Last posts on enseigne2024-03-29T07:37:09+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/enseigne/atom.xmlAction Barbèshttp://actionbarbes.blogspirit.com/about.htmlBarbès Times Squaretag:actionbarbes.blogspirit.com,2018-10-17:31251952018-10-17T07:54:00+02:002018-10-17T07:54:00+02:00 Le "carrefour Barbès", point de jonction des boulevards Barbès, de la...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;">Le "carrefour Barbès", point de jonction des boulevards Barbès, de la Chapelle, de Magenta et de Rochechouart, est un lieu emblématique de Paris. Plusieurs repères urbains impriment sa personnalité, à savoir le cinéma le Louxor, le viaduc et la station de métro Barbès-Rochechouart, ou encore plus récemment, la Brasserie Barbès. Mais c'est sans doute le magasin Tati qui marque le plus fortement l'identité de Barbès dans l'imaginaire de gens. En effet, le magasin au Vichy rose, présent ici depuis 70 ans, couronne le carrefour avec son enseigne lumineuse emblématique.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-1051008" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/01/02/1392461608.jpg" alt="tati,enseigne,écran,barbès-rochechouart,barbès" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10pt;">Célébration d'une victoire au foot devant Tati, juin 2014</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Mais pourquoi évoquer en titre Times Square, le célèbre quartier de New York connu pour son carrefour et ses écrans lumineux ? L'enseigne de Tati vantant d'avoir "Les plus bas prix" est loin de rivaliser avec les écrans </span><span style="font-size: medium;">new-yorkais, nous direz-vous. C'est sans compter avec la nouvelle installation publicitaire de Tati, un magasin qui désormais appartient au groupe Gifi. </span><span style="font-size: medium;">Il y a quelques jours, pas moins de sept écrans lumineux publicitaires géants ont fait leur apparition derrière les vitrines du premier étage de Tati, à l'angle des boulevards Barbès et de Rochechouart. On avait déjà vu apparaître ces écrans dans les vitrines du rez-de-chaussée, ils n'y sont plus aujourd'hui. Sur ces écrans défilent les publicités du magasin, de jour comme de nuit. Et de nuit, le magasin ainsi paré ne dépareillerait pas à Times Square, tant la luminosité du dispositif publicitaire est forte.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/02/01/318415419.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-1051069" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/02/01/2731582041.jpg" alt="tati,enseigne,écran,barbès-rochechouart,barbès" /></a> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Sans parler de l'invasion publicitaire qui prend ici des dimensions considérables, cela n'est pas sans conséquence pour les riverains qui se voient éclairés par ces écrans, particulièrement pour ceux habitant côté impair du boulevard de Rochechouart, côté 9e, et malgré le viaduc qui aurait pu être un obstacle. En effet, la lumière provoque une grande gêne pour les habitants des appartements dont les fenêtres sont en vis-à-vis de Tati. Des riverains, dont certains de nos adhérents, ont écrit au magasin pour se plaindre du problème, mais aucune réponse pour l'instant. </span><span style="font-size: medium;">Si la règlementation locale est relativement permissive pour ce type d'écrans, il ne saurait être question de tolérer une telle pollution lumineuse pour le voisinage. Une extinction a minima en soirée ne paraît pas être une demande insensée et permettrait aux voisins de retrouver le sommeil. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Le problème que nous signalons ici risque de se multiplier, tant ce type d'écrans se développe à Paris ces derniers temps. Reste à savoir si la ville laissera faire ou si elle adaptera sa réglementation pour en éviter les excès.</span></p><p style="text-align: center;"> </p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlBaromètre #Cross-canal | produits de beauté | Internet et Enseignes Spécialisées font reculer les Enseignes de Massetag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2017-06-07:30920372017-06-07T09:39:00+02:002017-06-07T09:39:00+02:00 COMMERCE PHYSIQUE VS. COMMERCE DIGITAL Produits de beauté : la...
<p style="text-align: center;"><strong>COMMERCE PHYSIQUE VS. COMMERCE DIGITAL</strong></p><p style="text-align: center;"><strong>Produits de beauté : la nécessité d’une expérience physique condamne-t-elle l’e-commerce ?</strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-964296" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/00/925784644.JPG" alt="cosmetique,shampoing,produits pour le corps,beaute,cross-canal,multicanal,magasin,enseigne,e-commerce,digital" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>Poursuivant son étude mensuelle cross-canal, Promise Consulting | Panel On The Web s'est intéressée aux lieux d'achat favoris des Français pour leurs produits de beauté (maquillage, soin, shampoings & produits pour le corps).</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Le Baromètre Cross-Canal</strong> mesure la performance comparée des circuits de distribution traditionnels et de e-commerce par segments de marché. Il fait suite aux enseignements d’un ouvrage de référence publié par Promise Consulting sur les Nouveaux Comportements de Consommation et intitulé « Le Marketing de la Grenouille » (Editions Kawa | <a title="http://bit.ly/2k1N4rf" href="http://bit.ly/2k1N4rf" target="_blank">http://bit.ly/2k1N4rf</a>). Pour plus d’informations : <a title="http://promiseconsulting-blog.com" href="http://promiseconsulting-blog.com" target="_blank">http://promiseconsulting-blog.com</a>.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Si les enseignes commencent à intégrer ces tendances</strong> en adoptant des stratégies dites « omnicanales », la naissance de pure players dédiés exclusivement à la beauté et à l’hygiène s’annonce complexe. Plusieurs facteurs semblent en effet freiner leur développement, même si le secteur du maquillage et du soin ont vu l’émergence d’acteurs nouveaux dont le développement commercial s’appuie essentiellement – sinon exclusivement – sur le digital (ex. Birchbox, Smashbox, etc.). En effet, en raison de la nécessité de l’expérience physique qu’impose ce type de produits, l’achat en ligne paraît souvent risqué pour le consommateur. Pour autant, sous la pression de sites de vente en ligne de produits cosmétiques et d’hygiène comme Feelunique.com, Santemoinschere.com ou Allbeauty.com, les enseignes physiques, qui continuent d’être les lieux d’achat favoris des consommateurs français, ont bien entamé leur révolution digitale. </p><p style="text-align: justify;"><strong>Suite à un premier volet consacré aux vêtements,</strong> la lingerie, les chaussures et les parfums, puis à un deuxième consacré aux produits alimentaires, Promise Consulting a souhaité mesurer le taux de pénétration des canaux pour les pr<strong>oduits de beauté (maquillage, soin, shampoings et produits de bains)</strong>, et enfin la satisfaction et l’intention de recommandation à l’issue du dernier achat effectué en fonction des lieux d’achat.</p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #000080; color: #ffffff;"><strong>QUELQUES CONCLUSIONS FORTES</strong></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-964297" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/01/2632528254.jpg" alt="cosmetique,shampoing,produits pour le corps,beaute,cross-canal,multicanal,magasin,enseigne,e-commerce,digital" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>la pénétration de l’e-commerce est encore loin derrière celle des magasins physiques</strong> et les Français dans leur grande majorité ont encore le réflexe de se rendre en hypermarchés ou dans des enseignes spécialisées en proportions importantes (au minimum 81% des achats sont effectués en magasins).</p><p style="text-align: justify;">Pour autant, les enseignes traditionnelles auraient tort de se reposer sur leurs lauriers car l’étude met en exergue deux points inédits :</p><p style="text-align: justify;"><strong>1- Le commerce digital surclasse les hypermarchés et les supermarchés en termes de satisfaction dans les trois univers mais les enseignes spécialisées font jeu égal avec le digital en maquillage et en soin pour la peau.