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2024-03-29T06:49:28+01:00
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Minh2909
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Le mystère Henri Pick
tag:cine2909.blogspirit.com,2019-03-27:3135862
2019-03-27T17:00:00+01:00
2019-03-27T17:00:00+01:00
Alors qu’elle rendait visite à son père, notre pote Daphné (Alice...
<p style="text-align: left;"><img id="media-1063428" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/02/4045587532.jpg" alt="Star3.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-1063429" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/02/1317786863.4.jpg" alt="Aff.jpg" /></p><p>Alors qu’elle rendait visite à son père, notre pote <strong>Daphné (Alice Isaaz)</strong> entend parler d’une bibliothèque originale qui se trouve non loin de là. Celle-ci rassemble en effet les œuvres d’écrivain qui ont été refusés à la publication. Il n’en fallait pas plus pour attiser la curiosité de cette jeune femme qui se trouve être également éditrice. En visitant ce lieu atypique , elle tombe alors sur une oeuvre qui la bouleverse et qu’elle décide de publier. Le succès du livre est prodigieux tant grâce à la qualité des écrits que par l’histoire qui l’entoure. Il se trouve en effet que l’auteur serait un certain <strong>Henri Pick</strong>, un pizzaïolo disparu il y a maintenant 2 ans. Tout cela intrigue <strong>Jean-Michel Rouche (Fabrice Luchini)</strong>, célèbre écrivain mais aussi critique littéraire à la télévision et il va alors débuter une longue enquête pour dénicher la vérité !</p><p style="text-align: center;"><img id="media-1063431" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/01/1610471790.jpg" alt="07.jpg" /></p><p>Adaptation du livre éponyme de <strong>David Foenkinos</strong>, <strong>Le mystère Henri Pick</strong> nous dévoile une enquête plutôt passionnante. On a d’abord une histoire qui sort des sentiers battus avec la découverte de cet auteur mystérieux et cela s’accompagne de quelques rebondissements tout au long du film. Le reproche qu’on pourrait faire à ce niveau-là c’est cette succession de déconvenues, un peu trop grosses pour être vraies, que connaît le personnage de <strong>Jean-Michel</strong> avant de se lancer dans ses recherches. Pour le reste, on se laisse volontiers entraîner par le duo composé par <strong>Camille Cottin</strong> et bien sur un <strong>Fabrice Luchini</strong> qui, avec sa verve habituelle, régale toujours autant le spectateur. Même si le final nous laisse un peu sur notre faim, on passe un vrai bon moment.</p><p style="text-align: center;"><br /><strong><span style="text-decoration: underline; color: #000000; background-color: #ffff00;">Il faut le voir pour :</span> Faire votre liste de courses avec plus de soins !</strong></p>
Minh2909
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Qui m’aime me suive !
tag:cine2909.blogspirit.com,2019-03-22:3135860
2019-03-22T17:00:00+01:00
2019-03-22T17:00:00+01:00
Non seulement elle a vu son voisin - et aussi amant - Etienne...
<p style="text-align: left;"><img id="media-1063420" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/02/1931725441.jpg" alt="Star1.5.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-1063421" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/02/1317786863.6.jpg" alt="Aff.jpg" /></p><p>Non seulement elle a vu son voisin - et aussi amant - <strong>Etienne (Bernard Lecoq)</strong> déménager mais notre pote <strong>Simone (Catherine Frot)</strong> vient aussi de recevoir la visite des huissiers. C’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase si bien qu’une énième dispute a éclaté avec <strong>Gilbert (Daniel Auteuil)</strong> à qui elle est mariée depuis 35 ans. Outre leurs problèmes d’argent récurrent, elle lui reproche également son caractère et sa fierté mal placée. Pour preuve, cela fait des années que celui-ci ne parle plus à sa fille. Du jour au lendemain, Simone décide ainsi de l’abandonner afin de rejoindre Etienne. A peine Gilbert a t-il le temps de constater ce départ que le téléphone sonne et au bout du fil se trouve sa fille qui est dans une situation désespérée.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-1063422" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/02/2860351406.15.jpg" alt="03.jpg" /></p><p>Si l’on doit appliquer à la lettre le titre du film, il ne risque pas d’y avoir grand monde dans les salles ! Commençons par le point fort car oui il n’y en a qu’un seul c’est bien entendu la présence du trio constitué par <strong>Catherine Frot</strong>, <strong>Daniel Auteuil</strong> & <strong>Bernard Le Coq</strong>. Ce triangle amoureux tente tant bien que mal d’impulser un peu de vie dans cette comédie au scénario convenu. Un long-métrage qui doit aussi faire avec une réalisation de <strong>José Alcala</strong> s’enfonçant dans la banalité sans compter des personnages secondaires inintéressants au possible. On a quand même envie de se montrer magnanime envers le jeune <strong>Solam Dejean-Lacréole</strong> en dehors de cela, <strong>Qui m’aime me suive !</strong> ne mérite vraiment pas le déplacement.</p><p style="text-align: center;"><br /><strong><span style="text-decoration: underline; color: #000000; background-color: #ffff00;">Il faut le voir pour :</span> Être plus sympa avec votre voisin !</strong></p>
Pierre Vallet
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Roger Planchon cinéaste DVD
tag:www.paris14.info,2019-03-15:3135299
2019-03-15T09:14:00+01:00
2019-03-15T09:14:00+01:00
Ce coffret contient les trois films de Roger Planchon grand metteur en scène...
<p>Ce coffret contient les trois films de Roger Planchon grand metteur en scène de théâtre ,"Dandin", " Toulouse Lautrec" et " Louis enfant roi" . Ces films parfois trop un peu trop frénétiques, englobent de nombreux changements de lieux, de situations, et de personnages. Par exemple dans " Louis, l'enfant roi", fresque historique qui raconte les premières années du roi Louis XIV, on a du mal à suivre l'histoire avec une intrigue un peu confuse où tout a tendance à se mélanger. Dans "Dandin", premier film du réalisateur, Claude Brasseur qui joue avec maestria le mari trompé, a un rôle peut-être un peu trop caricatural. Mais l'ensemble est quand même intéressant à voir. " Toulouse Lautrec est sûrement le plus réussi, dévoilant un peintre à la vie tumultueuse, qui se bat comme il peut contre son infirmité. Amoureux des femmes, il apparaît comme un personnage coquin, malicieux. Malgré son handicap, il est assez charmeur, et de ce fait, les femmes semblent oublier sa difformité physique.</p><p>Ce DVD est très intéressant quant à l'éclairage qu'il apporte sur la personnalité de cet homme spécialiste du XVIIè siècle, et sur sa manière de concevoir le théâtre et le cinéma.</p><p>Dans un livret de 16 pages provenant des Cahiers du Cinéma de 1962, où il s'entretient avec Claude Gauteur, il explique qu'il a pris la version shakespearienne du monde et l'a adaptée à lui-même. Possédant des parents très modestes, et grand admirateur de la comédie musicale, il confesse que le seul vrai problème au théâtre qu'il aime traiter, c'est le problème du temps. Pour lui une mise en scène est bonne à partir du moment où il est impossible d'en imaginer une autre dessus.</p><p>Voici ce qu'il dit concernant sa vision du travail avec les acteurs côté cinéma et théâtre: " En général, les réalisateurs s'intéressent peu à l'acteur parce qu'ils ne vivent pas avec lui. Le plus souvent, ils discutent du scénario, du personnage, en dînant deux ou trois fois avec lui, et ils tournent sans beaucoup de répétitions, autrement dit sans travail effectif sur l'acteur. Quand on s'occupe de théâtre, on passe dix-huit heures de sa vie par jour avec les acteurs, on les comprend plus, on les aime, on les déteste etc…</p><p>Autre confession digne d'intérêt, celle qu'il fait dans un lieu de répétition sur la dimension politique de la création artistique. " Les hommes politiques souhaitent que les gens peu intéressés par la culture n'aillent pas plus loin, ils n'en voient pas l'intérêt. L'art a beaucoup de mal à vivre avec la démocratie." Selon lui lors d'un référendum, les préoccupations sont plus axées sur les parkings que sur Mozart… Il est touchant dans sa manière de se confier, et sa passion pour l'art résonne totalement.</p><p>Que l'on apprécie beaucoup ou plus modérément ses films, on ne peut que souligner la richesse de sa personnalité, et c'est ce que montre bien ce DVD. Ne serait-que pour cette raison, il faut s'y intéresser...</p><p>Agnès Figueras-Lenattier</p>
Minh2909
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Dragons 3 : Le monde caché
tag:cine2909.blogspirit.com,2019-01-28:3129270
2019-01-28T17:00:00+01:00
2019-01-28T17:00:00+01:00
Harold , Astrid et leurs potes d’enfance ont encore frappé ! En...
<p style="text-align: left;"><img id="media-1058990" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/02/2138363465.19.jpg" alt="star 03.5.jpg" width="165" height="58" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-1058991" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/00/02/2296839901.35.jpg" alt="AFF.jpg" /></p><p><strong>Harold</strong>, <strong>Astrid</strong> et leurs potes d’enfance ont encore frappé ! En attaquant les navires, ils ont libéré de nombreux dragons qui sont venus les rejoindre sur l'île de <strong>Beurk</strong> où la place commence sérieusement à manquer. Au même moment, une Furie nocturne femelle fait son apparition et il n’en faut pas beaucoup plus pour que <strong>Krokmou</strong> cède à son charme. Derrière cette rencontre se cache en réalité un piège imaginé par un dangereux chasseur du nom de <strong>Grimmel</strong> qui n’a qu’un objectif : exterminer les furies nocturnes. Pour protéger les Vikings et les Dragons, Harold n’a pas d’autres choix que de prendre l’importante décision de quitter l'île et partir à la recherche du monde caché dont lui avait parlé autrefois son père. </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1058992" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/00/01/3502058702.211.jpg" alt="01.jpg" /></p><p>Allons droit au but ; quand les <strong>Studios Dreamworks</strong> sont aux commandes, on est rarement déçus et ce <strong>Dragons 3 : Le monde caché</strong> ne fera pas exception. Qu’on soit petit ou grand, on en prend toujours plein les yeux et puis voir <strong>Krokmou</strong> en pleine séance de séduction ça n’a pas de prix. La grande nouveauté de ce film d’animation provient de l’arrivée d’un personnage et pas n’importe lequel puisqu’il s’agit d’une compagne pour notre Furie nocturne préférée ! Si on a moins l’occasion de voir les autres dragonniers à l’œuvre, c’est aussi parce que cet épisode met avant tout en lumière la relation entre <strong>Harold</strong> et son dragon nous menant jusqu’à une conclusion qui pourrait bien faire couler une petite larme. Cet épisode devrait donc conclure la saga Dragons au cinéma mais les aventures de nos héros se sont aussi déclinées en série d’animation alors qui sait si on ne les reverra pas ?</p><p style="text-align: center;"><br /><br /><strong><span style="text-decoration: underline;"><span style="background-color: #ffff00; color: #000000; text-decoration: underline;">Il faut le voir pour :</span></span> Dire au revoir à Harold & Krokmou !</strong></p>
lelazor
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Lou Andréas-Salomé, le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2017-06-12:3093348
2017-06-12T19:34:00+02:00
2017-06-12T19:34:00+02:00
Le personnage que je ne connaissais pas avant la sortie du film est...
<p style="text-align: center;"><img id="media-966551" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/02/01/3570435431.jpg" alt="047364_jpg-c_300_300_x-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg" /></p><p>Le personnage que je ne connaissais pas avant la sortie du film est intéressant : femme de lettre, romancière, égérie de Nietzche, de l’ambigu poète Rilke (il fut un «grand ami » de Balthus, et l’amant de sa mère, Balthus qui est connu comme le peintre des petits minous) et Freund entre autres, ce qui n’est quand même pas rien, elle termina sa carrière comme psychanalyste, et imprégna le féminisme de sa conception très indépendante de la femme, refusant les compromis standards de l’époque, de bonne épouse et mère..</p><p>Le film, qui se consacre à l’intégralité de sa bio, est par contre on ne peut plus classique, voire même terriblement académique…rien de flamboyant pendant deux heures, rien qui nous transporte vraiment et c’est bien dommage de faire aussi pâle avec un sujet pareil…une fois de plus, je me dis, qu’un bon documentaire aurait sûrement aussi bien fait l’affaire…</p>
theatre
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Vidéo Party #6
tag:www.theatreleperiscope.fr,2015-07-29:3055989
2015-07-29T14:21:00+02:00
2015-07-29T14:21:00+02:00
JEUDI 1er OCTOBRE VENDREDI 2 OCTOBRE SAMEDI 3 OCTOBRE Sixième...
<table style="text-align: left; width: 100%;" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"><tbody><tr><td style="vertical-align: top;"><table style="text-align: left; width: 100%;" border="0" cellspacing="0" cellpadding="4"><tbody><tr><td style="vertical-align: top; background-color: #dededd;"><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; font-weight: bold; color: #8b2167;">JEUDI 1er OCTOBRE<br /> VENDREDI 2 OCTOBRE<br /> SAMEDI 3 OCTOBRE</span></td></tr><tr><td style="vertical-align: top;"><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #333333;">Sixième édition du festival Vidéo Party avec des projections, des échanges et un marathon vidéo ! <br /> Venez découvrir des films réalisés par des enfants et adolescents dans le cadre scolaire ou périscolaire. Pas de compétition dans ce festival qui veut rester festif et gratuit. Les films sélectionnés sont projetés au Sémaphore, au Carré d’Art et au Périscope et sont suivis d’un échange avec les jeunes réalisateurs. Chaque rencontre se termine autour d’un temps convivial.<br /> <br /> </span><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #6d2167; font-weight: bold;">JEUDI 1er OCTOBRE<br /> <span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #e19c3a; font-weight: bold;">18:00 au Centre Social Émile Jourdan </span></span><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #333333;">Rencontre professionnelle et moment convivial.<br /> Cette rencontre s’adresse aux enseignants, intervenants vidéo, animateurs et/ou toute personne concernée par la mise en place d’un projet vidéo.<br /> <br /> </span><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #6d2167; font-weight: bold;">VENDREDI 2 OCTOBRE</span><br /> <span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #e19c3a; font-weight: bold;">9:30 au Sémaphore</span> <span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #333333;">Projection d’une sélection de films (réservation obligatoire)<br /> </span><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #e19c3a; font-weight: bold;">18:30 à Carré d’Art </span><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #333333;">Projection d’une sélection de films à l’auditorium de Carré d’Art suivi d’un apéritif (réservation obligatoire)<br /> <br /> </span><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #6d2167; font-weight: bold;">SAMEDI 3 OCTOBRE</span><br /> <span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #e19c3a; font-weight: bold;">de 10:00 à 17:00 au Périscope </span><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #333333;">Marathon vidéo<br /> <strong>Objectif :</strong> réaliser un film-minute en une journée encadré par des professionnels de l’image.<br /> Âge : de 8 à 20 ans | Inscription au préalable obligatoire sur <a href="mailto:actionculturelle@theatreleperiscope.fr">actionculturelle@theatreleperiscope.fr</a> | Prévoir pique-nique et sac à dos.<br /> </span><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #e19c3a; font-weight: bold;">18:30 au Périscope </span><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #333333;">Projection des films réalisés lors du marathon vidéo et de la suite ds films sélectionnés suivi d’un échange avec les jeunes réalisateurs (réservation obligatoire).<br /> <br /> </span></td></tr><tr><td style="vertical-align: top; background-color: white;"><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #8b2167; font-weight: bold;">GRATUIT<br /> </span></td></tr><tr><td style="vertical-align: top; background-color: white;"><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #8b2167;">Cet événement est initié par Le Périscope, le Centre Social Émile Jourdan et Carré d’Art bibliothèque (labo²) en partenariat avec le Cinéma le Sémaphore et l’association tntb.net <br /> </span></td></tr><tr><td style="vertical-align: top; background-color: white;"><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 12px; color: #333333;">Programme complet à télécharger <a href="http://www.theatreleperiscope.fr/files/VideoParty/De%CC%81pliant%20VIDEOPARTY%233.pdf" target="_blank">ici</a>.<br /> </span></td></tr></tbody></table></td><td style="vertical-align: top; background-color: #dededd;"><table style="text-align: left; width: 100%;" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"><tbody><tr><td style="vertical-align: top;"><span style="text-decoration: underline;"><img style="width: 250px; height: 200px;" src="http://www.theatreleperiscope.fr/files/NewsOctobre2015/visuel_VideoParty.jpg" alt="Vidéo Party" /></span></td></tr><tr align="right"><td style="vertical-align: top;"><span style="font-family: Tahoma,Geneva,Kalimati,sans-serif; font-size: 11px; color: #666666;">© Stéphane Kbadcasse <br /> </span></td></tr></tbody></table></td></tr></tbody></table><p><br /> </p>
lelazor
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Love & Mercy
tag:lelazor.blogspirit.com,2015-07-04:3051235
2015-07-04T18:31:00+02:00
2015-07-04T18:31:00+02:00
J’aimais les Beachs Boys quand j’étais jeune, mais j’étais loin...
<p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-873982" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/00/02/296475448.jpg" alt="safe_image.jpg" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">J’aimais les Beachs Boys quand j’étais jeune, mais j’étais loin à l’époque d’imaginer ce que révèle le film « Love & Mercy », qui s’intéresse en particulier à Brian Wilson, brillant compositeur arrangeur chanteur, sans qui le groupe n’aurait pas connu un tel succès.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">Le mérite du film est de nous faire pénétrer dans l’univers de folie qui entourait la vie de cet artiste génial, généré en priorité par son thérapeute Eugène Landy. Le psy, pas si fou que ça, qui avait repéré le talent du chanteur, débarquant dans sa vie en 75 lors d'une dépression , avait complètement pris le contrôle sur Brian, pratiquant ce qu’il nommait au départ </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">une « Marathon Thérapy », un dérivé très personnel de la Gestalt, qu’il transforma en « Milieu Thérapy », soit une emprise permanente et totale sur la vie de l’artiste, gérant également ses rencontres, son emploi du temps, mais aussi les royalties de sa production.. et bien sûr la jolie facturation de ses prestations…</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Mais d’autres personnages troubles tournent autour de Brian, à commencer par le père, alcoolique et pervers narcissique, très présent dans la carrière du groupe, la première épouse Marylin qui avait engagé le psy Landy pour « protéger » son mari , et le cousin et un frère de Brian, qui tenaient à exister dans le succès des Beach Boys…</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">Il ne faut pas oublier le rôle des drogues et du LSD, qui participent largement au délire et à la schizophrénie du leader des Baechs Boys, mais qui lui donne probablement également la possibilité de créer des mélodies devenues des légendes (l’album Pet Sounds collectionne les récompenses), aux harmonies </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">souvent complexes, avec beaucoup de changement de tons, de rythme et de lignes d'accompagnement superposées dans l’arrangement. Le biopic, autorisé par Brian et sa seconde épouse Mélinda, censée l’avoir sauvée de sa folie, permet bien en 120 minutes de pénétrer dans l’arrière cour de Brian, qui rappelons le, chante encore (Love </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">& Mercy) et qui devrait même, d’après Wikipédia, préparer un nouvel album. Pour apprécier pleinement le film, il faut se laisser porter par la maladie mentale, c’est évident qu’on ne crée pas des musiques aussi folles, en buvant du lait et en pointant tous les jours au bureau, avec une vie pépère chez mamy…</span></span></p>
lelazor
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Un Palmares très Charlie
tag:lelazor.blogspirit.com,2015-05-25:3048009
2015-05-25T08:33:00+02:00
2015-05-25T08:33:00+02:00
Trois films français récompensés...mise à l'honneur des laissés pour...
