Last posts on dargaud2024-03-29T16:06:19+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/dargaud/atom.xmlBredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlComme le tampax, le temps passe ...tag:bar-zing.blogspirit.com,2019-08-28:31411082019-08-28T15:21:27+02:002019-08-28T15:21:27+02:00 ASTÉRIX âgé de soixante ans
<h5 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 24pt;"><strong>ASTÉRIX</strong></span></h5><h5 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>âgé de soixante ans</strong></span></h5><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/3503656280.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1073498" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/3576203144.jpg" alt="Astérix-a 60-ans.jpg" width="377" height="402" /></a></p>
CEDRIC SEGAPELLIhttp://www.monromannoiretbienserre.com/about.htmlCycle grands détectives de la BD : 3. Larcenet - Claudel : Le Rapport de Brodeck.tag:www.monromannoiretbienserre.com,2016-07-04:32948312016-07-04T02:05:00+02:002016-07-04T02:05:00+02:00 Il ne s’agit pas de savoir si le Rapport de Brodeck est un roman noir,...
<p><img id="media-212628" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://www.monromannoiretbienserre.com/media/01/00/2993067474.png" alt="Capture d’écran 2016-07-04 à 02.02.57.png" /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Il ne s’agit pas de savoir si le <em>Rapport de Brodeck</em> est un roman noir, ou si le personnage éponyme du roman est un enquêteur digne d’intégrer le cycle des grands détectives de la BD. Mais tous les prétextes sont bons, y compris les raccourcis les plus audacieux, pour évoquer une magistrale BD de Manu Larcenet dont le scénario est une adaptation du roman de Philippe Claudel évoquant cette période obscure autour d’une guerre qui n’a désormais plus de nom.</span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><em>Que s’est-il passé dans cette auberge de ce petit village isolé dans la montagne ? L’Anderer, comme le nommait les habitants, n’est plus. Une nuit de fracas, de fureur pour accomplir L’Ereigniës (l’exécution collective). Puis toutes traces de son passage ont désormais été effacées. Il ne reste plus qu’un souvenir tenu que Brodeck va devoir consigner dans un rapport relatant les événements. Il n’a pas d’autre choix, lui le paria tout juste toléré, que de faire ce que les villageois lui demandent, s’il ne veut pas disparaître à son tour. De plus, il est le seul à savoir manier les mots. </em><em>Alors Brodeck écrit la venue des soldats, son retour des camps, sa femme enfermée dans le silence d’une folie quotidienne et surtout la venue de L’Anderer qui perturbe cette logique de l’oubli auxquels tous les habitants aspirent. Il raconte la lâcheté, la compromission, la collaboration. Consigner l’indicible horreur afin de pouvoir l’oublier à tout jamais. </em><em>Alors Brodeck écrit surtout la peur.</em></span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">On est tout d’abord saisi par la beauté des deux objets composant l’ensemble de l’adaptation du roman de Philippe Claudel. Un fourreau cartonné, composé d’un assemblage de quelques cases tirées de la bande dessinée, protège un album relié au format italien qui n’est pas sans rappeler un de ces carnets d’antan sur lequel on rédigeait notes et récits.