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Belle histoire (31) : la Bacotte a la cote
tag:leshommeslibres.blogspirit.com,2023-12-07:3351762
2023-12-07T09:46:00+01:00
2023-12-07T09:46:00+01:00
Belle histoire (31) : la Bacotte a la cote. L’Agriculture Poétique,...
<p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><em>Belle histoire (31) : la Bacotte a la cote.</em></span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">L’Agriculture Poétique, vous connaissez? Clément Baillet, libre éleveur, vous en parlerait avec sa passion tranquille. Clément est fils de métayer. Il exploite une ferme d’élevage à Saint-Sever, sur l’Adour, aux premiers contreforts des Pyrénées.</span></p><p class="p2" style="text-align: justify;"> </p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><strong><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/00/886020722.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1369692" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/00/2361291307.jpg" alt="ferme,bacotte,saint-sever,chèvres,porc noir,bio,nature" /></a>Ethique</strong></span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Comment cet homme jeune est-il devenu ce paysan pas comme les autres? Cet homme qui parle à l’oreille des chèvres pyrénéennes?</span></p><p class="p3" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><span class="s1">« </span><span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #800000; text-decoration: underline;"><a style="color: #800000; text-decoration: underline;" href="https://magazine.laruchequiditoui.fr/la-ferme-bacotte-tout-un-poeme/">Tout commence il y a dix ans</a></span></span><span style="color: #333399;">. Ce fils et petit-fils de métayer arrive ici avec huit biquettes pour débroussailler un petit lopin de terre familial et y faire pousser son rêve : devenir chevrier et vivre d’une production fromagère exemplaire. <em>Le projet était un peu fou, 100 % autofinancé, 100 % plein air, et 100 % autonome,</em> confesse le presque trentenaire.</span> »</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Il s’installe. Pas seul: en plus des chèvres il élève un groupe de porcs noirs gascons et des oies de Toulouse. Les porcs gascons sont une espèce ancienne et solide. Ils vivent et mangent dans la nature, ne sont jamais malades et demandent peu d’entretien. Ce sont des choix réfléchis.</span></p><p class="p3" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><span class="s1">«<span style="color: #333399;"> </span></span><span style="color: #333399;">Si les pyrénéennes présentent une lactation modeste, ce qui peut représenter un handicap pour la rentabilité d’un atelier, c’est sans compter sur leur résistance, leur rusticité et la richesse de leur lait, qui donne un fromage à l’incroyable goût de terroir, s’enthousiasme Clément.</span> »</span></p><p class="p3" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Il est rapidement rejoint par son Frère Valentin et Marie, une amie. À trois il font vivre et croître cette exploitation qui mise tout sur les réseaux locaux et refusent ce qu’ils nomment la <em>sordide dérive productiviste</em>. C’est un choix éthique.</span></p><p class="p4" style="text-align: justify;"> </p><p class="p3" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><strong><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/02/502566897.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1369693" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/02/1050586683.jpg" alt="ferme,bacotte,saint-sever,chèvres,porc noir,bio,nature" /></a>Indépendance</strong></span></p><p class="p3" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Ils rendent même service à la commune:</span></p><p class="p3" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">« <span style="color: #333399;">Par tous les temps et en toute saison, le troupeau du trio sillonnera les routes du village afin de pâturer diverses variétés fourragères, pendant que les parcelles de l’exploitation s’octroieront un peu de répit. Exit le roto-fils et son bruit assourdissant, le cheptel de petits ruminants se charge désormais d’entretenir tout le paysage avoisinant. </span>»</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Clément Baillet ne se prévaut d’aucun label bio. Il veut rester libre et parler de production de qualité sans toujours mentionner <em>biologique</em>. Mais il a des critères: local, durable, nourriture naturelle, par exemple.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Il ne voulait pas de label, il a finit par créer le sien: L’Agriculture Poétique. Il a ensuite créé une association sous ce label, ce qui permet à d’autres producteurs de s’engager à ses côtés.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Clément Baillet et Marie Fischer<span class="Apple-converted-space"> </span>ont ouvert une boutique, l’Atout Fermier, achalandée comme une épicerie lambda avec les produits d’une soixantaine de cultivateurs et éleveuses sur une zone de 150 km autour de Saint-Sever. Et cela marche.</span></p><p class="p3" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><span class="s2"><a href="https://fermiers.terredeschevres.fr/BAILLET-Clement-et-FISCHER-Marie"><span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #800000; text-decoration: underline;">Sur cet autre site</span></span></a></span><span class="s1"> on découvre qu’ils se sont également investis dans la formation. Ils développent donc un concept assez global qui leur assure une indépendance tout en travaillant dans le respect de la nature.</span></span></p><p class="p2" style="text-align: justify;"> </p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><strong><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/4190016265.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1369694" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/267223832.jpg" alt="ferme,bacotte,saint-sever,chèvres,porc noir,bio,nature" /></a>Viable</strong></span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">L’histoire de l’entrepreneur autodidacte qui développe sa propre activité, la fait croître et prospérer, est iconique. Il paie de sa personne et ne cherche pas le gain à court terme. L’engagement personnel est la base de l’entrepreneuriat.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Cette intéressante démarche contient aussi d’autres aspects. Par exemple, créer une boutique pour inclure d’autres partenaires est un passage non obligé mais très utile. Les clients n’iront pas faire leur marché en achetant un produit par ferme. Ils y passeraient la journée et feraient beaucoup trop de kilomètres. Grouper et offrir un bouquet est une bonne pratique commerciale. Les supermarchés sont nés de constat.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">La spécificité est ici que les produits sont tous locaux. Ils répondent aux mêmes critères naturels de qualité et environnementaux. Leur publicité s’est faite de bouche à oreilles. Ils ne manquent pas d’humour, comme le montre leur slogan promotionnel sur l’affichette en image 3. La réussite dans la simplicité et l’humour, je trouve que c’est une belle histoire.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">J’ignore si cette agriculture peut remplacer l’agriculture intensive et nourrir la planète. Mais elle est viable, en particulier dans une région aux populations réputées gourmandes et attachées au terroir.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Sur cette vidéo de 10 minutes Clément et Marie parlent de leurs bêtes et de leur démarche.</span></p><p class="p1" style="text-align: justify;"> </p><p class="p1" style="text-align: justify;"><iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/x-B8qO2aAms?si=LGIUdieXHOEvV9LX" title="YouTube video player" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p class="p2" style="text-align: justify;"> </p><p class="p2" style="text-align: justify;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/3699003441.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1369698" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/67012491.jpg" alt="ferme,bacotte,saint-sever,chèvres,porc noir,bio,nature" width="565" height="320" /></a></p><p class="p2" style="text-align: justify;"> </p><p class="p2" style="text-align: justify;"> </p><p class="p2" style="text-align: justify;"> </p>
JPC
http://necronomie.blogspirit.com/about.html
Les petits hommes verts
tag:necronomie.blogspirit.com,2022-09-06:3273344
2022-09-06T20:37:00+02:00
2022-09-06T20:37:00+02:00
A l'heure où l'on se scandalise du rire de Mbappé et de son entraîneur...
<p align="LEFT"><strong><span style="color: #444444;"><span style="font-family: Times New Roman, serif;"><span style="font-size: large;">A l'heure où l'on se scandalise du rire de Mbappé et de son entraîneur et où l'on s'aperçoit que l'on a plus le droit de rire du réchauffement climatique, Nécronomie est parti à l'aventure de la bulle verte.</span></span></span></strong></p><p align="LEFT"><strong><span style="color: #444444;"><span style="font-family: Times New Roman, serif;"><span style="font-size: large;">Pour celui qui veut se marrer sans dépenser d'argent, il est conseillé d'entrer dans un magasin bio bulle verte. Jamais chancre n'a a connu prolifération aussi rapide. Cette pandémie fait l’unanimité. Pouvoirs publics,association,syndicat, corps médical et médias sont à l'unisson pour vanter les vertus.</span></span></span></strong></p><p align="LEFT"><strong><span style="color: #444444;"><span style="font-family: Times New Roman, serif;"><span style="font-size: large;">Derrière une vitrine discrète où la poussière est préservée des agressions de produits chimiques, la boutique bio est éclairée à minima économie d'énergie oblige. Les clients circulent sans mot dire. Ils ne se conduiraient pas autrement dans un lieu de culte. A examiner les prix, pas de doute, ont est entre gens de bonne compagnie. Les prix dissuadent les gueules cassés et les sans dents d'entrer ici où l'on consomme « intelligent ». L'assurance de ne pas avoir à côtoyer des pauvres encourage les bobos à dépenser sans compter. Le confort intellectuel est le meilleur vaccin contre la mauvaise conscience. Dans les rues où triomphe la fameuse abondance, on ne sourit pas. Sinon on a une mauvaise note sociale...</span></span></span></strong></p>
Pays basque à croquer
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Le bio et le local s'installent dans nos assiettes
tag:www.paysbasqueacroquer.fr,2020-06-22:3306008
2020-06-22T15:47:00+02:00
2020-06-22T15:47:00+02:00
Après les longues semaines de confinement de cette année 2020,...
<p> </p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: Arial; color: #000000; font-weight: 400;">Après les longues semaines de confinement de cette année 2020, liées à la pandémie de Covid-19, <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff; text-decoration: underline;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="https://www.sudouest.fr/2020/05/19/confinement-les-francais-ont-davantage-cuisine-mais-c-etait-moins-equilibre-7495951-4696.php" target="_blank" rel="noopener">beaucoup se sont pris au jeu de se mettre en cuisine</a></span></span> et surtout de choisir des produits locaux et de saison.</span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: Arial; color: #000000; font-weight: 400;">L'ouvrage "La cuisine des produits bio & de saison", paru en début d'année, <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff; text-decoration: underline;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://blogs.sudouest.fr/admin/posts/editions-sudouest.com/categorie/cuisine-vin/" target="_blank" rel="noopener">aux éditions Sud Ouest</a></span></span>, vient mettre en musique ces nouveaux réflexes grâce à une sélection de recettes concoctées par Delphine Paslin.</span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: Arial; color: #000000; font-weight: 400;">L'autrice et photographe culinaire rappelle dans son introduction que " fraicheur et qualité riment avec proximité". A quelques exceptions près, elle propose une trentaine de recettes facilement réalisables avec des produits régionaux, dont une grande partie provient du Sud-Ouest de la France. </span></p><p><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="font-family: Arial; color: #000000;">Produits du Pays basque</span></strong></span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: Arial; color: #000000; font-weight: 400;">Les grosses faims seront comblées par un burger chalossais ou un risotto aux encornets, épinards et champignons. Le merlu de ligne de Saint-Jean-de-Luz ou la truite des Pyrénées sont préparés pour un agréable "retour de pêche". Le maïs grand roux, cultivé au Pays basque, est à l'honneur dans les tapas de polenta et compotée de poivrons cornus. La tomme de brebis se marie, elle, dans de petits cakes aux poivrons et chorizo.</span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: Arial; color: #000000; font-weight: 400;">En dessert, on peut se laisser séduire par des pêches rôties au crumble amande-citron ou de petits coulants au chocolat et piment d'Espelette.</span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: Arial; color: #000000; font-weight: 400;">" Placer des produits bio et de saison au coeur de nos assiettes est bien plus qu'un simple choix nutritif. Il s'agit de soutenir et d'encourager ces agriculteurs, fermiers, éleveurs et producteurs soucieux de préserver ces terres qui nous nourrissent", écrit l'autrice. Mais il s'agit aussi de se faire plaisir et nous en avons tous bien besoin en ce moment.</span></p><p><span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" href="http://www.editions-sudouest.com/livres/cuisine-produits-bio-de-saison/" target="_blank" rel="noopener"><em><span style="font-size: 10pt; font-family: Arial; font-weight: 400;">"La cuisine des produits bio & de saison" de Delphine Paslin, éditions Sud Ouest, 9 euros</span></em></a></span></span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/media/01/02/550011138.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-377125" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/media/00/00/1144791920.jpg" alt="libre,bio,local,locavore,circuit court,sud-ouest" /></a></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: Arial; color: #000000; font-weight: 400;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Arial; color: #000000; font-weight: 400;">Les éditions Sud Ouest proposent un recueil de recettes simples et savoureuses : "La cuisine des produits bio & de saison" de Delphine Paslin</span></span></p>
maplanete
http://maplanetea.blogspirit.com/about.html
Pour l'agriculture française bio, c'est le grand boom ! Un succès qui ”oblige” la filière
tag:maplanetea.blogspirit.com,2019-06-06:3317352
2019-06-06T14:53:00+02:00
2019-06-06T14:53:00+02:00
Les bons chiffres de la bio Avec deux millions d'hectares cultivés en...
<p><strong>Les bons chiffres de la bio</strong></p><p>Avec <strong>deux millions d'hectares</strong> cultivés en bio en 2018 en France, il y a vraiment "un cap franchi" côté production, "en ligne avec l'objectif de parvenir à <strong>15% de la surface agricole en bio fin 2022",</strong> a déclaré mardi Florent Guhl, directeur de <a href="https://www.agencebio.org/decouvrir-le-bio/quest-ce-que-lagriculture-biologique/" target="_blank" rel="noopener"><strong>l'Agence Bio</strong></a>, organisme public qui suit l'évolution du bio en France.</p><p>Autre indicateur au beau fixe, le nombre d'agriculteurs qui travaillent désormais en bio. Ils pèsent pour<strong> 9,5 % du secteur</strong>, qui fournit aussi<strong> 14% de l'emploi agricole</strong>, indique l'Agence Bio dans son bilan annuel. Il est vrai que les cultures en bio, plus risquées avec leurs aléas, induit un surcroît de travail dans l'organisation des exploitations bios,<strong> 100.300</strong> aujourd'hui. Au total, le nombre d<strong>'équivalents temps plein</strong> employé dans le secteur bio s'élève à <strong>155.347.</strong></p><p>L'année dernière a également enregistré<strong> un taux record de conversions des agriculteurs en bio</strong> : le nombre d’exploitants qui ont décidé de jeter aux orties engrais de synthèse et produits sanitaires chimiques en 2018 a atteint un niveau historique, s’établissant à<strong> 6.200,</strong> portant leur nombre total à 41.623. La question des aides à la conversion demeure le principal souci.</p><p><strong>La Nouvelle-Aquitaine bonne élève du bio</strong></p><p>Quatrième pour le nombre d'entreprises de transformation et de distribution engagées en bio fin 2018, la région se hisse à la deuxième place au palmarès des régions qui compte le plus de producteurs engagés en bio, derrière l'Occitanie, bonne première, et devant Auvergne-Rhône-Alpes, qui la talonne.</p><p><strong>Quoi de neuf en 2018 ?</strong></p><p>Les nouveautés de 2018, "année record" pour le bio, portent surtout sur les<strong> grandes cultures</strong> (céréales, oléagineux, et légumes secs) très en retrait jusque là. Elles rattrapent leur retard, avec un bond de 31% de ces surfaces agricoles en bio par rapport à 2017, à 513.000 hectares, indique le bilan. </p><p><strong>"En 2013, seulement 1% des grandes cultures en France étaient bio, aujourd'hui nous sommes à 4,3%"</strong>, salue Florent Guhl. Une hausse permise notamment par l'augmentation importante des capacités de traitement et de stockage dédiées, l'ouverture de silos et de moulins dédiés aux blés bio, comme celui de la coopérative Valfrance près de Melun ou de Soufflet dans le département du Rhône.</p><p>Pour parvenir à<strong> 15% de la surface utile agricole en bio fin 2022,</strong> l'agence estime que 8% des grandes cultures devront être en bio. Dans le domaine des légumes secs, 40% le sont déjà. </p><p>En <strong>viticulture</strong> aussi, le bond est énorme : +20% sur un an. En 2018, le vignoble bio atteint 12% du secteur, soit 94.020 hectares. Pour encourager les vignerons à franchir le pas,<a href="https://viaoccitanie.tv/cab-un-nouveau-label-conversion-agriculture-biologique/" target="_blank" rel="noopener"> <strong>un label CAB (conversion agriculture biologique)</strong>,</a> une étiquette blanche sur fond bleu, a été créé. La palme revenant à l'arboriculture : les vergers dont les surfaces sont plantées en bio dépassent les 23,3 %. </p><p>En queue de pelotons, <strong>les élevages porcins (1,3%) et de poulets (1,6%)</strong>, en queue de peloton de la filière bio ont eux ont de sérieux progrès à faire.</p><p><strong>La bio doit gérer son succès</strong></p><p>Preuve de la bonne santé du secteur, plus la bio se développe et plus <strong>les attentes sociétales sur ce que </strong><strong>recouvre le label bio </strong><strong>grandissent, afin qu'il soit défini plus précisément, dans une approche </strong><strong>plus environnementale, sociale et éthique. </strong>La charte du bio n'autorise pas les pesticides chimiques, mais permet l'utilisation des additifs alimentaires, dont certains sont reconnus cancérogènes. Par ailleurs, l'huile de palme, une catastrophe pour la déforestation, est aussi acceptée. De nombreux produits alimentaires, pourtant labellisés bio, ont fait des milliers de kilomètres avant d'atterrir sur les rayons de nos supermarchés ou sur les étals de nos marchés. En France, des fruits et des légumes sont cultivés sous serres chauffées aux énergies fossiles pour puissions les consommer à contre-saison. Que penser aussi de ces centaines de milliers de travailleurs payés une misère autour de la planète pour les récoltes de l'agriculture bio ? Produire toujours plus de bio est indispensable. Mais pour fournir du bio pas cher à ses clients, la bio peut-elle également s'accommoder du système d'exploitation intensif de l'agriculture conventionnelle et de celui de la grande distribution, au risque d'en subir les dérives, pour garnir nos rayons et satisfaire l'appétit de plus en plus grand des consommateurs ? </p><p><strong>Plus de bio française de saison et de qualité</strong></p><p>Aujourd'hui,la<strong> filière bio s'industrialise et fait face à une crise de croissance</strong>. Comme tous les gagnants, elle doit aussi savoir gérer son succès. <strong>La confiance des consommateurs</strong> dans le label passe par une exigence totale, sur tous les critères de l'écologie. <strong><a href="https://www.change.org/p/didier-guillaume-pas-de-tomate-bio-en-hiver-non-aux-serres-chauff%C3%A9es?recruiter=952655030&utm_source=share_petition&utm_medium=copylink&utm_campaign=share_petition" target="_blank" rel="noopener">Le succès de la pétition (40.000 signatures le 6 juin)</a></strong> lancée récemment par la FNAB, Greenpeace, la Fondation Nicolas Hulot et le Réseau Action Climat, pour s'opposer à la labellisation de légumes bio cultivés sous des serres chauffées aux énergies fossiles, témoigne de cette exigence. Ce qui ne remet nullement en question la qualité du travail des dizaines de milliers d'agriculteurs qui nous nourrissent plus sainement, bien au contraire. Une charte du bio renouvelée devra permettre aussi de mieux les protéger en leur assurer des rémunérations correctes, à la hauteur de leur engagement. L'enjeu aujourd'hui, c'est bien d'avoir plus de bio française de saison et de qualité, et pas une bio française dégradée. </p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr" target="_blank" rel="noopener"><strong>Cathy Lafon </strong></a></p><p><strong>►A LIRE</strong></p><ul><li><a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2019/03/02/agriculture-bio-des-agriculteurs-attaquent-l-etat-1069564.html" target="_blank" rel="noopener"><strong>Tout n'est pas vert dans l'agriculture bio: des agriculteurs attaquent l'Etat pour non paiement des aides</strong></a></li></ul><p><strong>►LIRE AUSSI </strong></p><ul><li><strong>Les articles de Ma Planète sur le bio : <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/bio/" target="_blank" rel="noopener">cliquer ICI </a></strong></li></ul><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em><img id="media-365458" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/01/1182161203.jpg" alt="agriculture,bio,chiffres,agence bio,développement,nouvelle aquitaine" /></em></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em>La viticulture bio a progressé de 20% en un an. Ici, un vignoble bio à Sainte-Foy-la-Grande, en Gironde, le 21 septembre 2018. Photo AFP / GEORGES GOBET </em></span></p><p>Année après année,<strong> l'agriculture bio continue son essor.</strong> Et l'agriculture française poursuit sa grande bascule vers des méthodes plus respectueuses de l'environnement. Selon<strong><a href="https://www.agencebio.org/" target="_blank" rel="noopener"> les chiffres de l'Agence bio</a></strong>, <strong>2018 restera comme une année record pour la bio,</strong> avec une poussée de la demande des consommateurs et du nombre de producteurs.</p><p>L'activité couvre désormais <strong>7,5% de la surface agricole utile du pays</strong>, ce qui permet de contenir les importations de produits bio pour répondre à l'appétit grandissant des consommateurs. Quant au<strong> marché alimentaire du bio</strong>, il a atteint l'an dernier 9,7 milliards d'euros.<strong> En progression en 2018 de 15,7%</strong> par rapport à 2017, il continue de séduit de plus en plus les consommateurs et atteint désormais 9,7 milliards d'euros l'an dernier.</p>
maplanete
http://maplanetea.blogspirit.com/about.html
Pesticides : 44% des agriculteurs utilisent des méthodes alternatives de biocontrôle
tag:maplanetea.blogspirit.com,2019-02-05:3317240
2019-02-05T15:28:21+01:00
2019-02-05T15:28:21+01:00
Le biocontrôle, quèsaco ? Selon la définition du ministère de...