<p style="margin-bottom: 0cm;"> Trois films français récompensés...mise à l'honneur des laissés pour compte....ce Palmarès me semble très Charlie, avec tout ce que cela veut dire, pour le meilleur et pour le pire.</p><p style="margin-bottom: 0cm;"> Jamais le cinéma français n'a été autant récompensé, peut-on lire ici ou là...c'est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle...je rapproche cela de ce que j'avais lu il y a quelques temps sur Woody Allen, qui semblait trainer les pieds pour venir à Cannes, sous entendant un petit monde trop fermé sur lui même...par ailleurs, comment passer sous silence le fait que Sorrentino, sélectionné à Cannes en 2004, 2006, 2008 (Il Divo, Prix assez chahuté du meilleur scénario à Cannes) 2011, 2013 (la Grande bellezza, non récompensé en France), 2015 (Youth, pressenti Palmes d'Or repartant bredouille) n'a quasiment obtenu aucune récompense..la France veut dire au monde qu'elle existe et qu'elle est la meilleure, c'est cela, et qu'elle a raison contre tout le monde ? La France veut faire passer l'idée qu'elle ne veut pas de ces vieux cons qui ne partagent pas les idées gauchos tellement dans l'air du temps de notre beau pays, c'est cela ?...</p><p style="margin-bottom: 0cm;"> Quant à l' « humain d'abord » qui traverse ce palmarès très politique, je ne peux pas m'empêcher de rapprocher cela de l'éditorial de Stéphane Delorme, dans les cahiers du Cinéma de février, évoquant la France de Zemmour, Houellebecq, la France des « mouais, la France rancie et dépressive du début du siècle »...ajoutant plus loin dans son papier très à charge (tellement à charge que j'ai rompu mon abonnement de 40 ans au journal), « qu'il fallait en finir avec tous ces vautours opportunistes, tous ces écrivains pataugeant dans le glauque et le fait divers »</p><p style="margin-bottom: 0cm;"> Ah bon, le parcours du chômeur, filmé sans saveur, de « La loi du marché », qui quitte son boulot d'agent de sécurité en mémoire de la vendeuse licenciée pour avoir volé des coupons, qui s'est suicidée, ce n'est pas du fait divers ? Quant au film d'Audiard, on murmure que ce serait loin d'être un grand film, un film bourré de clichés et de démonstrations un peu rapides sur les difficultés d'un immigrant tamoul?</p><p style="margin-bottom: 0cm;"> Et le prix du scénario remis a « Chronic », l'histoire de cet aide-soignant qui se dévoue plus qu'il ne faut et avec compassion exacerbée pour ses patients en fin de vie dans un service de soins intensifs, un film jugé difficile à voir et voyeur, qui de mon point de vue, ne fera que quelques centaines d'entrées, ce n'est pas glauque?</p><p style="margin-bottom: 0cm;"> Finalement, on peut toujours faire dire ce qu'on veut à ce qui pense servir la cause...cela ressemble fortement à de la communication politique pour aider le soldat Hollande dans son oeuvre, non?</p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p> </p>
lelazor
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J'ai lu ”Quand les tontons flingueurs rencontrent les bronzés”, ou la véritable histoire de la conception de Canal+
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-11-13:3021884
2014-11-13T10:21:00+01:00
2014-11-13T10:21:00+01:00
Il y a dans ce récit, pas toujours très soigné sur le plan du style...
<p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Il y a dans ce récit, pas toujours très soigné sur le plan du style (visiblement, ce n’est pas le problème de cet éditeur écrivain, dans ce bouquin sûrement écrit assez rapidement), quelque chose qui me rappelle 9,99, le premier bouquin de Beigbeider, une sorte de cynisme de gauche, qui nous replonge dans la grande époque mitterrandienne.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Canal 4, devenu Canal +, en ôtant la barre oblique, est donc né de cette jeune éminence à l'époque, ex sociologue, plus ou moins proche de Attali (dont il se méfie comme de la peste), qui le soir du 10 mai 81, se trouvait là il le fallait, (dans le bon restau à la Bastille, où les entrées étaient filtrées...comme cela rappelle l'autre au Fouquet's), avec qui il le fallait, pour faire parti du bateau Havas, le grande agence publicitaire, prise d’assaut par les gauchos (caviar), une sorte de « boiler room » du pouvoir socialiste. </span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Léo Scheer nous raconte l’épopée, partie de la vacance du 819 lignes, qui fut loin d’être gagnée d’avance, pour créer une nouvelle chaine cinéma, tant il fallait ruser pour échapper à l’idéaliste affamé d'empreinte Lang, qui voulait en faire une chaîne culturelle pour se faire mousser, tant il fallait trouver le bon compromis pour résister aux pressions des producteurs de films, qui voyaient dans la chaine, un dangereux concurrent qui allait détruire notre belle industrie cinématographique française.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">On suit la recherche </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">de solutions techniques, vu qu’une chaine cryptée par voie hertzienne, paraissait être une folie aux spécialistes américains, contactés pour leur expertise, qui ne croyaient qu’au câble, comment il a fallu inventer un décodeur, ni trop usine à gaz pour pouvoir déconnecter les mauvais payeurs, ni trop simpliste pour ne pas être facilement piraté. On suit les réunions, les mouvements hostiles du reste de l’agence, qui ne voulait pas du projet, préférant déployer son énergie pour contrôler la Presse Quotidienne Régionale, et on assiste au difficile accouchement d’une chaine ciné-sports, où l’esprit Canal n’est qu’un emballage, comme le rapporte l’auteur, qui ne semble pas porter les De Greef et autres Guignols, dans son cœur : «il ne faut pas oublier que les programmes en clair furent imposés par les pouvoirs publics de gauche, craignant que leurs électeurs leur reprochent d’avoir offert aux français une télévision pour les riches. Ce programme, visible par tous, est devenu une sorte d’emballage cosmétique, servant à la prospection du client pour lui vendre le véritable produit, qui ne ressemble en rien à l’emballage : du cinéma, des séries, du sport. C’est l’équivalent en télévision de ce que représente le flacon dans le vente d’un parfum » L’esprit Canal, pour Léo Scheer, </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">n’étant qu’une signature, un bel argument commercial, pour faire signer des pigeons, qui sont prêts à payer, avant même de connaitre véritablement le produit. Et hop….Léo Scheer nous rappellera par ailleurs, que la gauche, tout comme aujourd’hui, est souvent bien plus libérale que la droite, mais libérale libertaire, une gauche qui sait merveilleusement jouer la comédie démocratique, en donnant à des consommateurs électeurs assoiffés de changement, d'égalité, de justice sociale, des slogans genre "j'aime pas les riches" pour vendre sa soupe et installer la "petite <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Coterie">coterie </a>parisienne qui se croit subversive" (comme dirait Onfray).</span></span></p>
lelazor
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Interstellar - le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-11-06:3021299
2014-11-06T16:38:00+01:00
2014-11-06T16:38:00+01:00
Cela commence un peu longuement comme un film militant pour...
<p style="margin-bottom: 0cm;">Cela commence un peu longuement comme un film militant pour l'écologie : la planète est en danger, le réchauffement climatique menace de faire périr l'humanité de famine, et en particulier les pauvres américains, qui se retrouvent impuissants avec leur technologie et leurs grosses moissonneuses batteuses...on a même droit à une étonnante séquence à l'école du village, où les professeurs disent à un père ex pilote d'élite, qui rêve de voir ses enfants faire des études scientifiques, que l'on n'a plus besoin d'ingénieurs, mais de paysans et de bras...on se croirait presque en France.</p><p style="margin-bottom: 0cm;">On a droit aussi à une longue préparation psychologique du spectateur, avec le bon père de famille veuf qui élève courageusement ses enfants et qui va être prêt à se sacrifier pour eux et pour leur avenir...ça dégouline de bons sentiments sur l'amour, la transmission, les proches morts qui inondent toujours les vivants de leurs présences et protègent les pauvres terriens qui vivent l'enfer, avant de les rejoindre dans de paisibles paradis.</p><p style="margin-bottom: 0cm;">Donc après une bonne heure, nous voilà enfin en route dans un vaisseau spatial pour explorer d'autres galaxies, avec le pilote père de famille...alors là, changement de discours, on est en pleine sciences fiction, avec relativité du temps, 5ème dimension, mise en sommeil ultra prolongée des corps et catalogues de prouesses techniques en tous genres: merci la NASA et l'Amérique, où il y a toujours une bonne âme, qui désobéit parce qu'elle croit à ses idées et à son savoir, car la mission consiste à chercher une autre planète habitable pour transporter l'humanité dans un avenir meilleur.</p><p style="margin-bottom: 0cm;">Je passe sur les scènes où relativité oblige, les occupants du vaisseaux qui ne vieillissent pas, reçoivent de leurs enfants des messages de plus en plus alarmistes sur l'état de la Terre, des enfants qui deviennent plus vieux qu'eux, tout cela avec grands coups d'orgue pour faire spirituel.</p><p style="margin-bottom: 0cm;">Bref, c'est du Grand Guignol, un peu à l'ancienne, avec de bonnes vieilles maquettes, comme Spilberg ou Kubrick jadis, car plus de 3D (il semblerait d'ailleurs, qu'après avoir obligé les cinémas du monde entier à s'équiper grands frais, les ricains ne produisent pratiquement plus avec cette technologie). Pour moi, c'est bien moins bluffant que Gravity.</p><p style="margin-bottom: 0cm;">La fin après 2h50, est comme on pouvait le deviner après la préparation du début, sans suspense, avec quand même une traversées de trou de ver spectaculaire, avant un dénouement très longuement pseudo larmoyant et toujours très moraliste...<br />Finalement, c'est vrai que cela ne fait plus rêver l'Amérique !!!</p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p>
lelazor
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Chante ton bac d'abord - le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-10-20:3019799
2014-10-20T11:09:00+02:00
2014-10-20T11:09:00+02:00
C’est un film sympathique…le réalisateur est compétent, le sujet est...
<p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">C’est un film sympathique…le réalisateur est compétent, le sujet est intéressant, David André a passé du temps pour essayer de faire des portraits d’adolescents en s’intéressant également à leur milieu…ses images sont souvent très bien cadrées, originales, c’est bien monté, et puis, face à une certaine désespérance, dans une ville où il y a peu d’espoirs, il a eu la bonne idée de faire chanter les élèves…</span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Les acteurs, qui jouent leur propre rôle sont attachants, on a envie de les aimer, ils sont souvent courageux, ont pour certains même de très bons résultats scolaires, ils adorent en gros leurs parents et leur famille fait penser à ces petits oiseaux qui se serrent les uns contre les autres pour résister à la tempête…ils savent que leur avenir doit se faire ailleurs qu’à Boulogne, tant leurs parents galèrent et tentent de surmonter la crise comme ils peuvent avec un port qui se vide et des entreprises qui ferment…ils rêvent, le spectacle est pour à peu près tous, vu comme une porte de sortie bienveillante : marionnette, chant, musique, comédie et Gaëlle, le pivot du film, a déjà intégré la difficulté du parcours qui l'attendait et les faibles revenus qui vont souvent avec la vie d’intermittent….</span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;"><strong>Ce qui me choque profondément, c’est l’absence d’horizon</strong>, première cause du renouvellement d’une certaine fatalité de la pauvreté…venant moi-même d’un milieu défavorisé, je connais le cercle vicieux, quelque part, j’ai suivi le même parcours et j’ai rêvé, moi aussi, de devenir un artiste ou de faire psycho (les deux garçons du film sont en psycho à Lille), car quand on voit ses parents à peu près détester tous les jours ce qu’ils font, leur patron, leurs mauvaises conditions de travail, on a envie de liberté, d’aller s’exprimer ailleurs par les arts, ou de comprendre pourquoi le monde est comme il est...c’est naturel…sauf que c’est aussi la voie royale pour la galère et les fins de mois difficiles…il a fallu que j’arrive au milieu de ma vie et que je côtoie tous les jours des projets internationaux, pour mesurer avec effroi, la schizophrénie de notre système français. </span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Les enseignants, les politiques, les leaders, dans ce pays, ne sont pas formés à donner de l’ouverture, ne savent pas et ne comprennent pas qu’on est en train de passer d’un système éducatif qui a beaucoup reposé sur la mémoire, et en France, sur la surabondance d'emploi de citations, à un système qui doit apprendre prioritairement à favoriser la création dans tous les domaines….car des horizons, des caps, il n’en manque pas, de l’alimentation dont il va falloir revoir complètement les flux, les manières de produire, la qualité, la distribution, des transports qui devront respecter l’environnement, des architectures et de l’habitat qui devront être également plus écologique, de la santé qui devra être aussi revue en terme de relation soignant malade, même la psychologie est à réinventer…non, il n’y a pas que des boutiques de tatouage et d’ongleries à ouvrir et qu’à rejouer du Yolande Moreau…</span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Tout est à faire, mais encore faut-il le savoir, encore faut-il créer le désir, dire aux petits boulonnais (et à tous les autres par extension) qu’ils pourront trouver leur place, et que le mur qui les enferme, n’est que celui qui est généré inconsciemment par tout ce qui les entoure et par des adultes, y compris les profs en quête de reconnaissance, qui croulent sous les problèmes sociaux, ou qui n’ont plus d’autres espoirs que de partager ensemble un concert de rock ou une moule frite copieusement arrosée le samedi soir…</span></p><p> <span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">Pour sortir de cette spirale infernale, il faut apprendre autrement et ouvrir les portes du lycée à des intervenants, des chefs d’entreprise, des chercheurs, des architectes, que sais je, des gens qui viennent présenter dans un format hyper court, genre Ted aux Etats Unis pour les adultes, des mini conférences, sans prise de tête, sans démagogie,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span><span style="font-size: medium;">avec de l’humour, en s’appuyant sur du visuel, des conférences qui donnent de l’air, de l’espace et redonnent de l’espoir…</span></span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Dans les pays anglo saxons, on s’alimente, on observe partout dans le monde les expériences qui ont vu un indien quitter un destin tragique pour faire acte de résilience, on fait parler des gens qui sont sortis des ghettos, des banlieues sombres et violentes, et on capitalise pour inventer un nouveau monde….et ne croyez pas que l'on oublie les bases, au contraire, puisque chez les anglo saxons, on distingue souvent l'apport nécessaire pour tous, les arts libéraux (langues dont le grec et le latin, mathématiques et sciences, économie, histoire du monde, gestion, études sociales), aux cycles universitaires et professionnels, dont l'apprentissage plus valorisé que chez nous, qui ont pour but la spécialisation.</span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Je vous renvoie pour en savoir plus aux liens suivants - cliquer sur le thème et non sur le nom de l'intervenant - : les conférences sur l’école du futur ne dépassent pas 20 Mn et sont <strong>sous titrées en français</strong> …</span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Et …Change ton cap d’abord…..à moins que, comme dans Mommy, quand c'est barré, c'est barré...mieux vaut ne pas naître à Boulogne sur mer....à suivre.</span></p><p> </p><p style="background: white; margin: 0cm 0cm 10pt; line-height: normal; mso-margin-top-alt: auto; mso-margin-bottom-alt: auto;"><span style="color: #333333; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: small; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;"><a href="http://www.ted.com/speakers/sir_ken_robinson" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Ken Robinson</span></a><a href="http://www.ted.com/talks/ken_robinson_says_schools_kill_creativity" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US"> : How schools kill creativity</span></a></span></p><p><span style="font-size: small;"> <span style="color: #333333; font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;"><a href="http://www.ted.com/speakers/salman_khan" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Salman Khan : </span></a><a href="http://www.ted.com/talks/salman_khan_let_s_use_video_to_reinvent_education" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Let's use video to reinvent education</span></a></span></span></p><p><span style="font-size: small;"> <span style="color: #333333; font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;"><a href="http://www.ted.com/speakers/sugata_mitra" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Sugata Mitra</span></a><a href="http://www.ted.com/talks/sugata_mitra_build_a_school_in_the_cloud" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US"> : Build a School in the Cloud</span></a></span></span></p><p><span style="font-size: small;"> <span style="color: #333333; font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;"><a href="http://www.ted.com/speakers/daphne_koller" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Daphne Koller</span></a><a href="http://www.ted.com/talks/daphne_koller_what_we_re_learning_from_online_education" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US"> : What we're learning from online education</span></a></span></span></p><p><span style="font-size: small;"> <span style="color: #333333; font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;"><a href="http://www.ted.com/speakers/geoff_mulgan" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Geoff Mulgan</span></a><a href="http://www.ted.com/talks/geoff_mulgan_a_short_intro_to_the_studio_school" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US"> : A short intro to the Studio School</span></a></span></span></p><p><span style="font-size: small;"> <span style="color: #333333; font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;"><a href="http://www.ted.com/speakers/sugata_mitra" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Sugata Mitra : </span></a><a href="http://www.ted.com/talks/sugata_mitra_shows_how_kids_teach_themselves" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Kids can teach themselves</span></a></span></span></p><p><span style="font-size: small;"> <span style="color: #333333; font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;"><a href="http://www.ted.com/speakers/peter_norvig" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Peter Norvig : </span></a><a href="http://www.ted.com/talks/peter_norvig_the_100_000_student_classroom" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">The 100,000-student classroom</span></a></span></span></p><p><span style="font-size: small;"> <span style="color: #333333; font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;"><a href="http://www.ted.com/speakers/dave_eggers" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Dave Eggers</span></a><a href="http://www.ted.com/talks/dave_eggers_makes_his_ted_prize_wish_once_upon_a_school" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US"> : My wish: Once Upon a School</span></a></span></span></p><p><span style="font-size: small;"> <span style="color: #333333; font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;"><a href="http://www.ted.com/speakers/liz_coleman" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Liz Coleman</span></a><a href="http://www.ted.com/talks/liz_coleman_s_call_to_reinvent_liberal_arts_education" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US"> :A call to reinvent liberal arts education</span></a></span></span></p><p><span style="font-size: small;"> <span style="color: #333333; font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;"><a href="http://www.ted.com/speakers/arthur_benjamin" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Arthur Benjamin : </span></a><a href="http://www.ted.com/talks/arthur_benjamin_s_formula_for_changing_math_education" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Teach statistics before calculus!</span></a></span></span></p><p><span style="font-size: small;"> <span style="color: #333333; font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;"><a href="http://www.ted.com/speakers/kiran_sethi" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Kiran Sethi</span></a><a href="http://www.ted.com/talks/kiran_bir_sethi_teaches_kids_to_take_charge" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US"> : Kids, take charge</span></a></span></span></p><p><span style="font-size: small;"> <span style="color: #333333; font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;"><a href="http://www.ted.com/speakers/patrick_awuah" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Patrick Awuah</span></a><a href="http://www.ted.com/talks/patrick_awuah_on_educating_leaders" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US"> : How to educate leaders? Liberal arts</span></a></span></span></p><p><span style="font-size: small;"> <span style="color: #333333; font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;"><a href="http://www.ted.com/speakers/chris_emdin" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Christopher Emdin : </span></a><a href="http://www.ted.com/talks/christopher_emdin_teach_teachers_how_to_create_magic" target="_blank"><span style="color: blue; text-decoration: none; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-font-size: 12.0pt; text-underline: none; mso-ansi-language: EN-US;" lang="EN-US">Teach teachers how to create magic</span></a></span></span></p><p> </p>
lelazor
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Saint Laurent - le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-09-30:3017803
2014-09-30T16:00:00+02:00
2014-09-30T16:00:00+02:00
On n’est pas du côté de l’image, on est plutôt dans la face...