</span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><img id="media-212629" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://www.monromannoiretbienserre.com/media/00/01/4025821527.png" alt="Capture d’écran 2016-07-04 à 02.03.42.png" />Après la quadrilogie crépusculaire de <span style="text-decoration: underline;"><em><a style="text-decoration: underline;" href="http://www.monromannoiretbienserre.com/archive/2013/06/25/manu-larcenet-blast-le-souffle-de-la-verite.html">Blast</a></em></span>, Manu Larcenet décline une fresque obscure et poétique au service de ce terrible conte de Philippe Claudel. La force évocatrice du dessin de Manu Larcenet permet de composer des séries de planches dépourvues du moindre texte. Une puissance tragique que l’on décèle dans ces paysages ravagés par les tempêtes, le froid et la peur ou dans l’obscurité de ces intérieurs dans lesquels les protagonistes confient leurs terribles manquements. Puis c’est à nouveau cette faune silencieuse et ces paysages figés par le gel qui deviennent les témoins muets de ces exactions que les hommes veulent oublier. Le trait est posé, précis presque sage, lorsque tout d’un coup, une explosion d’images aussi muettes que cauchemardesques évoquant l’atrocité des camps ou l’occupation du village par des soldats aux facies bestiaux, mettent en abîme la fragile humanité des protagonistes dans un contexte devenu intemporel. Car peu importe l’époque, seules persistent les dynamiques sordides et abjectes des relations entre victimes et oppresseurs, décortiquées jusqu’à l’os dans le silence d’illustrations singulières et oppressantes.</span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Mais on ne saurait faire abstraction du texte mettant en perspective la déliquescence des trois institutions composant un village. Il y a ce curé qui a cessé de croire en dieu, cet instituteur couard, broyé par le remord et ce maire infâme qui n’aspire qu’à l’oubli. Des confidences froides et sincères mises en scène dans de terrifiants cadres clairs obscurs où la lumière semble quasiment absente hormis la faible lueur d’une bougie ou d’un foyer achevant de se consumer. Dans des confrontations parfois tendues Brodeck consigne ainsi la culpabilité de ces villageois sacrifiant sur l’autel de l’oubli cet Anderer venu raviver les remords enfouis aux tréfonds des âmes. Un personnage étrange qui suscite l’inquiétude et la méfiance au sein d’une communauté repliée sur elle-même peinant à accepter la différence qu’il distille par le biais de l’art et de la connaissance comme pour défier cet éternel obscurantisme. Comme pour éclairer ce sombre récit, on perçoit sur deux planches somptueuses, toute l’ouverture d’esprit d’un personnage atypique, ouvert au monde, qui parvient à sonder l’âme et l’esprit des personnes qui l’entoure.</span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">L’intensité sombre d’un roman transcendé dans l’indicible beauté de planches en noir et blanc, Manu Larcenet transpose ainsi avec <em>Le Rapport de Brodeck </em> toute la noirceur de l’âme humaine dans une incandescente et intense œuvre graphique bouleversante.</span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><strong>Manu Larcenet /Philippe Claudel : Le Rapport de Brodeck. Tome 1 : L’Autre. Editions Dargaud 2015. Le Rapport de Brodeck. Tome 2 : L’Indicible. Editions Dargaud 2016.</strong></span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><strong>A lire en écoutant : Piano Quartet N° 1 in G Minor, Op. 25 I Allegro. Johannes Brahms interprété par The Villiers Quartet Piano. Etcetera 1989.</strong></span></p>
CEDRIC SEGAPELLIhttp://www.monromannoiretbienserre.com/about.htmlNURY/BRÜNO : ANGOLA. DANS LA CAGE A SUEE.tag:www.monromannoiretbienserre.com,2015-09-14:32948012015-09-14T23:08:00+02:002015-09-14T23:08:00+02:00 Angola c’est un nom aux consonances inquiétantes qui désigne la prison...