<p style="text-align: left;"> <strong>Le biocontrôle, quèsaco ?</strong></p><p>Selon la définition du<strong> <a href="https://agriculture.gouv.fr/quest-ce-que-le-biocontrole" target="_blank" rel="noopener noreferrer">ministère de l'Agriculture</a>,</strong> "le biocontrôle est<strong> un ensemble de méthodes de protection des végétaux basé sur l’utilisation de mécanismes naturels</strong>. Seules ou associées à d’autres moyens de protection des plantes, ces techniques sont fondées sur les mécanismes et interactions qui régissent les relations entre espèces dans le milieu naturel". <strong>Ainsi, le principe du biocontrôle repose sur la gestion des équilibres des populations d’agresseurs plutôt que sur leur éradication</strong>. </p><p><strong> 44% des agriculteurs interrogés utilisent le biocontrôle</strong></p><p>Alternatives ou complémentaires aux pesticides de synthèse, ces méthodes ont le vent en poupe et un vrai potentiel de développement. Elles ne représentent aujourd'hui que 5 % du marché de la protection des plantes en France. Pourtant, <strong>les agriculteurs seraient 44% à les utiliser,</strong> selon les résultats d’une vaste enquête réalisée par <strong>l'association des entreprises de produits de biocontrôle intervenant en France</strong>, IMBA France, révélés lors de son colloque annuel, le 29 janvier dernier. Ce, même si tous les utilisateurs ne les identifient pas immédiatement en tant que telles.</p><p><strong>Arboriculteurs et viticulteurs en tête </strong></p><p><strong>Le plus fort taux d’emploi se situe en arboriculture : 82 % des exploitants y ont recours, puis viennent les viticulteurs, avec 74 % d'utilisateurs, et enfin les maraîchers, 53 %.</strong></p><p><strong>Diminuer l'usage des pesticides, premier avantage cité</strong></p><p>Sans surprise, <strong>65 % des exploitants agricoles qui travaillent en bio</strong> jugent ces produits utiles, contre « seulement » 45 % en conventionnel. Les principaux qualificatifs qui ressortent pour les produits de biocontrôle sont :<strong> naturels, écologiques, efficaces, respectueux</strong>.<strong> Leur premier avantage reste la diminution des usages des pesticides, pour 65 % des interviewés</strong>, devant le respect de l’environnement et de la santé, et une meilleure image auprès des consommateurs.</p><p><strong>Le coût, premier frein </strong></p><p>L’enquête aborde aussi<strong> les obstacles et les freins à l’adoption de telles solutions, avec les pistes pour les contourner.</strong> Pour 44 % des agriculteurs interrogés, le coût est le premier frein. Puis viennent le défaut d’accompagnement (41 %), le manque d’efficacité (37 %), ou encore le manque de richesse de la gamme de produits, trop restreinte (27 %).</p><p><strong>Le biocontrôle a de beaux jours devant lui</strong></p><p><strong>Ce n'est pas parce qu'ils essaient le biocontrôle que les agriculteurs l'adoptent définitivement.</strong> 6 % des exploitants interrogés l'ont utilisé, avant d'arrêter. Les raisons de cet abandon sont diverses. Mais la moitié d’entre eux considèrent toutefois que ces solutions constituent toujours une option. Quant à ceux qui ne les utilisent pas, soient les 56 % du panel, <strong>deux tiers d'entre eux pensent les adopter dans les deux ou trois ans.</strong></p><p>Reste que 39 % de ces agriculteurs n’ont jamais eu de <strong>proposition sur un produit de biocontrôle par leur fournisseur</strong>… Une <strong>piste de progrès à creuser par les conseillers agricoles</strong>, d’autant que deux agriculteurs sur trois réclament de l’accompagnement, soulignent les résultats de cette enquête.</p><p><strong><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Cathy Lafon</a></strong></p><p><strong>PLUS D'INFO</strong></p><p><strong>►</strong>Les produits de biocontrôle sont définis à l'article L. 253-6 du code rural et de la pêche maritime comme des "<strong>agents et des produits utilisant des mécanismes naturels dans le cadre de la lutte intégrée contre les ennemis des cultures".</strong> Ils comprennent en particulier : les macro-organismes et les produits phytopharmaceutiques qui sont composés de <strong>micro-organismes</strong>, de <strong>médiateurs chimiques tels que les phéromones et les kairomones</strong>, ou de <strong>substances naturelles</strong> d’origine végétale, animale ou minérale. Les <strong>macro-organismes</strong> utiles aux végétaux sont essentiellement des<strong> invertébrés, notamment des acariens, insectes et nématodes,</strong> utilisés pour protéger les plantes des bio-agresseurs via la lutte biologique.</p><p>Les produits phytopharmaceutiques de biocontrôle sont des <strong>produits phytopharmaceutiques autorisés à l'issue d'une évaluation complète des risques pour la santé humaine, la santé animale et l'environnement</strong> et conforme aux exigences européennes. Leur spécificité est liée à leur caractère naturel ou leur mode d'action reposant sur des mécanismes naturels. Ils constituent des outils de prédilection pour la protection intégrée des cultures.</p><p><strong>►LIRE AUSSI</strong></p><ul><li><strong>Les articles de Ma Planète sur les pesticides : <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/pesticides" target="_blank" rel="noopener noreferrer">cliquer ICI</a></strong></li><li><strong>Les articles de Ma Planète sur le bio : <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/bio/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">cliquer ICI</a></strong></li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-361228" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/00/1254966011.jpg" alt="COCCINELLE.jpg" /></p><p class="wp-caption-text" style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em>Les coccinelles font partie des insectes utilisés dans les méthodes de biocontrôle. Photo CCO Pixabay </em></span></p><p>En finir avec les produits phytosanitaires chimiques dans l'agriculture et la viticulture c'est bien. Mais comment remplacer efficacement les pesticides, fongicides et autres herbicides ? Parmi les solutions à disposition des exploitants pour réguler naturellement la présence des ravageurs des cultures :<strong> le biocontrôle</strong>.</p>
maplanete
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Tribune libre. A propos de la Bio : ”Consomm’acteur ou Citoyen concerné ?”
tag:maplanetea.blogspirit.com,2018-11-03:3317153
2018-11-03T10:30:00+01:00
2018-11-03T10:30:00+01:00
A propos de la bio : "Consomm’acteur ou Citoyen concerné ?". Une tribune...
<h4>A propos de la bio : "Consomm’acteur ou Citoyen concerné ?". Une tribune libre de Thomas Reggazola.</h4><p>"Aussi éloigné d'improbables aspirations chimériques que de la croyance au pouvoir mythique du consomm'acteur individuel, cet article veut rappeler comment le modèle agricole productiviste a suscité des résistances, dès sa<br />mise en place. Et souligner combien il est important que des citoyens concernés exigent des élus locaux la mise en œuvre des outils disponibles pour favoriser <strong>les installations adaptées aux circuits courts et freiner</strong><br /><strong>l'agrandissements des fermes</strong> tout en s'engageant, à côté des paysans autonomes, dans la prolifération de dispositifs de commercialisation, contrôlés conjointement.</p><p><strong>Valoriser les énergie collectives disponibles</strong> et créer des faits accomplis, en transformant, concrètement, les segments de vie sociale qui sont à portée de main, paraît indispensable, si on veut que la satisfaction pour le développement rapide de la bio profite, de façon permanente, à l'agriculture paysanne, au lieu d'aboutir à un avantage pour la grande distribution..../..."</p><p><strong>Pour lire la suite :<a href="http://www.eco-bretons.info/plume-citoyenne-consommacteur-citoyen-concerne" target="_blank" rel="noopener noreferrer"> cliquer ICI</a></strong></p><p><strong>►A LIRE </strong></p><ul><li><strong>"Le Bio, au risque de se perdre", de Frédéric Denhez, Editions Buchet-Chastel, 12 euros, 128 p.<br /></strong><strong><br /></strong></li></ul><p><strong>►LIRE AUSSI </strong></p><ul><li><a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2018/02/27/en-plein-boom-le-bio-s-inquiete-du-marche-de-la-grande-distr-1063254.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><strong>La faim de loup de la grande distribution inquiète la bio, en pleine crise de croissanc</strong>e</a></li><li><strong>Les articles de Ma Planète sur le bio : <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/bio/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">cliquer ICI</a></strong></li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-357358" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/00/4164652745.2.jpg" alt="tomates bio afp.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em>Quant elles viennent d'Italie, les tomates bio vendues par la grande distribution sont-elles vraiment "bio"? Pour certains, il y a débat. Photo AFP</em></span></p><p>Pour <a href="https://www.persee.fr/authority/10261" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><strong>Thomas Regazzola</strong></a>, un sociologue italien free-lance qui réside en France, en Bretagne, au-delà du<strong> triomphe de la filière Bio</strong>, il faut se préoccuper de toute urgence de sa <strong>récupération par la grande distribution</strong>. Dans une tribune libre adressée à Ma Planète, ce spécialiste de la micro-industrie territorialisée et des systèmes de production-distribution alternatifs (ou autonomes) en Italie et en France veut lancer le débat.</p>
maplanete
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Tribune libre. Cantines 20% bio : les sénateurs rateront-ils encore la marche ?
tag:maplanetea.blogspirit.com,2018-06-22:3317058
2018-06-22T10:30:00+02:00
2018-06-22T10:30:00+02:00
Jeudi 14 juin, le groupe majoritaire des sénateurs LR a dépouillé la loi...
<p>Jeudi 14 juin, le groupe majoritaire des sénateurs LR a dépouillé<strong> la loi issue des États généraux de l'Alimentation </strong>de l'un de ses principaux arguments plaidant pour l'introduction de <strong>20% de bio dans les assiettes de la restauration collective</strong> d'ici à 2022. C'est le précieux <strong>article 11</strong> de la loi Agriculture Alimentation, que les députés venaient de valider comme un seul homme, le 30 mai dernier. Ce camouflet n'est ni plus ni moins qu'un remake de 2016, lorsque la députée Brigitte Allain avait proposé d'introduire par la loi le bio et le local à hauteur respective de 20 et 40%, dans un délai raisonnable. Une proposition alors votée à l'unanimité de l'Assemblée nationale, mais retoquée pareillement par des sénateurs rivés à des positions décidément aussi stables qu'inintelligibles.</p><p>Pourtant nous, Joël Labbé, sénateur du Morbihan et Gilles Pérole, élu local à Mouans-Sartoux (06), sommes<br />persuadés qu’on finira bien par faire bouger les lignes sur le bio et le local dans les cantines, loin des pétitions de<br />principe et des postures qui n'honorent ni leurs auteurs ni les représentants des causes qu'ils croient défendre,<br />parfois seuls contre tous...</p><p><strong>L’alimentation durable ne relève pas d'une lubie</strong>. Elle permet une vraie prise en compte des enjeux de santé et intègre l’évaluation des impacts de la production agricole sur l’environnement, la biodiversité et le réchauffement climatique. Il nous faut relever le défi de manger mieux en restauration collective, en suivant la<br />dynamique porteuse du secteur bio (plus de 10% de croissance depuis quinze ans), réputé par ailleurs bon<br />pourvoyeur d'emplois selon l'Agence bio. Et en suivant, aussi, les nouvelles recommandations nutritionnelles<br />officielles. N'est-ce pas le Programme national nutrition santé (PNNS) 2018-2022 qui fixe l’objectif d’« au moins 20% de consommations bio de fruits, légumes, produits céréaliers et légumineuses pour l’ensemble de la<br />population française » ?</p><p><strong>Le bio local : pas plus cher ni difficile à trouver</strong></p><p>20% de bio dans les assiettes des cantines, un objectif hors d'atteinte ? Bien sûr que non. Il suffit de battre en<br />brèche les deux idées reçues principales qui ont décidément la peau dure... jusqu'au palais du Luxembourg.</p><p><strong>-Le prix</strong>. Manger bio serait plus cher et porterait atteinte aux budgets des collectivités comme au porte-monnaie<br />des familles. C'est faux. En 2017, l'Observatoire national de la restauration collective bio et durable, créé par<br />l'association Un Plus Bio, a démontré que les collectivités locales engagées dans des menus composés pour 20%<br />de produits bio font face à un coût matière de 1,80 €. Oui, un repas à 20% bio servi à la cantine coûte moins de<br />deux euros hors taxe, lorsqu'un repas conventionnel est estimé entre 1,50 et 2,00 € (source Agores). Pour<br />maîtriser les coûts, il suffit de faire évoluer ses pratiques d’achats, réduire le gaspillage alimentaire et composer<br />de nouveaux menus...</p><p><strong>-La difficulté d’approvisionnement.</strong> C'est devenu une rengaine maniée avec un peu trop d’aisance par les<br />sénateurs, qui ne semblent pas s'intéresser aux changements en cours dans les filières agricoles. Manger bio se<br />ferait au détriment de manger local et ne servirait pas l'économie des territoires car il faudrait massivement<br />recourir aux importations. Mais personne ne s'enquiert des conditions de circulation des produits non bio<br />largement importés qui saturent les ports et les autoroutes du monde entier pour atterrir tranquillement dans les<br />assiettes des cantines !</p><p>Sur la base de<strong> l’exemple de la régie municipale agricole de Mouans-Sartoux</strong> qui fournit <strong>85% des légumes bio </strong>consommés par les 1 000 élèves à la cantine, on peut, par exemple, estimer à 100 000 hectares la surface agricole nécessaire pour fournir en légumes bio les <strong>trois milliards de repas</strong> servis hors domicile chaque année en France. Cela représente seulement...<strong> 0,35% des 28 millions d’hectares de surface agricole utile de notre pays</strong> ! Objectif certainement pas inatteignable…</p><p><strong>Enfin, l’argument du recours au bio via des pays lointains ne tient plus depuis quelques années.</strong> L'Agence bio vient de publier ses derniers chiffres. En 2016, 71% des produits bio consommés en général par les Français étaient « made in France ». Ce niveau corrobore directement les chiffres de l'Observatoire d'Un Plus Bio qui a mesuré que, en 2017, 58% des produits bio achetés en restauration collective étaient d'origine locale (définition Ecocert, périmètre ancienne région administrative).</p><p><strong>Manger bio et local n'est donc pas plus cher ni impossible.</strong> Et aux sénateurs qui redoutent que les producteurs locaux soient écartés du marché de la restauration collective en plein boom, rappelons que le projet de loi prévoit que<strong> les productions en conversion bio</strong> pourront être comptabilisés, dès la première année, dans les 20% de bio. C'est un signal fort envoyé à la profession, car il n'est évidemment pas question d'opposer les agriculteurs entre eux ni de laisser sur le bord du chemin les candidats au changement de pratiques.</p><p>Alors, sénatrices et sénateurs de tout le pays, unissez-vous le 27 juin prochain, jour de l'examen du texte, pour<br /><strong>soutenir enfin la réalité d’une alimentation bio à notre portée</strong> et rejoignez les nombreuses collectivités<br />territoriales qui ont un train d'avance !</p><p><strong><a href="http://www.joellabbe.fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Joël Labbé,</a> </strong>sénateur écologiste du Morbihan,<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2013/11/20/zero-pesticides-une-proposition-de-loi-pour-les-interdire-en-1012476.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><strong> initiateur de la loi « Zéro-phyto »</strong> </a>qui bannit depuis le 1er<br />janvier 2017 l'usage des produits phytosanitaires dans les espaces publics des collectivités locales et, à partir du<br />1er janvier 2019, dans les jardins de particuliers.</p><p><strong><a href="https://www.wedemain.fr/Des-cantines-100-bio-une-petite-ville-des-Alpes-Maritimes-l-a-fait-_a1760.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Gilles Pérole</a></strong>, adjoint au maire en charge de l'éducation à Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes),<strong> première</strong><br /><strong>commune de plus de 10 000 habitants passée au 100% bio dans ses cantines</strong>, sans surcoût pour la collectivité ni<br />les familles. Également président de l'association Un Plus Bio, premier réseau national des cantines bio.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-352922" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/02/1188092912.jpg" alt="cantine, bio, projet de loi" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em>90% des Français sont intéressés par le bio à la cantine. Photo archives AFP</em></span></p><p><strong>"Bio dans les cantines : les sénateurs rateront-ils encore la marche ?"</strong> Une tribune libre de <strong>Joël Labbé</strong>, sénateur écologiste du Morbihan et <strong>Gilles Pérole</strong>, adjoint au maire en charge de l'éducation à Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes).</p><p><strong>Le retrait par le Sénat de l</strong>'<strong>objectif de 20% de produits bio dans la restauration collective à l'horizon 2022 </strong>est un nouveau camouflet porté au sens de l'histoire. Pendant combien de temps encore une minorité<br />d’élus feront barrage aux attentes de la population de manger bio, local, sain et juste ? Décevante, leur attitude en commission sur l’étude de la loi Alimentation ! Pourquoi une poignée de sénateurs reste aussi hermétique aux évolutions de société et aux désirs des citoyens qui sont à<strong><a href="http://www.agencebio.org/" target="_blank" rel="noopener noreferrer"> 90% intéressés par le bio à la cantine (sondage Agence Bio) ?</a></strong></p>
mmecrochet
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DIY HALLOWEEN : rapide et efficace !
tag:mmecrochetlafemmeducapitaine.blogspirit.com,2017-10-17:3276269
2017-10-17T13:35:22+02:00
2017-10-17T13:35:22+02:00
On parle de dommages collatéraux, mais il y a aussi des avantages...
<p style="text-align: center;">On parle de dommages collatéraux,</p><p style="text-align: center;">mais il y a aussi des avantages collatéraux !!</p><p style="text-align: center;">Comme par exemple la culture bio,</p><p style="text-align: center;"><img id="media-500295" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://mmecrochetlafemmeducapitaine.blogspirit.com/media/00/01/3425161869.JPG" alt="halloween, carottes, bio, monstre, diy, facile, yeux, " /></p><p style="text-align: center;">qui vous fait une déco Halloween rapido presto !</p><p style="text-align: center;"> </p>
pjourdan
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[CONSO LAB] [MARCHÉ] | #Danone entre au #capital de #Yooji, pionnier de la #babyfood #bio surgelée | @LSA
tag:leconsobattant.blogspirit.com,2017-10-04:3097053
2017-10-04T10:00:00+02:00
2017-10-04T10:00:00+02:00
#Danone entre au #capital de #Yooji, pionnier de la #babyfood #bio...
<p><img src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/02/3999774852.png" id="media-973918" alt="" /></p><p align="center"><strong><u>#Danone entre au #capital de #Yooji, pionnier de la #babyfood #bio surgelée</u></strong></p><p><strong>DE VERONIQUE YVERNAULT | LSA | <a href="http://bit.ly/2g1lWd3">http://bit.ly/2g1lWd3</a></strong></p><p><strong>Après Michel & Augustin, c’est à un autre trublion de l’alimentation que s’intéresse Danone : le groupe, via sa structure Danone Manifesto Ventures, est entré au capital de Yooji, spécialiste aquitain de la nutrition infantile bio et surgelée.</strong></p><p><strong>La troisième fois est la bonne, dit-on. Cela semble le cas pour Yooji, qui, à l’occasion de sa troisième levée de fonds, voit entrer dans son capital un investisseur de poids : le groupe Danone, via sa structure d’investissement et d’incubation Danone Manifesto Ventures.</strong> "C’est une excellente nouvelle pour Yooji car l’entrée du groupe Danone dans notre capital va nous permettre d’accélérer le développement de notre entreprise, créée il y a quatre ans", commente Philippe Briffaut, cofondateur, directeur des ventes et du marketing de Yooji.</p><p><strong>Après Michel & Augustin, dont Danone Manifesto Ventures a pris 40% du capital mi-2016, Yooji est la deuxième entreprise française dans laquelle investit la structure new-yorkaise d’investissement du groupe Danone, qui a également investit dans Farmers Fridge et Accel Foods aux Etats Unis.</strong> Pour Yooji, l’arrivée de Danone est un atout non seulement pour accroître la diffusion de ses produits, aujourd’hui vendus dans quelques 600 points de vente en France, mais aussi pour développer de nouvelles synergies industrielles et stratégiques. "Danone n’est pas un investisseur financier comme les autres, c’est aussi l’un des principaux acteurs du marché de la nutrition infantile avec sa marque Blédina", rappelle Philippe Briffaut.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/02/3982182474.png" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-973917" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/02/618078513.png" alt="Danone, capital, Yooji, babyfood, bio" /></a></p><p><strong>Pas question pour autant de voir Yooji perdre son indépendance.</strong> "Nos équipes restent basées à Agen et à Bordeaux, précise ainsi son cofondateur. Mais nous pourrons nous enrichir des expériences de Danone Manifesto Ventures et de Blédina dont les produits sont très complémentaires aux nôtres." Un coup d’accélérateur de moyens et de savoir-faire pour Yooji qui redouble de projets : après avoir récemment lancé un nouveau concept d’aliments salés en bâtonnets surgelés, Yooji entend désormais se développer dans les aliments sucrés et la lyophilisation. Au total, ce nouveau tour de table a permis à Yooji de lever quelque 4 millions d’euros. Lors de cette nouvelle levée de fonds, Danone Manifesto Ventures se joint aux actionnaires historiques de Yooji : Caravelle, groupe familial industriel diversifié et Capagro, 1er fond de capital investissement français dédié à l’innovation dans l’agriculture et l’agroalimentaire.</p>
pjourdan
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[CONSO LAB][DISTRIBUTION] | La #grande #distribution a tiré la consommation de produits #bio | @Challenges
tag:leconsobattant.blogspirit.com,2017-09-21:3096475
2017-09-21T11:00:00+02:00
2017-09-21T11:00:00+02:00
FROM CHALLENGES | http://bit.ly/2feltqN La #grande #distribution a...
<p><img src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/02/02/2446236055.png" id="media-972775" alt="" /></p><p>FROM CHALLENGES | <a href="http://bit.ly/2feltqN" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://bit.ly/2feltqN</a></p><p style="text-align: center;"><strong><span style="text-decoration: underline;">La #grande #distribution a tiré la consommation de produits #bio</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>La consommation de produits bio en France a progressé de 14% au premier semestre 2017, une croissance tirée pour la première fois par la grande distribution, selon les données publiées vendredi 15 septembre par l'Agence Bio.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Au premier semestre, les Français ont consommé pour 500 millions d'euros de plus qu'au cours des six premiers mois de 2016, essentiellement dans les rayons fruits et légumes (+20%) et épicerie (+20%) ainsi que les boissons non alcoolisées (+30%), a précisé l'Agence Bio.</strong> Cette agence pour le développement et la promotion de l'agriculture biologique structure depuis 2001 tous les acteurs de la filière, de la fourche à la fourchette en passant par les acteurs institutionnels.</p><p style="text-align: center;"><a href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/02/02/2344914567.png" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-972776" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/02/02/1584731934.png" alt="Grande distribution, bio" /></a></p><p style="text-align: justify;"><strong>Sur l'ensemble de l'année 2016, le marché total des produits bio en France s'était élevé à plus de 7 milliards d'euros, restauration hors domicile comprise. </strong>"Depuis deux ans, la croissance était tirée par les magasins spécialisés, et la répartition a changé cette année car c'est la grande distribution qui a le plus tiré la consommation" a indiqué Florent Guhl, directeur de l'Agence lors d'une conférence de presse.</p>
Bredin
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Un ressac de Maman nature ?
tag:bar-zing.blogspirit.com,2017-09-13:3096298
2017-09-13T10:50:00+02:00
2017-09-13T10:50:00+02:00
Les familles exigent du BIO dans les cantines ...
<pre style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>Les familles</strong></span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>exigent</strong></span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>du BIO dans les cantines<br /></strong></span></pre><p style="text-align: center;"><img id="media-972429" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/406861377.2.jpg" alt="bio,cantines scolaires,menus halal,consommation,marlène schiappa,j.j. bourdin" /></p><pre style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 18pt;"><strong> </strong></span></pre><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Votre « bio » je n’y croirai que lorsque de temps en temps une procession de fourmis sera vue dans le placard de la cantine scolaire. Et que, une fois dans l'année, je trouverai une larve de hanneton dans les patates cuites servies coupées en tranches dans de la vinaigrette.</span></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p>
maplanete
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Qhéaz, une nouvelle ligne de cosmétiques bio et naturels est née en Gironde
tag:maplanetea.blogspirit.com,2017-06-14:3316714
2017-06-14T10:30:00+02:00
2017-06-14T10:30:00+02:00
La nature comme source d'inspiration "Si vous m'aviez dit il y a dix ans...