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>2- L'e-commerce s'impose face aux points de vente physiques en matière de recommandation, à l'exception du maquillage toutefois grâce à la forte attractivité des enseignes spécialisées. </strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>ETUDE COMPLÈTE SUR DEMANDE AUPRES DE</strong> <a title="PHILIPPE.JOURDAN@PROMISECONSULTINGINC.COM" href="mailto:PHILIPPE.JOURDAN@PROMISECONSULTINGINC.COM" target="_blank">PHILIPPE.JOURDAN@PROMISECONSULTINGINC.COM</a></p><p style="text-align: justify;"><strong>EN SAVOIR PLUS SUR L’OUVRAGE « LE MARKETING DE LA GRENOUILLE »</strong> : <a title="http://bit.ly/1J9f7vi" href="http://bit.ly/1J9f7vi" target="_blank">[Marketing de la Grenouille]</a></p><p><strong>TELECHARGER LES INFOGRAPHIES</strong> : <a title="http://bit.ly/2quYFXA" href="http://bit.ly/2quYFXA" target="_blank">[Infographies]</a></p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/02/01/1130751112.jpg" id="media-964091" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ffffff; background-color: #000080;"><strong>AVIS D'EXPERT</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Philippe JOURDAN, Associé fondateur Promise Consulting, Professeur des Universités, membre de l’American Marketing Association (AMA)</strong> : </p><p style="text-align: justify;"><img id="media-964272" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/00/02/3610577072.png" alt="cosmetique,shampoing,produits pour le corps,beaute,cross-canal,multicanal,magasin,enseigne,e-commerce,digital" />« Cette étude barométrique consacré à l’univers des produits de beauté illustre l’apport d’une stratégie cross-canal ou multicanal dans la consolidation d’un modèle économique basé sur la densité d’un réseau de points de vente diversifiés et experts. Nous avons souvent été questionnés en tant que conseil sur notre appréciation du risque d’ubérisation du secteur de la beauté. La performance comparée des magasins physiques et des plateformes de e-commerce en termes de pénétration, de satisfaction et de recommandation, montrent que la complémentarité des deux circuits (sinon leur interpénétration) est aujourd’hui davantage plébiscitée par les consommateurs que leur concurrence frontale.</p><p style="text-align: justify;">Le risque de disruption est sans doute plus prononcé dans l’univers du maquillage (alors qu’il est moindre dans l’univers du soin) mais <span style="color: #000000; background-color: #ffffff;">d’une </span>façon générale, l’univers de la beauté ne réunit pas les conditions d’une « ubérisation » à court terme : le secteur comporte un grand nombre d’acteurs tant en fabrication qu’en distribution, il est fortement innovant et comporte peu de rentes de situation, les circuits de distribution sont souvent divers et longs, la technologie, si elle est un facilitateur de services, n’est pas au cœur de la valeur ajoutée des offres dans aucun des segments (maquillage, soin, shampoings & produits pour le corps), les coûts d’accès au marché demeurent élevés, mais surtout les produits achetés sont avant tout expérientiels : le consommateur est demandeur d’essais, d’échantillons, de conseils, et partant la distribution physique conserve des atouts dont elle sait pleinement jouer ».</p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #000080; color: #ffffff;"><strong>METHODOLOGIE</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Cette étude a été menée par Promise Consulting auprès de 1 003 personnes (522 femmes et 481 hommes)</strong> représentatifs de la population française et âgées de 18 ans et plus. La période de collecte des informations s’étend du 20 au 26 mars 2017 et s’est effectuée via l’Access Panel de Promise Consulting sur Internet. La méthode des quotas a permis de s’assurer de la représentativité de l’échantillon sur les critères de genre, d’âge, de régions d’habitation, de taille de commune, de composition du foyer et de revenus du foyer;</p><p style="text-align: justify;">Les résultats présentés dans le cadre du présent communiqué de presse portent sur la<strong> population féminine uniquement pour les catégories maquillage et soin et sur une population mixte hommes et femmes pour la catégorie shampoings & produits pour le corps.</strong></p><p style="text-align: justify;">Les résultats sont ici publiés pour les catégories de produits d’hygiène, de maquillage et des soins pour la peau. D’autres catégories de produits on fait ou feront l’objet de publications ultérieures dans les semaines à venir (si vous souhaitez en savoir plus ou être tenu informé : <a title="lcorpechot@agence79.com" href="mailto:lcorpechot@agence79.com">lcorpechot@agence79.com</a>).</p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #000080; color: #ffffff;"><strong>LES MAGASINS PHYSIQUES DEMEURENT INDÉTRÔNABLES EN TERMES DE LIEUX D’ACHAT</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #ffffff; color: #000080;"><strong><span style="color: #000000;">L’ACHAT EN MAGASIN DOMINE ENCORE LARGEMENT DANS L’UNIVERS DE LA BEAUTE</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #ffffff; color: #000080;"><strong><span style="color: #000000;">Un constat qui n’est pas réellement une surprise : </span></strong><span style="color: #000000;">l</span><span style="color: #000000;">es circuits traditionnels que sont les enseignes spécialisées et les hyper et supermarchés, quel que soit le produit en question, restent à ce jour les lieux d’achat de produits de beauté les plus fréquentés par les consommateurs et ce, dans une très large mesure. En effet, qu’il s’agisse de maquillage <strong>(81%)</strong>, des soins pour la peau <strong>(82%)</strong> ou des produits d’hygiène <strong>(92%),</strong> les magasins physiques devancent sans conteste l’e-commerce en termes de lieux d’achat favoris des consommateurs français. </span> </span></p><p style="text-align: center;">[Télécharger]</p><p style="text-align: justify;"><strong>L'EXPERIENCE PHYSIQUE A L'ACHAT : UNE NECESSITE</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 10.0pt; color: black;">A l’instar des produits alimentaires, l’expérience en magasins est très majoritairement privilégiée pour des achats de produits cosmétiques ou d’hygiène</span></strong><span style="font-size: 10.0pt; color: black;">. Pour ce type de produits, le consommateur a besoin d’une expérience physique : toucher, sentir, voir le produit, le tester sur soi sont des éléments essentiels pour orienter son achat, notamment en raison des risques d’allergie ou des précautions à prendre en fonction du type de peau. Le besoin de conseil à l’achat et la possibilité de tester le produit grâce à des échantillons sont autant de facteurs qui déterminent un achat de produit cosmétique en magasin plutôt que sur Internet. Même si la part des achats sur le Web augmente chaque année, les consommateurs gardent donc leurs habitudes en termes de lieux d’achat pour leurs produits de beauté.</span></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 10.0pt; color: black;">UNE LENTE EVOLUTION DE L’E-COMMERCE DANS L'UNIVERS DE LA BEAUTE</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10.0pt; color: black;"><strong>L’e-commerce cependant s’installe peu à peu dans le paysage de la beauté</strong> : 18% des femmes de 18 à 60 ans ont effectué leur dernier achat de maquillage en ligne contre 19% pour les produits de soin et 9% pour les shampoings et les produits pour le corps (hommes + femmes). Logiquement le maquillage est le produit le plus souvent acheté en ligne : moins risqué, davantage acheté par les plus jeunes, de plus faibles valeur unitaire, les produits de maquillage s’adaptent mieux au commerce à distance.