<p><em><img id="media-199708" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://www.monromannoiretbienserre.com/media/01/00/861312789.png" alt="Capture d’écran 2015-09-14 à 23.04.28.png" /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Angola</span></em><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"> c’est un nom aux consonances inquiétantes qui désigne la prison d’état de la Louisiane et qui demeure l’un des établissements les plus emblématiques de l’univers carcéral tout comme les sinistres pénitenciers d’Alcatraz ou de Sing Sing. Ancienne plantation de canne à sucre, située au bord du Mississipi elle est rapidement devenue une ferme pénitentiaire qui continue aujourd’hui encore à accueillir des prisonniers condamnés aux travaux forcés. C’est dans ce cadre hors du commun que l’on retrouve Tyler Cross personnage désormais culte du 9<sup>ème</sup> art qui s’impose avec deux albums seulement, comme l’une des nouvelles grandes séries de la bande dessinée.</span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><em>C’est à l’isolement, plus communément appelé cage à suée, que Tyler Cross prend la peine de revenir sur le braquage foireux qui l’a conduit à purger une peine de 20 ans à la ferme pénitentiaire d’Angola. Il a eu plus de chance que son complice Neville descendu par les flics. Mais c’est à la belle et sulfureuse Iris qu’il pense alors qu’elle s’est enfuie sans l’attendre avec le butin qu’elle doit remettre au bijoutier aussi foireux qu’endetté qui a organisé le braquage. S’échapper d’une prison où toutes les tentatives d’évasions ont échouées c’est aussi à cela que songe Tyler Cross afin de récupérer le butin. Mais avant toute chose il devra s’employer à déjouer les combines du gros Carmine, mafieux obèse qui a mis un contrat sur sa tête. Angola c’est loin d’être un camps de vacances et Tyler Cross n’a pas l’intention de s’y attarder plus que de raison.</em></span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Dans ce second opus des aventures de Tyler Cross, Nury et Brüno puisent, avec une véritable jubilation, dans le vivier de références lié au monde pénitentiaire. <em>Luke la Main Froide,</em> <em>Brubacker </em>et <em>Les Evadés</em>, ce sont quelques un des films auxquels on pense lorsque l’on s’immerge dans ce magnifique second album qui rend également un hommage appuyé à l’univers de James Lee Burke. Le scénario est solide et n’évite aucun cliché, bien au contraire. C’est ce qui fait le charme de cette bande dessinée où l’on retrouve avec un certain plaisir tous les archétypes des intrigues carcérales à l’exemple du gardien chef sadique et de sa femme frivole, des rivalités sanglantes entre détenus, des sévices infligés aux détenus et bien évidemment de l’évasion dans les bayous qui reste l’un des plus beaux passages au niveau graphique. Il faut avouer que l’on est complètement séduit par le dessin de Brüno et le découpage de scènes extrêmement bien élaborées qui mettent en exergue des actions saisissantes. Le succès de la série réside dans cette alliance du trait « naïf » de Brüno conjuguée à la violence crue de l’histoire élaborée par Nury avec une mise en couleur tout simplement somptueuse.</span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Avec <em>Angola</em>, c’est également de manière très subtile que Nury met en lumière tout le système de « management » d’une prison avec une déclinaison comptable qui fait froid dans le dos. On découvre ainsi tout un système d’exploitation des prisonniers, de corruptions et de détournements en tout genre au profit de la mafia locale de la Nouvelle-Orléans.</span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">En deux épisodes Tyler Cross, personnage amoral par excellence, devient l’une des séries les plus emblématiques de la BD faisant honneur à l’univers du polar et du roman noir. </span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><strong>Tyler Cross – Angola. Dessin Brüno /Scénario Fabien Nury / Couleurs Laurence Croix. Editions Dargaud 2015.</strong><strong> </strong></span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><strong>A lire en écoutant : Cross Road Blues de Robert Johnson. Album : Robert Johnson The Complete Recordings. Sony Music Entertainment 1990.</strong></span></p>
CEDRIC SEGAPELLIhttp://www.monromannoiretbienserre.com/about.htmlManu Larcenet : Blast, le souffle de la vérité.tag:www.monromannoiretbienserre.com,2013-06-25:32947222013-06-25T23:06:00+02:002013-06-25T23:06:00+02:00 « La vérité c’est plus facile à dire qu’à entendre. »...