<p><strong>La nature comme source d'inspiration</strong></p><p>"Si vous m'aviez dit il y a dix ans qu'un jour je créerai des cosmétiques, même bio, et que je les commercialiserai, je vous aurais ri au nez !", s'amuse la fondatrice de la start-up girondine. Il y a pourtant un fil conducteur "vert" entre son histoire personnelle et la naissance de Qhéaz. <strong>Isabelle Plan vient du végétal</strong> et revendique comme source d'inspiration "la "féérie verte, entre puissance et poésie" de la nature. La forêt et les jardins ont vu ses premiers pas professionnels. Après avoir roulé sa bosse comme commerciale dans les engrais bio et naturels en Dordogne, conçu des jardins dans un bureau paysager et réalisé un rêve d'enfant en montant un élevage de chevaux, à Coutras en Gironde, cette agronome et paysagiste de formation a eu envie d'aller plus loin, pour faire profiter les <strong>femmes </strong>des incroyables ressources bienfaitrices de la nature.<strong><br /></strong></p><p><strong>Lait de jument<br /></strong></p><p>Peu à peu, l'idée de <strong>créer des produits de soin pour la peau et le corps, naturels et bio</strong>, à base notamment de <strong>lait de jument </strong>(un lait riche en calcium aux propriétés particulièrement remarquables), produit en Gironde et labellisé bio, prend forme. En 2012, la jeune femme saute le pas pour se consacrer entièrement à son projet. Cinq ans plus tard, elle met sur le marché sa propre marque de cosmétiques bio, Qhéaz. <strong>Deux produits de beauté et de bien-être "verts",</strong> adaptés à tous les types de peau et totalement exempts de<strong> perturbateurs endocriniens, de dérivés pétrochimiques et autres paraben</strong> sont en vente aujourd'hui. Un troisième, de l'huile pour le visage et le corps, sortira en octobre prochain.<strong><br /></strong></p><p><strong>Hyper technique</strong></p><p><img id="media-338084" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/01/3226569465.jpg" alt="cosmétiques,bio,esthétique,gironde,start-up,isabelle plan,qhéaz" />Contrairement aux idées reçues, faire du bio en cosmétique n'est pas si simple. Travailler avec des matières naturelles riches, instables et odorantes est bien plus complexe que de faire du conventionnel. C'est même <strong>hyper technique, </strong>à fortiori si l'on veut créer des produits haut de gamme. Pour composer ses soins pour la peau, Isabelle, la "végétale" amoureuse des chevaux, savait ce qu'elle voulait valoriser : une<strong> trilogie de composants naturels, minéral, végétal et animal </strong>(lait de jument), parfaite, selon elle, pour répondre aux besoins essentiels de la peau et à son équilibre bio-physico-chimique. Mais pas question de préparer et de fabriquer ses cosmétiques elle-même. Pour cette étape cruciale, la créatrice a confié son cahier des charges à <strong><a href="http://www.artcos-laboratoire.fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Art&Cos</a></strong>, <strong>un éco-laboratoire spécialisé en recherche et développement en cosmétologie bio et naturelle,</strong> fondé en 2012 à Amou dans les Landes par<a href="http://www.sudouest.fr/2013/11/18/les-cosmetiques-biologiques-se-preparent-en-chalosse-1233035-4940.php" target="_blank" rel="noopener noreferrer"> <strong>Maryline Reuschlé </strong></a>(photo Sud Ouest ci-dessus), une jeune chercheuse originaire d'Alsace.</p><p><strong>La sensorialité et l'efficacité du bio à petits prix</strong></p><p><img id="media-338065" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/00/2300768891.jpg" alt="qhéaz calcium.jpg" />Grâce au façonnier aquitain, <strong>l'alliance des trois sources bio-originelles d’actifs naturels</strong> imaginée par la jeune femme, a fait merveille et donné naissance à deux soins novateurs pour la peau du visage et du décolleté : l'émulsion <strong>"Evidence"</strong>, à appliquer plutôt le matin, et le soin précieux<strong> "Mon essentielle"</strong>, en crème du soir. Outre leur <a href="https://www.qheaz-cosmetiques.fr/le-complexe-ceram/" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><strong>complexe Calcium Céram</strong> </a>(1) qui booste les effets des principes actifs, ces cosmétiques incluent dans leur composition du beurre de cupuaçu, de karité ou de mangue, de l'huile de macadamia, de l'hydrolat de rose et des extraits d'aloe vera et de carotte. Certifiés <a href="http://www.ecocert.com/cosmetique-ecologique-et-biologique" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><strong>Ecocert Greenlife,</strong> </a>les prix des flacons sont attractifs : de <strong>23 à 39 euros</strong>, en fonction du volume choisi.</p><p> <strong>On a testé pour vous</strong></p><p><strong>Les produits Qhéaz sentent délicieusement bon,</strong> ce qui n'est encore pas toujours le cas des produits bio, même si les marques ont fait des progrès en ce sens. Leur fragrance associe la fraîcheur délicate de la mandarine rouge et s'abandonne sur une douce note poudrée qui rappelle la guimauve... Deuxième bon point : <strong>leur texture</strong>, onctueuse et soyeuse à appliquer, qui fond sur la peau et rend addict. On se sent (presque) aussi belle que Cléopâtre, la reine d'Egypte, dont ont dit qu'elle entretenait la jeunesse et la souplesse de sa peau par des bains quotidiens au lait d'ânesse... Quant à leur <strong>efficacité réelle</strong>, il faudra bien sûr attendre encore quelques semaines d'utilisation avant de pouvoir se prononcer.</p><p><strong>Les cosmétiques bio, un marché en plein boom</strong></p><p>Ce qu'il y a de sûr, c'est que <strong>la start-up girondine, </strong>hébergée à Bordeaux à Darwin, dans l'espace de coworking de Bordeaux Aquitaine Premières (incubateur au féminin)<strong>, débarque sur un marché ultra-porteur</strong>. Presque quinze ans après la création du label Ecocert, la cosmétique biologique a le vent en poupe. En France, en 2015, le secteur représentait <strong>450 millions d'euros de chiffre d'affaire.</strong> Au niveau mondial, cosmétique bio et naturelle réunie ont connu la même année une croissance moyenne de 14%. Les consommateurs, les femmes notamment, ont soif de cosmétiques sains et sans danger. Un engouement compréhensible au vu des différentes enquêtes sur la composition des différents produits d'hygiène et de beauté utilisés au quotidien (crèmes, laits solaires, shampoings, déodorants, gels douche, dentifrices...) qui révèlent régulièrement que nombre d'entre eux, même lorsqu'ils sont vendus en pharmacie, contiennent des<strong> ingrédients pas toujours très sains ni très sûrs.</strong> Le dernier hors série de<a href="http://www.60millions-mag.com/2017/06/08/cosmetiques-peut-trouver-des-produits-sains-et-surs-11190" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><strong> 60 millions de consommateurs</strong> </a>publié ce mois de juin a enfoncé le clou, en proposant un "<strong>Guide des cosmétiques non toxiques", </strong>assorti d'une liste d'une cinquantaine de produits à éviter.</p><p><strong>Bio, locale, durable et solidaire</strong></p><p>La concurrence avec les mastodontes du secteur (Weleda, Melvita, Cattier, Dr. Hauschka...) n'effraie pas la jeune pousse girondine qui entend bien surfer sur le mascaret du bio. Qhéaz figurera-t-elle en 2018, au <strong>top 10 des bons pots, sains et sûrs pour avoir une belle peau</strong> ? Pour sa fondatrice, convaincue que ses soins sont "gagnants" pour le bien-être, la beauté et la santé des femmes, ce n'est pas le seul enjeu. Isabelle Plan vise un chiffre d'affaires de 80 000 euros pour sa première année d'activité et veut développer ses points de vente. Mais pas seulement pour faire du business, même vert. Elle cherche aussi à valoriser l'agriculture bio et locale, dans la mesure du possible, et espère pouvoir dégager des bénéfices pour aider des<strong> structures agissant en faveur des femmes</strong> (entreprenariat, santé...), à l'international ou en France. Son deuxième engagement, pour rendre la planète non seulement plus verte, mais aussi plus belle.</p><p><strong><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Cathy Lafon</a></strong></p><p><strong>(1) Le complexe Calcium Céram</strong> comprend des silicates, d’origine minérale, issus d’argiles. Leurs propriétés en font un élément synergétique naturel majeur pour "activer" les principes actifs des soins de la gamme et répondre à la physique de la peau. Il est riche en calcium d’origine animale, issu du lait de jument aux qualités remarquables. Enfin, il contient les meilleures sources naturelles d’acides gras, pour la plupart d’origine végétale puisque issus de beurres, d’huiles et d’hydrolats, riches en principes actifs et en affinité parfaite avec la biologie de la peau.</p><p><strong>►PLUS D'INFO SUR QHEAZ <br /></strong></p><ul><li><strong>D'où vient le nom de Qhéaz ? </strong>Voici le détail des lettres qui composent la marque : Q comme Quantité, qualité, quantique, H comme Homéopathique, hautement humain, E comme Efficace, essentiel, équilibre, A comme Assimilé, actif, adapté et Z, comme Zone, zen, zaz.</li><li><strong>Contacts : </strong>Qhéaz, Eqiane SAS 71, chemin de Lauvirat, 33230 Coutras. <strong>Email : <a href="mailto:contact@qheaz-cosmetiques.fr" target="_blank" rel="noopener noreferrer">contact@qheaz-cosmetiques.fr</a></strong>. <strong>Site Internet : <a href="http://www.qheaz-cosmetiques.fr." target="_blank" rel="noopener noreferrer">www.qheaz-cosmetiques.fr</a></strong><a href="http://www.qheaz-cosmetiques.fr." target="_blank" rel="noopener noreferrer">.</a> Tél: 06 50 57 69 86 du lundi au vendredi 8h-19h.</li><li><strong>Soutiens et conseils de la start-up : </strong>la Chambre de Commerce de Bordeaux, Aquitaine Développement Innovation, Région Nouvelle Aquitaine, Aquinov INPI, et l’incubateur Bordeaux Aquitaine Pionnières.</li></ul><p><strong>►OU TROUVER LES PRODUITS QHEAZ ?</strong></p><ul><li><strong>Acheter en ligne sur la Boutique Qhéaz :<a href="https://www.qheaz-cosmetiques.fr/la-boutique/" target="_blank" rel="noopener noreferrer"> cliquer ICI </a></strong></li><li><strong>Espace professionnel: <a href="https://www.qheaz-cosmetiques.fr/espace-professionnels/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">cliquer ICI </a></strong></li><li><strong>Trois points de vente en Gironde : Le Magasin général,</strong> Darwin, 87 Quai des Queyries, 33100 Bordeaux, 05 56 77 88 35.<strong> La Case Bio, </strong>2 rue Edouard Vaillant, 33230 Coutras. Tél : 05 57 69 03 65. <strong>Time For You Lab,</strong> 295 avenue de la République, 33200 Bordeaux Caudéran. Tél: 06 08 00 62 28.</li></ul><p><strong>►PLUS D'INFO SUR ART&COS</strong></p><ul><li><strong>Eco-laboratoire Art&Cos,</strong> 961 route de Chalosse, 40330 Amou. Tél : 09 67 11 48 15. Fax : 05 58 35 48 15. <strong>E-mail :<a href="mailto: communication@artcos-laboratoire.fr" target="_blank" rel="noopener noreferrer"> communication@artcos-laboratoire.fr. </a></strong>Site Internet: <strong><a href="http://www.artcos-laboratoire.fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">cliquer ICI</a></strong></li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-338063" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/02/2136907260.jpg" alt="qhéaz 2017.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em>Les premiers produits de la gamme de soins Qhéaz. Photo Qhéaz</em></span></p><p>Dans la grande famille des <strong>cosmétiques bio</strong>, une nouvelle marque est née cette année en Gironde. Le 4 mai 2017, Isabelle Plan, 43 ans, a lancé <strong>Qhéaz,</strong> une gamme de produits de beauté bio-inspirée, fabriquée localement en Nouvelle-Aquitaine par l'éco-laboratoire landais<strong> Art&Cos.</strong></p>
maplanete
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En France, l'explosion du bio fait décoller l'emploi et la consommation
tag:maplanetea.blogspirit.com,2017-05-25:3316699
2017-05-25T10:30:00+02:00
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Selon le bilan annuel détaillé de l'Agence bio, l'agriculture biologique,...
<p style="background: white;">Selon le bilan annuel détaillé de l'Agence bio,<strong> l'agriculture biologique,</strong> produite sans pesticides et sans intrants chimiques, poursuit avec le<strong> marché du bio</strong> une <strong>croissance spectaculaire</strong> amorcée en 2015, génératrice de <strong>nombreux emplois</strong> sur tout le territoire et dans tous les secteurs, de la production agricole à la vente et la distribution, en passant par la transformation.</p><p style="background: white;">Reflet de ce développement exponentiel,<strong> la</strong><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"><strong> consommation bio a bondi de +21 %</strong> entre 2015 en 2016 pour un marché total de plus de<strong> 7 milliards d’euros</strong>. Loin d'être un effet de mode passager, l'engouement des Français pour des produits respectueux de leur santé et de la nature, devient une tendance lourde. Une </span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">bonne nouvelle pour l'environnement mais aussi pour l'économie du pays, alors que l’agriculture française traditionnelle est en pleine crise. D'autant que l'Agence prévoit <strong>une perspective d'évolution de +20%</strong> des surfaces agricoles certifiées bio, respectivement pour 2017 et pour 2018. <br /></span></p><ul><li><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"><strong>Le bio, bon pour l'emploi<br /></strong> </span></li></ul><p style="background: white;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"><strong>+8,4% par an de 2012 à 2016<br /></strong></span></p><p style="background: white;">Au total, l’agriculture bio représente aujourd’hui près de <strong>118 000 emplois</strong> <strong>directs</strong> en équivalent temps plein, soit un gain de 32 500 emplois en seulement quatre ans et une augmentation de 11% de la filière de <span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">2015 à 2016. Les quelque </span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">32 300 fermes bio du </span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">pays, un chiffre en hausse de 12% sur la même période, pèsent</span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"> désormais</span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"> pour <strong><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif';">10,8% de l’emploi agricole en France</span></strong>, et représentent environ 77 700 emplois.<br /></span></p><p style="background: white;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">Outre les producteurs agricoles "zéro pesticides", ce sont aussi près de<strong> 15 000 entreprises</strong> qui travaillent désormais pour la filière bio, en progression de +10 % par rapport à 2015. De la</span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"> transformation, à la distribution et le commerce l’import/export, elles génèrent pour leur part plus de <strong>38 320 emplois directs.</strong> Sans compter les 2 000 emplois de la filière en matière de conseil, contrôle, formation, etc.</span></p><ul><li><strong><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">+17% de surfaces bio de 2015 à 2016</span></strong></li></ul><p style="background: white;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">En progression constante ces dernières années, avec un pic de croissance hors norme en 2015, le nombre de conversions d’exploitations en bio a encore augmenté en 2016. Au 1er décembre dernier, <strong><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif';">plus de 1,5 million d’hectares</span></strong><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif';"> étaient engagés </span> en bio, soit +17 % par rapport à 2015. </span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">Sur la seule année 2016, </span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">265 500 hectares sont ainsi passés en mode de production biologique, s'ajoutant aux 217 633 hectares en deuxième et troisième année de conversion. Fin 2016, l</span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">a bio représentait ainsi <strong><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif';">5,7 % </span></strong><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif';">de la surface agricole u</span>tile (SAU) du territoire. Les secteurs les plus dynamiques sont ceux des <strong>grandes cultures</strong> et de <strong>l'élevage bovin, ovin et caprin.</strong> <strong>La vigne bio</strong> représente 9% des surfaces viticoles du pays.<br /></span></p><ul><li><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"><strong>7 milliards d'euros de produits bio vendus en 2016</strong><br /></span></li></ul><p style="background: white;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"><strong>3,5 % du marché alimentaire des particuliers<br /></strong></span></p><p style="background: white;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">Côté <strong>consommation</strong>, la filière bio est aussi au beau fixe. Prise de conscience écologique ? Désir de s’alimenter différemment pour préserver sa santé ? Toujours est-il que, de l’autre côté de la chaîne, les Français sont de plus en plus nombreux à mettre dans leur panier les produits estampillés bio. En 2016, leur consommation bio à domicile a bondi de 21,7% par rapport à 2015 et<strong> le marché dépasse les 7 milliards d’euros.</strong> Soit un gain d’1,2 milliard d’euros en seulement un an. Tous les circuits de distribution sont concernés par cette hausse des achats.<br /></span></p><p style="background: white;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"><strong>Les plus dynamiques restent les magasins spécialisés bio (+23,7%),</strong> grâce à l'ouverture de nouveaux points de vente et de l'augmentation du panier moyen de leurs clients. Les grandes surfaces alimentaires (+22,5 %) et les boutiques d’artisans-commerçants (+19,2 %) ) connaissent aussi de belles marges de croissance. La </span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">vente directe (+15,1 %) affiche de moins beaux résultats, en raison, selon l'Agence Bio, en raison de conditions climatiques défavorables l'an passé.<br /></span></p><p style="background: white;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">On retrouve cette tendance </span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">dans la <strong>restauration commerciale</strong></span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"> : estimé à 182 millions d’euros (+10 % par rapport à 2015), le marché de la bio est aussi en plein essor dans ce secteur, de même que dans la<strong> restauration collective</strong> (cantines solaires...), avec 229 millions d’euros (+5 %).</span></p><p style="background: white;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"><strong>De quoi ont faim les Français ?</strong> </span></p><p style="background: white;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">Comme en 2015, c</span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">e sont les rayons des <strong>fruit et légumes frais</strong> (+33% de hausse) et des produits d'épicerie bio (+24%) qui enregistrent les plus fortes croissances du secteur bio.<br /></span></p><ul><li><strong><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">La Nouvelle-Aquitaine, championne du bio</span></strong></li></ul><p style="background: white;"><strong>Dordogne, Gironde et Lot-et-Garonne, au palmarès des 20 premiers départements de l'Hexagone<br /></strong></p><p style="background: white;"><img id="media-337069" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/02/2669786014.jpg" alt="bio,chiffres,augmentation,bilan 2016,agence bio" />Pour le nombre de <strong>conversion d’agriculteurs et de surfaces cultivées en mode biologique</strong>, la plupart des régions ont connu une croissance à deux chiffres. Près de <strong>60 % des fermes et de la surface bio tricolores</strong> se concentrent toutefois dans <strong>quatre régions,</strong> dont la<strong> Nouvelle-Aquitaine, </strong>qui tire son épingle du jeu.Troisième sur le podium de la production bio français, la nouvelle entité qui recouvre Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes, a progressé de <strong>11,5%</strong> de 2015 à 2016 pour le nombre d'exploitations, et de <strong>4,8%</strong> pour sa surface agricole. La Dordogne arrive au 7e rang des 20 premiers départements du pays pour le nombre de producteurs bio, la Gironde au 12e rang et le Lot-et-Garonne au 14e.</p><p style="background: white;"><strong>L'Occitanie</strong> est la première de la classe avec 7 218 fermes et 361 718 hectares, <strong>Auvergne-Rhône-Alpes</strong> arrive en deuxième position, avec 4 771 fermes et 204 235 hectares, devant la <strong>Nouvelle-Aquitaine, </strong>troisième avec 4 700 fermes et 188 867 hectares. Enfin, <strong>Pays de la Loire</strong> ferme le ban avec 2 543 fermes et 150 595 hectares. </p><p style="background: white;">Ces mêmes régions représentent plus de <strong>40 % des entreprises de transformation et de distribution</strong> certifiées pour la bio. Dans ce secteur de la filière, les régions Ile-de-France et Provence-Alpes-Côte-d’Azur, densément peuplées, occupent aussi une place importante.</p><p style="background: white;"><strong>Le bio tricolore a de (très) beaux jours devant lui</strong></p><p style="background: white;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"><img id="media-337071" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/00/2231430953.jpg" alt="bio,chiffres,augmentation,bilan 2016,agence bio" />Impressionnante, <strong>la progression de la production agricole bio tricolore</strong> reste pourtant encore insuffisante, au regard de l'attente des consommateurs. La France a vendu à l'étranger pour 629 millions d'euros en 2016, soit<strong> une augmentation de +14%.</strong> Mais c'est le <strong>secteur du vin</strong> qui représente plus des deux-tiers des exportations du pays, oblité d’importer de nombreux produits agro-alimentaire. </span></p><p style="background: white;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">La perspective d'évolution dressée par l'Agence bio pour 2017 et 2018, respectivement <strong>+20% des surfaces agricoles certifiées bio</strong> pour chacune de ces deux années, devrait permettre de mieux répondre à la demande croissante des consommateurs. </span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">A condition toutefois que le nouveau gouvernement d'Edouard Philippe ne sous-estime pas le montant global de l'aide que la France peut demander à l'Europe pour accompagner l'aide à la conversion en bio des agriculteurs, comme ce fut le cas sous François Hollande, avec pour conséquence de pénaliser nombre d'entre eux.<br /></span></p><p style="background: white;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">S'il est bien mis en oeuvre, le plan de transformation agricole de 5 milliards d’euros sur cinq ans </span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">prévu par le président Macron durant sa campagne </span><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">pour accompagner la modernisation des exploitations agricoles, avec des investissements plus respectueux de l’environnement, pourrait décupler l'essor vertueux de la filière bio.<br /></span></p><p style="background: white;"><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr" target="_blank"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p style="background: white;"><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"><strong>►PLUS D'INFO</strong><br /></span></p><ul><li><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"><strong><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif';">Printemps BIO</span></strong>. Du 1er au 15 juin, des <strong><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif';">centaines d’événements</span></strong> sont organisés dans toute la France durant ce rendez-vous incontournable pour tous ceux qui ont envie d’en savoir davantage sur le mode de production bio, ses principes, ses valeurs, ses produits. <strong>Tous les événements sont à retrouver sur l<a href="http://blogs.sudouest.fr/admin/posts/labiodes4saisons.eu" target="_blank">abiodes4saisons.eu</a> et l’application mobile <a href="http://www.agencebio.org/actualites/la-bio-en-poche-lappli-qui-rend-service" target="_blank">« La Bio en Poche »</a>.</strong></span></li></ul><p><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"><strong>►LIRE AUSSI</strong></span></p><ul><li><span style="font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"><strong>Les articles de Ma Planète sur le bio: <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/bio/" target="_blank">cliquer ICI </a><br /></strong></span></li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-337067" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/01/1468135441.jpg" alt="bio,chiffres,augmentation,bilan 2016,agence bio" /></p><p style="background: white none repeat scroll 0% 0%; text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em>Biocoop, cours Pasteur à Bordeaux, le 4 mars 2016. Archives Sud Ouest / Guillaume Bonnaud </em></span></p><p style="background: white;">A quelques jours de la quinzaine du<strong><a href="http://www.agencebio.org/le-printemps-bio" target="_blank"> Printemps Bio, </a></strong>le grand rendez-vous national annuel d'information et de valorisation du bio qui doit s'ouvrir le 1er juin, les derniers chiffres de l’<a href="http://www.agencebio.org/" target="_blank"><strong>Agence Bio</strong></a> confirment <a href="http://www.sudouest.fr/2016/10/05/agriculture-cette-annee-le-bio-cartonne-dans-la-region-2520845-4720.php" target="_blank"><strong>l'explosion de la filière dans l'Hexagone. </strong></a>Cette progression inédite concerne a premier chef la Nouvelle Aquitaine, première région agricole de France et deuxième pour le bio.</p>
Groupe Socialiste et Apparentés du Conseil Général 06
http://groupe-socialiste-alpes-maritimes.blogspirit.com/about.html
Les commerçants de Marcel Journet à Mouans-Sartoux se mettent au vert-NM 24-01-2017
tag:groupe-socialiste-alpes-maritimes.blogspirit.com,2017-01-24:3114000
2017-01-24T11:32:00+01:00
2017-01-24T11:32:00+01:00
" La dynamique qu'on impulse pour une agriculture bio et locale donne des...
<p><img id="media-1014125" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://groupe-socialiste-alpes-maritimes.blogspirit.com/media/00/02/1385910951.jpg" alt="bio table 06.jpg" /></p><p>"<em>La dynamique qu'on impulse pour une agriculture bio et locale donne des idées à tout le monde soulignait l'adjoint Marie-Louise Gourdon...."</em></p><p>Voir la suite de l'article :</p><p><a id="media-1014124" href="http://groupe-socialiste-alpes-maritimes.blogspirit.com/media/02/02/4205999506.jpg">commercants-marcel-journet-NM 2017-12-24.jpg</a></p>
maplanete
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Les bonnes nouvelles de 2016. 3. Agriculture : cette année, le bio cartonne dans le Sud-Ouest
tag:maplanetea.blogspirit.com,2016-12-26:3316554
2016-12-26T10:30:00+01:00
2016-12-26T10:30:00+01:00
L’agriculture biologique, produite sans pesticides et sans intrants...