<p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-821213" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/02/01/2079245035.jpg" alt="422275_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg" width="399" height="223" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">On n’est pas du côté de l’image, on est plutôt dans la face sombre de la création…On comprend que Bergé n’aime pas ce film, qui ne fait pourtant, je pense, que de dévoiler toute l’angoisse et la mal vie d’un homme, d’une exigence rare, recherchant toujours les alliances les plus parfaites entre étoffe, couleur et forme, afin d’aller jusqu’au fond de sa vision peut être, de la femme idéalement habillée et libérée…</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">On retrouve les amies Loulou de la Falaise, Betty Catroux et l’amant maudit, déjà entre aperçu dans le premier film, Jacques de Bascher, qui fut également le compagnon de Lagerfeld et qui décéda du sida.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Drogue, alcool, dépression, sexe, Yves Saint Laurent se traine souvent, entre deux collections, qui sont des épreuves de plus en plus dures, au fur et à mesure que le succès du couturier styliste grandit.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">On n’est pas obligé d’adhérer à ces drôles de personnage hors du commun, qui n’aiment souvent que leur chien ou leur peluche, afin d’aller au bout de leur art, leur seule véritable passion, si on ne veut pas admettre que leur talent est lié à leur destin maléfique.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Le film est très bien à mon avis, il complète le précédent, les acteurs sont excellents, les décors reconstituent bien l’atmosphère à la fois luxueuse et sulfureuse…maintenant, on peut trouver le temps long (2H30)…on peut aussi trouver que c’est un étalage de fric et de bling bling indécent ou que le film est aussi pompier que le précédent…question de point de vue…on n’aime pas bien le luxe en France, étrange pour un pays, dont c’est la principal réussite sur le plan international…sûr qu’YVL n’était pas un homme « normal », ce n’était pas non plus un intermittent qui compte ses heures pour toucher ses indemnités, mais on ne laisse pas non plus une telle marque et une telle emprunte sans vie chaotique et sans un certain parfum de scandale…</span></p>
lelazor
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L'audiovisuel scandinave
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-09-29:3017756
2014-09-29T18:06:00+02:00
2014-09-29T18:06:00+02:00
Arte a diffusé hier soir « Revenge », un film de la...
<p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Arte a diffusé hier soir « Revenge », un film de la réalisatrice danoise <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Susanne_Bier">Suzanne Bier</a>, très connue là bas, un film peu distribué auparavant dans notre pays et peu apprécié par les critiques français (trop moralisateur)...la très précieuse Elisabeth Quin l'a même présenté comme un film allemand...chapeau !</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-821118" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/00/00/2611599719.png" alt="film,cinema,films" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Comme je suis actuellement un cours <a href="http://www.coursera.org">MOOC </a>à l’Université de Copenhague, sur le cinéma et la télévision scandinave, je suis particulièrement intéressé par le décalage entre nos visions et la vision étrangère de ce film qui a pourtant reçu de nombreux prix internationaux (Oscar, Golden Globe, )</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-821116" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/00/02/3310921814.jpg" alt="janus metz.jpg" width="399" height="236" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Le cours est passionnant, car il nous permet de voir comment on peut créer à partir d’une forte implication de l’Etat, des contenus audiovisuels en étant performant et en obtenant de larges diffusions et en exportant.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Pourtant, les contraintes depuis 2010, sont importantes :</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">- One vision : Association entre scénaristes et producteurs, enfermés dans un même lieu pour écrire le scénario.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">- Double storytelling : Les contenus produits, qui sont souvent assez noirs (Wallander, Borgen, The Bridge, Lilyhammer…) <strong>doivent respecter des valeurs sociales et éthiques scandinaves</strong>.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">- Crossover : les produits doivent être faits à la fois pour des diffusions ciné, que pour la TV voire les plateformes, comme <a href="https://www.netflix.com/?locale=fr-FR">Netflix </a>(0,5 millions de souscripteurs au DK), <a href="http://hbonordic.com/geo/">HBO Nordic,</a> Next...pour les services de rediffusion des chaines publiques (<a href="http://www.dr.dk/tv/live/dr1">DR NU</a>, <a href="http://tv.nrk.no/">NRK TV</a>,....) ou les services VOD scandinaves (<a href="http://yousee.tv/youbio/">YouBio</a>...)</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Dommage que notre service public de télévision soit devenu ce qu’il est, c'est-à-dire de mon point de vue, une chaine privée comme TF1, faite pour faire de l’audience…C’est Arte qui diffuse souvent les meilleurs contenus sur le plan culturel.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Les TVs publiques scandinaves (DRs, NRKs, SVTs, <span class="lang-sv" lang="sv" xml:lang="sv">Kunskapskanalen, <a href="http://yle.fi/aihe/yle-teema">Yle Teema</a></span>) agissent depuis longtemps dans le domaine de la culture, et sensibilisent le grand public à des problèmes de société, comme le documentariste Janus Metz qui avec son remarquable Armadillo, diffusé sur les chaines nordiques, puis à l’étranger au cinéma, montrait toute la difficulté qu’il y a pour une armée à « construire » dans des pays en guerre, comme l’Afghanistan ou l’Irak, encourageant plutôt les actions humanitaires que les actions armées.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-821117" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/02/00/328122339.jpg" alt="the five obstructions von trier2.jpg" width="399" height="223" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Idem avec une série « The five obstructions » réalisée en partie par Lars Von Trier, qui aborde les problèmes de mondialisation et de ressources alimentaires, dans un style assez coup de poing, comme le montre l'image ci dessus (un homme aisé mange un bon repas avec un vin raffiné devant des images des quartiers pauvres de Bombay)…</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Je pourrais citer beaucoup d’autres exemples de films de société produits dans ces pays, sachant que l'on retrouve un fond culturel souvent important dans des séries familiales qui n'hésitent pas à parler du genre, d'écologie ou de dégradation de l'environnement.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;"> </span><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">C’est un manque pour un pays comme le notre, que d’avoir abandonné cette fonction éducative à la télévision publique qui est souvent de bas niveau pour être soi disant vue par le plus grand nombre (cela dispense aussi de faire de la qualité)…ceci explique aussi beaucoup cela et l’état dans lequel on est….ajoutons que la France rejette souvent les touches qu'elle juge trop "morales" dans l'audiovisuel (dans le film Revenge, il est évident que la lutte contre toute violence est particulièrement mise en avant, ce qui peut paraitre cucul à certains).</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-821120" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/01/01/1216503219.jpg" alt="film,cinema,films" width="397" height="231" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">A noter…les scandinaves produisent de plus en plus avec des sous titres en anglais…c’est aussi un moyen efficace pour apprendre la langue et pour vendre à l'étranger…En France, sur nos chaine, on n’ose pas faire ….peut être, parce que quand la ménagère repasse, elle a autre chose à faire que de lire les sous titres…et puis, en France, il faut parler français, na !!! (pas étonnant non plus que la mondialisation soit vue comme une menace).</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">Mais du coup, on se coupe beaucoup de points de vue étrangers…car beaucoup des productions étrangères ne sont pas montrées en France…cela changera peut être avec les plate forme comme Netflix….enfin, c’est un peu dommage, un peu triste…laxisme et orgueil français ? </span></span></p>
lelazor
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Gemma Bovery Le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-09-12:3015893
2014-09-12T09:18:00+02:00
2014-09-12T09:18:00+02:00
Gentillet, léger, délicat, avec néanmoins quelques tâches....voilà...
<p style="text-align: center;"><img id="media-819415" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/02/01/4122791174.jpg" alt="film,cinéma,films" width="396" height="289" /></p><p>Gentillet, léger, délicat, avec néanmoins quelques tâches....voilà comment je qualifie Gemma Bovery.</p><p>Certes, l'actrice d'origine anglaise Gemma Arterton est lumineuse, quant à Luchini, il est parfait en vieux machin lettré au regard lubrique. C'est un bon téléfilm, soigné sur le plan du cadre, de la lumière et même de la musique, en partie originale.</p><p>Sur le plan du fond, cela tient à peu près debout...à peu près, car la fin bascule dans un autre genre....on passe de la comédie romantique au boulevard, avec un "remettez nous ça" bien plus lourd que la majorité du film...</p><p>Bon, on ne va pas en faire un fromage, car ce n'est pas non plus une oeuvre hyper géniale...quelque part, Alceste avec le même Luchini, était bien plus fin...là, on joue beaucoup sur la sensualité vaporeuse de la jolie british, la scène où elle pétrit la pâte en est un bel exemple, elle surjoue au point de mimer quasimment l'orgasme...Luchini devait en avoir les sens tout retournés...En fait, ce film me rappelle mes cours de peinture, quand d'un coup de pinceau, on sort de la palette et de son harmonie, pour coller une grosse touche de noir qui fout tout en l'air.</p><p>Enfin, il reste la normandie, avec ou sans pluie, et les anglais, dont finalement les français trouvent toujours qu'ils ont un côté pataud, un peu comme quand des gentlemans sortant des bureaux, très chics et apparemment très classes, mais un peu défoncés à la bière et au whisky après quelques tournées au café du coin, mettent la main au panier de la serveuse et rigolent comme des gros veaux....</p>
lelazor
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Les chandans
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-09-06:3015328
2014-09-06T20:29:00+02:00
2014-09-06T20:29:00+02:00
Le 18 et le 25 septembre, on pourra voir sur Arte une série...
<p><iframe width="560" height="315" style="width: 393px; height: 238px; margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" src="http://www.youtube.com/embed/ii2BzMaUr3M" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Le 18 et le 25 septembre, on pourra voir sur Arte une série policière réalisée par Bruno Dumont tournée dans le Pas de Calais, une sorte de comédie très ancrée dans le local, avec une galerie de personnages haut en couleurs.</span></p><p> <span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">Je connais très bien Boulogne sur mer et ses environs, où ont été tournées la série et la plupart des films de Bruno Dumont, qui vit là bas. Les Cahiers du Cinéma de septembre y consacrent un long article ce mois-ci, et leur peur, c’est que la peinture de cette faune de province qui parle comme cha, comme dans les films de Dany Boon, qui marche un peu comme des robots, et qui est souvent complètement à l’ouest, ne crachant pas sur la bouteille, ne soit pas perçue avec la tendresse nécessaire, mais au contraire, donne à rire au petit cénacle parisien, qui ne loupe pas une occasion pour vanner des chandants, entre deux « boards » sur le taux de croissance …pourtant, il faudrait</span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">nous interroger sur « comment on fait, à l’heure de la mondialisation, pour faire vivre ces régions », dont la majorité de la population est condamnée à terme en toute logique, à ne jamais retrouver d’emploi. Là bas, les MOOCs (prononcer mouch), ce sont des p’tites bêtes noires qui viennent su’ch’beurre en été, pas des systèmes d’enseignement à distance…</span></span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">On me dira : à l’époque de nos grands pères, il y avait bien des bourgeois qui se lavaient dans des salles de bains et qui mangeaient du foie gras, alors que les paysans bouffaient des patates et se lavaient au puits à l’eau glacée, et finalement, on a mis plus ou moins au travail tout le monde. Sauf qu’avec les machines et la puissance des ordinateurs, on n’aura bientôt plus besoin d’emplois non « sur qualifiés ».</span></p><p> <span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">Si mon grand père, qui s'est niqué les poumons à faire Paris Calais en machine à vapeur, et qui, justement était issu de cette région, vivait encore, il me dirait sûrement avec son accent ch’ti, quelque chose du genre, «Lâche tin machin, té vas</span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">devenir maboule à force d’faire tourner tin cherveau…tiens, minge plutôt ch’fraises, mi, ch’sais pas faire marcher t’nordinateur, mais ché qu’mes fraises é zont pas pris l’avion et qu’ti, je te vois pas souvent r’tirer l’herbe dans min gardin »</span></span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Le problème, c’est que là haut, même si mon grand père est mort depuis cinquante ans, c’est le genre de phrases qu’on peut entendre encore, y compris chez des gens assez jeunes ou comme j’imagine, dans la série très réaliste de Bruno Dumont….pourquoi de pas laisser vivre les gens comme ile l'entendent, avec des légumes du jardin plutôt qu'achetés par des traders sur des markets places, avec des brocantes où on recycle plutôt que de courir toujours après le dernier smartphone sorti ?</span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Nos politiques et les frondeurs, ils savent, quand ils quittent les troquets branchés du quartier des Invalides et de l’Assemblée nationale, que la vie n’est pas vraiment la même dans leur région, surtout s’ils viennent de villes moyennes et défavorisées…sauf qu’ils pensent qu’ils peuvent, par l’éducation nationale, par je ne sais qu’elle mesure ou promesse, en se débattant comme des sarkozys, ou en déshabillant Pierre pour habiller Paul avec des impôts, rétablir une sorte d’équilibre…pire, Attali et ses potes généticiens qui se disent socialistes, pensent que les inégalités entre individus étant majoritairement d’origine génétique, il suffira bientôt de greffer quelques machins dans l’ADN pour réparer les désordres et coller tout le monde à niveau, comme on répare une bagnole quand le radiateur a des faiblesses… A quand le contrôle technique obligatoire pour le cerveau des français…</span></p><p> <span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">La question de fond, c’est que tout le monde ne pense pas de la même manière et ne </span><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: medium;">veut</span></strong><span style="font-size: medium;"> pas du même monde.</span></span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">On est peut être à la veille d’une révolution ou à la veille de l’arrivée au pouvoir de la grande blonde…sauf, que la révolution est quand même passée par la Terreur et qu’elle n’était peut être pas si nécessaire qu’on veut bien le dire.</span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Ce qu’il faut faire….je ne sais pas…on en parle fin septembre, après avoir vu « p’tit quinquin » sur Arte</span></p><p> </p>
lelazor
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La formation planétaire
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-09-05:3015281
2014-09-05T20:47:00+02:00
2014-09-05T20:47:00+02:00
Je suis à nouveau un MOOC, mais je m’attaque maintenant...
<p> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-817338" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/01/01/584807586.jpg" alt="saga.jpg" width="399" height="248" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Je suis à nouveau un MOOC, mais je m’attaque maintenant à des cours d’origine étrangère. Je viens de débuter le cours de Scandinavian Film and Télévision, édité par l’Université de Copenhague.</span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Ouvert depuis lundi de cette semaine, sur <a href="https://www.coursera.org/">Coursera</a>, la règle est faite d’exposés de 30 minutes, (ici, avec extraits de films et inserts de résumés)…il y en 2 par semaine, divisés en modules de 10 mn, avec 5 semaines de cours...en gros, le niveau "overview", c'est au moins 2 h par semaine de travail...après si tu fais tout ce qui est proposé, cela peut monter à beaucoup plus.</span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">On commence par les origines du cinéma scandinave, comme en Suède, avec le cinéma de Victor Sjöström, qui réalisât Terje Vigen (1917) adapté d’Ibsen, qui raconte comment un courageux pécheur cherche, sans succès, à sauver sa famille du blocus anglais à l’époque des guerres napoléoniennes, puis on passe à Dreyer.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-817339" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/02/02/2781324714.jpg" alt="joan darc.jpg" width="399" height="295" /></p><p style="text-align: left;"> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: left;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">Bien sûr, les cinémas de Bergman, et de Lars Von Trier occupent une grande place dans ce cours…mais on parle aussi télévision, en particuliers des séries policières de Millénium à Kurt Wallander (adaptation des romans noirs du suédois Mankell), de documentaires, de Kaurismaki…et de films ou séries plus connues localement, construits souvent à partir de sagas familiales, d’épisodes historiques, d’histoires de sorcelleries, qui racontent les pays du nord, avec leurs pasteurs, les famines, les épopées rurales, l’occupation russe en Finlande, ou allemande en Norvège et au Danemark…. des aventures souvent très humaines et hyper réalistes, mélangeant huis clos austères et grands espaces plombés par un ciel lourd et pesant. <br /></span><span style="font-size: medium;"> On évoque les influences du cinéma soviétique, de la nouvelle vague française, des méthodes de travail américaines, mais aussi les contraintes liées à la langue et à la taille réduite de l’audience qui ont amenés les réalisateurs scandinaves à particulièrement soigner le son, à souvent faire des plans lents et longs, et à développer une écriture faite pour des versions étrangères… le cours évoque également les cultures propres aux scandinaves, comme l’importance de l’architecture, ou la prédominance des valeurs sociales. Enfin, c’est l’organisation du cinéma, son financement, ses types de production et de distribution qui seront abordés dans les modules à venir.</span></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Il faut que je vous parle de la langue….ces cours sont en anglais…en actionnant l’option CC, on fait apparaitre les sous titres également dans la langue de Shakespeare…c’est bon pour entretenir son anglais…et puis, le bonheur, c’est de faire le test final et d’obtenir une très bonne note (je reconnais que les Quiz de fin de module sont assez faciles)…</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">On dit que les gens abandonnent vite dans les MOOCs…80 % ne vont pas jusqu'au bout…moi, je le fais en auditeur libre, en regardant les vidéos et en lisant la plupart des documents d’accompagnement, c’est déjà beaucoup plus qu’une simple conférence…je vis cela comme un challenge…et puis, j’ai l’entrainement, j’ai ingurgité des choses bien moins passionnantes toute ma vie professionnelle…<br /></span><span style="font-size: medium;"> Je viens de terminer le New Learning, que j’ai suivi pendant mes vacances, avec l’université de l’Illinois…maintenant, si tu veux vraiment faire la chose sérieusement, tu dois passer par le « Signature Track », avec enregistrement de ta tête par webcam pour prouver que c’est bien toi qui suit le cours, faire des quizz complémentaires, des exercices, suivre les forum, etc…je reconnais que je ne vais pas jusque là, ce qui permet d’obtenir un diplôme : </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">trop d’investissement, trop de temps, trop de travail…pour le New Learning, par exemple, il fallait créer sur l’une de leur plateforme un site avec un cours en multimodale, sur le sujet de son choix, à tester dans</span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">la communauté des étudiants…attends, papy, il est en retraite…faut pas déconner….</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> <img id="media-817340" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/02/00/1906624795.jpg" alt="copenhague university.jpg" width="399" height="253" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p> </p>
lelazor
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A la recherche de Vivian Maier - le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-09-03:3015118
2014-09-03T21:41:00+02:00
2014-09-03T21:41:00+02:00
Cela fait parti de ces petits films qui, sortis cet été,...
<p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-817029" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/02/02/2518943452.jpg" alt="Vivian-Maier-Self-portrai-009.jpg" width="365" height="220" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Cela fait parti de ces petits films qui, sortis cet été, sont passés pratiquement inaperçus…</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Tout comme le personnage de Vivian Maier, une américaine passionnée par la photographie, solitaire et mystérieuse, dont l’un des réalisateurs du documentaire a découvert le travail par hasard en achetant des photos dans une vente…</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-817030" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/01/01/138946050.jpg" alt="port_street2_VM19XXW03457-07-MC.jpg" width="397" height="400" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Inconnue de son vivant, cette femme décédée en 2009, dont on ne sait au fond pas grand-chose, a laissé des milliers de pellicules, de négatifs, de bobines, évoquant le plus souvent la rue, des anonymes, des enfants, des chiens, des animaux, des situations, révélant un regard d’une grande sensibilité, sachant trouver la bonne distance et le bon cadre pour voler une tranche de vie à toutes sortes de personnages, qu’elle rencontrait au quotidien...et puis, ce sont de vrais instantanés, pas des clichés qui résultent d'une préparation et d'une mise en scène, comme le fit parfois Robert Doisneau, par exemple. </span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-817031" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/02/00/3108872515.jpg" alt="Vivian-Maier-05.jpg" width="397" height="400" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">Partant à la recherche de gens qui l’ont connue, fréquentée, employée également comme nourrice ou comme baby sitter, on obtient, comme souvent des témoignages, qui se contredisent, </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">tant un individu quel qu’il soit, est toujours un secret, qui s’adapte, qui se métamorphose, en fonction du moment, des interlocuteurs, de son humeur et de ceux qui l’entourent à une période donnée…vous n'avez jamais vu quelqu'un passer du mépris à la tendresse, en fonction des circonstances, nos dirigeants nous en fournissent de beaux exemples au plus haut sommet de l'Etat, c'est l'humanité.... et du coup, elle apparait assez marginale, parfois cruelle, parfois folle, parfois inadaptée, obsessionnelle, égoïste, et parfois extrêmement généreuse, en particulier quand elle déclenchait l’obturateur…Au fond, le plus important pour moi, c'est sa production qui révèle peut être le mieux <a href="http://www.vivianmaier.com/">Vivian Maier.</a></span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-817032" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/01/01/2747271703.jpg" alt="Photo-3.jpg" width="397" height="391" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Après tout, peu importe les zones d’ombres, ses clichés sont dignes des plus grands…pourtant, la réglementation des musées fait qu’elle ne peut pas être reconnue comme une artiste véritable…</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-817033" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/00/01/3643093033.jpg" alt="VM19XXW03208-02-MC.jpg" width="397" height="400" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">On salue également l’obstination de celui qui a bataillé pour comprendre, qui a trié des dizaines et des dizaines de boites à chaussure, et qui probablement a pris un risque financier en faisant réaliser des tirages professionnels à partir de négatifs abandonnés normalement à leur sort…et qui a fini par en faire un film très émouvant.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-817034" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/01/01/223541493.jpg" alt="VM1968-9W01816-07-MC.jpg" width="397" height="400" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p>
lelazor
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Welcome to New York - Le film de Ferrara
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-06-15:3008412
2014-06-15T22:00:00+02:00
2014-06-15T22:00:00+02:00
J’ai vu le sulfureux film de Ferrara “ Welcome to New...