<p><span style="color: #999999; font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><em><img id="media-261387" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://www.monromannoiretbienserre.com/media/02/01/3375541443.png" alt="blast,larcenet,grasse carcasse,dargaud,évangile selon saint jacky,tête la première" /></em></span><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><em>« La vérité c’est plus facile à dire qu’à entendre. »</em></span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><em>Polza Mancini</em></span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Dans le milieu de la BD, Manu Larcenet n’est de loin pas un inconnu que l’on peut d’ailleurs considérer comme l’un des principal auteurs francophones qui a obtenu, entre autre, le prix du meilleur album du Festival d’Angoulème. C’était en 2004, l’année où Zep recevait le Grand Prix de ce même festival.</span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><em>Conte de la Vie Ordinaire</em> et <em>Retour à la Terre</em> sont les deux séries phares de l’auteur qui l’on fait connaître du grand public. Deux histoires d’une vie quotidienne, presque banal qui oscillent pourtant entre rire et émotion. Mais le choc visuel et scénaristique débarque en 2009 avec le premier opus de la série <em>Blast</em>, <em>Grasse Carcasse</em>. De la beauté et du silence, c’est ce que l’on découvre tout au long des 200 pages de ce que l’on peut considérer comme le « Garde à Vue » de la BD. Mais point de notaire bourgeois ou de flic bourru, nous sommes bien loin de la célèbre confrontation entre Lino Ventura et Michel Serraut. Place désormais à Polza Mancini, ancien critique gastronomique qui a tourné le dos au monde après avoir vécu son premier blast lors de la mort de son père. En quête de cette explosion psychique qui a sécoué tous ses sens, Polza livre sa vie d’errance, d’alcool et de déliquescence mentale aux deux flics anonymes qui l’interroge lors de sa garde à vue après qu’il ait sauvagement agressé Carole Oudinot. Bien plus qu’un interrogatoire, Polza homme aussi obèse qu’intelligent mêne le bal en distillant avec une lenteur précise le fil de sa sombre existence.</span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Un récit en noir et blanc, ponctué de longue plage de silence où le dessin seul révèle l’indicible et l’horreur d’une existence empreinte de folie et de liberté qui se paie parfois au prix fort. On y découvre une déclinaison de personnages aux traits caricaturaux qui renforcent la noirceur d’une histoire où l’ordinaire côtoie l’onirique. En marge d’une société labelisée, Polza promène sa masse dans les campagnes pour s’ancrer dans un monde marginal aussi généreux que cruel, aussi lucide que déphasé. Le luxe de cette histoire réside dans le fait que l’auteur prend le temps de placer l’action au fil des cases qui se déclinent comme des tableaux.</span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Il faut se frotter au récit de Polza Mancini, dont la subjectivité est sujette à caution, pour pénétrer dans l’humanité foudroyante d’un homme qui cherche au travers de sa propre destruction le chemin dont personne ne connaît la destination finale. Dans le dessin on ressent la douleur de l’auteur pour accoucher d’une histoire qui prend toute sa force et son amplitude dans les phases de transe d’un personnage qui va au bout de lui-même et peut-être même un petit peu au-delà. Qui osera suivre la folle errance de Polza Mancini !?</span></p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Avec Blast vous retrouverez les belles sensations de quelques BD fabuleuses comme <em>Silence</em> de Comès, <em>l’Espace Bleu entre les Nuages</em> de Cosey ou <em>L’homme qui Marche</em> de Taniguchi. Comme le roman noir ou le polar, la bd est encore bien trop souvent considérée comme un art mineur. Blast, comme beaucoup d’autres chefs-d’œuvre prouve le contraire. Il suffit de découvrir les trois tomes de cette magnifique série pour s’en convaincre.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><strong>Manu Larcenet : Blast – Tome 1 Grasse Carcasse. Blast – Tome 2 L’apocalypse selon Saint Jacky – Blast Tome 3 La Tête la Première. Editions Dargaud.</strong></span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;"><strong>A lire en écoutant : Noir Désir : Tostaki. Dies Irae (live). Barclay 1994</strong></span></p>
Action Barbèshttp://actionbarbes.blogspirit.com/about.htmlMon voisin est écrivaintag:actionbarbes.blogspirit.com,2012-09-29:29265602012-09-29T07:00:00+02:002012-09-29T07:00:00+02:00 « Mon voisin est écrivain » Le salon des auteurs du 10e arrondissement...