<p>L’agriculture biologique, produite sans pesticides et sans intrants chimiques, et le marché du bio, devraient atteindre cette année un rythme de croissance "historique"en France, selon les derniers chiffres communiqués par l’<strong><a href="http://www.agencebio.org/" target="_blank">Agence Bio</a>.</strong> Pour l’Agence française pour le développement et la promotion de l’agriculture biologique, <strong>2016 sera l’année de l’explosion du bio dans l’Hexagone.</strong> Cette progression inédite concerne aussi la Nouvelle Aquitaine, première région agricole de France et deuxième pour le bio.</p><p><strong>Le bio tricolore change d’échelle</strong></p><p><strong><a href="http://www.sudouest.fr/2016/03/05/c-est-le-grand-boom-du-bio-en-france-et-dans-le-sud-ouest-2291431-4720.php" target="_blank">En hausse constante ces dernières années</a>,</strong> notamment en 2015, le nombre de conversions d’exploitations en bio a encore augmenté durant les six premiers mois de l’année, avec plus de 21 nouvelles fermes bio installées chaque jour dans le pays, a indiqué l’Agence Bio, le 21 septembre dernier.</p><p><strong>Article publié le 5 mars 2016.</strong></p><p><strong>►POUR LIRE LA SUITE : c<a href="http://www.sudouest.fr/2016/10/05/agriculture-cette-annee-le-bio-cartonne-dans-la-region-2520845-4720.php" target="_blank">liquer ICI</a></strong></p><p><strong><a href="http://www.cforgood.com/" target="_blank"><img src="http://www.cforgood.com/wp-content/uploads/2016/12/Merci-cforgood3.png" alt="Ici on soutient CforGood.com" width="386" height="149" /></a></strong></p><p><img src="http://images.sudouest.fr/2016/10/05/57f4e08d66a4bd6a47eb86c3/widescreen/1000x500/pour-les-consommateurs-de-la-region-l-offre-bio-issue-de-l-agriculture-locale-continue-a-s-etoffe-a-vitesse-grand-v-biocoop-cours-pasteur-a-bordeaux-le-4-mars-2016.jpg" alt="Agriculture&nbsp;: cette ann&eacute;e, le bio cartonne dans le Sud-Ouest" /></p><p><span style="font-size: 8pt;"><em>Pour les consommateurs de la région, l'offre bio issue de l'agriculture locale continue à s'étoffe à vitesse grand V. PHOTO ARCHIVES SUD OUEST/ GUILLAUME BONNAUD</em></span></p><p><strong>Avant de passer à 2017, Ma Planète vous propose de revisiter les bons moments "verts" de l'année qui s'achève. Il n'y a pas eu que des mauvaises nouvelles en 2016.... La preuve. </strong></p><p>En France, ces dernières années, <strong>la filière bio a le vent en poupe,</strong> dans les champs et sur les étals de magasins. Un dynamisme qui profite aussi à la <strong>Nouvelle Aquitaine. </strong></p>
Action Barbès
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Un conseil de quartier très bio !
tag:actionbarbes.blogspirit.com,2016-12-05:3083966
2016-12-05T07:00:00+01:00
2016-12-05T07:00:00+01:00
Le conseil de quartier Anvers-Montholon s'est réuni en session plénière le...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Le conseil de quartier Anvers-Montholon s'est réuni en session plénière le 29 novembre. La chose est assez rare pour être mentionnée d'autant que le sujet à l'ordre du jour était "<em>Manger sain et local dans le 9e</em>".</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Une petite trentaine de personnes s'étaient déplacées, majoritairement des femmes. Notons au passage qu'il y avait dans l'assistance quelques adhérents d'Action Barbès.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">La réunion a été très intéressante avec successivement la présentation de <em>La ruche qui dit oui</em>, puis celle de l'AMAP du 15e arrondissement suivie de la présentation du projet d'AMAP pour le 9e et enfin celle de <em>Paniers du Val de Loire</em>.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Présents le mardi soir au centre de la Tour des Dames et le samedi matin devant le centre Valeyre, les petites camionnettes de <em><strong><a href="https://laruchequiditoui.fr/fr" target="_blank">La ruche qui dit oui</a></strong></em> sont bien connues des habitants du 9e...</span></p><p><img src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/00/02/1811278263.jpg" id="media-944703" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><em>... La ruche qui dit ou</em>i propose une assez large gamme de produits, c'est à dire pas seulement des fruits et légumes mais aussi de la viande, du poisson, etc. ... On commande sur leur site internet et on vient chercher son panier. C'est assez simple d'autant qu'il n'y a pas d'engagement dans le temps, on peut le faire quand on veut, pas d'obligation de le faire chaque semaine. Chaque point de distribution est géré par un auto-entrepreneur rémunéré au pourcentage des ventes.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Une <strong><a href="http://www.amap-idf.org/" target="_blank">AMAP</a></strong> est une Association pour le maintien d'une agriculture paysanne. Le principe est assez différent de celui de <em>La Ruche qui dit oui</em> car il s'agit d'une structure dans laquelle les clients sont aussi des acteurs de l'association. La distribution des produits, essentiellement du maraîchage, est faite dans un local géré par les membres de l'association (on les appelle les "amapiens"). L'engagement est pour l'année car l'idée de base est de garantir au(x) producteur(s) un revenu stable. Il existe déjà pas mal d'AMAP à Paris. Nous vous avons déjà parlé de La Louve dans le 18e. Un projet est en cours de lancement pour le 9e. Six personnes s'en occupent aujourd'hui, mais il faut encore trouver un local et dans le 9e la chose n'est pas évidente et, ensuite, aussi trouver des producteurs.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><em><strong><a href="https://www.lespaniersbioduvaldeloire.fr/" target="_blank">Paniers du Val de Loire</a></strong></em> est un peu l'intermédiaire entre La ruche et l'AMAP. On vient chercher chaque semaine son panier sans pour autant décider de son contenu, c'est suivant la saison et la production. Les paniers sont délivrés dans des points de distribution partenaires volontaires de l'opération et il y en a pas mal dans le 9e. Un engagement sur la durée est requis afin, là aussi, d'assurer un revenu stable au(x) producteur(s). A partir de janvier 2017, il y aura deux formules, un panier de 2,5kg et un de 5kg.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Les prix des paniers pour ces trois organismes sont à peu près équivalents, soit une dizaine d'euros pour le plus petit panier. <em>Paniers du Val de Loire</em> et <em>La Ruche qui dit oui</em> proposent des circuits courts, c'est à dire que les producteurs ne sont pas très éloignés de Paris. La chose est un peu moins vraie pour AMAP. Les produits sont bio dans la plupart des cas ou au moins avec le critère "agriculture raisonnée", ce qui signifie que le producteur s'engage à limiter au strict minimum l'utilisation de produits chimiques. C'est un engagement "moral", alors que le critère bio fait, lui, l'objet d'un contrôle rigoureux. D'assez nombreux producteurs sont aussi en phase de transition pour passer de l'agriculture traditionnelle à la bio.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-944712" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/01/01/288733911.jpg" alt="paris,amap,bio" /></p>
Action Barbès
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Conseil de quartier Anvers Montholon
tag:actionbarbes.blogspirit.com,2016-11-26:3083620
2016-11-26T14:00:00+01:00
2016-11-26T14:00:00+01:00
" Manger sain et local " tel est le thème principal de la prochaine...
<p><img src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/00/00/2439338569.png" id="media-943761" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">"<em>Manger sain et local</em>" tel est le thème principal de la prochaine réunion plénière du conseil de quartier Anvers Montholon qui se tiendra le <strong><span style="color: #ff6600;">mardi 29 novembre à 19h</span></strong> à l'école située 45, rue de la Tour d'Auvergne.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">On y parlera nourriture bio et circuit d'approvisionnement court, entre autres avec </span><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><span class="s2">La Ruche qui dit Oui Valeyre, la </span><span class="s2">Ruche qui dit Oui Tour des Dames, les </span><span class="s2">Paniers du Val de Loire, le </span><span class="s2">Réseau des AMAP et </span><span class="s5">AMAP du 9</span><span class="s7"><sup>e.</sup></span></span></p><p><span class="s7"><sup><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Il y aura aussi un débat à propos des projets du conseil de quartier : </span></sup></span></p><ul><li><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;"><a href="https://budgetparticipatif.paris.fr/bp/jsp/site/Portal.jsp?page=search-solr&conf=projects_mdp_detail&items_per_page=1&page_index=15&prev_items_per_page=21&query=&fq=localisation_text%3A9e%20arrondissement&fq=type%3AProjet%202015&sort_name=1480063080151_random&sort_order=asc" target="_blank">réaménagement de l’espace devant le centre Valeyre</a>, boîte à livres, projets d’investissement (anciennes publicités peintes rue Hippolyte Lebas, cendriers de rue, barnum, cinéma en plein air, fête de Noël le 3 décembre…</span></li><li><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">projets pour le quartier (rue végétale, mesures contre le problème des rats au square Montholon, mesures contre le problème des deux-roues circulant sur les trottoirs…) dont ceux du budget participatif (<a href="https://budgetparticipatif.paris.fr/bp/jsp/site/Portal.jsp?page=search-solr&conf=projects_mdp_detail&items_per_page=1&page_index=2&prev_items_per_page=21&query=&fq=localisation_text%3A9e%20arrondissement&fq=type%3AProjet%202015&sort_name=1480063080151_random&sort_order=asc" target="_blank">apaisement circulation autour du square Montholon</a>, jardin partagé à Valeyre, <a href="https://budgetparticipatif.paris.fr/bp/jsp/site/Portal.jsp?page=search-solr&conf=projects_mdp_detail&items_per_page=1&page_index=6&prev_items_per_page=21&query=&fq=localisation_text%3A9e%20arrondissement&fq=type%3AProjet%202015&sort_name=1480063080151_random&sort_order=asc" target="_blank">agrandissement espace jeunesse bibliothèque Valeyre)</a></span></li></ul>
Pays basque à croquer
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Eztigar, gardien de la pomme basque
tag:www.paysbasqueacroquer.fr,2016-11-21:3305911
2016-11-21T10:32:00+01:00
2016-11-21T10:32:00+01:00
Anisa, mamula, ondomotxa... Ces noms ne vous évoquent peut-être rien, mais...
<p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Anisa, mamula, ondomotxa... Ces noms ne vous évoquent peut-être rien, mais du côté de Saint-Just-Ibarre, dans le Pays basque intérieur, ces sonorités en « a » prennent tout leur sens chez Eztigar. Ici, ces variétés de pommes basques, puisqu'il s'agit de cela, se transforment au fil des mois en jus de pomme ou en cidre, selon la volonté d'un groupe de passionnés qui, il y a 26 ans, a décidé de relancer le sagarno (cidre basque, NDLR) au Pays basque français.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">« A cette époque, on ne voyait plus de pommeraies de ce côté du Pays basque, raconte Marie Ascona, la trentaine, qui a repris, il y a deux ans, avec son époux Clément, la gérance de la <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://www.cidre-eztigar.com/" target="_blank">SARL Eztigar</a></span></span>. Au-delà de cette idée, il y avait également une dynamique pour générer un complément de revenus et des emplois dans le Pays basque intérieur. Plus d'une trentaine de producteurs se sont retrouvés autour de l'association qui a été créée pour l'occasion. »</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-329092" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/media/02/00/2789336109.jpg" alt="cidre,eztigar,pomme,basque,jus,bio" /><em><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 8pt;"><br />Une vingtaine de producteurs de pommes travaillent pour Eztigar © photo Eztigar</span></em></p><p><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;"> </span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">15 000 pommiers plantés</span></strong></span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Les pionniers de l'aventure Eztigar se sont alors employés à retrouver les greffons et variétés de pommes emblématiques basques comme anisa, la plus connue, gordin xuria, eztika ou peatxa. 15000 pommiers, d'une dizaine de variétés différentes, ont été finalement plantés pour donner vie au projet qui prospère aujourd'hui encore. « Nous avons une vingtaine de producteurs qui travaillent avec nous actuellement dont cinq en agriculture biologique et d'autres en conversion », détaille Marie Ascona, quelques jours après la fin de cette récolte 2016.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">« Cette année, nous avons rentré 240 tonnes de pommes issues de nos différents vergers, poursuit-elle. La récolte s'annonce plutôt bonne malgré le temps capricieux que nous avons eu cette année. En pleine floraison, certains vergers ont pris la grêle et le vent alors qu'une grosse production était annoncée. Finalement, le fait d'avoir eu de la grêle, un été très chaud et peu de maladies a opéré comme une sélection naturelle sur les pommes. »</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Comme pour les cépages en œnologie, <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://www.cidre-eztigar.com/fr/content/12-les-varietes-de-pomme" target="_blank">chaque variété</a></span></span> de fruit est utilisée en fonction de ses caractéristiques. Par exemple, pour son jus de pomme, Eztigar utilise 80% d'anisa coupée avec de la mamula. Pour le cidre, qui représente la majeur partie de sa production, trois variétés entrent en jeu « afin de trouver le bon équilibre ». « Le goût est défini par les pommes avant tout, rappelle Marie Ascona. Notre sagarno est moins âpre que celui que vous pouvez trouver de l'autre côté de la frontière. »</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;"><iframe width="550" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/Z0tjM_PkbIM" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></span></p><p><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Un bikaina exigeant<br /></span></strong></span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Eztigar ne s'est pas arrêté au sagarno traditionnel. Il élabore dans ses chais, un cidre demi-sec comme celui des Bretons ou des Normands avec des pommes basques, mais aussi un cidre plus élaboré, comme un champagne, baptisé bikaina. « C'est un cidre qui est élevé six mois en barriques à 8°c. Nous serons sur une production en bio pour 2017. C'est un travail très long que nous ne produirons qu'en fonction de la qualité des pommes. Nous l'avons lancé, il y a trois ans, et nous avons dit, avec mon mari, que si la qualité des pommes n'était pas suffisante nous ne ferions pas de cuvées », précise la trentenaire.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Parmi les autres nouveautés développées à Saint-Just-Ibarre, figure le jus de pomme pétillant - où seul du gaz carbonique a été rajouté - lancé il y a deux ans et un jus pomme-raisin conçu en partenariat avec la cave d'Irouléguy. « Nous mettons en bouteille le jus de raisin de la cave. Un jour, nous avons passé notre jus de pommes puis le raisin et une vingtaine de bouteilles se sont mélangées. Ça nous a donné un mélange de fruits roses avec un goût pomme-raisin que les enfants aiment bien », s'amuse Marie Ascona.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-329103" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/media/02/00/66175.jpg" alt="cidre,eztigar,pomme,basque,jus,bio" /><br /><em><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 8pt;">240 tonnes de pommes ont été récoltées en cet automne 2016 © photo Eztigar</span></em></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Aujourd'hui, c'est « avant tout par plaisir » et dans la poursuite de l'idée originelle que les deux gérants, qui se sont connus à l'école d'oenologie, font avancer la SARL Eztigar, dont ils sont les deux seuls salariés. « 95% de la récolte est vendue au Pays basque. Nous sommes très présents dans le domaine associatif et les locaux nous aident beaucoup », poursuit la gérante. Elle insiste également sur l'implication des associés et bénévoles de tous âges qui apportent régulièrement des coups de main. « Heureusement qu'il y a d'autres personnes à nos côtés. C'est une grosse chaîne de production et ce mélange des générations est un atout pour nous. »</span></p><blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr"><p dir="ltr" lang="fr">-Les travaux vont bientôt commencer.<br />-Obrak laster hasiko dira<a href="https://twitter.com/hashtag/Cidrerie?src=hash">#Cidrerie</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/Espelette?src=hash">#Espelette</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/Sagarnotegi?src=hash">#Sagarnotegi</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/Ezpeleta?src=hash">#Ezpeleta</a> <a href="https://t.co/aCgbpLHWW0">pic.twitter.com/aCgbpLHWW0</a></p>— Eztigar (@Eztigar) <a href="https://twitter.com/Eztigar/status/781478773409587200">29 septembre 2016</a></blockquote><p><script async="" src="//platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;"><script async="" src="//platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script></span></p><p><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Un projet du côté d'Espelette<br /></span></strong></span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Après avoir réussi à mettre en place « un approvisionnement 100% local » en pommes, le couple souhaiterait, si la société « arrive à progresser », former des jeunes pour créer des emplois supplémentaires. Mais pour 2017, le projet majeur qu'ils soutiennent se situe du côté d'Espelette où un autre couple souhaite<span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://www.cidre-eztigar.com/fr/page/une-cidrerie-eztigar-a-espelette-c-est-pour-bientot--b69.html" target="_blank"> lancer une cidrerie</a></span></span>.</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">« Florian et Vanessa possèdent une vieille tannerie. Ils nous ont présenté leur projet qui colle avec notre esprit. Dans cette cidrerie, ils assureraient la partie restauration et nous, nous garderions le cidre. Nous espérons que le projet verra le jour pour l'été 2017. Il faut du temps pour les autorisations, la rénovation et la transformation de la tannerie, complète Marie Ascona. Ce serait un prolongement du site de Saint-Just où nous ne faisons que l'élaboration.Il nous permettrait de nous agrandir tout en restant dans le Pays basque intérieur ». Un souhait conforme à l'esprit des pionniers du sagarno Eztigar.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/archive/2016/11/20/eztigar-gardien-de-la-pomme-basque-1054175.html"><img id="media-329091" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/media/00/01/265074690.jpg" alt="cidre,eztigar,pomme,basque,jus,bio" /></a><br /><em><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 8pt;">A partir de pommes basques, Eztigar élabore ses boissons © photo Eztigar</span></em></p><p><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Depuis plus de 26 ans, Eztigar, installé à Saint-Just-Ibarre, défend la pomme du Pays basque français pour créer son propre sagarno, mais aussi d'autres boissons à base de </span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">ce fruit</span></span></p>
Action Barbès
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Un nouveau magasin bio rue de Dunkerque : Coeur de nature
tag:actionbarbes.blogspirit.com,2016-09-28:3079527
2016-09-28T07:00:00+02:00
2016-09-28T07:00:00+02:00
Nous vous en parlions le 25 juin ici même . Nous avions repéré...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Nous vous en parlions <a title="notre article du blog paru le 25 juin 2016" href="http://actionbarbes.blogspirit.com/archive/2016/06/17/on-parle-d-un-magasin-bio-rue-de-dunkerque-3075238.html" target="_blank">le 25 juin ici même</a>. Nous avions repéré l'implantation d'un magasin à la place du Dia de la rue de Dunkerque, fermé depuis des mois. Les travaux importants qui y étaient entrepris ne laissaient aucun doute, mais pas d'info sur le nom de l'enseigne future. Ca y est ! Depuis quelques jours COEUR DE NATURE s'affiche. L'inauguration a eu lieu jeudi dernier, le magasin vous attend dès 9h du matin. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Nous étions là le jour de l'ouverture et nous vous proposons quelques photos pour vous faire partager l'enthousiasme de l'équipe qui désormais sera aux manettes pour vous accueillir. </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-935521" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/00/00/837311767.jpg" alt="paris,9e,commerce,coeur-de-nature,bio,alimentation,rue-de-dunkerque" /></p><p style="text-align: center;">Un effort de verdure bien venu pour accueillir les premiers clients. </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Pour en savoir un peu plus sur cette enseigne à établissements multiples, nous sommes allés voir sur leur site. On y découvre que l'enseigne a ouvert son premier établissement en 2012 à <a title="pour voir sur la carte" href="https://www.google.fr/maps/place/Brétigny-sur-Orge/@48.5980489,2.2545609,12.53z/data=!4m5!3m4!1s0x47e5da3482f319e5:0x40b82c3688b4950!8m2!3d48.611486!4d2.30604" target="_blank">Brétigny sur Orge (Essonne),</a> une commune de 25 000 habitants à l'Est d'Arpajon, sur un vaste emplacement plutôt destiné à une clientèle venue en voiture. On est assez loin des conditions de la rue de Dunkerque, d'un côté 1000 m2 face à 250 de l'autre, mais puisque le bio a le vent en poupe et que les Parisiens s'y intéressent de plus en plus, saluons cette initiative de venir s'installer au pied de nos immeubles. Bien que le nom d'Auchan n'apparaisse nulle part — ou bien de façon très discrète au point qu'il nous a échappé — nous avons compris que ce concept de magasin bio est la version propre au géant de la distribution qu'est Auchan. (<a href="http://www.lineaires.com/LES-MAGASINS/Les-visites-guidees/Caeur-de-nature-le-magasin-bio-version-Auchan-37333" target="_blank">voir dans Linéaires du 15 mai 2012</a> ou <a title="Article de Olivier Costil dans eMarketting.fr" href="http://www.e-marketing.fr/Marketing-Magazine/Article/Coeur-de-Nature-le-bio-vu-par-Auchan-44683-1.htm#h0DGhUgCgMx0i1U8.97" target="_blank">ici dans un article plus fouillé de eMarketting.fr</a> du 25 octobre 2012). Il semble que cette discrétion soit tout à fait volontaire et destinée à ce que la clientèle du quartier n'y voit pas un magasin Auchan, mais au contraire, le considère comme un spécialiste du bio.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-935523" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/02/00/3118618912.jpg" alt="paris,9e,commerce,coeur-de-nature,bio,alimentation,rue-de-dunkerque" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Au niveau des prix, qu'en est-il ? car c'est souvent là que le bât blesse, le bio est cher. L'effet d'échelle et la puissance de frappe du distributeur, ses nombreux lieux de vente, devraient favoriser des prix raisonnables. Restent les coopératives installées depuis peu dans la Goutte d'or ou ailleurs qu'on n'oubliera pas et qui ne devront pas souffrir d'une concurrence trop brutale. Souhaitons que la proximité joue tout son rôle. On ne traverse pas Paris pour acheter une botte de carottes, fussent-elles bio ! </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Pour apprécier l'offre des produits que nous pourrons désormais acheter, nous sommes allés observer les prix sur la page intitulée "Panier Bon Plan". C'est assez performant, avouons-le, une plaquette de beurre doux bio à 1,99€ et une boite de 10 oeufs bio à 2,99€, ça le fait ! Passons à l'épicerie : un bocal de sauce tomate au basilic de 200gr à 99 centimes, ou 500gr de coquillettes (pour accompagner la sauce) également à 99 centimes, comme la boite de haricots verts extra-fins de 220gr, tous ces produits issus de l'agriculture biologique avec le fameux logo "AB" (<a title="les produits en épicerie" href="http://www.coeurdenature.fr/panier-bon-plan/epicerie-salee" target="_blank">regardez vos-mêmes</a>).</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">L'offre de produits en vrac chère aux magasins bio est présente là aussi.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-935522" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/01/01/2919879249.jpg" alt="paris,9e,commerce,coeur-de-nature,bio,alimentation,rue-de-dunkerque" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Notons qu'elle se développe aussi dans les hyper et les supermarchés traditionnels, et qu'elle parvient à convaincre certains consommateurs que la réduction des emballages a du bon. Le chemin est encore long toutefois vers une réduction drastique et acceptée (notamment par les producteurs) de ces tonnes de papier d'emballage, qui encombrent nos poubelles. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">A noter les produits d'entretien en version vrac aussi : </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-935524" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/02/00/2481953779.jpg" alt="paris,9e,commerce,coeur-de-nature,bio,alimentation,rue-de-dunkerque" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Un dernier point assez sympathique du site de Coeur de nature, ce sont les recettes très nombreuses et faciles à réaliser tout en constituant des menus équilibrés. Nous avons testé le wrap de brousse de brebis, oseille et petits pois.... (vous pouvez aussi les imprimer, mais attention, imprimer c'est du gâchis de papier aussi ! )</span></p><p class="titre" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Une <a href="https://www.facebook.com/CoeurdeNature" target="_blank">page Facebook</a> existe également, mais pour l'instant elle ne traite que de Brétigny sur Orge.... Et Dunkerque alors ?</span> </p>
Jean-Pierre GRAND
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Bio dans la restauration collective publique
tag:www.jeanpierregrand.fr,2016-05-30:3074199
2016-05-30T12:25:00+02:00
2016-05-30T12:25:00+02:00
Vous êtes nombreux à m'avoir interpellé sur le bio dans la...