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10.0pt; color: black;"><strong>Résultat notable</strong> : si le taux de pénétration des achats en ligne est comparable entre tranches d’âge en maquillage, cela n’est pas le cas dans les univers des produits de soin et plus encore les shampoings et produits pour le corps : les 45+ achètent en réalité plus souvent en ligne ces deux dernières catégories de produits, dont ils sont – il est vrai – plus gros consommateurs pour eux-mêmes ou leur foyer. Plusieurs raisons l’expliquent : en matière de produits de soin, les plus jeunes – 18-44 ans – sont contraints budgétairement et se rendent prioritairement en hypermarchés et supermarchés alors que les sites de soin pour le visage en ligne sont souvent orientés vers des offres premium ; en matière de shampoing et de produits pour le corps, la domination du mass s’impose à toutes les tranches d’âge. C<strong>’est au final dans l’univers des shampoings & des produits pour le corps que la pénétration des achats sur Internet est la plus basse<span style="text-decoration: underline;">.</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10.0pt; color: black;">[Télécharger]</span></p><p><strong>LES POINTS DE VENTE PHYSIQUE PEUVENT COMPTER SUR LA DENSITE DE LEUR RESEAUX DE POINTS DE VENTE</strong></p><p style="text-align: justify;">Avec la multiplication des supermarchés et des hypermarchés à proximité des villes, les consommateurs bénéficient d’une multiplicité de lieux pour effectuer leurs achats de produits de beauté. L<strong>es points de vente physiques au-delà des grandes surfaces ont également reconquis les centres villes, proposant une offre de proximité qui séduit les citadins</strong>. Le consommateur a donc la possibilité de s’offrir simplement et rapidement le produit qu’il recherche, tout en disposant d’une interaction directe avec le personnel du point de vente et la possibilité de tester le produit avant de s’engager à l’acheter, dans les rayons spécialisés ou mieux encore dans les points de vente dédiés à la beauté des grandes enseignes alimentaires (ex. Monop’Beauty).</p><p style="text-align: justify;"><strong>Au-delà des enseignes de la grande distribution, la distribution spécialisée complète utilement la couverture</strong>. Les chaines de beauté (ex ; Séphora, Nocibé, Marionnaud), les enseignes en nom propre (Yves Rocher, Body Shop, Kiko en maquillage), les rayons beauté des grands magasins et les parapharmacies forment un réseau particulièrement dense et étendu de points de vente de produits de beauté sur notre territoire.</p><p style="text-align: justify;">Notons que la province devance systématiquement Paris lorsqu’il s’agit de faire ses achats sur le Web et plus particulièrement pour le maquillage et le soin. Cela peut notamment s’expliquer par l’éloignement de certains Français avec les enseignes physiques précités. <strong>Le Web peut également tirer son épingle du jeu sur les produits haut de gamme ou les produits à tarifs réduits, faisant par exemple l’objet d’un déstockage</strong>. En effet, si le délai de livraison est souvent un frein à l’achat, notamment pour des raisons de besoin immédiat qui concernent surtout les produits d’hygiène, l’e-commerce dispose d’une carte à jouer sur son offre premium, ou bien sur des modèles économiques plus originaux, tels que l’abonnement ou l’assortiment de produits pré-choisis.</p><p style="text-align: center;">[Télécharger]</p><p style="text-align: justify;"><strong>LE WEB COMME OUTIL CROSS-CANAL : UN AUTRE MOYEN DE FIDELISATION POUR LES ENSEIGNES COSMETIQUES</strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;">En effet, nombreuses sont les enseignes disposant d’une offre quasi identique sur internet à celle que l’on peut trouver en magasins. Sephora, Nocibé, Yves Rocher, ou même L’Oréal et Vichy, tous disposent de leur offre e-commerce, <strong>ce qui leur permet de multiplier les points d’accès aux produits pour que le consommateur puisse combiner les avantages d’un magasin traditionnel avec la liberté d’Internet.</strong> Cette multiplication des points d’accès permet de fidéliser un peu plus la clientèle des magasins, cette dernière connaissant déjà leur expertise et la variété de leur offre.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><strong>De ce fait, il ne s’agit pas forcément dans cette étude d’une opposition marquée entre enseignes physiques et enseignes digitales</strong>. Pour l’e-commerce, il s’agit souvent de plateformes Internet créées et gérées par des enseignes qui ont décidé d’intégrer une stratégie omnicanale. Le choix demeure entre se déplacer pour ses produits nécessaires et inconnus, ou se faire livrer des produits que l’on connait ou des produits haut de gamme.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><strong>De même l’hypothèse qui consiste à cantonner l’achat en magasin à la découverte de nouveaux produits et l’achat sur Internet à une fonction de rachat (ou de réapprovisionnement) n’est pas vérifiée</strong>. Le succès des offres de Smashbox et Birchbox en particulier montre que l’essai de nouveaux produits n’est pas l’apanage des seuls points de vente physiques. Les magasins physiques eux-mêmes ont développé des espaces privilégiés pour le réapprovisionnement – à l’instar de certaines recharges de parfum – une manière originale de concilier la fidélisation du client au point de vente et un engagement en faveur du développement durable.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ffffff; background-color: #000080;"><strong>INTERNET : UNE AVANCE EN TERMES DE SATISFACTION VIS-A-VIS DES HYPERMARCHES UNIQUEMENT </strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Internet devance en termes de satisfaction avant tout les hypermarchés et les supermarchés </strong>qui sont donc les grands perdants de la confrontation. Ceci est essentiellement vérifié pour les shampoings & produits pour le corps (+11 points) et pour les produits de soin pour la peau (+8 points) et demeure contenu pour le maquillage (+3 points). Faut-il y voir une explication de l’érosion relative de la position autrefois dominante des circuits de masse dans la distribution en particulier des shampoings & produits pour le corps ? Nous le pensons.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Internet et les circuits plus spécialisés font en revanche jeu égal sur les catégories phares de la cosmétique que sont le maquillage (41% vs 42%) et le soin (47% pour tous les deux)</strong>. Il est vrai que les achats sur Internet dans ces deux catégories sont souvent le prolongement de l’achat en magasins spécialisés (les sites marchands sont détenus par les enseignes physiques, Séphora, Nocibé, Marionnaud ou Yves Rocher par exemple). En outre, le web-to-store ou le store-to-web, parfaitement maîtrisés par bon nombre d’acteurs contribuent à situer l’achat en ligne et en magasin le long d’un seul et même continuum.</p><p style="text-align: justify;"><strong>A souligner que les écarts de satisfaction entre Internet et les magasins physiques au profit des enseignes spécialisées sont systématiquement plus élevés auprès des 18-44 ans</strong>, clientèle particulièrement « choyée» par ces formats de distribution s’agissant de leurs achats en maquillage et en soin (offres, prix, services, événements, fidélisation, ambiance en magasin, etc.).</p><p style="text-align: justify;"><strong>Rappelons que la satisfaction client demeure très complexe</strong>, notamment dans son rapport avec la fidélisation. Un client peut en effet être satisfait et infidèle, ou au contraire fidèle bien qu’insatisfait à titre occasionnel. La satisfaction est également à mettre en relation avec deux autres variables psychosociologiques : d’un côté les attentes, dont on peut supposer qu’elles sont différentes en nature et en intensité selon que l’on achète en ligne ou en magasin ; de l’autre, l’engagement généré qui demeure élevé s’agissant de l’achat des produits visés dans cette étude. Le grand nombre de marques, la diversité des enseignes, le recours à une innovation constante et des lancements nombreux de nouveaux produits sont autant d’incitations à être peu fidèle, même si l’on est par ailleurs satisfait.</p><p><strong>SATISFACTION : LES ENSEIGNES SPECIALISEES FONT JEU EGAL AVEC INTERNET EN MAQUILLAGE ET SOIN</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>S’agissant de la satisfaction éprouvée lors du dernier achat, les enseignes spécialisées génèrent une satisfaction au niveau de celle d’Internet en maquillage (42% vs 41%) et en soin (47% pour les deux).