<p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">J’ai vu le sulfureux film de Ferrara</span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">“ Welcome to New York”. Certes, sur le plan cinématographique, on sent le manque de moyens, c’est souvent mal éclairé et pas toujours très bien ficelé, mais le procès qui en est fait, et le refus d’une certaine élite de le diffuser, est bien plus scandaleux que le film lui-même, qui pose bien davantage de questions que de nombreux navets ou de scénarios consensuels, censés endormir </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">le bon public, comme « qu’est ce qu’on a fait au bon Dieu »</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Wecome to New York se divise en trois parties :</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">Dans la première partie, pas toujours réussie, mais nécessaire, qui dure environ 30 minutes, on assiste aux exploits sexuels et </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> aux </span></span><span style="font-size: medium;">partouzes endiablées d’un Devereaux, grand dirigeant international de banque, qui utilise son pouvoir pour satisfaire ses nombreuses et mystérieuses pulsions. Depardieu qui incarne le personnage, dit dans le prologue, qu’il n’aime pas celui qui envisageait de devenir Président. Du coup, il ne s’économise pas, pour nous construire une image assez infecte du héros, une sorte de bête de sexe, </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">entourée d’une bande de fêtards assez glauques, tout excités à l’idée de partager l’intimité d’un tel puissant.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">La seconde partie retrace l’épisode policier et judiciaire, de la chambre d’hôtel à la prison. On n'apprend rien de particulier, on se remémore des détails que la presse de l’époque n’avait pas manqués de nous rapporter sur cette affaire du Sofitel</span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">Là encore, Ferrara appuie là où cela fait mal, à savoir l’arrogance du français qui tente en permanence d’utiliser sa position sociale pour échapper aux turpitudes du monde peu accueillant des univers carcéraux.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">La troisième partie, la plus longue, la moitié de la durée du film en gros, nous fait assister à un huis clos, entre Simone, la femme et DD (Depardieu Devereaux) assigné à résidence, à l’intérieur de l’immense appartement new yorkais, où le couple doit se retrouver face à face. C’est de très loin la séquence la plus réussie et la plus intéressante.</span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">On est témoin des conflits entre DD et Simone, cette dernière reprochant à son "immature" de mari d’avoir cassé l’avenir brillantissime </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">qu’elle avait cherché à construire. La défense de DD est une charge contre le fric, </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">contre l’incompréhension et la manipulation de son épouse. De très bonnes questions sont posées, comme est-il plus moral d’amasser autant de pognon par héritage, lié à la simple spéculation sur des œuvres d’art,</span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">que de vouloir vivre ses instincts comme il l’entendait ? Evidemment, ce passage a fait hurler les loups qui ont vu là une charge antisémite, pourtant, sans aucune stigmatisation, on peut quand même s’interroger sur </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">ces pratiques qu'une gauche aisée veut préserver au nom de la culture, pratiques qui ne font pas honneur à l’égalité de tous face à l’ascension sociale ou face à la justice, </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">et sur l’immense fortune d’un collectionneur de tableaux, dont la vente d’une seule pièce de Monet ou de Picasso a servi a payer la caution et la magistrale note de frais de cette affaire. On rappellera au passage que le grand marchand de tableaux Kahnweiler disait de Paul Rosenberg que c'était un "brocanteur" et qu'il n'a jamais rien compris à l'histoire de l'art, thèse en totale contradiction avec le livre d'Anne Sinclair sur ses origines familiales...par contre, Kahnweiler reconnaissait à Rosenberg, un flair du marché hors du commun....où se trouve la vérité , messieurs les historiens ????</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">DD s'explique</span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">également sur ses doutes, sur son engagement politique,</span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">se sentant finalement désormais libre, ne s’étant jamais imaginé capable de se faire élire Président pour changer un monde auquel il ne croit plus et n’étant pas mécontent, d’avoir trouvé une issue, </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">quelle qu’elle soit, à un chemin de croix élyséen orchestré par Simone / Anne S. et ses « amis » de la caste politico-médiatique des intouchables.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">On retiendra également une série de dialogues houleux entre DD et son thérapeute,</span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">nous ramenant </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">à la censure morale et à ce désir de normalité, qui pousse nos sociétés peu courageuses </span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">à tout niveler, et où la petite bourgeoisie paumée rejoint la grande qui a réussie, pour fuir toute remise en question, ayant bien trop peur de sa chute et de la dépression,</span><span style="mso-spacerun: yes;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-size: medium;">préférant engloutir des médicaments ou courir chez le psy : « Au secours docteur, aidez moi vite, je suis lucide sur moi-même et c’est insupportable ».</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Eh, oui, en France, on n’aime pas bien regarder les choses telles qu’elles sont, on préfère transmettre de belles histoires, qui finissent bien, ou se la raconter sur les belles valeurs de nos fondations, tellement revisitées et storyfiées, qu'elles sont prêtes à crouler….on cherche à éviter toute véritable mise à plat et toute comparaison avec nos proches voisins, pour ne surtout rien changer en profondeur…enfin, les plus anciennes générations, car les jeunes, eux, ce genre de film ne les choque pas du tout…nos gosses sont peut être plus adultes que leurs ainés, des grands ados, qui souvent n’ont pas vécu grand-chose d’important et cherchent à justifier leur injustifiable position protégée, pour finir leur petite vie pépère avec leur retraite, dorée ou effet dorure, pompée sur la collectivité condamnée à se paupériser à petit feu…</span></p>
lelazor
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Les caricaturistes Fantassins de la démocratie - Le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-05-29:3006744
2014-05-29T13:30:00+02:00
2014-05-29T13:30:00+02:00
C’est un très beau documentaire sur la liberté de la presse et...
<p style="text-align: center;"><img id="media-803872" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/00/01/2571982711.jpg" alt="412311_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg" width="397" height="299" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">C’est un très beau documentaire sur la liberté de la presse et sur la liberté tout court. Plantu, qui a parcouru la planète de long en large, nous fait partager sa rencontre avec un certain nombre de ses amis caricaturistes et dessinateurs de presse de toute nationalité : Israël, Afrique et Maghreb, Russie, Etats Unis, Mexique, chine, Palestine, Amérique du sud, Danemark…tous ont souvent pris des risques avec un dessin, souvent impertinent ou destiné à mettre en évidence certaines situations tragiques ou pour défendre les droits de femmes et d’hommes emprisonnés, torturés, tués au nom de la liberté.</span></p><p style="text-align: left;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'Calibri'; font-size: medium; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: EN-US; mso-bidi-language: AR-SA;">C’est léger, plein d’humour même si le propos est souvent grave…certes, il ne faut pas s’attendre à un moment exceptionnel de cinéma, c’est un documentaire tout simple. Certaines scènes sont fortes, comme lorsque Plantu, le fil conducteur du film, a réussi à faire dessiner et signer Arafat et Peres sur la même feuille. </span></p><p style="text-align: left;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-803873" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/00/01/250569807.jpg" alt="66171718.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Et puis, c’est une bonne occasion de sermonner que rien n’est jamais acquis, y compris en France, où certains dessins, comme Martine Aubry avec une trompe d’éléphant n’a pas été le bienvenue, choquant les féministes, ou comme le pape qui « prend position » contre la pédophilie, car même au pays des droits de l’homme, Plantu nous rappelle qu’il n’est pas permis de représenter quelqu’un avec un gros nez , sous peine de passer pour un affreux antisémite…</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Certes, comme l’évoque un caricaturiste, il faut assumer le fait de choquer et de déplaire à quelqu’un…le prix de la liberté…à méditer…</span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: left;"> </p><p style="text-align: left;"> </p>
lelazor
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Dans la cour - Le film avec Deneuve...
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-04-24:3002856
2014-04-24T08:06:06+02:00
2014-04-24T08:06:06+02:00
Le cinéma français est décidemment tombé bien bas…à moins que ce ne soit le...
<p>Le cinéma français est décidemment tombé bien bas…à moins que ce ne soit le pays qui soit bien bas, habité par une masse d’angoissés, de dépressifs, de malades mentaux, de pauvres types au bord du gouffre, carburant à la bière, au Lexomil et à la coke.<br />Le scénario ? Comme d’hab. avec la fierté de notre exception culturelle, à l’arrache, à la grosse…il y a Deneuve, ça sauve, enfin, ça tente de sauver…on est loin du cinéma dynamisant de Demy avec la même Deneuve, et pourtant, l’époque de la guerre d’Algérie n’était pas gaie…<br />On assiste surtout ici à une présentation de ce que notre société peut amasser aujourd’hui de gens mal dans leur peau : des retraités au passé stalinien, ou en besoin d’occupation intense pour calmer leurs trouille vivant encore comme en 70, un grand dépressif qui a tout largué et qui se retrouve gardien d’immeuble pour essayer de survivre, un agent de sécurité à la rue qui passe sa folie et ses pulsions violentes avec une secte, un ancien joueur de foot au chômage qui essaie de gagner trois sous en revendant des vélos volés, etc..<br />Si tu es jeune et que tu hésites à quitter la France, va voir ce film, ça t’aidera à faire tes valises…si tu as le blues, va voir ce film, ça t’aidera à te balancer sous le train…<br />J’espère qu’on ne va pas exporter ce minable tableau français…le monde va rire, même au fin fond de la Roumanie, ils sont plus heureux qu’au métro Goncourt…voilà le genre de spectacle qu’on semble aimer, Télérama nous dira sûrement que c’est beau la solidarité chez les pauvres…<br />Il faut boycotter ce genre de cinéma…enfin, hier soir, on était quatre dans la salle et deux sont partis avant la fin…<br /><br /></p>
lelazor
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Arrête ou je continue - Le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-04-04:3000630
2014-04-04T21:37:00+02:00
2014-04-04T21:37:00+02:00
Un film étrange sur une crise de couple...trop écrit, ça frôle parfois le...
<p style="text-align: center;"><img id="media-793330" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/00/00/478281042.jpg" alt="arrete-ou-je-continue-05-03-2014-2-g.jpg" width="397" height="215" /></p><p>Un film étrange sur une crise de couple...trop écrit, ça frôle parfois le ridicule...sans finalement trop savoir ce que la réalisatrice veut démontrer...le dossier de presse est assez consternant....quelle est l'intention ? Souhaite t-elle parler de séparation, de féminisme (la supériorité des femmes) ?...pourquoi la femme dans le scénario vient-elle de se faire opérer du cerveau, alors que visiblement, la réalisatrice n'apporte pas de réponse plausible à cette question ? Pourquoi cette trop longue échappée en forêt, dont la femme ressort fraiche comme un gardon ? Pourquoi ce festival de musique et le mensonge ? etc..;</p><p>heureusement, il y a Amalric, toujours aussi mystérieux et incarnant un grand solitaire assez revenu de tout...c'est souvent long, en particulier toute la partie en forêt, c'est bavard, avec des symboles et des symboles.... c'est tordu et souvent chiant..bref, du mauvais cinéma à la papa quoi...mal ficelé, mal dirigé...français quoi !!!!</p><p> </p>
lelazor
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The Grand Budapest Hotel
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-03-10:2997414
2014-03-10T19:09:00+01:00
2014-03-10T19:09:00+01:00
The Grand Budapest Hotel, c’est d’abord un univers…vous prenez...
<p style="text-align: center;"><img id="media-788115" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/00/02/2104858821.jpg" alt="082768_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg" width="397" height="298" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">The Grand Budapest Hotel, c’est d’abord un univers…vous prenez un shaker, vous mélangez le film d’animation, le style Kusturica avec des décors et des pâtisseries à la Sofia Coppola, vous ajoutez un zeste de suspens so british à la Agatha Christie, enfin vous mixez tout çà avec une musique originale de Desplat …on sent que chaque plan a fait l’objet d’un soin particulier, avec storyboard et long travail de préparation; on n’est pas dans un film d’auteur à la française, avec caméra à l’épaule…après, cela tient d’un genre à la fois loufoque et grave, sur fond de roman de Stephan Zweig, de montée du nazisme, dans un pays imaginaire, en Europe centrale, coincé entre la Pologne et la Moldavie…le film, on rentre dedans ou pas… je conviens que cela peut agacer, mais on peut aussi s’émerveiller d'une réalisation soignée de Wes Anderson ou trouver cela original…moi, je n’en ferai pas le film de l’année, mais je suis quand même content de l’avoir vu, l'intérêt du Grand Budapest étant surtout visuel, car disserter sur l'histoire et sur le sens, je laisse ça à Télérama...</span></p><p style="text-align: center;"> </p>
lelazor
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Viva la liberta
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-02-07:2993825
2014-02-07T22:37:00+01:00
2014-02-07T22:37:00+01:00
Il n’y a que les italiens pour inventer un film pareil….un homme...
<p style="text-align: left;"><img id="media-782809" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/01/01/1236592450.jpg" alt="461411_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Il n’y a que les italiens pour inventer un film pareil….un homme politique, qui est complètement déprimé par la chute de son parti dans les sondages, se tire un beau matin pour retrouver une amie d’enfance en France…le parti, la gauche dans l’opposition, est affolé, on a besoin du dirigeant, même si sa côte est mauvaise, il n’y a personne pour le remplacer…la chance va faire que ce leader a un frère jumeau, un double physique parfait, un peu fou, prêt jouer au remplaçant, qui se met à parler un langage de vérité, s’interrogeant sur la responsabilité du politique et des citoyens, disant tout fort ce que chacun pense tout bas...miraculeusement, il fait un carton et redresse le parti….au fond, pourquoi a-t-on besoin de se raccrocher à la démocratie ? Parce qu’on a peur de vivre sa vie tout seul ?</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Monté en parallèle, le vrai et le faux leader se mettent à s’amuser de leur situation, à vivre, à aimer, chanter, manger, ne négligeant pas la liberté de prendre du temps pour respirer l'air de la mer et se baigner…on imagine Hollande et sa Gayet, sans laquais, virant ses habits de monarque, faisant lui-même le café le matin et chantant en duo avec sa donzelle…finalement, cela serait drôle…ce qui serait génial, ce que Hollande finisse par nous dire qu'il ne sait pas par quel bout prendre le machin et que sa politique n'est que poudre aux yeux, choisissant de rire avec une bande de gosses plutôt que de se farcir des réunions mortelles, invitant Merkel à faire quelques pas de danse lors d'un sommet franco allemand, comme si le rapprochement se faisait plus par plaisir que par calcul tordu</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Mais le film a du mal à retomber sur ses pieds, la fin se perd, le réalisateur ne semblant pas comment savoir sortir du délire, sans oser pousser le bouchon trop loin….dommage…enfin, c’est une bonne occasion de revoir Toni Servillo (la Grande bellezza, Il divo, la belle endormie, Gomorra….), parfait en homme politique mi artiste mi génie politique...</span></p><p style="text-align: center;"> </p>
lelazor
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L'amour est un crime parfait - Le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-01-18:2991618
2014-01-18T06:49:00+01:00
2014-01-18T06:49:00+01:00
Pour les superbes images des Glières, du Massif des...
<p><img style="width: 412px; height: 169px;" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/01/02/2496763871.png" alt="" width="730" height="294" /></p><p> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Pour les superbes images <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>des Glières, du Massif des Bornes, pour le cadre exceptionnel fourni par <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>le chef d’œuvre architectural qu’est le centre de formation Rolex situé sur le site de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, pour le Léman la nuit, dans la brume, au petit matin, pour les splendides chalets suisses, d’accord….Pour l’ambiance hivernale, mélange de mystère glacé et de chaleur torride près d’un bon feu de cheminée, OK, les Larrieu savent faire….pour le casting réussi avec un Amalric, toujours aussi énigmatique et border line, pour une Karin Viard aguicheuse et déjantée, avec une Sara Forestier parfaite en nympho, un Podalydes excellent en faux cul frustré et Maïwenn pour arroser le tout avec ses larmes et son regard de femme battue, rien à dire…</span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Pour le reste, c'est-à-dire, le scénario, on frôle le n’importe quoi…cette histoire tirée par les cheveux, de créative writing séducteur, couchant avec sa sœur, et sérial killer à ses heures, confondu par une fausse belle mère amoureuse par devoir, ne me convainc pas.<br />Mais Télérama avait adoré « Incidences », le roman de Philippe Djian, le grand Djian que les français adulent depuis qu'il a écrit 37,2..."Incidences" a servi de base à l’adaptation cinématographique, et le magazine préféré des intellos de seconde classe, louait le caractère complexe et tragique décrit à grands renforts de circonvolutions de ce beau parleur, paumé mais tombeur, très made in France donc, âgé de la cinquantaine, marqué par les blessures de l’enfance, tentant de guérir de son incapacité à aimer (mais non, je ne parle de Hollande, con, pas tout le temps).<br />Du coup, je me demande si je ne dois pas tout changer dans ma critique, pour plaire à des gaulois adolescents jusqu'à leur mort ; genre : le récit est inscrit dans la turbulence, avec des portraits soignés de personnages marquant bien notre époque...il y a du sexe et de l'aaaamour, les dessous chics de Viard et de Forestier, mais dommage que cela reste si peu lèche foufoune (les frères Larrieu sont nés à Lourdes, ça doit être ça, le style coincé)...on peut néanmoins regretter le côté beaucoup trop luxe et hi Tech des sites choisis, les français se projetant mieux dans une université où les pissotières débordent de partout et aux murs couverts de tags jusqu'au plafond...et puis, pourquoi aller tourner cela en partie en Suisse, avec piscine privé et population exclusivement teintée de blanc et de blondes aryennes... fallait faire tout cheunous, on n'a pas à la faire la promo de ces putains d'helvètes...enfin, pour le film, vous ferez comme vous voudrez, vous avez, je pense, perçu l'essentiel....</span></p><p> </p><p> </p>
lelazor
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L'amour est un crime parfait - Le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-01-17:2991619
2014-01-17T23:13:00+01:00
2014-01-17T23:13:00+01:00
Pour les superbes images des Glières, du Massif des...
<p><img style="width: 412px; height: 169px;" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/02/02/3157618475.png" alt="" width="730" height="294" /></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Pour les superbes images <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>des Glières, du Massif des Bornes, pour le cadre exceptionnel fourni par <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>le chef d’œuvre architectural qu’est le centre de formation Rolex situé sur le site de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, pour le Léman la nuit, dans la brume, au petit matin, pour les luxueux chalets suisses, d’accord….Pour l’ambiance hivernale, mélange de mystère glacé et de chaleur torride près d’un bon feu de cheminée, OK, les Larrieu savent faire….pour le casting réussi avec un Amalric, toujours aussi énigmatique et border line, pour une Karin Viard aguicheuse et déjantée, avec une Sara Forestier parfaite en nympho, un Podalydes excellent en faux cul frustré et Maïwenn pour arroser le tout avec ses larmes et son regard de femme battue, rien à dire…<br /></span><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Pour le reste, c'est-à-dire, le scénario, on frôle le n’importe quoi…cette histoire tirée par les cheveux, de créative writing séducteur, amoureux de sa sœur, et sérial killer à ses heures, confondu par une fausse belle mère amoureuse par devoir…mais Télérama avait adoré « Incidences », le roman de Philippe Djian, qui a servi de base à l’adaptation cinématographique, pour la narration faussement désinvolte du caractère complexe et tragique, de ce prof. âgé de la cinquantaine, marqué par les blessures de l’enfance, tentant de guérir de son incapacité à aimer (du parfait Télérama)…<br /></span><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Ca peut se voir, mais je ne pense pas que cela représentera la France aux prochains Oscars…je ne pense même pas que cela soit digne d’être aux Césars…mais compte tenu de la distribution, on ne sait jamais, faut faire bouillir la marmite du cinéma made in France…</span></p><p> </p>
lelazor
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Yves Saint Laurent - le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-01-09:2990802
2014-01-09T21:56:00+01:00
2014-01-09T21:56:00+01:00
Je connais assez bien la vie d’Yves Saint Laurent, m’y intéressant...