<pre> </pre><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 10pt;">Vous êtes nombreux à m'avoir interpellé sur le bio dans la restauration collective publique.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 10pt;">Dès 2008, la commune de Castelnau-le-Lez a introduit un repas bio hebdomadaire dans ses cantines scolaires qui servent 950 repas par jour.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 10pt;">Ainsi, elle s’est engagée fortement dans une démarche globale d’amélioration de la restauration scolaire, en introduisant des aliments bio, mais aussi en renforçant ses exigences nutritionnelles.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 10pt;">Aujourd’hui, en plus du repas hebdomadaire, la fréquence des aliments bio a été augmentée : 95 % des fruits, 40 % des entrées, 40 % des accompagnements et 50 % des laitages sont issus de l’agriculture biologique.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 10pt;">Concernant plus précisément la proposition de loi visant à favoriser l'ancrage territorial de l'alimentation, le Sénat a souhaité supprimer le seuil de 20 % de bio dans la restauration collective publique.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 10pt;">En effet, la surface agricole utile cultivée en "bio" représentait fin 2014 moins de 5% du total en France. Il est donc illusoire d’escompter une progression de la production en bio suffisante pour satisfaire, à échéance de 2020, l’objectif de 20% figurant dans la loi, sur la base de productions françaises.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 10pt;">Les opérateurs n’auront d’autre choix, pour caler leur offre sur l’objectif, que d’avoir recours à des produits d’importation, au détriment de la production française.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 10pt;">Il convient donc d’avoir une approche plus flexible de l’objectif de valorisation de l’alimentation durable en ne définissant pas d’objectif chiffré irréaliste en matière de "bio" qui pourrait aller à l’encontre même de l’objectif d’ancrage territorial de l’alimentation et de valorisation des productions françaises.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 10pt;">De plus, imposer ce chiffre de 20% "bio" dans l'objectif des 40% de produits relevant de l'alimentation durable reviendrait à dévaloriser les autres critères de cette alimentation tels que l'approvisionnement en circuits courts ou la saisonnalité des produits.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 10pt;">Voici les précisions à la fois locales et nationales que je tenais à vous apporter.</span></p><pre><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;"> </span></pre>
maplanete
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Ce samedi, à Bordeaux et ailleurs, on marche contre Monsanto & Co et pour le bio
tag:maplanetea.blogspirit.com,2016-05-20:3316359
2016-05-20T10:30:00+02:00
2016-05-20T10:30:00+02:00
La mobilisation risque être importante en Gironde , un "département noir"...
<p><img id="media-318501" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/02/1744892996.jpg" alt="manifestation,bio,pesticides,gironde,bordeaux" />La mobilisation risque être importante en<strong> Gironde</strong>, un<strong> "département noir"</strong> pour l'utilisation massive des pesticides, comme l'a révélé en février dernier sur France 2,<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2016/02/02/television-ce-soir-cash-investigation-s-attaque-aux-pesticid-1046127.html" target="_blank"><strong> l'enquête choc de Cash Investigation</strong>, </a>le magazine d'Elise Lucet. Le Bordelais, avec ses centaines de milliers de rangs de vigne, est particulièrement concerné par la dangerosité potentielle de ces produits, cancérigènes, neurotoxiques ou perturbateurs endocriniens, <strong>particulièrement délétères pour les enfants</strong>. Après une<strong> <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2016/02/13/bordeaux-une-marche-blanche-pour-dire-non-aux-pesticides-ce-1046415.html" target="_blank">marche blanche contre les pesticides,</a></strong> organisée le 14 février dans la foulée de ce reportage,<strong> <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2015/10/14/pesticides-en-gironde-une-petition-pour-le-bio-a-proximite-d-1042296.html" target="_blank">une pétition en ligne,</a></strong> lancée en octobre 2015, par le <a href="http://infomedocpesticides.fr/" target="_blank"><strong>Collectif Info Médoc Pesticides</strong></a> et remise au préfet de Gironde, Pierre Dartout, le 1er mars, a recueilli 84 000 signatures, pour demander l'interdiction de ces substances.</p><p><strong>Bordeaux, "cité du bio"</strong></p><p><strong>"La cité du vin sera la cité du vin bio des maraicher-e-s bio, ou ne sera pas",</strong> revendiquent clairement les organisateurs de la manifestation bordelaise, en rappelant que des <strong>alternatives agro-écologiques aux pesticides</strong> existent et qu'elles font leur preuve. Par ailleurs, soulignent-ils, de plus en plus d'études scientifiques montrent qu'il est possible de nourrir l'humanité avec une agriculture biologique, sans phytosanitaires. Ainsi, c'est aussi pour exiger des pouvoirs publics que <strong>la transition écologique de l'agriculture</strong> sont enfin engagée que de nombreuses organisations locales appellent à <strong>manifester ce samedi 21 mai. Contre les pesticides, mais surtout pour une agriculture écologique.</strong></p><p><a href="https://www.facebook.com/events/209238736085547/" target="_blank"><strong> A Bordeaux, le rendez-vous est à 14h, place de la Victoire</strong>.</a> La manifestation se terminera place de la République avec la Nuit Debout Bordeaux pour un événement qui se veut convivial et militant, dédié à l'agro-écologie, avec une auberge espagnole géante et des concerts. </p><p><strong><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr" target="_blank">Cathy Lafon</a></strong></p><p><strong>►PLUS D'INFO</strong></p><ul><li><strong>La page officielle Facebook de la manifestation contre Monsanto: <a href="https://www.facebook.com/Combat-Monsanto-officiel-136071526429368/" target="_blank">cliquer ICI</a></strong></li></ul><p><strong>►LIRE AUSSI</strong></p><ul><li><strong>P<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2016/03/15/pesticides-en-gironde-ou-en-est-on-1047232.html" target="_blank">esticides en Gironde : où en est-on ?</a></strong></li><li><strong>Les articles de Ma Planète sur les pesticides : <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/pesticides" target="_blank">cliquer ICI </a><br /></strong></li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-318500" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/00/1526575698.jpg" alt="manifestation,bio,pesticides,gironde,bordeaux" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em>Manifestation contre Monsanto&Co, Bordeaux, place de la Victoire, le samedi 23 mai 2015. Photo archives Sud Ouest / Quentin Salinier</em> </span></p><p>Le <strong>21 mai 2016</strong>, pour la quatrième année consécutive, aux quatre coins de la planète, dans de nombreuses villes, <strong><a href="https://www.facebook.com/Combat-Monsanto-officiel-136071526429368/" target="_blank">on marchera contre Monsanto,</a> Bayer, Syngenta, ChemChina, BASF, Dupont, Limagrain, Avril.</strong>.. toutes les multinationales de l'agrochimie et de l'agro-industrie. Bref, c'est un vent mondial de mobilisation citoyenne qui veut se lever pour <strong>refuser l'usage massif des produits phytosanitaires</strong> (pesticides, fongicides et engrais), et exiger un <strong>changement de modèle agricol</strong>e, plus respectueux de l'environnement et meilleur pour la santé humaine. Celle des agriculteurs comme celle des consommateurs.</p>
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Filière bio : une charte renouvelée pour éviter une ”bio au rabais”
tag:maplanetea.blogspirit.com,2016-05-13:3316336
2016-05-13T10:47:00+02:00
2016-05-13T10:47:00+02:00
Bio éthique et bio commerciale L’agriculture et le commerce bio sont en...
<p><strong>Bio éthique et bio commerciale</strong></p><p><strong><a href="http://www.sudouest.fr/2016/03/05/c-est-le-grand-boom-du-bio-en-france-et-dans-le-sud-ouest-2291431-4720.php" target="_blank">L’agriculture et le commerce bio sont en plein boom.</a> </strong>Avec l'intérêt croissant de la grande distribution, "on va vers une bio à deux vitesses", analyse<strong> Brooks Wallin</strong>, du syndicat professionnel <a href="http://www.natexbio.com/" target="_blank"><strong>Natexbio</strong>.</a> "D’un côté, la bio avec des matières premières françaises et le souci des emballages biodégradables. De l’autre, la bio commerciale où le prix domine et la provenance des matières compte moins. Cette bio-là avance à vitesse grand V au niveau mondial." D’où la <strong>nécessité "fondamentale "d’une charte,</strong> qui permet différencier la filière biologique avec son "écosystème, entre magasins bio, transformateurs et agriculteurs", et la "bio commerciale", justifie-t-il. </p><p><strong>Les valeurs du bio réaffirmées<br /></strong></p><p>Bien-être animal, complémentarité entre villes et campagnes, prix équitables, conditions de travail dignes, autant de <strong>valeurs fondamentales de l’agriculture biologique traditionnelle</strong> portées par la<a href="http://www.fnab.org/images/files/actualites/Charte%20FNAB%20adopt%C3%A9e%20AG%20FNAB%202016.pdf" target="_blank"><strong> charte actualisée de la FNAB</strong></a> adoptée le 6 avril dernier. Des valeurs que la FNAB espère retrouver dans les fermes des<strong> 2.250 agriculteurs ayant converti leur exploitation en bio en 2015.</strong> "La charte existait déjà en interne mais compte-tenu de la crise agricole majeure et de l’arrivée des conversions, c’est le moment de la remettre au goût du jour", précise Irène Carrasco, trésorière de la FNAB.</p><p><strong>"Contrat social agricole"</strong></p><p><img id="media-318233" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/01/1300176959.jpg" alt="charte,bio,fnab,éthique" width="155" height="103" />Même si les <strong>surfaces cultivées en bio représentent encore moins de 5% de la surface agricole utile</strong> (SAU), le marché du bio atteint désormais<strong> 5,5 milliards d’euros</strong>, avec des ventes en augmentation de plus de 10% en 2015 par rapport à 2014, selon l’Agence bio. Étant donné l’ampleur du phénomène, la charte est envisagée comme un "contrat social agricole" et destinée à être lue par la grande distribution, les pouvoirs publics et les citoyens.</p><p><strong>"Replacer l'humain au centre du système alimentaire"</strong></p><p>"Ouverte à toutes les organisations citoyennes, économiques et sociales", la charte vise à assurer un<strong> "développement cohérent, durable et solidaire de l’agriculture biologique"</strong>, selon le préambule présenté mardi en présence de 130 agriculteurs bio, des associatifs et des représentants des pouvoirs publics. L’idée de replacer l’humain au centre du système alimentaire est l’élément de la charte qui a séduit<strong> Jean-François Julliard, directeur général de <a href="http://www.greenpeace.org/france/fr/" target="_blank">Greenpeace France. </a>"</strong>La grande distribution vante l’accroissement de ses gammes bio, mais en lisant cette charte, j’espère qu’elle comprendra que l’agriculture biologique ce n’est pas qu’un cahier des charges, ce sont aussi des valeurs et un système différent qui replacent l’humain au centre de tout", a-t-il réagi.</p><p><strong>Bien-être animal</strong></p><p><img id="media-318234" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/00/3361163048.jpg" alt="charte,bio,fnab,éthique" />Des éleveurs en bio, membres de la FNAB, aimeraient, eux, pouvoir accompagner leurs bêtes jusqu’à l’abattoir. La question du bien-être animal figure dans les premières pages de la charte et concerne particulièrement le monde paysan depuis la diffusion de<a href="http://www.l214.com/enquetes/2016/abattoir-made-in-france/le-vigan/" target="_blank"><strong> vidéos-choc par l’association de défense des animaux L214</strong> </a>montrant des <a href="http://www.sudouest.fr/2016/03/29/cruaute-envers-les-animaux-au-pays-basque-l-abattoir-de-mauleon-suspendu-2315872-4018.php" target="_blank"><strong>maltraitances dans des abattoirs</strong> </a>dont certains pourtant <strong>certifiés bio</strong>, <strong>c</strong>omme celui <strong> de Vigan dans le Gard. </strong>En réponse à ces préoccupations, le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll a annoncé son intention de mettre en place<strong> un référent bien-être animal dans tous les abattoirs,</strong> même de petite taille et de "créer un délit de maltraitance" aux animaux pour les exploitants d’abattoirs, assorti de "sanctions pénales" dans la loi Sapin.</p><p>Des mesures en phase avec l'éthique du secteur bio qui soulignent l’importance de " travailler avec la vie et non contre elle". "L’agriculture biologique n’est pas seulement un mode de production et ne répond pas seulement à un marché", rappelle ainsi <strong>Stéphanie Pageot</strong>, présidente de la FNAB. C'est bon à savoir.</p><p><a href="mailto:c.lafon@sudoues.fr" target="_blank"><strong>Cathy Lafon</strong></a> avec l'AFP</p><p><strong>►PLUS D'INFO</strong></p><ul><li><strong>Charte des valeurs de la FNAB et son réseau : <a href="http://www.fnab.org/images/files/actualites/Charte%20FNAB%20adopt%C3%A9e%20AG%20FNAB%202016.pdf" target="_blank">cliquer ICI</a></strong></li></ul><p><strong>► LIRE AUSSI</strong></p><ul><li><strong><a href="http://www.sudouest.fr/2016/03/05/c-est-le-grand-boom-du-bio-en-france-et-dans-le-sud-ouest-2291431-4720.php" target="_blank">C'est le grand boom du bio en France et dans le Sud-Ouest</a></strong></li><li><strong>Les articles de Ma planète sur le bio : <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/bio" target="_blank">cliquer ICI</a><br /></strong></li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-318232" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/02/696730861.jpg" alt="charte,bio,fnab,éthique" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em><span class="fn" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px none; font-variant: normal; font-weight: normal; font-stretch: inherit; line-height: 18px; font-family: 'Open Sans',Helvetica,Arial,serif; vertical-align: baseline; color: #000000; letter-spacing: normal; text-align: start; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px; background-color: #ffffff;">Magasin Biocoop à Bordeaux, le 4 mars 2016. Photo archives Guillaume Bonnaud / Sud Ouest</span></em></span></p><p><strong>"De la bio pas que pour les bobos !".</strong> Tel est le slogan de la filière qui veut encourager un accès élargi à l’<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/bio" target="_blank"><strong>agriculture biologique</strong></a>. A condition toutefois que ses principes clés ne soient pas dévoyés par la grande distribution. A cet effet, les acteurs du secteur réunis au sein de la<a href="http://www.fnab.org/" target="_blank"><strong> Fédération nationale de l’agriculture biologique (FNAB)</strong></a>, ont élaboré début avril une <a href="http://www.fnab.org/images/files/actualites/Charte%20FNAB%20adopt%C3%A9e%20AG%20FNAB%202016.pdf" target="_blank"><strong>nouvelle charte</strong> </a>dont l’objectif est d’éviter une "bio au rabais".</p>
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Initiative: le projet de Paris pour acheter bio à prix cassé
tag:maplanetea.blogspirit.com,2016-04-30:3316334
2016-04-30T10:30:00+02:00
2016-04-30T10:30:00+02:00
Biocoop, Naturalia, Bio c’ Bon … L’offre en produits labellisés bio, en...
<p><strong><a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2016/03/24/consommation-le-bio-cartonne-1047394.html" target="_blank">Biocoop, Naturalia, Bio c’ Bon</a>…</strong> L’offre en produits labellisés bio, en plein essor, est aujourd’hui relativement forte, avec des prix en baisse, reconnaît le rapport de l’inspection générale de la ville de Paris. Néanmoins, dans la capitale, les inspecteurs estiment que la<strong> localisation des magasins</strong> – concentrés dans certains quartiers – et le<strong> prix des produits,</strong> excluent une grande partie de la population. Malgré l’existence d’offres alternatives – <strong><a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/amap" target="_blank">AMAP (association pour le maintien de l’agriculture paysanne)</a>, <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/ruche+qui+dit+oui!" target="_blank">Ruche qui dit Oui</a>,</strong> <strong>marchés bio</strong> – proposant des produits à des prix en général plus faibles, l’accès au bio peine à se démocratiser.</p><blockquote><p><em>« L’idée phare du projet (des halles alimentaires, NDLR), c’est d’offrir des produits de qualité pour tous, du CSP+ à la mère isolée ».</em> Nicolas Bonnet, président du groupe PCF-FDG au conseil de Paris qui porte le projet de Halles alimentaires.</p></blockquote><p>Aussi, pour parvenir à mettre le bio à la portée de toutes les bourses, les élus parisiens ont imaginé le<strong> projet des Halles alimentaires,</strong> qui s'appuie sur les recommandations du rapport commandé à l’inspection générale : mobiliser les bailleurs sociaux afin de limiter le coût du loyer, traçabilité des produits, développer le circuit court, s’appuyer sur les entreprises de l’économie sociale et solidaire, s’implanter dans les quartiers identifiés « politique de la ville ».</p><p>Dix opérateurs ont été sélectionnés pour participer à ce projet dont <strong>Kelbongoo, Coopaparis</strong>… Un premier local doit ouvrir cet été dans le<strong> 10e, rue Bichat. </strong>« Nous avons débloqué 1,1 million d’euros de notre Plan d’investissement de mandature pour l’ouverture de ces halles », a précisé Nicolas Bonnet. « A terme, il faut mettre en place, une véritable politique publique de l’alimentation, et que Paris en soit le symbole », a-t-il conclu. Une délibération cadre passera au conseil de Paris début juillet.</p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr" target="_blank"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p><strong>►LIRE AUSSI</strong></p><ul><li><strong>Les articles de Ma Planète sur le bio:<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/bio/" target="_blank"> cliquer ICI</a></strong></li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-316507" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/01/645805737.jpg" alt="biocoop-1600.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em>Magasin Biocoop à Bordeaux. Photo archives Sud Ouest /Guillaume Bonnaud</em></span></p><p><strong>Acheter bio à prix cassé pour bien se nourrir</strong>, c’est possible, et ça doit se faire, explique un rapport sur le<strong><a href="http://www.humanite.fr/des-halles-pour-bien-se-nourrir-bon-marche-604568" target="_blank"> projet de Halles alimentaires à Paris,</a> </strong>qui préconise le <strong>développement des circuits courts et la maîtrise des loyers</strong> afin de proposer du bio à tous.</p>
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Consommation. Biocoop, La Vie Claire, Carrefour... : ces magasins bio qui cartonnent
tag:maplanetea.blogspirit.com,2016-04-04:3316315
2016-04-04T10:52:00+02:00
2016-04-04T10:52:00+02:00
Biocoop, militant du bio depuis 30 ans Honneur à Biocoop , militant du...
<p><strong>Biocoop, militant du bio depuis 30 ans</strong></p><p>Honneur à <a href="http://www.biocoop.fr/" target="_blank">Biocoop</a>, militant du bio depuis 1986, dont le chiffre d'affaire a bondi l'an dernier de<strong> 16,9 %,</strong> à <strong>768 millions d'euros.</strong> La coopérative, qui souffle cette année ses <strong>30 bougies</strong>, a rajouté <strong>33 nouveaux points de vente</strong> en 2015 à ses <strong>383 magasins</strong> et revendique une part de marché de <strong>50 % parmi les réseaux spécialisés</strong>, et entre <strong>14 % et 16 %</strong> pour le marché du bio en général. Une réussite exemplaire pour une enseigne qui revendique ses engagements "politiques" en faveur de l'agriculture biologique et de la consommation responsable et ne se définit <strong>"ni comme une ONG, ni comme une entreprise commerciale, mais comme un mélange des deux"</strong>, selon Patrick Marguerie, directeur de la communication du groupement.</p><p><strong>Acteur n°1 du bio en France<br /></strong></p><p>Pionnière du genre, Biocoop ne comptait que 40 magasins en 1986, dont un dans <strong>l'agglomération bordelaise</strong>. Aujourd'hui, sa clientèle a augmenté de 10 % l'an dernier et l'enseigne ambitionne d'ouvrir 40 nouveaux magasins en 2016, afin de couvrir l'ensemble de l'Hexagone. La société anonyme coopérative qui fédère désormais un réseau de douze groupements d'agriculteurs, soit <strong>2.000 exploitations et 6.000 producteurs locaux, </strong>surfe avec succès sur la vague du bio et se revendique à juste titre comme le premier acteur du secteur en France.<strong><br /></strong></p><p><strong>La Vie Claire en plein boom</strong></p><p><img id="media-315419" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/00/4036289545.jpg" alt="bio,commerce,biocoop,vie claire,carrefour,hausse,chiffre,bilan" />Derrière Biocoop,<strong> <a href="http://www.lavieclaire.com/" target="_blank">La Vie Claire</a></strong> (260 boutiques, dont 198 franchisées) annonce, elle, une progression de<strong> 25 % de ses ventes en 2015,</strong> à 190 millions de chiffres d'affaires. Grâce, notamment, à l'ouverture de<strong> 40 nouveaux magasins </strong>et l'impact d'une gamme de "petits prix". Une croissance qui vient aux trois quarts de la hausse de la fréquentation, constituée elle-même aux trois-quarts de de nouveaux clients, selon le directeur général de l'enseigne, Benoît Soury. Une success story qui se poursuit : La Vie Claire prévoit d'ouvrir encore une quarantaine de points de vente en 2016.</p><p><strong>Carrefour vise une clientèle plus large<br /></strong></p><p>Dans un contexte aussi porteur, rien d'étonnant à ce que<strong> Carrefour,</strong> le premier distributeur de bio en France, pousse ses feux : il y a du "green business" à faire avec le bio, en le mettant à portée d'une<strong> clientèle plus large</strong> que celle des enseignes spécialisées. <strong>Le groupe a développé ses ventes en bio de 11% en 2015</strong> et n'a pas l'intention d'en rester là. L'enseigne spécialisée <strong><a href="http://www.carrefour-bio.fr/" target="_blank">Carrefour-Bio</a>,</strong> 5 points de vente aujourd'hui en Ile-de-France (dont 4 à Paris), compte en créer 5 autres dans les autres grandes agglomérations du pays.</p><p><strong>Où s'arrêtera le bio ?</strong></p><p>Les surfaces bio ont cru de <strong>200.000 hectares</strong> en 2015 (+17% par rapport à 2014), une envolée exceptionnelle en pleine crise agricole. Elles atteignent aujourd'hui 5 % de la surface agricole française, contre 2 % en 2007. Les Français ont désormais envie de s'alimenter plus sainement et le bio représente <strong>4 %</strong> environ de leur consommation alimentaire. L'activité de Biocoop, en hausse de 25% pour les premiers mois de l'année, laisse augurer d'une nouvelle performance en 2016.</p><p><strong><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr" target="_blank">Cathy Lafon</a></strong></p><p><strong>►LIRE AUSSI</strong></p><ul><li><strong>Tous les articles de Ma Planète sur le bio :<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/bio/" target="_blank"> cliquer ICI</a></strong></li><li><strong><a href="http://www.sudouest.fr/2016/03/05/c-est-le-grand-boom-du-bio-en-france-et-dans-le-sud-ouest-2291431-4720.php" target="_blank">C'est le grand boom du bio en France et dans le Sud-Ouest</a></strong></li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-315417" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/00/696730861.jpg" alt="bio,commerce,biocoop,vie claire,carrefour,hausse,chiffre,bilan" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em>Magasin Biocoop à Bordeaux, le 4 mars 2016. Photo "Sud Ouest" / Guillaume Bonnaud</em> </span></p><p>Décidément, en France, <strong>le bio, c'est aujourd'hui une affaire qui marche</strong>. Dans les champs comme sur les étals des commerces.</p><p>Les chiffres publiés au début du mois de mars dernier par l<a href="http://www.agencebio.org/" target="_blank">'<strong>Agence bio,</strong></a> à la veille du Salon de l'agriculture 2016, témoignaient déjà de<a href="http://www.sudouest.fr/2016/03/05/c-est-le-grand-boom-du-bio-en-france-et-dans-le-sud-ouest-2291431-4720.php" target="_blank"><strong> la belle santé du secteur. </strong></a>Les résultats des deux grandes enseignes historiques<strong> Biocoop et La Vie Claire</strong> enfoncent le clou. Si le bio continue son développement global exponentiel, avec une progression de <strong>10 % en 2015</strong>, et un chiffre d'affaire annuel de <strong>5,5 milliards d'euros</strong>, les deux leaders historiques enregistrent des croissances supérieures, de l'ordre de 20 %. Et <strong>Carrefour,</strong> en embuscade, se prépare à obtenir une belle part du gâteau. Bio, bien sûr.</p>
maplanete
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Alimentation : en France, on va ”manger local” à la cantine
tag:maplanetea.blogspirit.com,2016-01-15:3316259
2016-01-15T15:30:00+01:00
2016-01-15T15:30:00+01:00
Comportements plus responsables "De nombreuses expériences ont démontré...