</strong> La commodité, le choix et le prix forment les atouts du média digital. Les enseignes spécialisées ont su en revanche capitaliser sur la proximité, le service, l’offre, le conseil et l’ambiance dans le point de vente. Elles ont également intégré avec intelligence l’outil digital en amont et en aval de la visite en magasin, mais également sur le lieu de ventes où les applications connectées se multiplient.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Cette conclusion ne s’applique pas à l’univers des shampoings & produits pour le corps.</strong> Internet recueille la satisfaction la plus élevée, bien que son taux de pénétration lors du dernier achat demeure encore faible (9%) et au niveau de celles des enseignes spécialisées sur un marché dominé par les hypermarchés & supermarchés.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Une conclusion s’impose</strong> : <strong>les hypermarchés et les supermarchés sont les grands perdants de la triangulaire entre Internet, circuits de masse et circuits spécialisés</strong>. Ils recueillent une satisfaction en retrait sur les trois univers, et le plus souvent sur les deux tranches d’âge.</p><p style="text-align: justify;"><strong>SERVICE IRREPROCHABLE ET QUALITE AU RENDEZ-VOUS POUR L’E-COMMERCE</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Internet est plus souvent choisi pour un achat de commodité et de facilité </strong>lorsque l’on connait déjà le produit que l’on souhaite acheter. Le taux élevé de satisfaction après des achats en ligne peut s’expliquer par deux raisons : une habitude d’achat en ligne que motive une bonne connaissance du produit et de sa qualité ou l’achat d’un nouveau produit dont la qualité, la rapidité de livraison et le service avant et après-vente répondent aux exigences du consommateur.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Mais les achats sur Internet disposent également d’autres atouts</strong> : en matière de produits de soin, les pure players en ligne parient également sur de nouveaux modèles économiques, l’abonnement à un prix fixe pour une offre découverte tous les mois se substitue à l’essai et à l’achat en magasins dans le cas des Box. Certaines marques pointues (Cinq Mondes, Payot, etc.) – davantage en soin qu’en maquillage il est vrai – ont fait le pari d’une commercialisation uniquement sur le Web ou bien encore d’un essai dans le cadre d’un SPA et d’un salon de beauté et d’un rachat en ligne uniquement pour poursuivre la routine de soin à la maison.</p><p style="text-align: justify;">On peut également noter que pour les 3 catégories de produits, <strong>les acheteurs s’étant rendus sur internet les plus satisfaits sont les personnes âgées de plus de 44 ans</strong>. Pour autant, comme le met en lumière cette étude, il s’agit de la catégorie de personnes dont les achats se font encore très majoritairement en magasins. Cela démontre non seulement l’évolution des mentalités par rapport aux achats en ligne, mais aussi que la qualité des services et des produits proposés en ligne répondent aux attentes élevées d’une catégorie de personnes dont les habitudes d’achat demeurent pourtant bien ancrées, mais pour combien de temps</p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #000080; color: #ffffff;"><strong>TAUX DE RECOMMANDATION : A L’EXCEPTION DU MAQUILLAGE, INTERNET IMPOSE SON TEMPO</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><strong>INTERNET
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlLes chaînes d'#habillement réduisent la voilure | @LesEchos #textiletag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2017-01-11:30860532017-01-11T09:28:53+01:002017-01-11T09:28:53+01:00 LES ECHOS.FR | DOMINIQUE CHAPUIS | 11 JANVIER 2017 INTERVIEW P. JOURDAN...
<p><strong>LES ECHOS.FR | DOMINIQUE CHAPUIS | 11 JANVIER 2017</strong></p><p><strong>INTERVIEW P. JOURDAN DONNE AUX ECHOS</strong></p><p style="text-align: right;"><img id="media-949873" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/02/02/1078290005.png" alt="soldes, mode, , habillement, distribution, enseigne" /></p><p><strong>Le marché français de l'habillement est en baisse depuis neuf ans et les chaînes réduisent leur surface commerciale.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>l n'y a pas que la crise et les contraintes budgétaires des Français qui pèsent sur les soldes.</strong> Le moindre intérêt des consommateurs pour cette traditionnelle période de rabais témoigne aussi du fait qu'il est désormais possible de faire de bonnes affaires toute l'année, dans les magasins comme sur le Web.</p><p style="text-align: justify;"> « <strong>Il y a une dilution des soldes dans un contexte de remises permanentes. Acheter moins cher est possible partout et tout le temps</strong> », résume Philippe Jourdan, à la tête de Promise Consulting. La part des soldes et autres promotions représente désormais 41 % des achats dans la mode (source : Institut français de la mode, IFM), contre 39 % en 2012.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Après la vente à distance, les grands magasins sont les champions de la remise,</strong> avec « Les 3J » ou « Huit Jours en Or », sans parler des ventes privées : les prix barrés ont représenté 45 % de leur chiffre d'affaires en 2016, note l'IFM (40 % en 2015). « Les réductions dans les chaînes ont débuté depuis le 26 décembre, il y a donc déjà eu beaucoup d'articles vendus pour une clientèle de privilégiés détenteurs de cartes », note Claude Boulle, président exécutif de l'Alliance du commerce. Depuis le lendemain de Noël, en effet, les Galeries Lafayette proposent à leurs meilleurs clients des « avant-premières ».</p><p style="text-align: justify;"><strong>D'une façon générale, les enseignes multiplient les invitations pour des ventes privées</strong> bien avant la date officielle des soldes. Avec cette valse permanente des étiquettes, les consommateurs n'y comprennent plus rien. « Les soldes sont le seul moment où ils savent à quoi s'attendre, car c'est réglementé, note Bernard Morvan, président de la Fédération nationale de l'habillement. Aujourd'hui, il y a une telle agressivité entre les chaînes que, dans ces réseaux, seuls 24 % des articles sont vendus au prix initial. » Une guerre alimentée par des enseignes comme Primark, qui fragilise les autres acteurs du marché. Sans parler des ouvertures du dimanche, fustigées notamment par les indépendants, qui y voient une concurrence déloyale.</p><p><strong>« Début de rationalisation »</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Globalement, les affaires ne vont pas fort pour les vendeurs de vêtements,</strong> en témoignent les difficultés de MS Mode, en redressement judiciaire, ou de Vivarte. Les marques Kookaï, Chevignon et Pataugas, mises en vente, ne trouvent apparemment pas preneur. Cela fait en réalité neuf ans que le marché de l'habillement est en berne dans l'Hexagone. Et cette crise commence à avoir un impact sur le nombre de magasins. Pour la première fois, en 2016, les surfaces commerciales des chaînes spécialisées ont reculé de 3 %, selon l'IFM, « après vingt-cinq ans de croissance ».</p><p style="text-align: justify;">« C'est un début de rationalisation, tempère Claude Boulle, qui observe que l'offre reste très importante avec, derrière les leaders, des centaines de marques enseignes de toute taille. »</p><p style="text-align: justify;"><strong>Très dispersé, le paysage français du prêt-à-porter commence à se concentrer</strong>, un mouvement qui favorise les leaders et pénalise particulièrement les marques de milieu de gamme, sans avantage prix ni identité forte.</p><p><br /><strong>En savoir plus sur : <a title="Les Echos.fr" href="http://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/0211673205064-les-chaines-dhabillement-reduisent-la-voilure-2056113.php#VDFhL145IIVGAS3o.99" target="_blank">[CLIQUER ICI]</a></strong></p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/01/1962002667.png" id="media-949872" alt="" /></p>
pjourdanhttp://leconsobattant.blogspirit.com/about.html#Grandedistribution : les nouvelles #technologies à la rescousse du personnel | @adetemtag:leconsobattant.blogspirit.com,2016-12-07:30843332016-12-07T16:12:00+01:002016-12-07T16:12:00+01:00 CHRONIQUE DE CYRIL DUFRESNE | ASC0M FRANCE |JOURNAL DU NET - 05/12/2016...