<p style="text-align: center;"><img id="media-777880" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/00/02/978227260.jpg" alt="21055846_20131107160110837_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg" width="416" height="312" /></p><p style="text-align: left;"> <span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Je connais assez bien la vie d’Yves Saint Laurent, m’y intéressant depuis longtemps et la première perception que j’ai de ce film, c’est que c’est le point de vue de Berger ; comme ci celui-ci avait eu besoin de justifier sa souffrance auprès de ce jeune homme, mal dans sa peau, qui l’avait fait quitter Bernard Buffet, et avec qui, il a vécu à l’évidence, une grande passion, certes, avec de grands bonheurs, mais aussi, en en payant le prix, le prix des colères, de la mal vie, des mensonges, de l’infidélité, de la maladie mentale, jusqu’à devenir cette célébrité qui a marqué l’histoire mondiale de la mode. </span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Mais revenons au film. Je veux d’abord féliciter les deux acteurs principaux pour leur prestation, car autant Gallienne ne m’avait pas convaincu dans « Guillaume… », autant, là, je le trouve juste, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>incarnant un Berger fin, mais ferme, tentant de mettre un peu de calme dans la tourmente. <br /> Les critiques trouvent qu’on ne parle pas assez de création, mais c’est un tout… c’est vrai qu’on aurait pu voir davantage les livres de chiffons de toutes natures que collectionnait YSL….mais est-il possible de transmettre cette frénésie de l’assemblage qui habitait l’artiste ?…qu’est ce qui fait qu’un nœud de telle taille, de telle couleur, de telle étoffe était placé là, juste où il faut, pour faire toute la différence…par sûr du tout, que YSL lui-même, savait expliquer son geste… ce qu’il savait, c’est qu’une robe, c’était d’abord un mouvement, le sien, celui du modèle ou d’une passante. Entre deux collections, il n’y avait que brume, angoisse, peur de ne plus trouver l’inspiration et ça le film le dit bien. Puis comme par miracle, sous la pression de l’échéance, couleurs, formes et matières prenaient forme sur un corps de femme…indispensable, le corps à corps pour le grand Saint Laurent.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Non, ce que je reproche surtout au film, c’est son classicisme…YSL n’aimait pas les bourgeois, c’était un homme de l’underground, une sorte de révolutionnaire, un oiseau de nuit, un solitaire rebelle, qui venait de la haute couture, mais qui avait choisi le prêt à porter, pour le démocratique raffiné et chic, pour que la femme de la rue cesse de porter des vêtements qui ressemblent à des sacs …et là, rien…j’ai peur qu’une personne qui ne connaisse pas bien YSL garde surtout une impression inverse, compte tenu des demeures présentées, du luxe des décors, des salons de l’Intercontinental (son fief), de l’hôtel particulier de l’avenue Marceau, des terrasses somptueuses aux vues imprenables sur Paris.</span> Il est vrai que le fric est quand même le truc de ce drôle de socialiste qu'est Pierre Bergé, qui porte sur ses épaules le succès financier de l'entreprise YSL, ce qui est en creux, l'une des premières raisons de la dépression de son ami, qui lui doit à la fois son émancipation....et sa perte.</p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Et puis il y a la vie sulfureuse : la drogue, le sexe, l’alcool, les médicaments…et si l’auteur l’évoque beaucoup, on ne fait pas obligatoirement le lien avec la création, parce qu’on peut facilement imaginer que c’est grâce à son hyper sensualité, son érotisation, que YSL a transféré ses fantasmes pour habiller LA <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>femme avec des tuniques, des blazers, des pantalons, des uniformes…c’est dans la débauche, avec des années d’avance, qu’il a mis à jour le fait que dans chaque femme, il y a une part de masculin et inversement ; <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>il a osé la bisexualité il y a près de quarante ans…c’est comme ça qu’il a libéré la femme d’une certaine manière. C’était aussi un être de transgression, capable de s’inspirer d’une sainte que les espagnols promènent dans les rues de Séville un jour de procession, pour donner à une dame, la touche d’interdit qui fait baver les hommes. Et cette inspiration là, YSL ne l’a pas trouvé en dormant tous les soirs dans son lit ou en vivant comme un rat de bibliothèque</span> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Pour moi donc, le montage est beaucoup trop terne…on oublie que<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>YSL et Lagerfeld ont largement <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>participé à ce mouvement, qui a aussi fait passer<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>le défilé<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de mode, d’une réunion intimiste pour nombre réduit d’invités triés sur le volet, à de l’événementiel, ce qu’un défilé est aujourd’hui, avec délire de musique, de lumière, d’audio visuel, de décors et public de plus en plus nombreux…Lespert, le réalisateur, aurait du utiliser un monteur qui connait la mode…ça manque de filés, de fondus, de transparence, de sensualité, de strasse et de cuir…pourtant, il avait toute la matière…mais son film manque de souffle, de sueur et de coton, de velours et de beat, de laser et d’encens…ça ne dégage pas assez de folie…c’est trop proche d’un documentaire et d’une série télé, même si c’est bien éclairé… YSL était un homme d’exigence à en crever, mais aussi un enfant terrible, qui aimait la provocation, qui ne voulait pas qu’un défilé soit une messe….et le film est loin d’être à ce niveau, Lespert doit être trop calme dans sa vie, une belle âme, un trop gentil garçon….</span></p><p style="text-align: center;"> </p>
lelazor
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Nymphomaniac - Le film de Lars Von Trier
tag:lelazor.blogspirit.com,2014-01-04:2990242
2014-01-04T13:39:00+01:00
2014-01-04T13:39:00+01:00
Pour moi, Nymphomaniac est sublime….mais attention, si vous...
<p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-776962" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/01/01/746695500.jpg" alt="301327_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg" width="399" height="224" /></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Pour moi, Nymphomaniac est sublime….mais attention, si vous lisez la plupart des critiques, on vous dira l’inverse, voire que c’est THE porno de Lars Von Trier…n’importe quoi, les pauvres gens qui sont tout excités de voir une nana se caresser...car je crains que la culture latine, fortement emprunte de catholicisme, empêche de saisir l’hyper sensibilité de l’auteur danois, qui ne ménage pas, depuis ses débuts au cinéma, les religions, quelles qu’elles soient. En effet, le film traite d’une « mauvaise personne » qui ne pourrait aimer au sens classique du terme, et qui serait addicte au sexe pour calmer ses désirs insatiables. En France, où la population reste toujours en quête de la « belle personne » et où le pape François séduirait une large majorité parce qu’il plaide pour la pauvreté, on a du mal à accepter les thèses dérangeantes antisioniste de surcroit (horreur, cachez donc ce "Dieudonné") , de Lars V. T., qui adore prendre le spectateur à contrepied. Et pourtant, si l’amour tel qu’on nous l’a toujours présenté, était d’une cruauté infinie et les bons sentiments pas si gratuits que cela ? Une scène particulièrement insoutenable de mon point de vue, montre une femme trompée faire une scène hystérique et d’une violence inouïe, prenant ses enfants à témoin, sous prétexte qu’elle pense avoir découvert la trainée qui veut enlever son mari…c’est beau le pouvoir de possession…l’héroïne ne serait donc qu’une garce, incapable de ressentir des sentiments ? <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Et pourtant, elle révèle toute sa sensibilité lors de la mort de son père, sorte de double de la scène décrite préalablement, dans un tête à tête à l’hôpital qui rappelle un peu Breaking the Waves, le film qui fit connaitre l’auteur. Le final de la première partie (la seconde sort sur nos écrans fin janvier) est d’une extraordinaire beauté, montée en split screen, associant plans d’amour physique de la très sensuelle Stacy Martin (un mannequin découvert par le réalisateur, embarquée dans l’aventure et interprétant le rôle de Charlotte Gainsbourg jeune) avec ses meilleurs amants et leçon d’orgue, le tout sur le magnifique prélude chorale en F mineur de JS Bach, allusion probable au Solaris de Tarkovski, les allusions à des cinéastes comme Bergman (le dialogue dans la maison austère avec une sorte de pasteur des âmes), Godard (les inserts de texte) ne manquant pas, chez cet auteur qui possède une solide culture cinématographique. </span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Certes, tout n’est pas réussi, comme ses démonstrations (trop) didactiques sur la suite mathématique de Fibonnacci et certaines analogies, genre la drague et la pêche, un peu lourd et facile…mais bon, on dira que c’est de l’humour danois, qui rappelons le, n’a pas tout à fait le même rapport au corps que chez nous (on ne s’invite pas au sauna à poil pour faire connaissance, dans nos contrées). Enfin, moi, j’attends la suite avec impatience.</span></p>
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La jalousie -Film de Garel
tag:lelazor.blogspirit.com,2013-12-27:2989414
2013-12-27T15:14:00+01:00
2013-12-27T15:14:00+01:00
Peut être que les critiques saturent, à force de voir des films en 3D,...
<p style="text-align: center;"><img id="media-775757" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/01/01/2355617154.jpg" alt="21029494_20130820171921576_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg" width="425" height="267" /></p><p style="margin-bottom: 0cm;">Peut être que les critiques saturent, à force de voir des films en 3D, des films avec des effets spéciaux, avec de la violence et du sexe, alors ils encensent la Jalousie...un peu comme si au lendemain des fêtes, on se jetait sur un jambon purée...avec un bon jambon, quand même...le film a comme chef op Willy Kurant (Orson Welles, Godard, Pialat, Varda...excusez du peu).</p><p style="margin-bottom: 0cm;">Bon sur le fond, c'est une histoire de jalousie assez banale...certes, on est dans le milieu des artistes, ça se sent...tu m'aimes, chéri...genre tu les aimes mes jambes, et mes pieds, tu les aimes...parce que si tu ne m'aimes pas assez, je m'en vais...ça cabote sec et on la remue la purée, dans tous les sens, on gratte, avec un peu de jaune d'œuf (une enfant qui joue le rôle de la fille de Louis ) pour lier le tout...et puis c'est du Garel père et fils et ombre du grand père, toujours...on entretient le mythe, c 'est en noir et blanc, ça se passe entre 68 et aujourd'hui (on ne sait pas trop), avec des quadras à peu près aussi matures que Duris dans Casse tête chinois...bref, vous l'aurez compris, si vous n'êtes pas abonné à Télérama ou aux Inrocks, passez votre chemin, vous allez vous emmerder, même si cela ne dure qu'une heure 15...sinon, j'ai pas grand chose à dire de plus, mais bon, Garel non plus, ne semble pas avoir grand chose à dire et cela ne l'empêche pas de faire du cinéma...</p>
lelazor
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Casse tête chinois - Le film de Klapisch
tag:lelazor.blogspirit.com,2013-12-18:2988354
2013-12-18T13:00:00+01:00
2013-12-18T13:00:00+01:00
Les films de Klapisch sont probablement une sorte de vitrine pour une...
<p>Les films de Klapisch sont probablement une sorte de vitrine pour une certaine catégorie de population, ceux qui ont fait des études et qui ont aujourd’hui autour de 40 ans. Sauf que, compte tenu de la conjoncture et de critères sociologiques plus profonds (origine sociale CSP+, parents eux-mêmes universitaires, climat familial…), la vitrine ne représente plus qu’une partie étroite de la population…la majorité des français, même assez jeune, ne maîtrise pas l’anglais, encore moins le mandarin plus l’espagnol, comme le personnage joué par Tautou et ne se sent pas prête à prendre l’avion pour New York pour changer d’air et essayer de construire sa vie autrement. C’est ce qui en fait, à mon avis, une partie du décalage ressenti par les critiques…on le ressent aussi dans l’état d’esprit de ces quadras, qui visiblement n’attendent pas l’augmentation de l’allocation de rentrée scolaire ou du socialisme pour vivre leur vie, s’organisant en tribu pour faire garder les enfants ou d’une loi quelconque pour avoir un bébé sous PMA. C’est un film intéressant de ce point de vue, qui marque aussi tout le décalage avec une certaine forme de pensée gauchiste bien franchouillarde et bien ringarde, en comparaison du life style américain.<br />C’est un peu long, à la fin, j’en avais plus que marre et j’avais hâte pour que le scénario bien embrouillé pour évoquer une vie vécue sous mondialisation, retombe sur ses pieds. Mon petit doigt me dit que le réalisateur a du se poser la même question, vu le dénouement proposé.<br />En synthèse, on dira que c’est l’anti- Yolande Moreau, ça péte le feu, ça remue, ça ne se lamente pas devant des bières dans un bistrot glauque en regardant passer les camions…ça donne envie de courir à l’aéroport acheter un billet pour n’importe où, n’importe où pour échapper à Hollande, Mélenchon, la grande blonde et le petit roquet de Miromesnil (Sarko le Retour), bref, tous ces glands qui veulent changer la vie des gens à leur place….et ça, c’est déjà un grand mérite<br /><br /></p>
lelazor
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Henri, le film de Yolande Moreau
tag:lelazor.blogspirit.com,2013-12-04:2986849
2013-12-04T19:28:00+01:00
2013-12-04T19:28:00+01:00
Si vous hésitez à passer un WE en Nord Pas de Calais ou en...
<p style="text-align: center;"><img id="media-771900" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/01/02/3810488189.jpg" alt="film,cinema,films" /> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Si vous hésitez à passer un WE en <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Nord Pas de Calais ou en Wallonie, ce n’est pas Henri qu’il faut aller voir….briques rouges, pigeons voyageurs pour concours ch'timi, bières Jupiter à gogo, troquet d’une autre époque, terrils, baraque à frites et avis de tempête sur la plage de Middelkerque, tous les stéréotypes sont là, et comme Yolande Moreau devait trouver que cela ne devait pas suffire, elle nous propose une intrigue avec une handicapée mentale sur fond d’accordéon qui pleure, après avoir assisté à l’enterrement de Lio, qui joue la patronne du bistrot …on sent dès les premières images que ce n’est pas un film qui va traiter de la révolution numérique ou du trading fréquentiel…c’est plutôt retour aux vieux de la vieille, plongée dans l'univers des petites gens, avec tous les bons sentiments qui vont avec, ceux qui sont habituellement prétés à cette catégorie sociale, par les bonnes âmes de gauche, évidemment ...égalité, fraternité...</span></p><p> <span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Je reconnais qu'on se laisse prendre par les acteurs principaux, merveilleux de tendresse, mais aussi par une colonie d'handicapés, qui joue son propre rôle…Berroyer est comme d’hab, excellent...on sent que Moreau a fait <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Gaulier">l’école du mime</a> en première formation , elle dirige très bien ses comédiens dans les silences…les mauvaises langues du Monde diront que c’est parce que son scénar n’est pas très ficelé, et que ses dialogues sont laissés à l'appréciation de ceux qui se débrouillent pour improviser au mieux la scène…c’est vrai qu’il y a des longueurs et des rebondissements qui n’en sont pas vraiment, ça patine un peu……il y a quand même de très belles prises, qu’il serait stupide d’assassiner, comme l’envol des pigeons, certaines séquences sur la plage, les fêtes et les dernières minutes, certe sombres de chez sombre… on sent la corde sensible et le coeur chaud des humbles, mais ça laisse toutefois un sacré goût de solitude désespérée…pas gai le nord….s’il faut s’envoyer des séries de pintes pour rire un peu et oublier sa condition, je ne sais pas si elle est si belle que ça, la vie, là haut…en synthèse donc, des vrais moments de grâce, mais le synopsis, noir à se pendre, ressemble à un délire qui a du traverser l'esprit de Yolande Moreau, un jour de grande déprime au fin fond de sa fermette isolée du Val d'Oise</span></p><p> </p>
lelazor
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Pasolini à la Cinémathèque
tag:lelazor.blogspirit.com,2013-11-14:2984553
2013-11-14T22:11:00+01:00
2013-11-14T22:11:00+01:00
Pasolini et son égérie Laura Betti Curieuse entrée en...
<p style="text-align: center;"><br /> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-768084" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/01/00/2067726455.jpg" alt="film,cinéma,films" /></p><p style="text-align: center;"> <span style="color: #ff0000;">Pasolini et son égérie Laura Betti</span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Curieuse entrée en résonance que cette <a href="http://www.pasoliniroma.com/#!/fr/index">exposition sur Pier Paolo Pasolini</a> à Rome, et l’état de délabrement de nos sociétés ....car P.P.P. était d'abord un homosexuel enragé contre les puissants, toutes les formes de pouvoirs, de la politique à l'Eglise sans oublier les médias...un cynique dirait que c'est bon pour faire des entrées (pas données, entre parenthèse) ! On pourrait en dire autant de l'expo Depardon qui débute au Grand Palais, encore que contrairement à Pasolini, je n'ai pas une grande admiration pour le photographe....mais ce dernier surfe sur des valeurs elles aussi "fashion", comme la nature, la nostalgie, la Sainte Pauvreté.... <br />Présentée à la Cinémathèque, cet « étalage de romanités » qui fait le tour des capitales européennes, semble attirer bons nombres d’intellectuels, ces petits bourgeois que le cinéaste n’affectionnait pas particulièrement. C’est tout à fait le genre d’endroit où l’on apprend rien ou pas grand-chose, mais on se presse, on se bouscule, on cherche à percer la pénombre, devant les abondantes lettres à des producteurs, les extraits de scénario, les très nombreux comptes-rendus de procès, les morceaux de poésie en italien ou en dialecte romanesco que pratiquement personne ne comprend (la traduction n’étant pas toujours réalisée, c’est une exposition internationale, Môsieur). Ne cherchez pas non plus une biographie un peu claire ou une chronologie simplifiée….dans ce genre d’endroit, chacun a son smartphone ou connait la vie du Maitre sur le bout des doigts...évidemment ! Le site, dont le lien est ci-dessus, reprend l'essentiel de l'exposition, on peut se faire une idée, au moins sans se faire marcher sur les pieds.</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-767992" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/02/02/3582320190.jpg" alt="film,cinéma,films" width="216" height="254" /></p><p>Certes, il y a quelques tableaux réalisés par l’artiste, qui n’était pas un très grand dans le domaine, de mon point de vue, et beaucoup de photos. On saluera quand même l’effort pédagogique de présentation de ces documents avec un renvoi à une carte de Rome, de l’Italie ou plus, si nécessaire, afin d’aider le pauvre bougre qui déambule à situer un tournage, une rencontre, une demeure, et bien sûr, l’assassinat en 1975, qui reste plus que troublant.</p><p> <iframe width="307" height="156" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xf99k5"></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/xf99k5_extrait-anthologique-de-salo-ou-les_shortfilms" target="_blank">Extrait anthologique de Salo ou les 120 jours...</a></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;">Et puis, comme on est à la Cinémathèque, il y a des bouts de films en vidéo, enfin, pas trop….et pas super choisis, là encore pour moi, et je me demande bien ce qu’un jeune étudiant qui n’a jamais vu le moindre film de Pasolini peut retenir de cette mascarade…si, peut être cette citation du cinéaste (qui méritait mieux que cela, comme hommage): « <span class="citation">Je suis profondément convaincu que le vrai fascisme est ce que les sociologues ont trop gentiment nommé la société de consommation » ….à méditer.</span><sup><span style="line-height: 115%; font-size: 9.5pt;"><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Pier_Paolo_Pasolini#cite_note-18"><span class="citecrochet1"><span style="color: blue;">[</span></span></a></span></sup> </p><p><iframe width="307" height="180" src="http://www.youtube.com/embed/kz8YoaFIZM4" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p> </p><p> </p>
lelazor
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Inside Llewyn Davis - le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2013-11-09:2983933
2013-11-09T17:17:24+01:00
2013-11-09T17:17:24+01:00
Librement inspiré de la vie de Dave Van Ronk, les Frères Coen nous...