<p><strong>Comportements plus responsables</strong></p><p>"De nombreuses expériences ont démontré que manger local entraîne des comportements plus responsables: recherche de produits bio, réduction du gaspillage alimentaire, tri des déchets, etc...", alors qu'u<strong>ne "denrée alimentaire parcourt en moyenne 3.000 km</strong> avant d'atterrir dans nos assiettes", note l'exposé des motifs de la proposition de loi, évoquant un <strong>bénéfice "pour l'emploi, l'environnement et le lien social".</strong></p><p><strong>Développement durable, circuits courts et saisonnalité</strong></p><p>D'ici au 1er janvier 2020, la composition des repas servis dans les restaurants collectifs publics devra donc inclure <strong>40% de produits mentionnant la qualité et l'origine</strong>, issus de circuits courts, ou répondant à des critères de développement durable, notamment la saisonnalité, dont <strong>20% issus de l'agriculture biologique</strong>. <strong>L'observatoire de l'alimentation</strong> sera, entre autres, chargé de définir les outils méthodologiques pour permettre aux organismes publics et privés de restauration collective de définir ces 40%. </p><p><strong>La fin du lapin chinois dans les cantines ?<br /></strong></p><p>Si plusieurs collectivités ont déjà engagé le mouvement, notamment dans la région, il y a du chemin à faire pour le "manger local", ont relevé plusieurs députés. Ainsi<strong>, 70% de la viande cuisinée et consommée dans les cantines tricolores est importée</strong>. C'est l'inverse en Allemagne. "L'hôpital de Saint-Brieuc importait massivement il y a quelques mois de la viande polonaise", pointe Marc Le Fur (Les Républicains). De même, selon le radical de gauche Jean-Noël Carpentier, "dans les cantines de certains départements du sud-ouest (...), on servait aux enfants, il y a encore quelques mois, du lapin chinois" pour "réduire au maximum le prix des menus"... Oups.</p><p><strong>Et le bio ?</strong></p><p>"Manger local", pour la planète et pour les agriculteurs, c'est bien. Et ça va avec le bio. Aussi, sans pour autant bouder son plaisir, on ne peut que regretter la frilosité du texte en la matière : si <strong>40% des aliments</strong> proposés dans les cantines devront être issus en 2020 de la <strong>production locale,</strong> selon la loi votée ce jeudi 14 janvier, seuls <strong>20% d'entre eux devront être bios</strong>, conformément au Grenelle de l'environnement, qui commence à dater. Pourtant manger bio dans la restauration collective, c'est encore <strong>plus important pour la santé</strong> que manger local...</p><p><strong>La Gironde, championne du bio dans les cantines</strong></p><p><img id="media-310881" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/02/3927530842.jpg" alt="cantine bio.jpg" />Et surtout, c'est possible.<strong> Paris</strong> s’est fixé en juin dernier un objectif de <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2015/09/07/initiative-a-paris-en-2020-50-des-cantines-scolaires-seront-1038855.html" target="_blank"><strong>50% d’alimentation "durable" et bio </strong></a>dans la restauration collective, notamment scolaire, à l’horizon 2020, contre environ un quart en 2013. <strong>La Gironde,</strong> <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2015/10/23/la-gironde-palme-verte-des-departements-les-plus-ecologiques-1042654.html" target="_blank"><strong>première en 2015 au hit parade des départements verts de France</strong></a>, selon le palmarès annuel de "La Vie", donne déjà l'exemple.</p><p>En 2013, <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2013/03/21/restauration-scolaire-la-cantine-de-begles-meilleure-eleve-d.html" target="_blank"><strong>Bègles, Bordeaux et Mérignac</strong> </a>étaient les trois villes qui arrivaient en tête du classement des cantines scolaires, réalisé ce mois-ci par <a href="http://www.quechoisir.org/alimentation/nutrition/communique-cantines-scolaires-les-mauvais-eleves-de-la-qualite-nutritionnelle-sont" target="_blank"><strong>l'UFC que choisir</strong></a> sur l'ensemble du territoire français. Bègles, qui obtenait une des meilleures notes du pays, caracolait en tête des restaurants scolaires girondins avec une note globale de 18,9, suivie par Bordeaux, avec 18,5 et Mérignac, avec 16,5. <strong>Un succès légitime qui couronnait aussi leur passage au bio</strong>. Totalement bio depuis 2002, <strong>Bègles</strong> reste la première municipalité de la région à avoir fait ce choix. Bordeaux et Mérignac ont une<a href="http://www.le-gout-dans-nos-assiettes.com/" target="_blank"> <strong>cuisine centrale commune (le SIVU Bordeaux-Mérignac)</strong> </a>qui alimente les écoliers des écoles maternelles et élémentaires, mais aussi les centres de loisirs, les clubs seniors, les restaurants municipaux et les repas livrés à domicile. Soit la bagatelle de 20.000 repas par jour et de 3 millions de repas par an. En juin 2012, elle a atteint le <a href="http://www.ecoquartier-terresud.com/actualites/begles_mise_a_l_honneur_pour_son_engagement_en_faveur_du_bio-a23.html" target="_blank"><strong>taux de 23,6 % de bio</strong> </a>dans le volume total de ses achats, dépassant ainsi l'objectif de 20 % fixé par le <strong>Grenelle de l'environnement.</strong></p><p>Le texte prévoit aussi que les grandes entreprises intègrent dans leur rapport sur leur<a href="http://www.novethic.fr/isr-et-rse/comprendre-la-rse.html" target="_blank"><strong> Responsabilité sociale et environnementale (RSE)</strong></a> des informations sur leurs engagements en faveur de l'alimentation durable. Par ailleurs, la proposition de loi étend, à la satisfaction de l'ex-ministre PS Benoît Hamon, <strong>le label "fait maison"</strong> à la restauration collective, publique ou privée, pour mieux informer les consommateurs et valoriser le travail des cuisiniers.</p><p><strong><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr" target="_blank">Cathy Lafon</a></strong></p><p><strong>►LIRE AUSSI</strong></p><ul><li><strong>Les articles de Ma Planète sur les cantines scolaires: <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/cantine+scolaire" target="_blank">cliquer ICI</a><br /></strong></li><li><strong>Les articles de Ma Planète sur le bio : <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/bio/" target="_blank">cliquer ICI</a><br /></strong></li></ul><p style="text-align: center;"> <img id="media-310879" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/02/1659691559.jpg" alt="cantine bio école.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 8pt;"><em>Manger local et bio à l'école, c'est bon pour la planète et pour la santé ! Photo archives AFP</em></span></p><p>Pour favoriser le<strong> "manger local"</strong> dans la <strong>restauration collective publique</strong>, l'Assemblée nationale a adopté ce jeudi à l'unanimité <a href="http://www.assemblee-nationale.fr/14/propositions/pion3280.asp" target="_blank"><strong>une proposition de loi écologiste</strong></a> prévoyant notamment, d'ici 2020, <strong>40% de produits issus de l'alimentation durable, locaux, de saison. <br /></strong></p><p>Porté par<a href="http://brigitteallain.eelv.fr/ma-proposition-de-loi-pour-manger-local/" target="_blank"> <strong>Brigitte Allain</strong>, </a>agricultrice et députée écologiste de la Dordogne, qui avait publié en juillet dernier un rapport intitulé "Et si on mangeait local...", ce texte cherche à "favoriser l'ancrage territorial de l'alimentation" et à répondre à "une attente citoyenne". Une pétition en ce sens lancée par<strong> <a href="http://cantinebio.agirpourlenvironnement.org/" target="_blank">Agir pour l'environnement</a></strong> a recueilli plus de 100.000 signatures.</p>
Action Barbès
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Du bio sans emballage pas trop loin... à voir !
tag:actionbarbes.blogspirit.com,2015-12-10:3059117
2015-12-10T07:00:00+01:00
2015-12-10T07:00:00+01:00
La proximité de la tenue de la COP21 fait fleurir des offres commerciales...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">La proximité de la tenue de la COP21 fait fleurir des offres commerciales intéressantes. Telle cette boutique établie pour une courte durée dans un local revisité par la SEMAEST au <span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" href="https://www.google.fr/maps/place/14+Rue+du+Ch%C3%A2teau+d'Eau,+75010+Paris/data=!4m2!3m1!1s0x47e66e0e7bf9d6e7:0x134f34c03384ecdc?sa=X&ved=0ahUKEwiO9tqcqb3JAhUB6RoKHSXiDW8Q8gEIHjAA" target="_blank">14 rue du Château d'eau</a></span>. Prévue d'abord pour quelques semaines pendant cet événement exceptionnel, elle pourra se maintenir deux mois de plus grâce à une clientèle nombreuse et la disponibilité des locaux. Au-delà on ne sait pas. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Souvent nous glanons des informations locales sur la bande passante des </span><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">tweets qui s'affichent sur nos smartphone. Regardez deux jours avant l'ouverture ce qu'on pouvait y lire :</span></p><blockquote class="twitter-tweet" lang="fr"><p dir="ltr" lang="fr" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">J-2 avant l'ouverture officielle de la 1ere boutique 0 emballage, 0 déchet avec <a href="https://twitter.com/Biocoop">@Biocoop</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/POPUP?src=hash">#POPUP</a> <a href="https://twitter.com/CoStoParis">@CoStoParis</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/COP21?src=hash">#COP21</a> <a href="https://t.co/Uvn2CpWZoP">pic.twitter.com/Uvn2CpWZoP</a></span></p>— Semaest (@Semaest) <a href="https://twitter.com/Semaest/status/661111792421203969">2 Novembre 2015</a></blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">L'installation a reçu la visite de quelques élus du 10e pour encourager l'opération, c'était l'inauguration officielle, et il y a quelques jours la nôtre, plus sobre et plus anonyme... pour acheter quelques denrées en vrac. Notamment tester le goût des fruits, dont il est tellement difficile d'en trouver de bons et savoureux à Paris... </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-894022" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/00/01/447256464.jpg" alt="paris,10e,environnement,bio,biocoop,commerce" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Le Figaro s'est penché aussi sur le berceau de cette nouvelle aventure bio, <span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" title="le Figaro du 3 Nov 2015" href="http://www.lefigaro.fr/conso/2015/11/03/05007-20151103ARTFIG00020-la-premiere-superette-100-vrac-s-ouvre-a-paris.php" target="_blank">c'est ici</a></span> et c'est l'article du 3 novembre dernier.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-894024" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/01/00/2247482202.jpg" alt="paris,10e,environnement,bio,biocoop,commerce" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">A noter des bocaux que l'on peut garnir de bons muesli, ou de fruits secs. Une idée cadeau pour les fêtes ? </span> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-894023" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://actionbarbes.blogspirit.com/media/00/01/128821032.jpg" alt="paris,10e,environnement,bio,biocoop,commerce" /></p><p style="text-align: justify;"> </p><p><script charset="utf-8" type="text/javascript" src="http://platform.twitter.com/widgets.js"></script></p>
shako
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recensement des cabines # 16 La Vraie-Croix
tag:doelan.blogspirit.com,2015-06-13:3049710
2015-06-13T09:30:00+02:00
2015-06-13T09:30:00+02:00
Dimanche matin, nous avons pris notre petit-déjeuner dans une ferme bio qui...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Dimanche matin, nous avons pris notre petit-déjeuner dans une ferme bio qui se situe près du village de la Vraie-Croix à un quart d'heure de Vannes. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Camors- La Vraie-Croix : 51 kms, 54 mns (source Mappy)</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-870488" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://doelan.blogspirit.com/media/02/00/2968928999.jpg" alt="recensement des cabines,la vraie-croix,morbihan,bio" /></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">C'était une idée de Prisca, cela s'appelait <a href="http://fete-du-lait-bio.fr/">la fête du lait bio</a> et moi, je ne suis pas têtu comme une mule et j'ai tellement de préjugés sur ce milieu que j'avais tout à gagner à y participer. Il est vrai que nous avons déjeuné copieusement (à tel point que le déjeuner fut rendu inutile), tout était à volonté. Des tables étaient installées dans une étable, il y avait pas mal de monde, nous mangions sur la paille et le choix était varié (pain, fromage, confitures...). Il y avait de quoi se remplir la panse à peu de frais ( 5€ de mémoire). Ça c'était le bon côté des choses. Après il a fallu faire sa propre vaisselle dans la joie et la bonne humeur de se retrouver entre gens qui ont compris que le bio, c'est bien, c'est solidaire et que les autres, c'est des méchants. L'envers du décor est tout autre. On avait déjà remarqué sur le parking les vieilles bourlingues polluantes avec les affichettes <em>non à l'aéroport</em> et <em>non à la ferme des mille vaches</em>. Contradiction donc entre désir de vivre écolo et conduire des poubelles qui brûlent 12 litres au cent. Sur place, on ne peut pas dire que l'accent était mis sur la présentation. La ferme fait un peu foutoir, le hangar est bringuebalant, les femmes souvent mal habillées (pantalons en tissus légers larges et qui ne sont pas allés chez le coiffeur depuis la mort de Mitrand). Je suis un peu de mauvaise foi, hein, je le dis de suite mais j'ai envie. Les hommes se laissent pousser la barbe et les toilettes sèches sont à peine camouflées par un rideau sommaire. Le site en général est moyen et ne peut prétendre à participer au concours des fermes fleuries. J'ai acheté une plante d'absinthe et une courge à une dame qui dormait sur un banc en se cachant du soleil par un chapeau de soleil en paille d'orge de Plumergat.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-870494" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://doelan.blogspirit.com/media/02/01/1500381785.JPG" alt="recensement des cabines,la vraie-croix,morbihan,bio" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Voilà, pour le début de matinée. Repus, nous décidons de nous rendre à <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Vraie-Croix">La Vraie-Croix</a>, commune connue pour ses vieilles pierres et pour être un village fleuri. J'avoue qu'à ce moment, je ne pensais pas du tout aux cabines. J'étais encore en train de digérer le fromage de brebis frelaté et j'avais envie d'une petite mousse pour digérer tout ça. On a visité le village, un joli petit village peuplé de 1400 langroëziens. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">On a tout de suite remarqué l'une des deux églises, la chapelle des templiers datant de 1611. Un bel édifice avec les abords fleuris et disposant d'un tunnel pour rejoindre l'autre côté du village. </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-870448" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://doelan.blogspirit.com/media/00/00/2297818022.JPG" alt="LAVRAIECROIX070615 (7).JPG" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Cette fougère arborescente n'a pas échappé à mon attention :</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-870449" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://doelan.blogspirit.com/media/00/00/3762876532.JPG" alt="LAVRAIECROIX070615 (39).JPG" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Ni d'ailleurs celles-ci qui doivent être des plumes d'autruche :</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-870450" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://doelan.blogspirit.com/media/02/01/2574376228.JPG" alt="LAVRAIECROIX070615 (44).JPG" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Voici une vue d'ensemble de la place avec son tulipier sur patte au milieu (dixit Prisca qui voit des tulipiers partout mais en en fait, c'en est bien) et au fond l'autre église (Saint-Isidore) , parce qu'il faut bien deux églises dans un patelin où pratiquent 50 habitants. </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-870451" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://doelan.blogspirit.com/media/00/02/3661795588.JPG" alt="LAVRAIECROIX070615 (37).JPG" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Il y a tout ce qu'il faut en commerce, l'habitant travaillant (ou étant assisté) dans le bourg a la possibilité de ne jamais en sortir. On regrettera que certains commerces aient refait des bâtiments à neuf (comme <a href="http://www.ouest-france.fr/le-comptoir-de-steff-des-services-de-proximite-3033840">le comptoir de Steff</a> avec son enduit béton) ou la bou</span><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">langerie en pierre certes mais trop rénovée pour être dans l'esprit des lieux) </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-870459" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://doelan.blogspirit.com/media/00/02/2535483551.jpg" alt="montagelavraiecroix.jpg" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Je vous épargne tous les bacs à fleurs, les parterres à part peut-être celui-là avec ce que je crois être des absinthes (que je viens justement d'acheter) :</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-870460" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://doelan.blogspirit.com/media/00/02/2542415887.JPG" alt="LAVRAIECROIX070615 (35).JPG" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Ensuite, nous sommes allés nous rafraîchir les idées au <em>Pierlaë café</em> où nous avons pu profiter depuis la terrasse de la beauté du bourg. C'est à ce moment qu'il m'est venu l'idée de demander au patron si cet humble village disposait d'une cabine téléphonique. La réponse fut claire et sans ambage : non et depuis longtemps. Bon, c'était juste comme ça, histoire de joindre l'utile à l'agréable. Nous quittons les lieux pour nous rendre sur Vannes (sans passer par Larré, village qui est au boulot est un sujet de moquerie avec mon collègue..)</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-870461" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://doelan.blogspirit.com/media/02/01/3003091670.JPG" alt="LAVRAIECROIX070615 (9).JPG" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">En quittant le village, j'ai repéré tout de suite la cabine en face de l'école. Surprise donc et émoi dans la voiture. Il s'agit d'un type de cabine peut courant, elle se situe au milieu d'un parterre et elle fonctionne parfaitement. Mes filles l'ont essayée. Prisca a appelé ( 02 97 67 25 86 ) depuis son smartphone, cela a sonné etc etc. En plus de tous ces commerces, de ces deux chapelles, de ces fleurs, les habitants disposent en plus d'une cabine..et d'une ferme bio à quelques kilomètres. Le paradis sur terre.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-870462" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://doelan.blogspirit.com/media/01/02/570680872.JPG" alt="LAVRAIECROIX070615 (53).JPG" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Moralité de cette histoire : il ne faut jamais se fier aux autochtones quand on leur demande si leur commune dispose d'une cabine. J'avais failli me faire avoir à Landaul également et par un patron de café également, comme par hasard. Au fait, on m'a appris que le café de Renée qui se situe près de la gare de Landaul allait bientôt fermer...snif...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Après-midi, direction <a href="http://doelan.blogspirit.com/archive/2015/06/07/visite-du-chateau-de-penvern-finalement-3049217.html">château de Penvern en </a></span><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"><a href="http://doelan.blogspirit.com/archive/2015/06/07/visite-du-chateau-de-penvern-finalement-3049217.html">Persquen</a>. 1H30 de route quand même...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">visite le 07.06.2015, beau temps. article rédigé le 12.06.2015</span></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Loïc LT, recenseur de cabines téléphoniques ne faisant plus confiance aux patrons de café. </span></em></p>
maplanete
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En Dordogne, les coiffeurs passent au vert
tag:maplanetea.blogspirit.com,2015-03-24:3315984
2015-03-24T10:30:00+01:00
2015-03-24T10:30:00+01:00
Avoir des cheveux tout beaux tout bio, c'est de plus en plus possible,...
<p style="text-align: center;"><img id="media-287562" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/00/3676520495.jpg" alt="salon vert.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><em>Avoir des cheveux tout beaux tout bio, c'est de plus en plus possible, grâce au réseau "</em><em>Développement durable, mon coiffeur s’engage". Photo DR</em></span><strong><br /></strong></p><p>Bonne nouvelle pour les éco-coquettes périgourdines : les <strong>coiffeurs de la Dordogne</strong> s’engagent dans le développement durable avec six nouveaux salons labellisés "<strong><a href="http://moncoiffeursengage.com/" target="_blank">Développement durable, mon coiffeur s’engage"</a>.</strong> Initié par la profession de la Coiffure et porté par les<strong><a href="http://www.coiffurenet.com/" target="_blank"> Institutions de la Coiffure</a></strong>, le label de la "green coiffure" poursuit dans la région le développement de son réseau de salons bio.</p><p><strong>La Dordogne, département en pointe</strong><br /><br /><img id="media-287559" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/02/3801651737.jpg" alt="label dév durable coiffure.jpg" width="90" height="79" />Allez savoir pourquoi,<strong> le concept du cheveu "bio" fait fureur en Dordogne, </strong> l’un des départements les plus représentatifs de la mobilisation des coiffeurs en faveur de la démarche de développement durable. A ce jour, sur les<strong> quinze salons qui bénéficient de la labellisation en Aquitaine</strong>, <strong>douze sont installés </strong>au pays de la grotte de Lascaux et du site préhistorique des Eyzies. Parmi eux, les salons « Valérie Coiffure » (Cours-de- Pile), « Tendance Coiffure » (Sarlat-la-Caneda), « Coiffure Laurence » (Rouffignac-Saint-Cernin-de-Reilac) et « Salon Combe Bernard » (Bergerac) ont même obtenu trois étoiles en matière de performance développement durable. Pas mal non plus pour « Coiff Influence » (Cibjac) et «Cile Coiffure » (Périgueux), qui ont acquis leurs deux étoiles. Et d’autres dossiers de candidatures sont en cours de traitement : il y aura un jour plus de coiffeurs verts que de restaurants étoilés dans un département roi de la gastronomie made in Sud-Ouest...</p><p><strong>Un engagement é</strong><img id="media-287557" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/00/3571893454.jpg" alt="hair punch.jpg" /><strong>co-citoyen et des actions concrètes</strong></p><p>Pour faire partie du réseau des<strong> <a href="http://moncoiffeursengage.com/" target="_blank">Ambassadeurs «Développement durable, mon coiffeur s’engage»</a>,</strong> une labellisation accordée pour trois ans, les salons de coiffure s’engagent à respecter les principes énoncés dans la <strong><a href="http://www.moncoiffeursengage.com/sites/default/files/PDF/dp_sept_2014_hd.pdf" target="_blank">Charte de développement durable de la profession de la coiffure</a> </strong>et à adopter, au quotidien, des comportements destinés à <strong>réduire les consommations des ressources</strong> (eau et électricité), à <strong>améliorer la santé de se</strong><strong>s salariés</strong> et à assurer le <strong>bien-être de sa clientèle</strong>. Parmi les multiples actions éco-citoyennes menées au quotidien par ces éco-salons, on relève : le recyclage et le tri des déchets, l’utilisation de mousseurs pour réduire la consommation d'eau, l'éclairage aux ampoules LED, l’utilisation de matériels ergonomiques pour les équipes et, enfin, l’<strong>application de produits respectueux de l’environnement, </strong>du cheveu et de la peau. En revanche, oubliez le blond platine : les colorations uniquement végétales et bio ne peuvent pas tout faire ! Quant à celles qui ne rêveent que boucles et frisettes alors qu'elles ont le cheveu désespérément raides, c'est aussi un poil compliqué : les permanentes sont toujours plus ou moins chimiques, même s'il existe aujourd'hui des produits plus écologiques. </p><p><strong>L'écologie, tout le monde y trouve son compte<br /></strong></p><p><img id="media-287569" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/00/2169461170.jpg" alt="coiffure,salon,bio,développement durable,dordogne,aquitaine,sud-ouest" />Dans le département, les Institutions de la Coiffure bénéficient du soutien de <strong>Patricia Faurie </strong>(photo ci-contre), responsable du <strong><a href="http://www.hairpunch.fr/fr/" target="_blank">salon labellisé bio « Hair Punch»</a> à Périgueux </strong> et élue à la Chambre des Métiers et de l’Artisanat (CMA) de Dordogne et la CMA d’Aquitaine. Avec conviction et détermination, la coiffeuse qui concilie beauté et santé capillaire dans son propre salon, favorise le déploiement du label en sensibilisant le plus grand nombre, professionnels de la coiffure et clientèle. Chez<a href="http://www.sudouest.fr/2014/04/24/hair-punch-passe-au-vert-1534302-1980.php" target="_blank"><strong> "Hair Punch</strong></a>", un complexe de beauté 100% verte qui accueille hommes et femmes sur quatre niveaux et une surface de 250m2,<strong> tout est écolo,</strong> des peintures bio au lustre en carton recyclé. <strong>«Convaincue par les bienfaits de cette démarche éco-citoyenne indispensable, j’incite mes collègues à la suivre car tout le monde y trouve son compte»</strong> explique Patricia Faurie.</p><p>Il est vrai que les coiffeurs labellisés "développement durable" parviennent à réaliser jusqu’à <strong>70% d’économie en eau et 45% en électricité</strong> tout en protégeant leur santé et celle de leurs clientes, en appliquant une cosmétique bio non agressive pour l'organisme. Une démarche exemplaire à suivre.</p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>PLUS D'INFO</strong></p><ul><li><strong>Le label « Développement durable, mon coiffeur s’engage » :<a href="http://%20www.moncoiffeursengage.com" target="_blank"> cliquer ICI </a></strong></li></ul>
Ariane
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Miam, deux ”cantines” parisiennes pleines de saveur
tag:ariane.blogspirit.com,2014-09-29:3016967
2014-09-29T08:30:00+02:00
2014-09-29T08:30:00+02:00
J'essaie aussi souvent que possible de me préparer un bento pour mon...