<p><img src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/00/02/3665033084.jpg" id="media-945546" alt="" /></p><p><strong>CHRONIQUE DE CYRIL DUFRESNE | ASC0M FRANCE |JOURNAL DU NET - 05/12/2016</strong></p><p><strong><a title="http://bit.ly/2h66qfj" href="http://bit.ly/2h66qfj" target="_blank">[lire l'article en ligne]</a></strong></p><p><strong><a title="http://bit.ly/1J9f7vi" href="http://bit.ly/1J9f7vi" target="_blank">[lire sur le même thème - Marketing de la Grenouille]</a></strong></p><p><strong><a title="http://www.editions-kawa.com/home/137-le-marketing-de-la-grenouille.html" href="http://www.editions-kawa.com/home/137-le-marketing-de-la-grenouille.html" target="_blank">[acheter l'ouvrage]</a></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>La révolution numérique s’impose partout dans nos sociétés et touche tous les secteurs d’activité. La grande distribution et la vente au détail sont exposées quotidiennement à un certain nombre de risques en matière de sécurité.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Outre la menace d’une catastrophe comme un incendie, la grande distribution et la vente au détail sont confrontés aux accidents de personnes et parfois même à la violence.</strong> Le personnel des magasins, conscient de ces dangers, se sent aujourd’hui mal à l'aise. Pour faire face à ces problématiques, les responsables de centres commerciaux adoptent de plus en plus les nouvelles technologies. Ces dispositifs de communication mobiles sur site proposent des solutions de sécurité fiables, adaptées aux magasins, et apportent une réponse concrète aux inquiétudes de leurs employés.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Une force mobile et connectée pour améliorer la sécurité et l’efficacité du personnel</strong></p><p style="text-align: justify;"><em>« Avec plus de 500 000 collaborateurs, la grande distribution est l’un des plus importants employeurs de France. Ce secteur se caractérise par un nombre élevé d’accidents du travail liés notamment aux manutentions, chutes, glissades de plain-pied et autres coupures avec les outils à main. »</em></p><p style="text-align: justify;"><strong>Nombreux sont les dispositifs de communication interne,</strong> mais combien sont réellement capables de centraliser l’ensemble des flux critiques et d’apporter une véritable intelligence en fournissant la bonne information, à la bonne personne et surtout au bon moment. </p><p style="text-align: justify;">Aujourd’hui, les solutions applicatives métier répondent parfaitement à ces problématiques et s’intègrent facilement à l’environnement multi-technologique de la grande distribution disposant d’une technologie WIFI. Les dispositifs de téléphonie mobile sur site, d’assistance aux travailleurs isolés et les remontées d’alarmes peuvent être couplés pour renforcer l’efficacité organisationnelle et la sécurité des employés.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Le personnel des magasins peut désormais être équipé d’émetteurs d’alarme discrets,</strong> grâce auxquels ils ont la possibilité de lancer un appel à l’aide. Une caissière ou un employé de sécurité en charge des rondes dans les entrepôts peuvent par exemple avertir en cas de problèmes, d’agressions ou d’intrusions. L’équipe en charge de la sécurité reçoit l’alarme sous la forme d’un message texte décrivant évènement et sa localisation.</p><p style="text-align: justify;">La fonctionnalité Push-to-Talk et conférence, permet à tous les membres d’intervention d’être connectés automatiquement en mode audio et de suivre ainsi l’évolution d’une situation difficile de manière efficace.</p><p style="text-align: justify;">Ces solutions applicatives, qui peuvent être implémentées avec celles utilisées par les services de sécurité, sont d’ailleurs un excellent complément à la vidéo surveillance, déjà largement développée dans les centres commerciaux.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Le challenge de l’organisation : un avantage compétitif pour une expérience client améliorée</strong></p><p style="text-align: justify;">Il est désormais possible de concentrer l’essentiel des processus de communication internes et d’intégrer de nombreuses applications métier en un seul outil DECT simple à utiliser, ce qui donne accès à beaucoup plus de verticalité et de réactivité. Les applications métiers, lecteurs de codes-barres dédiés aux inventaires, système de remontée des alarmes techniques (incendie, électricité, panne de réfrigérateurs) et dispositifs DATI sont ainsi mutualisés sur les mêmes infrastructures et gérés via des plateformes logicielles flexibles et modulables qui enregistrent et communiquent avec précision les incidents. Elles permettent de mettre en œuvre une action adaptée en envoyant les flux de communication et d’alarmes vers la personne en capacité de la traiter au plus vite. Malgré l’importante mobilité du personnel évoluant dans ce secteur, aucune perte de données ou de remontée d’alarme ne sera possible. </p><p style="text-align: justify;"><strong>Par ailleurs, le développement des nouvelles technologies dans le secteur de la grande distribution permet également d’améliorer l’expérience client et notamment de réduire le temps d’attente de ces derniers.</strong> Les vendeurs équipés d’outils de communication interne s’échangent désormais facilement les informations sur un produit ou sa disponibilité en stock. C’est un véritable gain de temps et d’organisation qui permet d’une part d’éviter aux employés de parcourir de très grandes distances entre les réserves et les rayons, et d’autres part de fortement réduire l’attente des clients en répondant au plus vite à leurs questions.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Autre avantage, ces systèmes interopérables peuvent être installés simultanément sur plusieurs sites d’une même enseigne, ce qui procure une vue d’ensemble à 360 degrés de tous les flux de communication, magasins par magasins. </strong></p><p style="text-align: justify;">Cette évolution technologique profite autant aux employés qu’au management. En effet, outre les gains de sécurité et d’organisation, elle permet une concentration de l’essentiel en un seul outil, une mutualisation des infrastructures et une réelle réduction des coûts.</p>
pjourdanhttp://leconsobattant.blogspirit.com/about.htmlWalmart abaisse ses prévisions sur la période 2016-2017 [#distribution #alimentaire #Walmart]tag:leconsobattant.blogspirit.com,2016-02-22:30669062016-02-22T10:00:00+01:002016-02-22T10:00:00+01:00 Dans un contexte de reprise même prudente de la croissance...
<p><img src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/02/02/3949909662.jpg" id="media-907074" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>Dans un contexte de reprise même prudente de la croissance des achats des ménages américains, le géant américain de l'alimentaire ne semble pas profiter de l'embellie. Plusieurs facteurs l'expliquent qui confirment que le concept de supermarchés alimentaires séduit de moins en moins, outre-Atlantique également.</strong></p><p style="text-align: justify;"><em>AFP, le 18/02/2016 à 14h37 cité par LA CROIX</em></p><p style="text-align: justify;">L'enseigne WalMart a abaissé ses prévisions 2016/17 jeudi, invoquant des effets de change défavorables et de lourdes charges de restructuration liées à une revalorisation des salaires de ses employés américains et des fermetures de magasins.</p><p style="text-align: justify;">Les ventes devraient stagner au cours de l'exercice ayant débuté en février, contre une croissance de 3 à 4% prévue précédemment, indique le numéro un mondial de la distribution. Le bénéfice par action ajusté, référence en Amérique du nord, devrait, lui, être compris entre 4,0 et 4,30 dollars, contre 4,17 dollars attendus en moyenne par les marchés.</p><p style="text-align: justify;">"Les fluctuations des taux de change de devises (...) devraient impacter négativement les ventes d'environ 12 milliards de dollars au cours de l'exercice fiscal 2017", explique le géant américain.</p><p style="text-align: justify;">A ceci s'ajoutent des charges liées à la fermeture de 269 supermarchés qui perdent de l'argent dans le monde dont 154 aux Etats-Unis et 60 au Brésil.</p><p style="text-align: justify;">Le groupe, qui gère 11.600 magasins dans le monde dont 4.600 sur le sol américain, a notamment renoncé à l'expérimentation Walmart Express en place depuis 2011 et destinée à une clientèle pressée, désireuse de ne pas passer beaucoup de temps dans les rayons.</p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/1oxkLE6" target="_blank">[LIRE ARTICLE COMPLET]</a></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 10pt;"><strong>Retrouvez plus d'info dans l'ouvrage le #marketingdelagrenouille aux éditions #kawa :</strong></span></p><ul><li style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 10pt;">POUR PRENDRE CONNAISSANCE DES MEILLEURES PAGES DE L'OUVRAGE : <a href="http://bit.ly/1J9f7vi">LES MEILLEURES PAGES</a></span></li><li style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 10pt;">POUR COMMANDER L'OUVRAGE LE #MARKETINGDELAGRENOUILLE AUX ÉDITIONS #KAWA : <a href="http://bit.ly/1O2JBjN">SITE DE L'ÉDITEUR</a></span></li></ul>
maplanetehttp://maplanetea.blogspirit.com/about.htmlDécouvrez le top 10 du thon durable en boîte !tag:maplanetea.blogspirit.com,2015-09-30:33161702015-09-30T10:30:00+02:002015-09-30T10:30:00+02:00 Bilan de campagne « La responsabilité des marques est...