<p style="text-align: center;"><img id="media-766925" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/01/02/1020388638.jpg" alt="inside llewyn.jpg" width="371" height="253" /></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Librement inspiré de la vie de Dave Van Ronk, les Frères Coen nous plongent dans le Greenwich Village des années 60…lumière glaciale, comme ils l’aiment, avec neige, glace, brouillard, le tout filmé avec une dominante brune…on est aux racines ragtime pour guitare et du finger-picking chers au folk song, qui a fait la gloire le Dylan, entre autres…mais là, point de réussite, tout est dur, pour le héros, un acteur qui chante vraiment en live, sans grand succès, cherchant toujours un toit pour dormir…les scènes de club sont superbes, on s’y croirait…mais globalement, on s’ennuie parfois un peu, car il ne se passe rien de vraiment bien excitant. On retiendra le travail du chef opérateur et quand même la performance de l’acteur musicien Oscar Isaac.</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">J’ai trouvé sur le net deux vidéos : Dave Von Ronk pour découvrir sa voix et Hedy West, l’auteur du bien connu « et j’entends siffler le train », adapté en France par Richard Anthony, et dont on entends une version en langue originale dans le film.</span></p><p style="text-align: left;"> <iframe width="319" height="193" src="http://www.youtube.com/embed/mnYKp9R86nI" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p style="text-align: left;"> </p><p><iframe width="323" height="215" src="http://www.youtube.com/embed/3qzPjztRAoY" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p>
Minh2909
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Les sorties du 06 Novembre 2013
tag:cine2909.blogspirit.com,2013-11-06:2983536
2013-11-06T09:30:00+01:00
2013-11-06T09:30:00+01:00
Les fans des frères Coen sont nombreux et seront donc ravis de leur...
<p style="text-align: center;"><img id="media-766410" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/00/3502058702.136.jpg" alt="01.jpg" /></p><p>Les fans des frères <strong> Coen</strong> sont nombreux et seront donc ravis de leur retour avec <strong>Inside Llewyn Davis</strong> soit <strong>Oscar Isaac</strong>, un chanteur de folk qui cherche à se faire sa place. C’est loin d’être évident mais autour de lui il aura le soutien de <strong>Carey Mulligan, Justin Timberlake, Garrett Hedlund</strong> et <strong>John Goodman</strong>.</p><p><img id="media-766411" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/00/02/2535282206.23.jpg" alt="02.jpg" />Le réalisateur britannique <strong>Richard Curtis</strong> revient lui aussi avec une nouvelle comédie réunissant <strong>Rachel McAdams</strong> & <strong>Domhnall Gleeson</strong>. Ce dernier découvre, et <strong>Il était temps</strong>, qu’il possède un pouvoir héréditaire lui permettant de voyager dans le passé, un don bien utile quand il s’agit de rattraper certaines bourdes. Il jouait les boucs-émissaires dans <span style="background-color: #00ff00;"><a title="Au bonheur des ogres" href="http://cine2909.blogspirit.com/archive/2013/11/02/temp-0c84d06443b90b835dda17bc258c6539-2983150.html" target="_blank"><span style="background-color: #00ff00;"><strong>Au bonheur des ogres</strong></span></a></span>, <strong>Raphaël Personnaz</strong> sera cette fois l’assistant d’un homme politique et pas n’importe lequel ! Il devra en effet rédiger les discours de <strong>Thierry Lhermitte</strong> qui incarne dans <strong>Quai d’Orsay</strong> le ministre des affaires étrangères. Autre adaptation plutôt attendue,</p><p><strong>La stratégie Ender</strong> pourrait bien lancer une nouvelle saga au cinéma et il y sera question d’invasion d’extraterrestres. On a déjà planifié la prochaine attaque et tout le monde est sur le pied de guerre notamment notre pote <strong>Asa Butterfield</strong>, un jeune garçon au potentiel énorme.</p><p><img id="media-766414" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/00/2860351406.8.jpg" alt="cinéma, films, sorties de la semaine, inside llewyn davis, il était temps, quai d'orsay, la stratégie ender, en solitaire, " /></p><p>De son coté, notre pote <strong>François Cluzet</strong> se la jouera <strong>En solitaire</strong> puisqu’il participera à la prestigieuse course du <strong>Vendée globe</strong>. Remplaçant un <strong>Guillaume Canet</strong> qui a du déclarer forfait, c’est un rêve qui se réalise jusqu’à ce qu’il s’aperçoive qu’un adolescent est monté clandestinement à bord de son bateau.<strong> Emmanuelle Devos</strong> est <strong>Violette Leduc</strong>, écrivain pétrie de talent qui va être remarquée par <strong>Simone de Beauvoire</strong> interprétée par <strong>Sandrine Kiberlain</strong> et les deux femmes vont entretenir une relation intense.</p><p> </p><p> </p><p> </p><p style="text-align: center;"><strong><span style="text-decoration: underline; color: #000000; background-color: #00ffff;">Le conseil de Ciné2909 :</span> Parce qu’on a vraiment besoin de se marrer en ce moment je vous dirais Quai d’Orsay !</strong></p>
Minh2909
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Les sorties du 23 octobre 2013
tag:cine2909.blogspirit.com,2013-10-23:2982086
2013-10-23T09:30:00+02:00
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Peu de sorties cette semaine mais on a du lourd et tout le monde ne parle...
<p style="text-align: center;"><img id="media-763990" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/01/3502058702.151.jpg" alt="01.jpg" /></p><p>Peu de sorties cette semaine mais on a du lourd et tout le monde ne parle que de lui. Aux <strong>Etats-Unis</strong>, il a battu des records c’est donc avec impatience qu’on attend de découvrir le <strong>Gravity</strong> d’<strong>Alfonso Cuarón</strong>. On y retrouvera ainsi <strong>George Clooney</strong> & <strong>Sandra Bullock</strong>, 2 cosmonautes qui vont avoir le malheur d’être victimes d’un terrible accident qui va les faire dériver dans l’espace.</p><p><img id="media-763992" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/00/02/2535282206.22.jpg" alt="02.jpg" />A sa façon il est également attendu, c’est le nouveau film de <strong>Luc Besson</strong> qui a fait appel à un casting XXL avec <strong>Robert De Niro</strong>, <strong>Michelle Pfeiffer</strong> & <strong>Tommy Lee Jones</strong> réunis dans <strong>Malavita</strong>. L’histoire est celle d’une famille qui trempait autrefois dans la mafia et qui a décidé de revenir dans le droit chemin. Le <strong>FBI</strong> assure ainsi leur protection en leur faisant quitter les rues de <strong>New York</strong> pour … la <strong>Normandie</strong> !</p><p> </p><p><img id="media-763993" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/00/01/2860351406.5.jpg" alt="03.jpg" /></p><p> </p><p><strong>Marc Esposito</strong> persiste et signe avec <strong>Le cœur des hommes 3</strong>. Si <strong>Gérard Darmon</strong> a jeté l’éponge (en raison de divergences avec le réalisateur), il est remplacé au pied levé par <strong>Eric Elmosnino</strong> qui va pouvoir se faire de nouveaux potes d’enfance avec <strong>Bernard Campan</strong>, <strong>Marc Lavoine</strong> & <strong>Jean-Pierre Darroussin</strong>.</p><p> </p><p> </p><p> </p><p style="text-align: center;"><strong><span style="text-decoration: underline; color: #000000; background-color: #00ffff;">Le conseil de Ciné2909 :</span> Pas d’hésitations à avoir cette semaine, ce sera forcément Gravity !</strong></p>
Minh2909
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Les sorties du 02 Octobre 2013
tag:cine2909.blogspirit.com,2013-10-02:2979871
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Je ne sais pas vous mais moi je suis malade ! Avec ce temps bizarre,...
<p style="text-align: center;"><img id="media-760370" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/00/3502058702.149.jpg" alt="01.jpg" /></p><p>Je ne sais pas vous mais moi je suis malade ! Avec ce temps bizarre, on ne sait plus comment s’habiller ma petite dame. Bon évidemment, ça me retarde un peu mais je vous promet prochainement la mise à jour de ce blog. Autrefois <strong>Valérie Bonneton</strong> & <strong>Dany Boon</strong> se sont aimés, oui je sais c’est difficile à croire mais c’est la stricte vérité ! Si ils ne peuvent désormais plus se voir en peinture, ils vont devoir faire des concessions car leur fille se marie et que le volcan <strong>Eyjafjallajökull</strong> perturbe le trafic aérien. Ils vont devoir faire la route ensemble et on ne risque pas de s’ennuyer en leur compagnie !</p><p><img id="media-760371" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/02/2535282206.20.jpg" alt="02.jpg" />Aucun doute là-dessous, c’est le rôle de la vie de <strong>Danny Trejo</strong> qui est de retour accompagné toujours de Robert Rodriguez à la caméra avec <strong>Machete Kills</strong>. Increvable, le héros mexicain reprend du service à la demande du <strong>Président des Etats-Unis</strong> himself et ça ne va pas être beau à voir mais nous on attend ça avec impatience !</p><p>Sa disparition tragique avait ému des millions de personnes à travers le monde, <strong>Diana</strong> nous invite à découvrir la femme ou plus précisément sa vie sentimentale avant son incident. Autre évènement qui a marqué les esprits, l’assassinat du président <strong>John Fitzgerald Kennedy</strong> sera évoqué dans <strong> Parkland</strong>. On trouvera surtout dans ce film le contexte dans lequel s’est passé le drame et les évènements qui ont suivi en compagnie de <strong>Billy Bob Thornton</strong>, <strong>Zac Efron</strong> et <strong>Tom "Smallville" Welling</strong>.</p><p><img id="media-760372" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/02/2860351406.10.jpg" alt="03.jpg" />On aura à peine eu le temps de se remettre de nos émotions avec <span style="color: #000000; background-color: #00ff00;"><a title="Conjuring : Les dossiers Warren" href="http://cine2909.blogspirit.com/archive/2013/09/05/conjuring-les-dossiers-warren-2976776.html" target="_blank"><span style="color: #000000; background-color: #00ff00;"><strong>Conjuring : Les dossiers Warren</strong></span></a></span> que <strong>James Wan</strong> revient déjà avec son nouveau film. Pour <strong>Rose Byrne</strong> & <strong>Patrick Wilson</strong>, le cauchemar n’est pas encore terminé puisqu’ils vont de nouveau avoir des ennuis dans <strong>Insidious : Chapitre 2</strong>, encore de quoi vous faire sursauter de bonheur ou plutôt de frayeur ! <strong>Emmanuelle Devos</strong> est une femme comblée, heureuse avec ses enfants enfin pas tout à fait puisque <strong>La vie domestique</strong> elle n’en veut pas. Des états d’âme qu’elle partagera avec <strong>Julie Ferrier, Natacha Régnier</strong> & <strong>Héléna Noguerra</strong>. Vous avez dit <strong>Desperate Housewives</strong> ?</p><p> </p><p> </p><p style="text-align: center;"><strong><span style="text-decoration: underline; color: #000000; background-color: #00ffff;">Le Conseil de Ciné2909 :</span> Un petit paquet de pop-corn et direction la salle pour retrouver mon pote Danny pour Machete Kills !!</strong></p>
Minh2909
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Les sorties du 25 Septembre 2013
tag:cine2909.blogspirit.com,2013-09-25:2979014
2013-09-25T09:30:00+02:00
2013-09-25T09:30:00+02:00
On a beaucoup parlé de lui récemment sur la toile et pas forcément en...
<p style="text-align: center;"><img id="media-759201" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/00/3502058702.148.jpg" alt="01.jpg" /></p><p>On a beaucoup parlé de lui récemment sur la toile et pas forcément en bien, <strong>Ben Affleck</strong> est loin de faire l’unanimité après que <strong>Warner</strong> ait dévoilé qu’il prendrait la succession de <strong>Christian Bale</strong> drapé dans la cape de <strong>Batman</strong>. En attendant, il jour un truand qui s’est enrichi grâce aux sites de jeux en ligne mais il y a certainement autre chose derrière et c’est ce que va tenter de découvrir <strong>Justin Timberlake</strong> dans <strong>Players</strong>.</p><p><img id="media-759202" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/01/2535282206.26.jpg" alt="02.jpg" />Autre duo présent dans <strong>Rush</strong> où l’on retrouve <strong>Chris Hemsworth</strong> & <strong>Daniel Brühl</strong> incarnant respectivement<strong> James Hunt</strong> & <strong>Niki Lauda</strong>, les 2 pilotes de Formule 1 qui se sont livrés à une véritable bataille dans les années 1970. L’arbitre se nomme <strong>Ron Howard</strong> et tout semble indiquer qu’il faudra attacher sa ceinture ! Ce n’est pas vraiment un duo mais <strong>Mathieu Demy</strong> & <strong>Denis Podalydès</strong> incarnent <strong>Les conquérants</strong>, 2 demi-frères qui vont se retrouver dans des situations farfelues pour échapper à une malédiction ce qui présage un bon moment pour les spectateurs que nous sommes.</p><p> </p><p>Cela faisait longtemps qu’on n’avait pas eu un film d’animation japonais d’autant plus qu’on a appris dernièrement la retraite du grand <strong>Hayao Miyazaki</strong>. <strong>Lettre à Momo</strong> tentera donc de nous consoler, <strong>Momo</strong> est une fille de 11 ans qui a perdu son père et qui part s’installer avec sa mère sur une ile où elle va avoir de drôles de visions. Attendu puisqu’il s’agit seulement du 2<sup>nd</sup> film d’<strong>Hiroyuki Okiura</strong>, réalisateur de <strong>Jin-Roh, la brigade des loups</strong> sorti en 1999 ! Il y a toutes les chances qu’il n’y en ait que pour lui cette semaine, le traditionnel <strong>Woody Allen</strong> arrive dans les salles et pour <strong>Blue Jasmine</strong>, sa muse s’appelle <strong>Cate Blanchett</strong>. La vie n’est pas rose pour elle et afin de prendre du recul elle décide de quitter <strong>New York</strong> pour rejoindre sa sœur <strong>Sally Hawkins</strong> à <strong>San Francisco</strong>.</p><p> </p><p><strong>Denzel Washington</strong> & <strong>Mark Wahlberg</strong> s’associent pour braquer une banque ce qui leur rapporte un joli pactole de 40 millions de dollars et l’histoire pourrait en rester là. Ce n’est pourtant que le début de <strong>2 Guns</strong> puisque nos 2 compères sont en fait des agents infiltrés et aucun d’entre eux ne le savait. Lorsque la vérité éclate enfin, leur entente est tout de suite moins cordiale mais ils vont devoir faire quelques efforts pour tenter de travailler en équipe. Connaissez-vous le pèlerinage vers <strong>Saint-Jacques de Compostelle </strong>? C’est en tout cas le sujet de <span style="color: #000000; background-color: #00ff00;"><a title="The way, la route ensemble" href="http://cine2909.blogspirit.com/archive/2013/09/23/temp-cf83678d201bc78fa238a16c180e8d8c-2978809.html" target="_blank"><span style="color: #000000; background-color: #00ff00;"><strong>The way, la route ensemble</strong></span></a></span> le dernier film d’<strong>Emilio Estevez</strong> où l’on suivra son père <strong>Martin Sheen</strong> qui part donc en pèlerinage à la suite de la disparition de son fils. Un retour à la nature qui vous donnera peut-être envie de préparer votre sac à dos et vous avez déjà pu découvrir le film dans l’<strong>Avant-Première Impression</strong> lundi dernier !</p><p> </p><p><img id="media-759203" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/01/2860351406.7.jpg" alt="03.jpg" />Ça pourrait être la séance découverte de la semaine, <strong>Miele</strong> est d’abord le tout premier film de la belle <strong>Valeria Golino</strong> en tant que réalisatrice qui n’a pas choisi un sujet facile. Sous ce titre se cache <strong>Jasmine Trinca</strong>, une jeune femme qui a la particularité d’exercer une activité illégale puisqu’elle aide des gens condamnés à mourir. Voilà un film qui devrait séduire les familles et peut-être qui remettra un peu les idées en place, <strong>Sur le chemin de l’école</strong> est un documentaire où l’on suivra 4 enfants du <strong>Kenya</strong>, <strong>Maroc</strong>, <strong>Argentine</strong> et d’<strong>Inde</strong> qui vont partir dans un long périple pour se rendre à l’école. Et je vous préviens tout de suite, interdit de sécher les cours pour voir ce film !</p><p> </p><p style="text-align: center;"><strong><span style="text-decoration: underline; color: #000000; background-color: #00ffff;">Le Conseil de Ciné2909 :</span> Le programme est plutôt chargé cette semaine et il y en a vraiment pour tous les gouts mais ma préférence ira vers Lettre à Momo car l’animation japonaise me manque !!</strong></p>
lelazor
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Jean Jacques Beineix - l'exposition de Boulogne Billancourt
tag:lelazor.blogspirit.com,2013-09-08:2977015
2013-09-08T21:40:00+02:00
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Dans le nord ouest de Paris, nait le 8 octobre 1946, Jean...
<p><object id="playerArte" width="333" height="188" data="http://videos.arte.tv/videoplayer.swf?admin=false&mode=prod&autoPlay=true&localizedPathUrl=http%3A%2F%2Fvideos%2Earte%2Etv%2Fcae%2Fstatic%2Fflash%2Fplayer%2F&configFileUrl=http%3A%2F%2Fvideos%2Earte%2Etv%2Fcae%2Fstatic%2Fflash%2Fplayer%2Fconfig%2Exml&videoId=3630748&lang=fr&videorefFileUrl=http%3A%2F%2Fvideos%2Earte%2Etv%2Ffr%2Fdo%5Fdelegate%2Fvideos%2Fpremiere%2Dfois%2Djean%2Djacques%2Dbeineix%2D%2D3630748%2Cview%2CasPlayerXml%2Exml&embed=true&autoPlay=false" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="wmode" value="transparent" /><param name="allowFullScreen" value="true" /><param name="allowScriptAccess" value="always" /><param name="quality" value="high" /><param name="src" value="http://videos.arte.tv/videoplayer.swf?admin=false&mode=prod&autoPlay=true&localizedPathUrl=http%3A%2F%2Fvideos%2Earte%2Etv%2Fcae%2Fstatic%2Fflash%2Fplayer%2F&configFileUrl=http%3A%2F%2Fvideos%2Earte%2Etv%2Fcae%2Fstatic%2Fflash%2Fplayer%2Fconfig%2Exml&videoId=3630748&lang=fr&videorefFileUrl=http%3A%2F%2Fvideos%2Earte%2Etv%2Ffr%2Fdo%5Fdelegate%2Fvideos%2Fpremiere%2Dfois%2Djean%2Djacques%2Dbeineix%2D%2D3630748%2Cview%2CasPlayerXml%2Exml&embed=true&autoPlay=false" /><param name="allowfullscreen" value="true" /><param name="allowscriptaccess" value="always" /><param name="pluginspage" value="http://www.macromedia.com/go/getflashplayer" /></object></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Dans le nord ouest de Paris, nait le 8 octobre 1946, Jean Jacques Beineix. Après une scolarité <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>à Chaptal, il fait des études de médecine. Sportif, passionné de course automobile comme Jean Louis Trintignant à l’époque, il se tourne vers le cinéma comme assistant réalisateur en 1964, puis vers la publicité. <br /> Il réalise en 1977, un court métrage « le chien de Monsieur Michel », l’histoire d’un homme seul, qui s’invente un chien. Le thème de la folie qui traverse tout le cinéma de Beineix est déjà au centre du film.</span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">En 1980, il réalise son premier long métrage Diva, qui rencontre le public, mais pas la critique. Viendront ensuite « la lune dans le caniveau », « Roselyne et les lions », « 37°2 », son grand succès avec Beatrice Dalle, film culte d'une génération, IP5 avec Yves Montand, qui trouvera la mort en tournant les derniers plans du film en forêt de Senlis, puis Mortel Transfert, un film probablement maladroit qui traduisait peut être les doutes d'un réalisateur, s'interrogeant sur ses propres limites et sur le pouvoir d'un réalisateur au cinéma. A partir de là, quelque chose est rompu dans la carrière du cinéaste. </span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Son travail se tourne alors vers la bande dessinée, la peinture, l'art contemporain, l’écriture, le parrainage de festivals, réalisant toujours quelques films d’entreprise, comme en 2008, pour le CNRS.</span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">L’exposition présentée à <a href="http://www.boulognebillancourt.fr/cms/index.php?option=com_content&task=view&id=3086&Itemid=1">Boulogne Billancourt</a> est émouvante, permettant de se replonger dans l’univers très visuel de ce cinéaste, montrant l'extraordinaire talent de ce réalisateur que personnellement je regrette et qui me parait manquer au cinéma d'aujourd'hui...certes, le temps passe, c'est peut être mieux comme ça. <br />De nombreux objets, tableaux, accompagnent des extraits de films, généralement mis en valeur par un décor en rapport avec le film, dans cette présentation visible jusqu'à fin septembre.</span></p><p><br /><iframe width="319" height="198" src="http://www.youtube.com/embed/cfh35mosiJI" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p> </p>
lelazor
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La fille du 14 juillet - Le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2013-07-02:2970027
2013-07-02T09:54:00+02:00
2013-07-02T09:54:00+02:00
La Fille du 14 Juillet Bande-annonce Pris au 1 er...