<p>J'essaie aussi souvent que possible de me préparer un bento pour mon déjeuner. C'est d'autant plus nécessaire que, étant très souvent en consultation sur l'heure du repas de midi, je mange en décalé vers 13h45-14h. Je risque alors de trouver porte close ou une carte réduite aux derniers plats délaissés. Mais je ne me mets pas la pression, je ne "lunchboxe" pas tous les jours et j'aime aussi sortir découvrir de nouveaux lieux. J'ai ainsi été doublement ravie ces derniers jours.</p><p>J'ai découvert <a href="http://blogs.lexpress.fr/styles/la-soif-du-miam/2014/08/28/mure-restaurant-bio-local-paris-2/" target="_blank">grâce à Anne-Laure Pham</a>, la pétillante rédactrice en chef du magazine <strong><em>Zeste,</em></strong> un délicieuse "cantine" assez "tendance", <strong>Mûre. </strong>Ce n'est malheureusement pas tout proche de mon cabinet mais j'ai profité d'une réunion à proximité pour m'y attabler et je me suis régalée. Tellement savoureux et frais que j'y suis déjà retournée une deuxième fois exprès (j'adore marcher, il faisait beau, donc ce ne fut pas une contrainte). Il y a notamment des assiettes avec un trio de salades (7,10 euros) qui sont très réussies dans l'art de mêler les goûts, les textures, d'assaisonner avec justesse... Même la betterave, associée à d'autres, devient plaisante ! Il y aussi un plat du jour mais quand j'arrive, il est fini depuis longtemps... Je suis un tantinet agacée par le côté "on surfe sur les modes" des pâtisseries sans gluten mais bon, passons...</p><p style="text-align: center;"><img id="media-820974" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://ariane.blogspirit.com/media/01/02/332434833.2.jpg" alt="002.jpg" width="393" height="221" /></p><p><img id="media-820975" style="text-align: center; margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://ariane.blogspirit.com/media/01/00/783328289.2.jpg" alt="003.jpg" width="391" height="220" /></p><p>J'ai aussi découvert <strong>la Table Verte</strong> (pas vraiment nouvelle, elle, puisque l'épicerie date de 1979...) <a href="http://scally.typepad.com/cest_moi_qui_lai_fait/2014/09/la-table-verte-cantine-bio-v%C3%A9g%C3%A9tarienne-paris-17-coup-de-c%C5%93ur.html" target="_blank">grâce à <strong>Pascale Weeks</strong></a> , un lieu bio et végétarien, et j'ai eu le plaisir d'y déjeuner avec elle. Au menu, plusieurs formules. J'ai choisi une part de tarte salée du jour (courge, bettes, courgette) + deux crudités râpées (carottes / chou & co). C'était frais, goûteux, nourrissant (tarte aux légumes très réussie), et vraiment abordable pour le quartier (Ternes) (cette formule est dans les 8 euros). Si vous vous interrogez sur la sauce blanche, il y a une petite confusion sur l'assaisonnement, on me propose "soja" et je pense sauce soja alors que c'était au lait de soja (pas mauvais par ailleurs).</p><p style="text-align: center;"><img id="media-820976" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://ariane.blogspirit.com/media/01/01/332434833.2.jpg" alt="002.jpg" width="391" height="220" /></p><p>Dans les deux cas, on mange, pour un prix très raisonnable, dans une "vraie" assiette ! Cela change tout car j'ai de moins en moins envie de manger dans du plastique style Cojean & co.</p><p>Et vous, vous fréquentez ce type de "cantines" saines et gourmandes ?</p><p><a href="http://www.mure-restaurant.com/" target="_blank"><strong>Mûre</strong></a>, 6 rue Saint-Marc, Paris 2ème</p><p><a href="http://www.lepicerieverte.com/" target="_blank"><strong>La Table Verte</strong></a>, 5 rue Saussier Leroy, Paris 17eme, tel : 01 47 64 19 68</p>
maplanete
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Mon été en mode écolo. En Charente et en Dordogne, je cueille des pommes écoresponsables
tag:maplanetea.blogspirit.com,2014-08-25:3315815
2014-08-25T10:30:00+02:00
2014-08-25T10:30:00+02:00
"Vergers ouverts, vergers écoresponsables" en Charente et en Dordogne,...
<p style="text-align: center;"><img id="media-268963" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/00/2770078163.jpg" alt="pomiculture,vergers,écoresponsable,bio" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><em>"Vergers ouverts, vergers écoresponsables" en Charente et en Dordogne, deux journées à ne pas rater. Photo opération "Vergers ouverts"</em></span></p><p style="text-align: left;" align="center">Cette année encore, les 30 et 31 août 2014, c'est<a href="http://www.lapomme.org/actualites/2013-2014/actus.php" target="_self"><strong> « Vergers ouverts »</strong></a> chez les pomiculteurs de la région, à<strong> Reignac en Charente et à Grun-Bordas et à Saint-Cyr-les-Champagnes en Dordogne !</strong></p><p style="text-align: left;" align="center"><strong>29 "Vergers écoresponsables"</strong></p><p>Pour la 4ème année consécutive, le temps d’un week-end,<strong> les pomiculteurs de l’<a href="http://pommespoires.com/" target="_blank">Association Nationale Pommes Poires</a></strong> accueillent les visiteurs au cœur de leur verger. C'est l'occasion rêvée pour rencontrer ces passionnés de leur métier, acteurs des <strong>« Vergers écoresponsables ». Ainsi, les 30 et 31 août prochains</strong>, le grand public et les aficionados de la pomme sont conviés à pousser les portes de l’un des<strong> 29 "Vergers Écoresponsables"</strong> participant à l’événement « vergers ouverts ».</p><p><strong><img id="media-268962" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/02/2144024714.jpg" alt="pomiculture,vergers,écoresponsable,bio" />Tout sur la pomme !</strong></p><p>Dans la région, la Charente et la Dordogne se mettent à l'heure de ces deux jours, pleins de simplicité et d’authenticité, qui sont l’occasion pour les pomiculteurs de partager la passion de leur métier et de dévoiler <strong>tous les secrets qui entourent la production du fruit préféré des Français e</strong>n plongeant les visiteurs dans l’univers des vergers écoresponsables. Au-delà des visites pédagogiques organisées par les pomiculteurs, ce moment se veut également <strong>ludique</strong>. Certains vergers proposeront des animations exceptionnelles telles que la<strong> libre cueillette, des ateliers pour les enfants et, pour les plus gourmands, des dégustations.</strong></p><p>Attention, pour certains vergers, il faut s'inscrire à l'avance... Régalez-vous !</p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>CONTACTS</strong></p><ul><li><strong>Charente: SCEA TASTET, </strong>Daniel et Isabelle Sauvaitre, Le Tastet, 16360 REIGNAC. Tel : 05 45 78 54 23. <strong>Verger ouvert les 30 et 31 Août, SUR inscription </strong>avant le vendredi 29/08-17h au 05 45 78 54 23, Visite pédagogique en verger par le producteur.</li><li><p><strong>Dordogne :</strong></p></li></ul><p><strong>- SCEA MERILLOU, </strong>Pascal MERILLOU, Le Verdier, 24270 SAINT CYR LES CHAMPAGNES, tél : 06 83 03 21 97. Site : <strong><a href="http://%20www.pomme-limousin.org" target="_blank">www.pomme-limousin.org. </a></strong>Verger ouvert les 30 et 31 Août <strong> SANS inscription. </strong>Accueil de 10h à12h et de 14h à 18h. Visite pédagogique en verger par le producteur. Libre cueillette.</p><p><strong>- SCEA La Califormie</strong>, Côme Lapierre, La Vernide, 24380 GRUN BORDAS, tél : 06 22 66 80 49. <strong>Verger ouvert les 30 et 31 août. SUR inscription au 06 22 66 80 49</strong>. Visite pédagogique en verger par le producteur.</p><p><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>LIRE AUSSI</strong></p><ul><li><p id="p1"><strong><a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2012/03/18/on-a-retrouve-la-pomme-d-adam-et-eve.html" target="_blank">Agriculture bio. Après le vin, on a retrouvé la pomme d'Adam et Eve</a></strong></p></li><li><strong>Les articles de Ma Planète sur l'agriculture bio : <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/agriculture+bio" target="_blank">cliquer ICI</a></strong></li></ul>
Bredin
http://bar-zing.blogspirit.com/about.html
Fruits, légumes, viandes et boissons
tag:bar-zing.blogspirit.com,2014-07-31:3012396
2014-07-31T12:51:00+02:00
2014-07-31T12:51:00+02:00
TOUS COMPLICES producteurs, distributeurs, vendeurs,...
<p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: x-large;"><strong>TOUS COMPLICES</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: x-large;"><strong>producteurs, distributeurs, </strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: x-large;"><strong>vendeurs, consommateurs</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-812809" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/3076724116.jpg" alt="Viande étoilée.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: x-large;"><strong>ÉLEVAGE EN PLEIN-AIR</strong></span></p><p style="text-align: center; padding-left: 240px;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;"><strong>(pub)</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p>
maplanete
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Ces bonnes nouvelles vertes de 2014. Aujourd'hui : le bio, ça cartonne !
tag:maplanetea.blogspirit.com,2014-07-29:3315822
2014-07-29T10:30:00+02:00
2014-07-29T10:30:00+02:00
Choisir de s'alimenter bio, c'est bon pour le développement...
<p style="text-align: center;"> <img id="media-268404" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/02/1537730134.jpg" alt="bio.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><em>Choisir de s'alimenter bio, c'est bon pour le développement durable, pour la planète et pour notre santé. Photo archives "Sud Ouest" Emilie Drouinaud</em></span></p><p style="text-align: left;"><strong>C'est l'été... "Ma Planète part" en vacances,</strong> bien vertes et bien méritées vous en conviendrez ! Mais l'écolo-blog de "Sud Ouest" ne vous abandonne pas pour autant et vous a préparé une <strong>série spéciale, "Retour sur les bonnes nouvelles vertes de 2014", </strong> pour vous accompagner quotidiennement (ou presque) jusqu'à la rentrée de septembre.</p><p><strong>Halte à la sinistrose !</strong> L'actualité écolo ne se résume pas qu'à des <strong>catastrophes</strong>... Pour vous en convaincre et vous aider à reprendre le boulot en septembre gonflé à bloc, "<strong>Ma Planète" vous propose de revisiter ces infos ultra positives qui ont fait le bonheur des écolos cette année.</strong> Aujourd'hui : <strong>les excellents résultats du marché du bio...</strong></p><p id="p1"><span style="font-size: small; color: #000000;"><strong>En France comme aux Etats-Unis, le marché du bio cartonne</strong></span></p><p><strong>25 avril 2014. En France, le marché du bio pèse aujourd’hui 4,1 milliards d'euros, avec une croissance d'environ 5% en 2013 qui dépasse le chiffre de 3 % qui avait été prévu. Tel est le résultat de<a href="http://blogs.sudouest.fr/admin/posts/%20la%20soci%C3%A9t%C3%A9%20d%27%C3%A9tudes%20Xerfi%20publie%20un%20dossier%20sp%C3%A9cial%20%22agro-alimentaire%22%20qui%20contient%20un%20volet%20sur%20l%27agriculture%20bio." target="_blank"> l'étude réalisée par Xerfi sur l'agriculture bio,</a> publiée en février dernier. </strong></p><p>Xerfi avait prévu une croissance de +3% en 2013 : Le bio continue donc son expansion mais qu’en est-il vraiment de la consommation du bio par les Français ? On peut le découvrir grâce à une<a href="http://www.ma-reduc.com/img/event/infographie_les_francais_et_le_Bio.jpg" target="_blank"><strong> infographie 100% Bio </strong></a>réalisée avec<strong> l'institut de sondage BVA</strong>, par<strong> <a href="http://www.ma-reduc.com/" target="_blank">ma-Reduc.com, </a></strong>site communautaire de bons de réductions et de bons plans en ligne </p><p><strong>La consommation du bio en chiffres</strong></p><p>L'infographie décrypte la<strong> consommation du bio par les Français en chiffres</strong> : la fréquence d'achat, le budget, les dépenses par semaine et par foyer, qui sont les consommateurs de bio et quelles sont leurs motivations, ou encore les produits stars du bio... Malgré un contexte économique difficile, on s'aperçoit que <strong>75% des Français sont prêts à dépenser plus pour manger mieux</strong>. Ainsi, on observe que l<strong>e budget bio a augmenté pour 24% des Français</strong> et que <strong>8% d'entre eux dépensent plus de 50 euros</strong> par semaine. Ils sont seulement <strong>2% à penser que le bio n'est qu'un effet de mode</strong>. </p><p><strong>Une opportunité économique exceptionnelle</strong></p><p><strong>Aux Etats-Unis, le bio décolle aussi</strong>. Comme le relève le site du "Le Nouvel OBbs"/"Rue 89", <strong><a href="http://blogs.rue89.nouvelobs.com/americanmiroir/2014/04/04/revolution-agricole-aux-etats-unis-cest-la-fte-au-bio-aux-fruits-et-aux-legumes-232569" target="_blank">Tom Vilsack,</a> secrétaire d'Etat américain à l'Agriculture constate cette envolée spectaculaire </strong>: "La demande pour le bio a crû de façon exponentielle pendant la décennie écoulée. Avec des ventes au détail estimées à 35 milliards de dollars l’an dernier, l’industrie du bio représente une opportunité économique exceptionnelle pour les fermiers, les éleveurs et les communautés rurales."</p><p><iframe width="340" height="260" src="http://www.youtube.com/embed/0Jm5aiRtpsY?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p>Plus que jamais, manger bio, c'est vraiment le bon plan !</p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>POUR AFFICHER L'INFOGRAPHIE 100% BIO: <a href="http://www.ma-reduc.com/img/event/infographie_les_francais_et_le_Bio.jpg" target="_blank">Cliquer ICI</a></strong></p><p><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>LIRE AUSSI</strong></p><ul><li><strong>Tous les articles de Ma Planète sur le bio:<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/bio/" target="_blank"> cliquer ICI </a></strong></li></ul>
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Insolite: A New York, Ariane Daguin nourrit ses poulets avec les épluchures des grands restaurants
tag:maplanetea.blogspirit.com,2014-06-07:3315776
2014-06-07T10:31:00+02:00
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Quand Ariane Daguin jongle avec des oeufs, c'est qu'ils...
<p style="text-align: center;"> <img id="media-242668" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/02/3666628637.jpg" alt="innovation,élevage,aviculture,poulet,gastronomie,new york." /></p><p style="text-align: center;"> <span style="font-size: xx-small;"><em>Quand Ariane Daguin jongle avec des oeufs, c'est qu'ils sont bios. Photo DR</em></span></p><p><strong><span style="color: #000000;"><span class="stubs">La gastronomie "verte" ça existe : Ariane Daguin</span> </span> nourrit ses poulets bio avec les épluchures de légumes des grands restaurants new-yorkais qui les servent ensuite sur leurs tables.</strong> La restauratrice et femme d'affaire originaire du Gers, a raconté cette initiative durable au <a href="http://www.nytimes.com/2013/09/17/dining/in-pursuit-of-tastier-chickens-a-strict-diet-of-four-star-scraps.html?pagewanted=all&_r=0" target="_blank">" </a><strong><span><a href="http://www.nytimes.com/2013/09/17/dining/in-pursuit-of-tastier-chickens-a-strict-diet-of-four-star-scraps.html?pagewanted=all&_r=0" target="_blank"><span class="stubs">New York Times</span> "</a></span></strong>, en septembre dernier.<strong><span style="color: #000000;"><span class="stubs"> </span></span></strong></p><p><strong>La poubelle sur pattes est ultra-tendance</strong></p><p>Donner ses déchets ménagers à manger aux poules et aux cochons ? A New York, grâce à la fille du célèbre chef étoilé <strong>André Daguin</strong>, chef elle-même, c'est ultra-tendance. L'idée d'Ariane, qui a créé en 1985 la société<a href="http://www.dartagnan.com/" target="_blank"><strong> D'Artagnan</strong></a>, avec laquelle elle a commercialisé aux Etats-Unis du foie gras pour la première fois, remet au goût du jou<strong>r les pratiques ancestrales des paysans de toutes les campagnes du monde</strong>. Pour être frappée au coin du bon sens, l'initiative ne réinvente toutefois pas la poudre. En France, <strong>les villes et les départements soucieux de développement durable</strong>, font de plus en plus souvent appel aux volailles afin de <strong>réduire le poids des déchets</strong> et de pratiquer un <strong>recyclage vertueux.</strong> Ainsi, à <strong><a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2013/02/23/initiative-ma-poule-c-est-toi-la-poubelle.html" target="_blank">Barsac en Gironde,</a></strong> 300 poules ont été distribuées le 23 février 2013 à 150 familles de la Communauté de communes (CdC) de Podensac, soit deux par foyers, afin de jouer le rôle de poubelles sur pattes pour les déchets ménagers végétaux des habitants.</p><p> <strong><img id="media-242670" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/00/95077399.jpg" alt="innovation,élevage,aviculture,poulet,gastronomie,new york." />Elevés en plein air, élevés en Pennsylvanie<br /></strong></p><p> Ah, ces gens de la ville ! Tout cela aurait donc de quoi faire sourire plus d'un paysan de nos campagnes. Sauf que. La Gersoise installée à<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2013/04/19/new-york-fait-sa-revolution-verte-dans-naturopolis-ce-soir-s.html" target="_blank"><strong> New York - la mégalopole qui en pince pour le durable et le vert</strong></a>- a fait école. Plusieurs restaurants huppés de la Grosse pomme servent désormais à leur clientèle branchée des poulets nourris avec les épluchures quatre étoiles issues de leurs arrières-cuisines. Poulets qui acquièrent de vraies lettres de noblesse en s'inscrivant dans la lignée de leurs arrière-petit-cousins gascons dont la chair, particulièrement savoureuse par nature, s'enrichit des fanes et des épluchures de carottes, des peaux d'oignons et du pain rassis qu'on leur donne à becqueter... <strong>Deux fois plus cher en frais d'élevage, certes, mais au final, une sacrée différence avec le poulet traditionnel américain élevé en batterie au maïs OGM,</strong> tout le monde en conviendra. C'est durable, bon pour la santé, ça réjouit les papilles et c'est aussi un vrai business à la clé.</p><p><strong><img id="media-242671" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/00/2481343939.JPG" alt="innovation,élevage,aviculture,poulet,gastronomie,new york." />Le "cercle vert" et vertueux des poulets d'Ariane</strong></p><p>Sur ces bases écolos,<strong> les poulets d'Ariane, baptisés "Green circle",</strong> sont élevés chez un <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Amish" target="_blank"><strong>fermier Amish de Pennsylvanie</strong></a> et nourris le temps qu'il faut avec les épluchures des légumes des cuisines de cinq grands restaurants de Manhattan :<strong> "Per Se", <span class="stubs">Daniel</span>", "Gramercy Tavern", "The Modern" et <span class="stubs">"David Burke Townhouse"</span>.</strong> Et servis ensuite sur leurs tables. En septembre dernier, 220 poulets "Green circle" ont été ainsi accommodés en une seule semaine par les chefs de ces mêmes restaurants partenaires. <strong>Selon le "New York Times", la création de ce cercle vertueux aurait coûté 250.000 dollars à D'Artagnan</strong> : les bonnes causes que sont l'écologie et la "bonne bouffe" n'ont pas de prix. Pour aller plus loin, l'idée, désormais, consisterait à d<strong>évelopper de véritables "poulaillers-clusters" bio.</strong> De là à imaginer la multiplication de fermes Amish élevant ainsi des volatiles "durables", aux saveurs particulières, identifiables, pourquoi pas, en fonction de la provenance des restes qui les nourrissent...</p><p>Grâce à la Jeanne d'Arc du foie gras tricolore,<strong> chaque Américain peut désormais rêver de mettre un jour sur sa table "son poulet bio"</strong>. Merci pour eux, Ariane.</p><p> <a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p> <strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>LIRE AUSSI </strong></p><ul><li> <strong><a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2013/04/19/new-york-fait-sa-revolution-verte-dans-naturopolis-ce-soir-s.html" target="_blank">New York fait sa révolution verte</a> </strong></li></ul><ul><li><strong><a href="http://www.nytimes.com/2013/09/17/dining/in-pursuit-of-tastier-chickens-a-strict-diet-of-four-star-scraps.html?pagewanted=all&_r=0" target="_blank">In Pursuit of Tastier Chickens, a Strict Diet of Four-Star Scraps</a></strong></li><li><strong><a href="http://www.lexpress.fr/styles/saveurs/ariane-daguin-fait-saliver-l-amerique_889171.html" target="_blank">Ariane Daguin fait saliver l'Amérique</a></strong></li><li><strong><a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2013/02/23/initiative-ma-poule-c-est-toi-la-poubelle.html" target="_blank">Insolite. Réduire ses déchets : ma poule, c'est toi la poubelle!</a></strong></li></ul><p> <strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>EN SAVOIR PLUS</strong></p><ul><li> <strong>Le site de "D'Artagnan" : </strong><a href="http://www.dartagnan.com/" target="_blank"><strong>cliquer IC</strong>I</a></li></ul>
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En France comme aux Etats-Unis, le marché du bio cartonne
tag:maplanetea.blogspirit.com,2014-04-25:3315731
2014-04-25T10:30:00+02:00
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Choisir de s'alimenter bio, c'est bon pour le développement durable,...