<p><strong>Bilan de campagne</strong></p><blockquote><p><em>« La responsabilité des marques est fondamentale. Elles ont le pouvoir de fixer des exigences environnementales élevées auprès de leurs fournisseurs et de l’industrie de la pêche, pour favoriser les méthodes de pêche les plus respectueuses et privilégier les stocks de thons en meilleure santé </em>», Hélène Bourges, responsable de campagne.</p></blockquote><p><img id="media-303159" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/00/1441544339.jpg" alt="surpêche,lutte,greenpeace,campagne,thon,classement,marque,enseigne" />Depuis un an, Greenpeace ne s'est pas contentée d'observer et de compter les points, ni même de <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2015/07/17/tous-les-thons-meritent-une-relation-durable-1039094.html" target="_blank"><strong>sensibiliser les consommateurs sur le terrain </strong></a>sur la nécessité de <strong>"choisir le bon thon".</strong> Concrètement, l'ONG a poursuivi un dialogue avec les <strong>représentants des marques, </strong> afin d'évaluer les techniques de pêches de leurs fournisseurs, leurs méthodes d'approvisionnement, la durabilité de leurs produits... Un vrai boulot ! Et elle a aussi provoqué un autre dialogue <strong>entre les marques de boîtes de thon et les opérateurs de pêche</strong>, les incitant à modifier leurs pratiques et posant ainsi les premiers pavés du chemin vers une pêche thonière durable. Première bonne note décernée par Hélène Bourges, "s'il y a des réticents, dans l'ensemble les industriels sont à l'écoute". Bon, alors, ce classement ?</p><p><strong>Saupiquet et Petit Navire, bonnets d'âne</strong></p><p><img id="media-303156" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/01/3116962594.jpg" alt="surpêche,lutte,greenpeace,campagne,thon,classement,marque,enseigne" width="98" height="98" />Comme toujours, il y a les bons et les mauvais élèves. Si, depuis un an, une partie des marques ont bien perçu les enjeux et ont entrepris des démarches concrètes pour modifier leur chaîne d’approvisionnement et mieux respecter l’environnement,<strong> les leaders du marché sont toujours à la traine, </strong>pointe Greenpeace.</p><p>Les <strong>deux derniers</strong> demeurent les mêmes, <strong>Casino </strong>et <strong>Leclerc</strong>, pour qui tout reste à faire. Mais l'ONG décerne un bonnet d'âne à<strong> Saupiquet et Petit Navire,</strong> les deux leaders du secteurs, qui raflent à eux seuls 45% des parts du marché du thon en boite. "<strong>Petit Navire</strong>, numéro un du marché, a beaucoup communiqué cette année sur la durabilité, mais les actes sont loin d’être au rendez-vous", explique Greenpeace. La marque n’a pas d’objectif pour développer les méthodes de pêches les plus durables. Elle a donc simplement entrepris de <strong>repeindre sa boîte bleue en vert</strong>. Bon, ça, c'est fait. </p><p><strong>"Erreur stratégique"</strong></p><p><strong>Saupiquet</strong>, quant à lui, n'a pas opéré de changements significatifs dans sa chaîne d’approvisionnement depuis l’année dernière, constate l'ONG. "Les deux géants du thon, pointe Hélène Bourges, responsable de campagne, ne veulent ni communiquer leurs méthodes de pêche, ni changer leurs façons de faire". Peut-être parce qu'ils estiment n'avoir rien à gagner en terme de ventes par rapport à leurs concurrents ? Ou parce qu'ils ont peur de dire la vérité ? Selon Greenpeace, ils commettent surtout une<strong> erreur stratégique,</strong> car d'autres marques, elles, ont bien perçu l'intérêt commercial qu'elles avaient à s'engager sur la durabilité. "C'est notamment le cas de <strong>Système U et de Connétable</strong>, qui ont progressé dans leurs exigences de durabilité", explique Hélène Bourges.</p><p><strong>Au tableau d'honneur 2015 : Système U, Connétable et Phare d'Eckmühl<br /></strong></p><p><img id="media-303160" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/02/2737748978.jpg" alt="surpêche,lutte,greenpeace,campagne,thon,classement,marque,enseigne" width="66" height="66" />Mais oui, rassurez-vous, vous allez quand même pouvoir ouvrir votre boite de thon sans culpabilité. Il existe des marques plus vertueuses ! Déjà bon élève en 2014,<strong> Système U </strong>a inscrit cette année dans sa politique d’approvisionnement que, d’ici à la fin <strong>2016</strong> , l’enseigne ne vendrait plus de<strong> thon tropical</strong> pêché avec des méthodes destructrices également pour les petits thons, les requins ou les tortues.</p><p><strong><img id="media-303162" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/00/3558695158.jpg" alt="surpêche,lutte,greenpeace,campagne,thon,classement,marque,enseigne" width="69" height="69" /><img id="media-303199" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/00/2587927648.jpg" alt="surpêche,lutte,greenpeace,campagne,thon,classement,marque,enseigne" width="66" height="66" />La marque Connétable</strong> a pris le même engagement. Une énorme avancée, selon Greenpeace, qui milite pour l'<strong>instauration de quotas sur la pêche au thon tropical,</strong> totalement dérégulée aujourd'hui. L'ONG y voit un moyen efficace pour faire pression sur les Etats, afin qu'ils prennent des mesures pour réduire ce type de pêche qui entretient une véritable<strong> zone de non-droit environnemental mais aussi social. </strong>Quant à <strong>Phare d’Eckmühl,</strong> sans surprise, la marque bio conserve en 2015 sa place de deuxième leader de la durabilité obtenue en 2014, juste derrière Système U.</p><p><strong>En progrès</strong></p><p>Enfin, il y a les marques pleines de bonne volonté, mais qui n'ont pas encore fait leur aggiornamento, comme <strong>Carrefour, </strong>qui a engagé des démarches concrètes pour être capable de garantir prochainement du thon pêché sans DCP aux consommateurs.</p><p><strong>Il y a encore du boulot...</strong></p><p>Greenpeace veut permettre aux consommateurs de privilégier le thon le plus durable lors de leurs achats en grande surface, inciter les industriels de la pêche et les grandes enseignes qui vendent leurs produits à changer leurs techniques de pêche, le tout pour protéger l'avenir de l'océan et de la planète. Avec l'espoir de réussir ? "Le marché français est en progrès, note l'ONG, mais il est encore loin de pouvoir rejoindre les <strong>marchés australiens ou britanniques</strong>, dont les standards de durabilité sont les plus élevés".</p><p><strong>Pas plus cher</strong></p><p>Vous l'avez compris, il ne s'agit pas de ne plus manger de thon, quoique... Diminuer la consommation du thon ne peut que contribuer à préserver sa population. Quant à l'idée reçue selon laquelle, parce que c'est durable, c'est plus cher, oubliez-la :<strong> en septembre 2015, le thon entier albacore au naturel pêché à la canne de la marque Super U est moins cher que le thon entier albacore au naturel de Petit Navire ou Saupiquet </strong> (9,84 euros/kg contre respectivement 11,93 euros/kg et 13,82 euros/kg).</p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p><strong>#maplanète </strong></p><p><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><span style="color: #000000;"><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></span></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>PLUS D'INFO</strong></p><ul><li><strong>Pour consulter l’ensemble des résultats de l'étude de Greenpeace sur le classement des marques françaises de thon en boîte : <a href="http://www.greenpeace.org/france/Global/france/documents/classement_thon-en-boite_Greenpeace_2015.pdf" target="_blank">cliquer ICI</a></strong></li></ul><p><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><span style="color: #000000;"><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></span></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>EN CHIFFRES</strong></p><ul><li><strong>9 Français sur 10</strong> ont une <strong>boîte de thon</strong> dans leur placard. Chaque année, les habitants l'Hexagone en achète <strong>421 millions</strong>. Selon France Agrimer, l’année dernière, <strong>86,7%</strong> des ménages français ont acheté du thon en conserve pour un total de<strong> 71.435 tonnes.