<p>« Mon voisin est écrivain »</p><p><img style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://www.dargaud.com/images/actualites/1021/salon-mon-voisin-est-ecrivain-avec-b-gatignol-v-l211-h301-rm.jpg" alt="salon-mon-voisin-est-ecrivain-avec-b-gatignol-v-l211-h301-rm.jpg" />Le salon des auteurs du 10e arrondissement</p><p>Samedi 29 septembre de 10h à 20h au Pari's des Faubourgs, 12 rue Léon Schwarzenberg</p><p>Organisé par l’association l’Ile Lettrée, le salon des auteurs du 10e réunira sur une journée des auteurs jeunesses, des romanciers, des illustrateurs, des essayistes et bien d’autres.</p><p>Ce projet mettra en valeur les œuvres de ces auteurs tout autant que leur quartier.</p><p>Développée en partenariat avec la Librairie l’Ouvre-Boite, la Litote en tête et Aux Livres, etc., des dédicaces, lectures, débats, projections ponctueront cette journée. Celle-ci se terminera en musique lors d’un concert qui accompagnera le pot de clôture.</p><p>Avec la présence de : Thérèse Bisch, Marc-Antoine Boidin, Thierry Cazals, Hubert De Maximy, Marie Desplechin, Jean-philippe Domecq, Jeremy Dres, Fabien Fernandez, Nanon Gardin, Bertrand Gatignol (affiche ci-contre, chez Dargaud), Anne Gorouben, Thierry Illouz, Philippe Jaenada, Hugues Jallon, Edwige Lassus, David Lelait-Helo, Daniel Maximin, Maya Mihindou, Gep, Claire Ubac, Fabrice Virgili, Marc Volfinger, Catherine Zambon.</p>
alfaV12http://www.alfavendee.com/about.htmlPhilip, Francis et Alfa Romeotag:www.alfavendee.com,2007-02-12:11864182007-02-12T12:20:00+01:002007-02-12T12:20:00+01:00" Menaces sur l'empire " C'est le titre d'une des aventures de "Philip et...
" Menaces sur l'empire " C'est le titre d'une des aventures de<strong> "Philip et Francis"</strong> (Les), t.1, une bande dessinée parue en 2005 dont le scénario est de<strong> P. Veys</strong>, le dessin de N. Barral, la couleur de P. de la Fuente et l'éditeur<a href="http://www.dargaud.com/front/home/default.aspx" target="_blank">Dargaud</a> ! <div style="text-align: center"><a href="http://www.alfavendee.com/images/medium_163_philip_francis.jpg" target="_blank"><img src="http://www.alfavendee.com/images/thumb_163_philip_francis.jpg" alt="medium_163_philip_francis.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></a></div>" L’heure est grave au sein de l’empire britannique : les femmes se rebellent contre le joug de la domination masculine. <strong>Une parodie hilarante de Blake et Mortimer</strong> qui fait mouche ! " Oui, car le scénariste Pierre Veys se complait dans un genre qui lui réussit : <strong>la parodie humoristique</strong>. Après Igor et les montres (parodie de Frankenstein), les Space mouties (avec des références du type les 7 mercenaires), Baker Street (parodie de Sherlock Holmes), c’est à deux autres sujets de Sa Majesté qu’il s’attaque aujourd’hui, de nouveau assisté au dessin par son fidèle Nicolas Barral. Vous l’aurez vite compris, les aventures de Philip et Francis sont une caricature bienvenue des aventures de Blake et Mortimer ... L'histoire est à lire à la page : <a href="http://www.planetebd.com/BD/fiche-1358.html" target="_blank">http://www.planetebd.com/BD/fiche-1358.html</a> mais les images on peut en trouver ici .. celles avec <strong>les Alfa Romeo</strong> !!! Une nouvelle trouvaille de Gianni .. et RDV demain, ce n'est pas fini !!!!!!<div style="text-align: center"><a href="http://www.alfavendee.com/images/medium_philip_et_francis_par_veys.jpg" target="_blank"><img src="http://www.alfavendee.com/images/thumb_philip_et_francis_par_veys.jpg" alt="medium_philip_et_francis_par_veys.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></a></div><div style="text-align: center"><a href="http://www.alfavendee.com/images/medium_philip_et_francis.JPG" target="_blank"><img src="http://www.alfavendee.com/images/medium_philip_et_francis.JPG" alt="medium_philip_et_francis.JPG" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></a></div>