<p><iframe width="347" height="233" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x10kvic"></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x10kvic_la-fille-du-14-juillet-bande-annonce_shortfilms" target="_blank">La Fille du 14 Juillet Bande-annonce</a></p><div id="blogvision"> </div><div id="blogvision"> </div><div><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;">Pris au 1</span><sup><span style="font-size: x-small;">er</span></sup><span style="font-size: small;"> degré, c’est un film foutraque sans grand intérêt, car on se moque assez vite de cette poursuite sentimentale entre Truquette et Hector, qui nous fait traverser l’hexagone, par les petites routes et les petits troquets avant de se perdre au fin fond d’un scénario aussi clean qu’un paquet de fripes usagées à l’étal dans une braderie … certes, on peut considérer selon sa culture cinématographique et selon ses lectures, que c’est un remake de « WE » de Godard, des «Valseuses» ou du cinéma de Rozier…moi, je n’en ferai pas autant d’éloges, si ce n’est qu’au second degré, je trouve que c’est un portrait de notre pays qui n’est pas aussi complaisant et aussi niais qu’il en a l’air.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Dès le début le ton est donné : <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>au défilé du 14 juillet à Paris, Peretjatko, le jeune réalisateur de 39 ans, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>mélange les images de Sarkozy et de Hollande, comme ci, au fond, cet amateur de Guy Debord (il y a un clin d’œil dans le film), voulait nous faire savoir que, peu importe le larron qui fait le pantin dans sa tribune, la France, héritière de la Révolution et de la guillotine, reste un pays de fous furieux totalement indomptables, indirigeable, qui marche complètement à côté de ses <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>pompes…<br /> C’est la crise, le film le rappelle au début pour ceux qui auraient oublié, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>la France semble paumée, et ne semble plus avoir que le cul, le drague et le rosé à deux balles pour oublier sa condition….il y a bien un faux docteur, qui semble être un sosie de Jospin, mais les faux docteurs, malgré leur culture, leurs vieux 33 tours de jazz, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>leurs théories plus ou<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>moins fumeuses, posent de mauvais diagnostics et donnent des mauvais traitements…et finissent par <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>tuer leurs patients…de toute manière il s’en fout, le faux docteur Placenta, il fuira avec une cocotte, une famille surement un peu trop traditionnelle et chiante, à son goût…et hop…quant aux quadras du film, complètement déjantés, obsédés par leur capacité de séduction, ayant des lettres, comparant Racine à Corneille, mais, sans le sou, ils apprennent, par hasard, en <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>route vers la mer, que les vacances sont raccourcies de un mois…l’armée est dans Paris, Sarkozy semble revenu au pouvoir, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>il faut remettre tout le monde au boulot…on dirait « Milou en mai », version jeunesse en berne, qui fuit, à moitié à poil, un vieux réac avec son fusil, qui veut les renvoyer bosser….elle cherche sa voie, elle déambule, elle traine sa vie, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>cette bande de fauchés, et <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>veut échanger un bijou de pacotille dans une<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>casse, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>contre une bagnole pour continuer sa route…il y a pour moi, du Tati dans ce film de dingue, qui voit dans la France, fille de 68, qui rêve toujours du grand soir, toujours le même refus <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de la modernité (le libéralisme)…ça fout la trouille…</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">On quitte le cinéma, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>en se disant qu’on est pas sorti de cette auberge espagnole…une France qui sacrifie sa jeunesse, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>en faisant, par exemple, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>la <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>théorie du genre, une priorité pour changer une école si malade, cette école, qui réclamerait bien autre chose comme réforme, qu’un délire de militants antisexistes…</span></p></div>
lelazor
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Mobius - Le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2013-02-28:2952948
2013-02-28T22:00:00+01:00
2013-02-28T22:00:00+01:00
C’est un film qui démarre bien…milieu financier, trafic...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-722950" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/00/01/2278053372.jpg" alt="20414781_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg" width="373" height="248" /></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">C’est un film qui démarre bien…milieu financier, trafic mondialisé, blanchiment de pognon, avec une Cécile de France relookée en trader très crédible…pour une fois, on se dit que pour un policier français, on a mis un peu de moyens avec des plans hélicoptère, une action à Monaco et dans les milieux friqués de la Côte d’Azur et de Moscou, un yacht, un oligarque russe, des mecs du FSB et des agents de la CIA qui se surveillent…bon, ça tient le coup, même si Dujardin fait parfois un peu penser à sa caricature d’OSS 117, ce n’est pas de sa faute, c’est son style…on rentre sans trop faire la mou dans une intrigue un peu compliquée quand même…comme dirait l’autre, il faut s’accrocher pour savoir qui est avec qui…</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Puis, dans la seconde partie, ça vire au pâté trafiqué à la viande de cheval…on sent qu’on s’est fait avoir avec des ficelles un peu lourdasses…du coup, la première heure nous reste sur l’estomac, comme si on avait avalé des cannellonis et découvert juste après avoir avalé la dernière bouchée que c’était de la bidoche à bas prix achetée dans un abattoir roumain pas très net…</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Là, on se dit qu’on a rajeuni de quarante ans et qu’on revoie ces long métrages qui n’ont pas beaucoup marqué l’histoire du cinéma….on se retrouve comme, en pleine guerre froide, avec un scénario digne d’un écrivain du dimanche qui aurait sué sang et eau pour trouver la fin<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de son polar…Dommage…les derniers plans que je ne révélerai pas sont vraiment tirés par les cheveux et ne peuvent créer de l’émotion que chez des gens qui n’ont lu rien d’autre que du Marc Lévy…enfin, on ne citera pas encore cette fois ci Eric Rochant, aux Césars l’année prochaine… </span></p>
Minh2909
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Les sorties du 27 février
tag:cine2909.blogspirit.com,2013-02-27:2952828
2013-02-27T09:30:00+01:00
2013-02-27T09:30:00+01:00
C’était il y a quelques jours, les Césars et les Oscars ont donc...
<p style="text-align: center;"><img id="media-722798" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/00/02/2167860595.86.jpg" alt="aff.jpg" /></p><p>C’était il y a quelques jours, les <strong>Césars</strong> et les <strong>Oscars</strong> ont donc rendu leur verdict parmi les grands gagnants on retiendra <span style="color: #000000; background-color: #00ff00;"><a title="Amour" href="http://cine2909.blogspirit.com/archive/2012/12/16/amour.html" target="_blank"><span style="color: #000000; background-color: #00ff00;"><strong>Amour</strong></span></a></span> de <strong>Michael Haneke</strong> ou <span style="color: #000000; background-color: #00ff00;"><a title="Argo" href="http://cine2909.blogspirit.com/archive/2012/12/13/argo.html" target="_blank"><span style="color: #000000; background-color: #00ff00;"><strong>Argo</strong></span></a></span> de <strong>Ben Affleck</strong> mais personnellement je retiendrais surtout l’<strong>Oscar du meilleur film documentaire</strong> pour <span style="color: #000000; background-color: #00ff00;"><a title="Sugar man" href="http://cine2909.blogspirit.com/archive/2013/01/01/sugar-man.html" target="_blank"><span style="color: #000000; background-color: #00ff00;"><strong>Sugar Man</strong></span></a></span> amplement mérité ! Passons maintenant à ce qui vous intéresse à savoir les sorties de la semaine avec d’abord l’adaptation d’une célèbre bande-dessinée. 54 ans qu’on lit leurs aventures nées de l’imagination de <strong>Jean Roba</strong>, <span style="text-decoration: underline;"><strong>Boule & Bill</strong></span> arrive au cinéma pour ce qui sera à n’en pas douter le rendez-vous familial de la semaine. Le petit <strong>Charles Crombez</strong> est sur le point d’adopter un cocker du nom de Bill et ils vont ainsi devenir d’inséparables potes d’enfance tout ça sous la supervision des parents <strong>Marina Foïs</strong> & <strong>Franck Dubosc</strong>.</p><p><img id="media-722799" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/00/01/3502058702.102.jpg" alt="01.jpg" />Envie d’un <span style="text-decoration: underline;"><strong>Week-end royal</strong></span> ? L’invitation est alléchante d’autant plus qu’elle est lancée par <strong>Bill Murray</strong> qui se glisse dans la peau de <strong>Franklin Delano Roosevelt</strong> et nous à l’aube d’un évènement marquant de l’histoire. Il a ainsi convié <strong>Olivia Colman</strong> & <strong>Samuel West</strong> autrement dit la <strong>Reine Elizabeth</strong> &<strong> George VI</strong> et nous sommes en Juin 1939 alors que l’<strong>Angleterre</strong> s’apprête à déclarer la guerre à l’<strong>Allemagne</strong> mais durant ce week-end l’action politique n’est pas forcément la priorité du <strong>Président des Etats-Unis</strong>. Après ses potes <strong>Schwarzie</strong> et <strong>Bruce Willis</strong>, c’est désormais au tour de <strong>Sly</strong> de revenir à l’écran avec <span style="text-decoration: underline;"><strong>Du plomb dans la têt</strong><strong>e</strong></span> et mon petit doigt me dit que ce film n’aura pas grand-chose d’intellectuel. <strong>Stallone</strong> est un tueur à gages qui va chercher à venger la mort de son partenaire et dans cette quête il pourra compter sur l’aide de <strong>Sung Kang</strong> pour faire le ménage.</p><p> </p><p><img id="media-722801" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/01/2535282206.23.jpg" alt="02.jpg" />Si vous préférez quelque chose d’un peu plus cérébral alors vous vous pencherez certainement sur <span style="text-decoration: underline;"><strong>Möbius</strong></span> d’<strong>Eric Rochant</strong>. <strong>Jean Dujardin</strong> se glisse dans la peau d’un agent secret russe chargé de surveiller rien moins que <strong>Tim Roth</strong>. L’équation devient un peu plus complexe lorsque vient se greffer <strong>Cécile de France</strong> dont le charme ne laisse pas insensible. On en a fini avec la saga <strong>Twilight</strong>, il fallait trouver une autre source d’inspiration et c’est fait avec <strong>16 lunes</strong> dont on découvre l’adaptation ciné avec <span style="text-decoration: underline;"><strong>Sublimes créatures</strong></span>. <strong>Alice Englert</strong> débarque dans un nouveau lycée et son arrivée suscite pas mal de commentaires d’autant plus qu’il se passe de drôles de choses depuis. Bon il faut dire qu’elle est une enchanteresse et que cette particularité va charmer <strong>Alden Ehrenreich</strong>, n’y aurait-il pas de l’amour dans l’air ? Terminons avec <span style="text-decoration: underline;"><strong>Ouf</strong></span> où <strong>Eric Elmosnino</strong> vient tout juste de quitter l’hôpital psychiatrique et il ne pense désormais qu’à une chose : reconquérir sa femme <strong>Sophie Quinton</strong>. Attention tout de même à ne pas trop en faire !</p><p> </p><p style="text-align: center;"><strong><span style="text-decoration: underline; color: #000000; background-color: #00ffff;">Le conseil de Ciné2909 :</span> Intellectuel comme je suis, j’ai bien besoin d’avoir Du plomb dans la tête ! Et vous qu’est ce que vous irez voir ?</strong></p>
Minh2909
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Les sorties du 20 Février
tag:cine2909.blogspirit.com,2013-02-20:2951562
2013-02-20T09:30:00+01:00
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Scandale toujours autour de la viande de cheval, la polémique ne cesse...
<p style="text-align: center;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/00/2167860595.88.jpg" alt="2167860595.88.jpg" /></p><p>Scandale toujours autour de la viande de cheval, la polémique ne cesse d’enfler et je me demande si ça ne va pas convaincre certains à devenir végétariens ! Au moins, au cinéma, on sait ce qu’on nous propose surtout si vous consultez régulièrement <strong>Ciné2909</strong>. Alors débutons la semaine avec <span style="color: #000000; background-color: #00ff00;"><a title="La vraie vie des profs" href="http://cine2909.blogspirit.com/archive/2013/02/18/la-vraie-vie-des-profs.html" target="_blank"><span style="text-decoration: underline; color: #000000; background-color: #00ff00;"><strong>La vraie vie des profs</strong></span></a></span>, le premier film live d’<strong>Emmanuel Klotz & Albert Pereira</strong> <strong>Lazaro </strong> à qui l’on doit Les lascars. Une bande de potes d’enfance cherche à découvrir la face cachée de leurs professeurs et ils ne sont pas au bout de leurs surprises ! Ce qui est moins surprenant c’est que le film est déjà passé dans L’avant-première impression.</p><p><img id="media-721363" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/02/3502058702.112.jpg" alt="01.jpg" />Si vous appréciez les documentaires, vous serez doublement servi avec d’abord <span style="text-decoration: underline;"><strong>Des abeilles et des hommes</strong></span> qui s’intéresse au triste sort de ces insectes. Leur nombre est en chute constante à travers le monde et à terme cela pourrait avoir de très graves répercussions pour l’homme. <strong>Albert Einstein</strong> disait que si l’abeille disparait, l’humanité en a pour quatre ans et si cette prophétie se vérifiait ? Autre ambiance avec <span style="text-decoration: underline;"><strong>Chimpanzés</strong></span> puisqu’on sera propulsé dans la jungle de la <strong>Cote d’ivoire</strong> pour suivre la naissance et surtout l’évolution d’<strong>Oscar</strong> et c’est signé <strong>Disneynature </strong>! Réservé à un public un peu plus jeune, <span style="text-decoration: underline;"><strong>Pinocchio</strong></span> que tout le monde connait revient au cinéma dans un nouveau film d’animation où notre héros va partir à la découverte du monde.</p><p>Récompensé par le <strong>Prix Goncourt</strong> en 2008, l’auteur <strong>Atiq Rahimi</strong> a accepté d’adapter son roman au cinéma, un projet dont il s’est lui-même chargé. L’histoire de <span style="text-decoration: underline;"><strong>Syngué Sabour – Pierre de patience</strong></span> est celle de <strong>Golshifteh Farahani</strong> dont le mari est tombé dans le coma et c’est devant son corps inerte qu’elle commence à se confier, à dévoiler certains détails de sa vie.</p><p><img id="media-721364" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/02/2535282206.18.jpg" alt="02.jpg" />Est qu’il faut encore vous le présenter ? <strong>John McLane</strong> est de retour dans <span style="text-decoration: underline;"><strong>Die Hard : belle journée pour mourir</strong></span> un 5<sup>ème</sup> épisode qui le conduira cette fois hors des <strong>Etats-Unis</strong>. C’est en <strong>Russie</strong> où il va une fois de plus se retrouver embarqué dans de folles aventures et il ne sera pas seul puisque son fils <strong>Jai Courtney l</strong>’accompagnera pour cette fête explosive.</p><p><strong><span style="text-decoration: underline;">Vive la France</span> !</strong> Parce qu’ils veulent faire connaitre leurs pays, le <strong>Taboulistan</strong>, <strong>Michaël Youn</strong> & <strong>José Garcia</strong> ont l’intention de faire exploser un symbole mondial : la <strong>Tour-Eiffel </strong>! Après une petite découverte des us et coutumes à la française, ils embarquent pour notre beau pays mais vont avoir la désagréable surprise de se retrouver à <strong>Figari</strong>, en <strong>Corse</strong>. Ils doivent rejoindre <strong>Paris</strong> pour exécuter leur mission mais que le chemin est long !</p><p> </p><p style="text-align: center;"><strong><span style="text-decoration: underline; color: #000000; background-color: #00ffff;">Le conseil de Ciné2909 :</span> Yippee Ki Yay ! Die Hard : belle journée pour mourir sans aucunes hésitations. Et vous qu’est ce que vous irez voir ?</strong></p>
lelazor
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Wajdja Le Film
tag:lelazor.blogspirit.com,2013-02-12:2950277
2013-02-12T07:07:00+01:00
2013-02-12T07:07:00+01:00
La ténacité d’une adolescente en Arabie Saoudite sert de fil conducteur à...
<p style="text-align: center;"><img id="media-719469" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/02/02/2198648777.jpg" alt="20352454_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg" width="411" height="254" /></p><p style="text-align: left;">La ténacité d’une adolescente en Arabie Saoudite sert de fil conducteur à un film qui est surtout intéressant pour ce qu’il donne à voir de la condition des femmes en terre musulmane. Par ailleurs, la réalisatrice qui a bataillé dur pour faire du cinéma (elle a reçu pour un précédent documentaire des menaces de mort et a du se cacher pour réaliser ce long métrage) dans ce pays dirigé par des mâles et dont la culture audiovisuelle ne passe que par la télévision, joue surtout ce qui est suggéré : le couscous que la maitresse de maison cuisine pour les hommes, et qui frappe à la porte de la salle à manger pour faire prendre le plat, n’ayant pas le droit de se montrer, les nombreux efforts pour exister en dehors du regard de ces messieurs, le voile qu’il ne faut surtout pas oublier, les stéréotypes qu’une petite fille doit respecter, etc…<br />Ce film m’a rappelé les films de l’iranien Kiarostami dans les années 80 (Où est la maison de mon ami), avec cette manière d’employer des enfants pour raconter une histoire politique.<br />Jamais le ton n’est polémique, alors qu’on sent un grand désir de changement dans le regard de Haifaa Al-Mansour, qui aime malgré tout ce pays et a tenu à faire son premier film là où elle vit. Quant aux comédiens, à commencer par la petite fille, ils sont excellents (très bon casting).</p>
lelazor
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Hitchcock Le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2013-02-06:2949295
2013-02-06T19:26:00+01:00
2013-02-06T19:26:00+01:00
Si vous lisez les critiques genre Télérama, Les Inrocks, Cahiers du...