</strong> En France, le marché du thon en boite représentait<strong> 561,6 millions d’euros en 2014</strong> et <strong>53%</strong> des achats de conserves de poissons et crustacés.</li></ul><p><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><span style="color: #000000;"><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></span></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>LIRE AUSSI </strong></p><ul><li><strong>Les articles de Ma Planète sur la surpêche: <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/surpeche" target="_blank">cliquer ICI</a></strong></li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-303165" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/02/4202452821.jpg" alt="surpêche,lutte,greenpeace,campagne,thon,classement,marque,enseigne" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><em>Pour la deuxième année, Greenpeace décerne un cart</em><em>on rouge aux boites de thon Petit Navire.</em><em> Photo Greenpeace</em></span></p><p>S'il est une chose que l'on ne peut pas reprocher à <strong>Greenpeace,</strong> c'est de ne pas avoir de suite dans les idées. Un an après le lancement de sa <strong><a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2014/09/25/que-se-cache-t-il-dans-votre-boite-de-thon-reponse-avec-gree-1026989.html" target="_blank">campagne sur les dérives de la pêche thonière industrielle</a>,</strong> très destructrice pour les populations de poissons et la grave menace qu’elle représente pour la survie des océans et celles des hommes qu'ils nourrissent, l'ONG a publié ce mardi la <a href="http://www.greenpeace.org/france/Global/france/documents/classement_thon-en-boite_Greenpeace_2015.pdf" target="_blank"><strong>seconde édition de son classement des marques de thon en boîte. </strong></a></p><p>Un palmarès qui a son importance, vu le <strong>contexte :</strong> une <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2015/09/17/il-y-a-deux-fois-moins-de-poissons-dans-les-oceans-qu-en-197-1041274.html" target="_blank"><strong>récente étude publiée par le WWF</strong></a> montre que <strong>les trois-quarts des thons, maquereaux et bonites ont disparu depuis 1970</strong> des fonds de nos océans... En cause, la pollution, le réchauffement climatique, mais aussi la <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2012/09/05/fil-vert-la-fin-de.html" target="_blank"><strong>surpêche</strong> </a>qui fait des ravages et empêche les stocks halieutiques de se reconstituer. La plupart des thons que l’on retrouve dans les conserves en France sont encore pêchés avec des méthodes trop intensives qui entraînent la prise de thons juvéniles ainsi que d’espèces menacées, en particulier les requins.</p><p><strong>Alors, quelles marques de thon en boite ont fait des progrès depuis 2014 ? Qui dégringole dans le classement ?</strong> <strong><br /></strong></p>
Pierre Chanuthttp://pierre-chanut-nomsdemarque.blogspirit.com/about.htmlEnseigne d'un café chic à Athènestag:pierre-chanut-nomsdemarque.blogspirit.com,2012-04-19:28924542012-04-19T11:30:00+02:002012-04-19T11:30:00+02:00 Chikos, non?
<p style="text-align: center;"><a href="http://pierre-chanut-nomsdemarque.blogspirit.com/media/01/02/2540274505.JPG" target="_blank"><img id="media-687644" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://pierre-chanut-nomsdemarque.blogspirit.com/media/01/02/4235095237.JPG" alt="zonar,enseigne,nom de famille,créateur de nom,nymeo,chanut" /></a></p><p style="text-align: center;">Chikos, non?</p>
Action Barbèshttp://actionbarbes.blogspirit.com/about.html75 boulevard de Magenta : une action rapide des services de la DUtag:actionbarbes.blogspirit.com,2011-04-16:23063232011-04-16T07:00:00+02:002011-04-16T07:00:00+02:00 Le 8 mars, journée des Droits de la femme, nous avions envoyé la photo de la...
<p class="Standard" style="text-align: justify;">Le 8 mars, journée des Droits de la femme, nous avions envoyé la photo de la devanture du 75 boulevard de Magenta <a title="Les élus du 10e" href="http://www.mairie10.paris.fr/mairie10/jsp/site/Portal.jsp?page_id=72" target="_blank">aux élues de l'arrondissement</a>. <em></em>Voir <a title="La mauvais goût s'affiche en façade" href="http://actionbarbes.blogspirit.com/archive/2011/03/10/le-mauvais-gout-en-facade.html" target="_blank">notre article du 10 mars</a>. <a title="Olga Trostiansky" href="http://www.paris.fr/pratique/Portal.lut?actordistrictnumber=&actorgender=&actorlastname=&actormandate=&actorpoliticalgroupid=&detailed_search=&document_id=&document_type_id=%3F&elected_official_directory_id=51351&page_id=98&portal_component=15" target="_blank">Olga Trostiansky</a>, <a title="Alexandra Cordebard" href="http://www.mairie10.paris.fr/mairie10/jsp/site/Portal.jsp?document_id=14333&portlet_id=626" target="_blank">Alexandra Cordebard</a>, <a title="Elise Fajgeles" href="http://www.mairie10.paris.fr/mairie10/jsp/site/Portal.jsp?document_id=14329&portlet_id=626" target="_blank">Elise Fajgeles</a> et <a title="Hélène Duverly" href="http://www.mairie10.paris.fr/mairie10/jsp/site/Portal.jsp?document_id=14340&portlet_id=1283" target="_blank">Hélène Duverly</a><span> </span>avaient répondu le jour même à notre appel et fait suivre aux services concernés : commerce et urbanisme.<img style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt;" src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/00/02/125108855.JPG" alt="125108855.JPG" width="260" height="166" /></p><p class="Standard"><img id="media-578678" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt;" title="" src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/01/00/4147846611.JPG" alt="paris, 10e, magenta, enseigne, DVD, image-sexiste," width="217" height="167" /></p><p class="Standard"> </p><p class="Standard"> </p><p class="Standard" style="text-align: justify;">Depuis lors, nous avons surveillé<span> </span>la façade de cet immeuble haussmannien, étonnés de l'indifférence de ses habitants.</p><p class="Standard" style="text-align: justify;">Un mois plus tard, la devanture a été quelque peu modifiée, preuve que lorsque les services veulent agir rapidement, c'est possible. Certes, on a hérité maintenant d'une « soubrette », pas mieux côté image de la femme. La photo est plus <img id="media-578681" style="float: right; margin: 0.2em 0pt 1.4em 0.7em;" title="" src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/02/01/3988625628.JPG" alt="paris, 10e, magenta, enseigne, DVD, image-sexiste," />discrète. Il y a encore bien des actions à mener pour faire évoluer les esprits...</p><p class="Standard" style="text-align: justify;">Appréciez au passage la modernité du balai en fibres de coco ! </p><p class="Standard" style="text-align: justify;"> </p><p class="Standard" style="text-align: justify;">DU = <a title="La Direction de l'Urbanisme" href="http://www.paris.fr/politiques/organigramme-des-directions-services/direction-de-l-urbanisme-du/p5382" target="_blank">Direction de l'Urbanisme</a></p>
Action Barbèshttp://actionbarbes.blogspirit.com/about.htmlOccupation de l'espace public : Magenta 118tag:actionbarbes.blogspirit.com,2011-02-25:22478392011-02-25T07:00:00+01:002011-02-25T07:00:00+01:00 Cette petite pizzeria consacre une grande partie de sa production...
