier avant le 15 mai. La lettre fait mention par erreur du <strong>mercredi 15 mai 2009</strong> et dans le doute, c'est, il faut l'espérer, la date du <strong>vendredi 15 mai</strong> qui sera retenue par le Président par interim</p><p style="text-align: justify;">Les adhérents de l'association ayant réglé leur cotisation entre le 1er janvier 2008 et le 22 avril 2009 recevront à partir du 25 mai la liste des candidats et le matériel pour un vote par correspondance, par pouvoir nominatif ou lors de l'assemblée générale. Les pouvoirs en blanc, à la disposition du président, semblent être exclus ce qui là aussi est sage.</p><p style="text-align: justify;">Il faut saluer la démarché du Président par interim, <strong>Daniel Boudet,</strong> bénévole depuis plus de trente ans. La neutralité du ton de sa lettre, son souci de s'appuyer sur les statuts de l'association, pour la doter d'un nouveau conseil d'administration à même d'assurer la continuité de son fonctionnement, en partenariat avec les partenaires publics et privés du Festival, sont de nature à contribuer à ramener la sérénité indispensable à la poursuite de l'oeuvre initiée par <strong>Georges Cziffra</strong> (photo).</p>