<p style="text-align: center;"><img id="media-718218" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/02/01/454003986.jpg" alt="20380235_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg" width="416" height="268" /></p><p style="text-align: left;">Si vous lisez les critiques genre Télérama, Les Inrocks, Cahiers du Cinéma, tout est mauvais et superficiel dans ce film : acteur non ressemblant, scénario ras des paquerettes rempli d'invraisemblances, manque de recherches documentaires sérieuses...il faut dire que les Cahiers, par exemple, ont largement contribué à éditer des bios et à écrire pour encenser le Maître, le Génie....alors, que ce Génie apparaisse, non sans humour, comme un homme frustré, fantasmant sur les blondes au point de les observer, à leur insu, se déshabillant et, dont la femme aurait été plus qu'une muse, une co réalisatrice au caractère fort, sauvant Psychose du bide, en aillant la géniale idée d'ajouter les célèbres coups de violons de Bernard Hermann...alors, là, c'est trop, déjà nous faire croire que l'As du suspense n'est qu' un obsédé immature, accroc de bouffe pour calmer ses pulsions, c'est insupportable, mais oser avancer que sa femme Alma soit en fait THE COACH du génie, alors là, les critiques intellos de la presse gaucho s'etouffent dans leur sac de pop corn ...bon, moi, ça m'amuse de voir le Grand Hitchcock un peu égratigné et puis, on passe au final un assez bon moment...et j'adore Helen Mirren et Scarlett Johansson, déjà....alors, au diable la vérité, on n'était pas dans son lit !</p>
lelazor
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Zéro Dark Thirty - le film
tag:lelazor.blogspirit.com,2013-01-25:2947400
2013-01-25T18:16:00+01:00
2013-01-25T18:16:00+01:00
Est-ce le fait d’avoir vu ce film dans le seul cinéma du Val d’Oise qui...
<p style="text-align: center;"><img id="media-715776" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/02/02/1292814105.jpg" alt="film,cinéma,films" width="411" height="276" /></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;">Est-ce le fait d’avoir vu ce film dans le seul cinéma du Val d’Oise qui le projette, à savoir dans les recoins un peu sordides de Cergy le Haut, au bout du bout, dans l’immense hangar UGC, au milieu des prés encore couverts de neige verglacée….en tous cas, cela en a rajouté à la sensation glaciale, qui m’a rappelé les films de propagande que l’armée française projetait quand on faisait nos trois jours….bien sûr, c’est plus moderne, avec assaut des Forces Spéciales, hélicoptères furtifs, le tout filmé en infra rouge, comme si on y était….mais bon, j’étais content d’arriver au bout des 2H30 , après avoir supporté une heure de reconstitution de tortures made in CIA, à l’époque Bush, (dont on démontrera un peu trop aisément que le renseignement direct est bien plus efficace, car même sans torture, rien n’est angélique, comme les missiles par drone autorisés par Obama, et rien n'est terminé), quelques attentats sanglants comme celui de Londres ou contre les intérêts américains et la traque de la demeure de Ben Laden. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Certes, je reconnais que cela est bien fait, mais on apprend vraiment rien de nouveau, si ce n’est qu’une femme en tailleur peut se transformer en « chef de projet CIA », vraiment très consciencieuse dans son « travail »…enfin, même si les faits sont fortement proches de la réalité, cela fait quand même un peu trop film de communication militaire à mon goût…</span></p><p style="text-align: center;"> </p>
lelazor
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Alceste à bicyclette
tag:lelazor.blogspirit.com,2013-01-24:2947117
2013-01-24T07:24:56+01:00
2013-01-24T07:24:56+01:00
A vrai dire , je n’avais pas trop envie de voir ce...
<p style="text-align: center;"><img id="media-715390" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/02/00/826742886.jpg" alt="alceste-a-bicyclette-photo-5064653bd5f28.jpg" width="337" height="215" /></p><p style="text-align: left;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: left;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">A vrai dire , je n’avais pas trop envie de voir ce film….d'abord, Molière, à l'école, surtout le misanthrope, je n’avais pas gardé un grand souvenir et j’avais assez peur du film style Nouvelle Vague intello, sorte de théatre filmé, avec un Lucchini qui en fait trois caisses.</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Mais les journées sombres neige verglas étant, dans une banlieue où la programmation cinématographique n'est pas très riche, je me suis laissé tenter, histoire de mettre un peu le nez dehors…et puis, j’aime bien l’Ile de Ré, cela pouvait peut être me suffire.</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Au début, j’ai eu un peu peur, quand les deux zozos ont commencé :</span></p><p style="text-align: center;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;">Moi, votre ami ? Rayez cela de vos papiers.<br /> J' ai fait jusques ici profession de l' être ;<br /> mais après ce qu' en vous je viens de voir paroître,<br /> je vous déclare net que je ne le suis plus,<br /> et ne veux nulle place en des coeurs corrompus.</span></span></em></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Et, puis, je me suis senti touché de manière très intime par ce Alceste, endossé par un Lucchini aux allures dépressives, reclus dans son ile, détestant l’humanité, ne voulant plus voir personne, se fachant avec tous ses amis et reconverti dans la peinture de papy.</span></p><p style="text-align: center;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;">je hais tous les hommes :<br /> les uns, parce qu' ils sont méchants et malfaisants,<br /> et les autres, pour être aux méchants complaisants,<br /> et n' avoir pas pour eux ces haines vigoureuses<br /> que doit donner le vice aux âmes vertueuses.</span></span></em></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Entre deux escapades aux quatre coins de l'Ile, du Phare des baleines aux Portes, en passant par Saint Martin et la Flotte, avec un temps variable, calqué sur les états d'âme du couple Wilson - Lucchini, les morceaux de pièce, savamment choisis, prennent tout leur sens, évoquant avec finesse un thème universel, traversant le temps :</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"><em>je ne trouve partout que lâche flatterie,<br />qu' injustice, intérêt, trahison, fourberie ;<br />je n' y puis plus tenir, j' enrage, et mon dessein<br />est de rompre en visière à tout le genre humain.</em></span></span></p><p style="text-align: center;">La progression du scénario est subtile, les deux compères finissent par devenir très attachants, pathétiques, proches dans leur réflexion et leur vision du monde, de tout sénior un peu revenu de tout :</p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: Times New Roman; font-size: small;"> <em><span style="font-family: Calibri;">Puisque entre humains ainsi vous vivez en vrais loups,<br />traîtres, vous ne m' aurez de ma vie avec vous.</span></em></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">A la fin, j’étais hyper séduit….Lucchini, tu es vraiment un extraordinaire prof de littérature, et je t’adore…</span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: center;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: center;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: center;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: center;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: center;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: center;"> </p>
lelazor
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The Master (le film)
tag:lelazor.blogspirit.com,2013-01-16:2945903
2013-01-16T18:57:00+01:00
2013-01-16T18:57:00+01:00
The Master est pour moi un film très américain, qui marque la...
<p style="text-align: center;"><img id="media-713889" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/01/01/225590976.jpg" alt="themaster.jpg" width="382" height="256" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">The Master est pour moi un film très américain, qui marque la distance avec nos histoires françaises pratiquement toutes contrôlées, validées ou refusées par la diabolique CNC. D’abord, The Master, inspirée par la vie de Ron Hubbard, le père de la Scientologie, était dans mon esprit un film sur le pouvoir un peu maléfique…fausse piste, car The Master, évoquant la relation entre un gourou et un soldat alcoolique de retour de la guerre, est d’abord une narration du jeu entre les êtres, qui nous laisse souvent sur le flan avec nos stéréotypes. On aura beau dire, mais la quête de la liberté, c’est quelque chose pour les américains et on ressent dans ce film, toute la différence culturelle avec nos valeurs, coincées du côté d’une impossible égalité. Ensuite, on sent quelque chose de grand, quelque chose d’intemporel, quelque chose de vaste dans l’espace (particulièrement dans une scène de moto dans le désert américain ou dans le bureau du Maitre à la fin), quelque chose de fort dans les travellings, à fond la caisse, ou dans les cadrages, comme au début, avec le héros, en équilibre en haut d’un navire. On est loin d’Augustine, ce film franchouillard, qui était censé raconter la relation entre Charcot et l’une de ses patientes. Dans The Master, on est loin du pédagogogo, les personnages sont comme dans la vie, insaisissables même s’ils sont gourous et Anderson, le metteur en scène, ne s’attarde pas sur les « clients », se gardant bien de juger quoi que soit. Pour moi, tous les protagonistes du film sont responsables de leur parcours, étant tour à tour, possédant et possédé. Bref, on est loin de nos philosophies à la petite semaine (taxables à 75%)….</span></p><p style="text-align: center;"> </p>
Minh2909
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Les sorties du 16 Janvier
tag:cine2909.blogspirit.com,2013-01-16:2945779
2013-01-16T09:30:00+01:00
2013-01-16T09:30:00+01:00
Débutons le programme au poisson-clown le plus célèbre ; Le monde...
<p style="text-align: center;"><img id="media-713749" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/00/2167860595.81.jpg" alt="cinéma,films,sorties de la semaine,le monde de nemo 3d,django unchained,paulette,alceste à bicyclette,la parade,ultimo elvis" /></p><p>Débutons le programme au poisson-clown le plus célèbre ; <span style="text-decoration: underline;"><strong>Le monde de Nemo 3D</strong></span> est là pour célébrer le 10<sup>ème</sup> anniversaire de ce classique de <strong>Pixar</strong>. L’histoire, vous la connaissez déjà ; <strong>Nemo</strong> vit avec son père mais un beau jour ils se retrouvent séparés. Pour <strong>Marin</strong> parti à la recherche de son fils, c’est une formidable aventure qui commence !</p><p><img id="media-713747" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/00/3502058702.119.jpg" alt="01.jpg" />Beaucoup comme moi ont coché la date du 16 Janvier sur leur agenda car aujourd’hui sort le tout nouveau <strong>Quentin Tarantino</strong>. Le réalisateur culte s’attaque désormais au western en réinterprétant un film des années 1960 ; <span style="text-decoration: underline;"><strong>Django unchained</strong></span> c’est <strong>Jamie Foxx</strong> esclave à la recherche de sa femme et on s’attend à ce que ce soit évidemment explosif !</p><p> </p><p>Le <strong>King</strong> n’est pas mort ! Vous aurez l’occasion de le voir dans <span style="text-decoration: underline;"><strong>Ultimo Elvis</strong></span> enfin pas tout à fait puisqu’il s’agit de <strong>John McInerny</strong>, son sosie argentin qui a le rock’n’roll dans le sang. Sa fille <strong>Margarita Lopez</strong> elle préférerait clairement qu’il prenne un peu plus au sérieux son rôle de père. De théâtre il sera question dans <span style="text-decoration: underline;"><strong>Alceste à bicyclette</strong></span>. <strong>Fabrice Luchini</strong> y incarne un ancien comédien qui va être tiré de sa retraite par son pote d’enfance <strong>Lambert Wilson</strong>. Ce dernier veut le convaincre de remonter sur les planches et il fallait bien une pièce comme <strong>Le misanthrope</strong> de <strong>Molière</strong> faire revenir.</p><p> </p><p><img id="media-713748" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/00/2535282206.21.jpg" alt="02.jpg" />La crise tout le monde la ressent et encore plus <strong>Bernadette Laffont</strong> dans <span style="text-decoration: underline;"><strong>Paulette</strong></span> qui aurait bien besoin d’un coup de pouce financier. Lui vient alors une idée assez farfelue ; devenir dealeuse de cannabis mais attention sa nouvelle activité pourrait aussi lui attirer quelques ennuis. Ces problèmes d’argent, <strong>Frédéric Diefenthal</strong> ne semble pas les avoir lui qui vient de dérocher le super pactole de 124 millions d’euros ! Enfin ça c’est ce que tout son quartier croit et ça va être sacrément difficile à gérer pour ce <span style="text-decoration: underline;"><strong>Pauvre Richard</strong></span>. Pour terminer, on gardera un œil sur <span style="text-decoration: underline;"><strong>La parade</strong></span>, le nouveau film de <strong>Srdjan Dragojevic</strong> à qui l’on doit <span style="color: #000000; background-color: #00ff00;"><a title="La visite de la fanfare" href="http://cine2909.blogspirit.com/archive/2008/01/02/la-visite-de-la-fanfare.html" target="_blank"><span style="color: #000000; background-color: #00ff00;"><strong>La visite de la fanfare</strong></span></a></span>. Dans cette nouvelle comédie, un groupe de mercenaires qui ont vécu de nombreuses épreuves dans leurs vies respectives et se réunissent cette fois pour entourer la première Gaypride de <strong>Serbie </strong>!</p><p> </p><p style="text-align: center;"><strong><span style="text-decoration: underline; color: #000000; background-color: #00ffff;">Le conseil de Ciné2909 :</span> DJAAAAAAAAAAAAAAANGO UNCHAINED !!!! Et vous qu’est ce que vous irez voir ?</strong></p>
lelazor
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Télé Gaucho
tag:lelazor.blogspirit.com,2012-12-18:2941539
2012-12-18T14:20:00+01:00
2012-12-18T14:20:00+01:00
Librement inspirée de l’histoire de Télé Bocal, cette histoire a le...
<p style="text-align: center;"><img id="media-708729" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lelazor.blogspirit.com/media/01/01/485565728.jpg" alt="telega.jpg" width="426" height="240" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Librement inspirée de l’histoire de Télé Bocal, cette histoire a le mérite de tordre le cou, avec humour, aux idées et engagements gauchistes des années 90.</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Tout y est, du leader d’opinion qui roule surtout pour lui, à la militante qui y croit et finira isolée, aux délires d’un collectif, qui croit vivre une aventure décalée et libertaire.</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Mais comme c’est avant tout une comédie, le film n’est malheureusement pas qu’une peinture sociale, à mes yeux, bien plus réaliste qu’un film de Costa Gavras, qui lui, se prend beaucoup plus au sérieux. L’auteur a cru bon y rajouter une trame sentimentale avec une Sara Forestier qui finit par agacer. Dommage, car la plongée dans l’univers des médias, qu’ils soient de type purement capitaliste ou associative et alternative, comme cette Télé Gaucho, sonne juste et rapporte bien le cheminement d’intellectuels qui finissent par s’écarter des idéaux en se heurtant à la redoutable audience. On a beau vouloir être pour l’égalité, une équipe qui fait de la télévision est avant tout intellectuelle et ne vit pas tout à fait la même chose qu’une femme de ménage ou une vendeuse qui bosse prioritairement pour gagner sa vie. </span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Malgré les ratés, je conseille ce film a tous les gauchos, histoire de leur remettre les idées en place….mais ça, faut pas rêver, ce public là ne fera pas parti de l’audience, sauf si il s’est retrouvé là par hasard, en se faisant accrocher par le titre….. </span></p><p style="text-align: center;"> </p>
lelazor
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Never Sorry Ai Weiwei
tag:lelazor.blogspirit.com,2012-12-05:2939607
2012-12-05T22:50:00+01:00
2012-12-05T22:50:00+01:00
Ai Weiwei est un artiste chinois, désigné comme la figure la plus...
<p><iframe width="276" height="216" src="http://player.vimeo.com/video/18018860" frameborder="0" webkitallowfullscreen="" mozallowfullscreen="" allowfullscreen=""></iframe></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Ai Weiwei est un artiste chinois, désigné comme la figure la plus puissante de l’art contemporain par le magazine Art Review en 2011. Ce documentaire le suit et nous dresse surtout un portrait, très bien fait, du contestataire du régime politique du pays qu’il affectionne tout particulièrement. Se battant pour la liberté d’expression et maitrisant internet, il utilise prioritairement Tweeter pour défendre des causes qui paraissent justes, comme la mort accidentelle de centaines de jeunes dans une école à priori mal construite et n’ayant pas résisté à un tremblement de terre.</span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: small;">Il filme, il photographie, il utilise en toutes circonstances son Smartphone, y compris, lors d’une arrestation, pour témoigner…de manière plus classique, en peignant le sigle de Coca Cola sur une amphore de l’époque néolithique, il nous interroge sur nos comportements et nos manières de consommer, à commencer par l’art.</span></p><p><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;">C’est un film dynamisant que je recommande à tous, une ode à la création et à la lutte pour être soi même….c’est un combat pour des valeurs qui peuvent nous sembler acquises, mais qui sont si fragiles, que la pensée collective façonnée par des médias soumis à des dogmes, peut facilement nous détourner de dérives que nous ne voulons pas voir. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span></span></p><p style="text-align: center;"><strong><span style="color: #000080; font-family: Calibri;"><span style="font-size: small;"><span style="mso-spacerun: yes;">NON AU REPLI, OUI A TWETTER - Ai Weiwei</span></span></span></strong></p><p> </p><p> </p>
Minh2909
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Les sorties du 05 Décembre
tag:cine2909.blogspirit.com,2012-12-05:2939636
2012-12-05T09:30:00+01:00
2012-12-05T09:30:00+01:00
Allez plus que 20 petits jours avant de célébrer Noel et je pense que...
<p style="text-align: center;"><img id="media-706279" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/02/2167860595.61.jpg" alt="aff.jpg" /></p><p>Allez plus que 20 petits jours avant de célébrer <strong>Noel</strong> et je pense que vous devez avoir la tête dans les cadeaux ! C’est un beau programme qui nous attend aussi au cinéma et on commencera cette semaine avec une bonne tranche de rire en compagnie de <strong>Kad & Olivier</strong>. Ils reprennent leurs rôles de <strong>Bullit</strong> & <strong>Riper</strong> pour <span style="text-decoration: underline;"><strong>Mais qui a re-tué Pamela Rose ?</strong></span> et vont devoir sauver la <strong>Présidente des Etats-Unis</strong> rien que ça !</p><p><img id="media-706280" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/02/3502058702.84.jpg" alt="01.jpg" />Parce qu’avec sa belle gueule il réussit toujours à séduire, on surveillera <strong>Brad Pitt</strong> dans <span style="text-decoration: underline;"><strong>Cogan - La mort en douce</strong></span>. Il faut dire aussi que l’acteur est bien entouré avec <strong>Richard Jenkins</strong>, <strong>Ray Liotta</strong> et puis aussi <strong>James <em>Soprano</em> Gandolfini</strong>. Engagé par la Mafia, <strong>Cogan</strong> doit faire le ménage et ça risque d’être assez sanglant !</p><p>Qui dit fêtes de Noel dit aussi traditions et s’il en est bien une que l’on attend c’est bien le <strong>Disney</strong> de saison qui débarque avec <span style="text-decoration: underline;"><strong>Les mondes de Ralph</strong></span> guetté par les gamers. <strong>Ralph</strong> en a marre d’incarner le méchant dans son jeu vidéo et il décide donc de quitter son poste et d’aller visiter d’autres univers, ça sent déjà le succès à plein nez !</p><p><img id="media-706281" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/00/2535282206.20.jpg" alt="cinéma, films, les sorties de la semaine, mais qui a re-tué Pamela Rose ?, Cogan - La mort en douce, Les mondes de Ralph, Trois mondes, Anna Karénine" /></p><p> </p><p>Sujet plus grave dans <span style="text-decoration: underline;"><strong>Trois mondes</strong></span> où notre pote <strong>Raphaël Personnaz</strong> va voir sa vie totalement basculer. Alors qu’il est sur le point de se marier, un soir il provoque un accident mais dans la panique, il décide de prendre la fuite sans se douter qu’il y a un témoin de la scène. Œuvre majeure de <strong>Léon Tolstoï</strong>, <span style="text-decoration: underline;"><strong>Anna Karénine</strong></span> a droit à une nouvelle adaptation signée <strong>Joe Wright</strong> qui retrouve pour la 3<sup>ème</sup> fois <strong>Kieira Knightley</strong> associée avec <strong>Jude Law</strong> & <strong>Aaron Taylor-Jonhson</strong> ; un film qui devrait sans doute faire briller quelques yeux.</p><p> </p><p style="text-align: center;"><strong><span style="text-decoration: underline; color: #000000; background-color: #00ffff;">Le conseil de Ciné2909 :</span> Est-il nécessaire de vous le dire ? C’est évidemment Les mondes de Ralph que je vais vite aller découvrir. Et vous qu’est ce que vous irez voir ?</strong></p>