<p style="text-align: center;"> </p><p><img id="media-564615" style="margin: 0.7em auto; display: block;" src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/01/01/3196367361.JPG" alt="paris, Magenta, pizzeria, emprise, occupation espace public, enseigne, banderole" /><br />Cette petite pizzeria consacre une grande partie de sa production à la livraison à domicile. Les nombreux scooters qui stationnent sur le trottoir entre la chaussée et la piste cyclable en témoignent. Gênent-ils sérieusement le cheminement des piétons ? On ne peut pas le dire. Ce commerce a-t-il une autorisation pour occuper cette bande d’espace public ? On ne peut pas le dire non plus. </p><p style="text-align: justify;">En revanche, la banderole racoleuse qui s’étend entre deux poteaux de mobilier urbain n’est pas du meilleur effet sur l’esthétique d’ensemble du boulevard. Chacun en conviendra. Nous serions surpris qu’elle bénéficie d’une autorisation. Alors ? Chacun fait-il sur le boulevard comme bon lui semble ? C’est un peu l’impression qu’on ressent.</p><p style="text-align: justify;">Il y a quelques semaines, nous avons demandé à l’élue du 10e chargée de l’espace public, Elise Fajgeles, de se renseigner auprès des services concernés. Dans un premier temps, elle nous a répondu qu’aucune autorisation n’était classée dans les dossiers de la mairie du 10e. On a en effet appris au fil des années que les mairies d’arrondissement étaient consultées et qu’elles donnaient leur accord ou non à toute demande d’étalage ou de terrasse de la part d’un commerçant. Ici, précisément, aucune autorisation n’a été donnée récemment par la mairie du 10e. Nous avons renouvelé notre question tout récemment sans succès. Nous savons par expérience que les <a title="Direction de l'urbanisme" href="http://www.paris.fr/portail/pratique/Portal.lut?page_id=1003" target="_blank">services de l’urbanisme</a> répondent souvent tardivement (voire pas du tout) . Une demande de stationnement pour une brasserie boulevard de Magenta (qui date de 2ans) n’a jamais été traitée (positivement ou négativement) alors même qu’elle nous semblait tout à fait justifiée. Des représentants de ces services avaient pourtant précisé lors d’un conseil de quartier rue de Belzunce qu’il était possible de les contacter. Lors des différents comités de pilotage à L’Hôtel de ville nous avons pu constater combien il est difficile d’obtenir des réponses précises. Nous avions par exemple suggéré la rédaction d’une plaquette d’informations simplifiées pour les commerçants contenant les règles essentielles d’occupation de l’espace public.</p><p style="text-align: justify;">Le prochain comité de pilotage Barbès fixé mi mars nous permettra d’en reparler. Pour trouver des circonstances atténuantes à ces lacunes et ces dysfonctionnements, on peut imaginer que la refonte du règlement des étalages et terrasses a perturbé les activités…</p><p style="text-align: justify;">Il appartient sans doute aussi aux copropriétés riveraines de signaler les enseignes et les banderoles criardes qui enlaidissent l’environnement. Mais qui prend encore son stylo pour engager une telle démarche ?</p><p style="text-align: justify;"> </p>
alfaV12http://www.alfavendee.com/about.htmlAvis aux collectionneurs !!tag:www.alfavendee.com,2008-01-26:14689672008-01-26T12:55:00+01:002008-01-26T12:55:00+01:00Quand je pense qu'on en a jeté !!!!!!! Enseigne Alfa Romeo vue sur...
Quand je pense qu'on en a jeté !!!!!!! Enseigne Alfa Romeo vue sur <a href="http://www.aubreysantiques.com/gasoiladvertising.htm" target="_blank">http://www.aubreysantiques.com/gasoiladvertising.htm</a> au prix de $2495.00 !!!!!!!!!" ALFA-ROMEO MILANO DEALERSHIP SIGN. Excellent condition. 2 sided plastic. Embossed lettering and logo. c1950's. Measures 60" in diameter." <div style="text-align: center"><a href="http://www.alfavendee.com/media/01/02/a2299d21eed1c0a06aafad772f86dfbc.jpg" target="_blank"><img src="http://www.alfavendee.com/media/01/02/a2299d21eed1c0a06aafad772f86dfbc.jpg" id="media-121657" title="" alt="a2299d21eed1c0a06aafad772f86dfbc.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></a></div><div style="text-align: center"><a href="http://www.alfavendee.com/media/00/01/170a412ae051bfc366b3a899c09677c2.jpg" target="_blank"><img src="http://www.alfavendee.com/media/00/01/170a412ae051bfc366b3a899c09677c2.jpg" id="media-121656" title="" alt="170a412ae051bfc366b3a899c09677c2.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></a></div>
Pierre Chanuthttp://pierre-chanut-nomsdemarque.blogspirit.com/about.htmlQui a bu boira!tag:pierre-chanut-nomsdemarque.blogspirit.com,2007-05-20:12818362007-05-20T09:30:00+02:002007-05-20T09:30:00+02:00Merci à Didier pour l'envoi de cette photo prise récemment à Koper / Capo...
Merci à Didier pour l'envoi de cette photo prise récemment à Koper / Capo d'Istria en Slovénie : <img src="http://pierre-chanut-nomsdemarque.blogspirit.com/images/thumb_tabuslo30.3.jpg" alt="medium_tabuslo30.3.jpg" style="border-width: 0; float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" />un bar où "t'as bu" avant même d'entrer et dont l'enseigne "TABU" s'adresse plus particulièrement (mais non volontairement) aux visiteurs francophones sans tabou.
Pierre Chanuthttp://pierre-chanut-nomsdemarque.blogspirit.com/about.htmlSi si c'est Zizzitag:pierre-chanut-nomsdemarque.blogspirit.com,2006-09-11:9867662006-09-11T11:10:00+02:002006-09-11T11:10:00+02:00Voici le site d'une chaine de restaurants de cuisine italienne. ZIZZI Une...
Voici le site d'une chaine de restaurants de cuisine italienne.<a href="http://www.zizzi.co.uk/" target="_blank">ZIZZI</a>Une dizaine d'enseignes ZIZZI sont présentes au Royaume-Uni.<img src="http://pierre-chanut-nomsdemarque.blogspirit.com/images/thumb_Zizzi_exeter.gif" alt="medium_Zizzi_exeter.gif" style="border-width: 0; float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" />Merci à Susanne pour cette info. Si vous aussi vous avez rencontré un produit ou une entreprise "mal nommé" n'hésitez pas à m'en faire part.