<p style="text-align: center;"><img id="media-259936" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/00/4161776795.jpg" alt="chiffre,bio,marché,france,etats-unis" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><em>Choisir de s'alimenter bio, c'est bon pour le développement durable, pour la planète et pour notre santé. Photo archives "Sud Ouest" Emilie Drouinaud</em></span></p><p><strong>En France, le marché du bio pèse aujourd’hui 4,1 milliards d'euros, avec une croissance d'environ 5% en 2013 qui dépasse le chiffre de 3 % qui avait été prévu. Tel est le résultat de<a href="http://blogs.sudouest.fr/admin/posts/%20la%20société%20d'études%20Xerfi%20publie%20un%20dossier%20spécial%20"agro-alimentaire"%20qui%20contient%20un%20volet%20sur%20l'agriculture%20bio." target="_blank"> l'étude réalisée par Xerfi sur l'agriculture bio,</a> publiée en février dernier. </strong></p><p>Xerfi avait prévu une croissance de +3% en 2013 : Le bio continue donc son expansion mais qu’en est-il vraiment de la consommation du bio par les Français ? On peut le découvrir grâce à une<a href="http://www.ma-reduc.com/img/event/infographie_les_francais_et_le_Bio.jpg" target="_blank"><strong> infographie 100% Bio </strong></a>réalisée avec<strong> l'institut de sondage BVA</strong>, par<strong> <a href="http://www.ma-reduc.com/" target="_blank">ma-Reduc.com, </a></strong>site communautaire de bons de réductions et de bons plans en ligne </p><p><strong>La consommation du bio en chiffres</strong></p><p>L'infographie décrypte la<strong> consommation du bio par les Français en chiffres</strong> : la fréquence d'achat, le budget, les dépenses par semaine et par foyer, qui sont les consommateurs de bio et quelles sont leurs motivations, ou encore les produits stars du bio... Malgré un contexte économique difficile, on s'aperçoit que <strong>75% des Français sont prêts à dépenser plus pour manger mieux</strong>. Ainsi, on observe que l<strong>e budget bio a augmenté pour 24% des Français</strong> et que <strong>8% d'entre eux dépensent plus de 50 euros</strong> par semaine. Ils sont seulement <strong>2% à penser que le bio n'est qu'un effet de mode</strong>. </p><p><strong>Une opportunité économique exceptionnelle</strong></p><p><strong>Aux Etats-Unis, le bio décolle aussi</strong>. Comme le relève le site du "Le Nouvel OBbs"/"Rue 89", <strong><a href="http://blogs.rue89.nouvelobs.com/americanmiroir/2014/04/04/revolution-agricole-aux-etats-unis-cest-la-fte-au-bio-aux-fruits-et-aux-legumes-232569" target="_blank">Tom Vilsack,</a> secrétaire d'Etat américain à l'Agriculture constate cette envolée spectaculaire </strong>: "La demande pour le bio a crû de façon exponentielle pendant la décennie écoulée. Avec des ventes au détail estimées à 35 milliards de dollars l’an dernier, l’industrie du bio représente une opportunité économique exceptionnelle pour les fermiers, les éleveurs et les communautés rurales."</p><p><iframe width="419" height="246" src="http://www.youtube.com/embed/0Jm5aiRtpsY" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p>Plus que jamais, manger bio, c'est vraiment le bon plan !</p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>POUR AFFICHER L'INFOGRAPHIE 100% BIO: <a href="http://www.ma-reduc.com/img/event/infographie_les_francais_et_le_Bio.jpg" target="_blank">Cliquer ICI</a></strong></p><p><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>LIRE AUSSI</strong></p><ul><li><strong>Tous les articles de Ma Planète sur le bio:<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/bio/" target="_blank"> cliquer ICI </a></strong></li></ul>
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Projet de loi : l'agroécologie est l'avenir agricole de la France
tag:maplanetea.blogspirit.com,2014-01-29:3315623
2014-01-29T10:30:00+01:00
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La France dit oui à l'agroécologie, mais ne veut pas pour autant...
<p style="text-align: center;"><img id="media-253121" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/01/2947183320.jpg" alt="projet de loi,agriculture,bio,agroécologie,pesticides,phytosanitaires,emploi" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><em>La France dit oui à l'agroécologie, mais ne veut pas pour autant renoncer au bio. Photo archives AFP</em></span></p><p>Le 14 janvier, les députés ont adopté en première lecture le<a href="http://www.assemblee-nationale.fr/14/ta/ta0273.asp" target="_blank"><strong> projet de loi d’avenir pour l’agriculture,</strong> </a>défendu par le ministre Stéphane Le Foll, qui vise notamment à prendre le virage de l’<strong>agroécologie.</strong> Un texte pour partie écologiquement vertueux, mais qui comporte aussi des mesures moins écolos. Décryptage.</p><p><strong>Le contexte</strong></p><p>Même si la France reste la première puissance agricole d’Europe, elle est passée en dix ans de la place de 2e exportateur agroalimentaire mondial à la 5e. Le projet de loi ambitionne de<strong> renforcer la compétitivité des filières (agriculture, agroalimentaire, forêt) tout en passant d’un modèle productiviste à une agroécologie, tout en continuant à soutenir le bio.</strong> En gros, refonder la politique agricole française en vigueur depuis les trente glorieuses, en mêlant performances économiques et écologiques. Vaste programme.</p><p><strong>1. LE TOURNANT AGROECOLOGIQUE</strong></p><ul><li>Les politiques publiques devront favoriser l<strong>’association de « la performance économique et la performance environnementale »,</strong> et privilégier les<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2013/07/21/pierre-rabhi-1005713.html" target="_blank"><strong> pratiques agroécologiques,</strong> a</a>lliant « autonomie des exploitations agricoles » et protection de l’environnement.</li><li>Seront créés des <strong>groupements d’intérêt économique et environnemental (GIEE),</strong> sorte de label accordé à des agriculteurs ou des exploitants forestiers se regroupant, afin qu’ils bénéficient d’aides de manière préférentielle ou majorée.</li></ul><p><strong>2. D’ANTIBIOTIQUES PAR LES VETERINAIRES</strong></p><p>Afin d’éviter que <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2014/01/08/germes-tueurs-le-fleau-de-l-elevage-intensif-une-enquete-sig-1015048.html" target="_blank"><strong>l’antibiorésistance ne se transmette à l’homme via la chaîne alimentaire</strong>,</a> la délivrance des antibiotiques pour les animaux sera mieux encadrée. Les remises, rabais et ristournes seront interdits ainsi que la délivrance d’unités gratuites, lors de la vente d’antibiotiques aux éleveurs. Le suivi des ventes sera renforcé.</p><p><strong><img id="media-253123" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/02/4034042614.jpg" alt="projet de loi,agriculture,bio,agroécologie,pesticides,phytosanitaires,emploi" />3. LE BIO</strong></p><p>En vertu d’un amendement écologiste, la promotion de la<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/bio" target="_blank"><strong> « conversion à une agriculture biologique »</strong></a> figurera parmi les finalités de la politique agricole.</p><p>Toutefois, l'objectif du Grenelle de l'environnement qui visait 20% de la surface agricole en bio dès 2020, n'est plus de mise. <strong>Stéphane Le Foll promet tout de même un doublement des surfaces dès 2017, avec 8% de terres en bio, bien inférieur aux ambitions initiales</strong>. Pour que le bio tricolore progresse, toutes les cantines gérées par Etat devraient passer à 20% de bio.</p><p><strong>4. OGM</strong></p><p>Pas une ligne sur le sujet, ce qui inquiète<strong><a href="http://www.greenpeace.org/france/fr/" target="_blank"> Greenpeace</a> </strong>et<strong> <a href="http://www.bio-aquitaine.com/" target="_blank">Bio d'Aquitaine</a></strong><a href="http://www.bio-aquitaine.com/" target="_blank">.</a> L'organisation aquitaine souligne dans un communiqué du 13 janvier, que, selon elle <strong>"la coexistence entre maïs OGM et maïs biologiques ou non OGM est impossible"</strong>. Des résultats d'expérimentation menée par l'Inra à la demande du Réseau Semences Paysannes (RSP) le montrent, malgré l'absence de validation scientifique, précise Bio d'Aquitaine. Le 16 janvier, l'Europe s'est prononcée pour le<a href="http://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/20140116.AFP7718/ogm-le-parlement-europeen-demande-d-interdire-la-culture-du-mais-tc1507.html" target="_blank"><strong> rejet de la demande d'autorisation de la culture d'un nouveau maïs OGM, le TC1507.</strong></a></p><p><strong>5. PESTICIDES</strong></p><ul><li>Suivi permanent de leur <strong>impact sur l’environnement et la santé,</strong> et plus seulement au moment de leur autorisation de mise sur le marché.</li><li>Publicité grand public pour les produits phytosanitaires interdite afin de réduire leur usage par les jardiniers amateurs avant de <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2014/01/27/zero-pesticide-dans-les-villes-et-villages-de-france-en-202-1015932.html" target="_blank"><strong>les interdire en 2022.</strong></a></li></ul><p>Des mesures un peu faibles pour les défenseurs de l'environnement et pour les apiculteurs dont les colonies d'abeilles connaissent un effondrement, dû pour partie aux pesticide<strong>s. La France reste le premier pays consommateur en Europe de phytosanitaires, dont 90 à 95% sont utilisés pour l'agriculture</strong>, en dépit du <strong>plan Ecophyto lancé en 2008,</strong> qui prévoyait d'en réduire l'usage de 50% d'ici à 2018. En juin 2013, une vaste expertise de <a href="http://www.inserm.fr/actualites/rubriques/actualites-societe/pesticides-effets-sur-la-sante-une-expertise-collective-de-l-inserm" target="_blank"><strong>l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm)</strong></a> dévoilait qu'il existait <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2013/06/14/les-pesticides-sont-impliques-dans-certaines-maladies-comme.html" target="_blank"><strong>une "présomption forte" de lien entre certains cancers</strong> </a>dont la prostate et des maladies neurologiques comme la maladie de Parkinson, avec l'usage de pesticides chez les professionnels qui les manipulent.</p><p><strong>6. INSTALLATION DE JEUNES AGRICULTEURS</strong></p><ul><li>Le contrat de génération sera adapté à l’agriculture, en permettant<strong> une aide pendant trois ans au maximum à l’exploitant</strong> qui voudra transmettre son entreprise à un salarié âgé de 26 à 30 ans ou à un stagiaire de moins de 30 ans. Le gouvernement estime à 2.000 par an le nombre d’exploitations agricoles dont la transmission hors cadre familial sera ainsi accélérée.</li><li>Par ailleurs, l<strong>’installation progressive</strong>, dispositif aidé, pourra se faire sur cinq ans</li></ul><p><strong>7. MEDIATEUR DES RELATIONS COMMERCIALES</strong></p><p>Pour redonner du poids aux producteurs face à la grande distribution, un <strong>médiateur des relations commerciales agricoles</strong> pourra être saisi de tout litige sur les contrats et prendre toute initiative, comme ce fut le cas au printemps dernier sur le prix du lait.</p><p><strong>8. LUTTE CONTRE LES IMPORTATIONS ILLEGALES DE BOIS</strong></p><p>Les importateurs et vendeurs de bois ou produits en bois ne respectant pas les obligations prévues par le règlement européen en matière de <strong>contrôle de la traçabilité des produits</strong> s’exposeront à des sanctions pouvant aller jusqu’à deux ans de prison et 100.000 euros d’amende.</p><p><strong>9. PROTECTION DES AOP et IGP</strong></p><p>La protection des appellations d’origine et indications protégées sera accrue, par la création d’un <a href="http://agriculture.gouv.fr/les-signes-europeens-aop-igp-stg" target="_blank"><strong>droit d’opposition au dépôt d’une marque</strong> </a>pouvant les léser. Un amendement du gouvernement a limité ce droit aux cas où le produit protégé est similaire à celui de la marque.</p><p><strong>10. INSTITUT AGRONOMIQUE, VETERINAIRE ET FORESTIER DE FRANCE</strong></p><p>Rassemblant les établissements d’enseignement supérieur agricole public et des organismes de recherche, il doit remplacer en matière de recherche et d’enseignement supérieur une structure plus lâche<strong>, <a href="http://www.agreenium.org/" target="_blank">Agreenium,</a></strong> et doit renforcer le pilotage national du secteur. Plus généralement, le projet de loi veut faire de <strong>l’enseignement agricole un levier d’innovation et d’investissement.</strong></p><p>Le texte devrait être débattu au Sénat en avril, en vue d’une adoption définitive à la fin du premier semestre 2014. D'ici là, les écolos et les lobbys proches des industriels devraient redoubler d'efforts en coulisse pour faire évoluer le projet de loi, dans un sens, ou dans l'autre...</p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon</strong></a> avec AFP</p><p><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong>PLUS D'INFO</strong></p><ul><li><strong>Le texte du projet de loi pour l'avenir de l'agriculture : <a href="http://www.assemblee-nationale.fr/14/ta/ta0273.asp" target="_blank">cliquer ICI</a></strong></li><li><strong>Les articles de Ma Planète sur le bio : <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/bio" target="_blank">cliquer ICI </a></strong></li><li><strong>Les articles de Ma Planète sur les pesticides :<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/pesticides" target="_blank"> cliquer ICI </a></strong></li><li><strong>Les articles de Ma Planète sur les OGM : <a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/ogm" target="_blank">cliquer ICI </a></strong></li></ul>
phalexandre
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Wellin : portes ouvertes à la ”ferme arc-en-ciel” ce 25 août...
tag:blogdewellin.blogspirit.com,2013-08-17:3232403
2013-08-17T07:00:00+02:00
2013-08-17T07:00:00+02:00
Cliquez sur l'affiche pour l'agrandir
<p style="text-align: center;"><span style="color: #0000ff; background-color: #ffff00;"><strong><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small;">Cliquez sur l'affiche pour l'agrandir</span></strong></span><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://mamidoo.free.fr/html/gifs/barres/animees/divers/bar2.gif" alt="bar2.gif" /><a href="http://blogdewellin.blogspirit.com/media/98/3049152014.jpg" target="_blank"><img id="media-124190" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://blogdewellin.blogspirit.com/media/98/1113450569.jpg" alt="ferme arc en ciel portes ouvertes.jpg" /></a></p>
maplanete
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L'habitat durable tient son salon à la Foire de internationale de Bordeaux
tag:maplanetea.blogspirit.com,2013-05-18:3315380
2013-05-18T10:30:00+02:00
2013-05-18T10:30:00+02:00
Le Salon de l'Environnement et du Développement durable à la Foire de...
<p style="text-align: center;"><img id="media-230640" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/01/3566024082.jpg" alt="foire de bordeaux,habitat,recylage,énergie,produits d'entretien,bio" width="384" height="256" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><em>Le Salon de l'Environnement et du Développement durable à la Foire de Bordeaux, du 18 au 26 mai Photo FIB DR</em></span></p><p><strong>Tout ce que vous avez voulu savoir sur l’habitat durable sans jamais oser ou penser le demander, d</strong><strong>es dernières réglementations aux techniques de rénovations et de décoration écologiques et durables... Réponses </strong><strong>à la <a href="http://www.foiredebordeaux.com/" target="_blank">Foire de Bordeaux</a>, du 18 au 26 mai, dans le cadre du Salon de l’Environnement et du Développement durable. <br /></strong></p><p>C'est plutôt rare, mais il arrive parfois que consommation rime avec écologie et développement durable. C'est le cas à Bordeaux à compter d'aujourd'hui, pour 9 jours de folies durables, où de nombreuses expositions et animations interactives vont mettre en avant l’éco-habitat.</p><p><strong>Briller à la machine à café dès lundi</strong>...</p><p>Des professionnels du secteur vous montreront comment aménager et rénover écologiquement et naturellement votre maison, entretenir votre habitat avec des produits bio, arroser vos plantes tout en recyclant de l’eau de pluie ou l'eau de cuisson de vos pâtes... Photovoltaïque, pompes à chaleur, géothermie, éolien, isolation, récupération d’eau de pluie, micro station d’épuration... plus rien n'aura de secret pour vous. De quoi vous permettre de river son clou au "super spécialiste écolo" à la machine à café au boulot, ou au prochain dîner en ville. Vous savez, celui ou celle qui sait toujours tout sur tout en matière d'écologie...</p><p> <strong><img id="media-230639" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/00/4214651962.jpg" alt="foire de bordeaux,habitat,recylage,énergie,produits d'entretien,bio" />Incollable sur le gaspillage alimentaire</strong></p><p>Les professionnels de l’Espace Infos Energie de l’ADEME apportent leur expertise et prodiguent conseils gratuits. Vous ferez avec l'<a href="http://www2.ademe.fr/servlet/getDoc?id=11433&m=3&cid=96" target="_blank"><strong>Adème</strong></a> la chasse au <strong>gaspillage alimentaire</strong>, grâce à un <strong>espace potager « responsable »</strong> ludique et pédagogique, comportant un coin compost et des ateliers culinaires orchestrés par des chefs de renom, dont Pierre Lefèbvre, finaliste Masterchef 2012. Vous pourrez tester vos connaissances sur les questions liées à la protection de l’environnement.<strong> dans un espace </strong><strong>jeux traditionnels en bois. Enfin, l</strong>es <strong>associations</strong> vous aideront à connaître et mieux comprendre <strong>les énergies renouvelables</strong>, à trier vos déchets…</p><p><strong>Un concentré de solutions "vertes"en matière d’éco-consommation</strong></p><p>Enfin, cerise sur le gâteau, les éco-coquettes (et coquets) ne rateront pas tout ce qui concerne les produits naturels, produits de beauté mais aussi de santé bio…</p><p><strong><img id="media-231241" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/00/3911387703.jpg" alt="foire de bordeaux,habitat,recylage,énergie,produits d'entretien,bio" />Première animation : la Caravane Rio 21</strong></p><div class="interligne2 clearfix"><div class="articleCadre"><div class="back_blanc interne10"><div class="articleCadreTitre inline_block full_width"><p class="h3Titre">La<strong> <a href="http://www.bordeaux.fr/ebx/pgFicheEvt.psml?_nfpb=true&_pageLabel=pgFicheEvt&classofcontent=evenement&id=92341" target="_blank">Caravane Rio 21</a></strong> ouvre aujourd'hui le bal du développement durable, avec une exposition, des animations et des débats. L'approche se veut ludique et participative : mieux consommer, moins gaspiller, mieux se déplacer, économiser, inventer et partager localement. La Caravane entend rendre hommage au premier <a href="http://www.un.org/french/events/rio92/rio-fp.htm" target="_blank"><strong>Sommet mondial de la Terre</strong></a> qui se tenait il y a 21 ans à Rio de Janeiro au Brésil et qui s'est conclu par une déclaration fixant les engagements des pays pour un développement durable, avec la naissance des<a href="http://www.agenda21france.org/" target="_blank"><strong> Agenda 21,</strong></a> qui rythment aujourd'hui nos vies de citoyens écolos.</p></div></div></div></div><p>Eco-bordelaises, éco-bordelais : grâce à la Foire de Bordeaux, après le 26 mai, vous n'aurez plus aucune excuse pour ne pas savoir agir en éco-citoyens et en éco-consommateurs éclairés et confirmés!</p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong><strong>►</strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong></strong>PLUS D'INFO</strong></p><ul><li><strong>Le site de la Foire internationale de Bordeaux : <a href="http://www.foiredebordeaux.com/" target="_blank">cliquer ICI </a></strong></li><li><strong>Le </strong><strong>Salon de l’Environnement et du Développement durable : c'est où, c'est quand ? </strong>Du samedi 18 au dimanche 26 mai 2013, de 10h à 20h sans interruptionn, Parc des Expositions de Bordeaux. Entrée : tarif normal : 7,9 €. Tarif réduit : 5,9 €</li></ul>
maplanete
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Consommation durable. Votez sur internet pour élire le meilleur produit bio 2013
tag:maplanetea.blogspirit.com,2013-03-30:3315341
2013-03-30T15:02:00+01:00
2013-03-30T15:02:00+01:00
Elire le meilleur produit bio 2013 : c'est une grande première en France...
<p style="text-align: center;"><img id="media-226307" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/02/3548038830.jpg" alt="produit alimentaire,bio,concours" width="411" height="248" /></p><p><strong>Elire le meilleur produit bio 2013 : c'est une grande première en France qui vaut son pesant de santé et de sécurité alimentaire dans le contexte pas folichon provoqué par le scandale du trafic de la viande de cheval, le "chevalgate". <br /></strong></p><p><img id="media-226306" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/02/963479035.png" alt="produit alimentaire,bio,concours" />Une élection va distinguer les meilleurs produits de la filière bio, dans l'esprit des dispositifs "Saveurs de l'année" ou "élu produit de l'année". <strong>Ce sont les consommateurs eux-mêmes qui se chargent d'évaluer les articles bio.</strong> Il suffit de s'inscrire sur le site<strong> <a href="http://www.meilleurs-produits-bio.com" target="_blank">Meilleurs-produits-bio.com</a></strong> pour donner son avis. Le palmarès sera dévoilé en avril prochain. </p><p><strong>Plus de 2.600 produits bio</strong></p><p> Plus de 2.600 produits bio seront passés au crible par les consommateurs pour établir ce palmarès du "meilleur produit bio 2013". Les aliments seront testés, mais aussi les <strong>cosmétiques, les compléments alimentaires, les produits d'entretien..</strong>. Les articles sont étiquetés par de grandes comme de petites marques. Et, les produits déjà bien installés en rayons seront aussi jugés. Cette élection n'est donc pas réservée à la nouvelle offre bio. </p><p><strong>Comment voter ?</strong></p><p>Les consommateurs, qui souhaitent proposer leur avis, doivent s'inscrire sur le site internet<strong> <a href="http://www.meilleurs-produits-bio.com" target="_blank">Meilleurs-produits-bio.com</a>.</strong> Un questionnaire dresse leurs goûts et leurs habitudes alimentaires. Condition sine qua non pour être testeur : "être familier avec l'univers du bio. Consommer des produits régulièrement et connaitre les principaux enjeux de la nourriture saine", prévient le site. </p><p>Des colis tests seront ensuite envoyés aux consommateurs. Dans le paquet seront jointes une présentation de l'entreprise ainsi qu'une fiche produit et une "grille de vote". </p><p><strong>Le palmarès du meilleur produit bio 2013 décerné par un jury de 100 consommateurs bio sera dévoilé le 18 avril 2013.</strong></p><p>Vite, vite, inscrivez-vous !</p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p><strong>LE SITE DE MEILLEURS PRODUITS BIO 2013 <a href="http://www.meilleurs-produits-bio.com/" target="_blank">: cliquer ICI</a></strong></p>
jos
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L'EAU AUSSI.....?
tag:lasalamandre.blogspirit.com,2013-03-25:2956910
2013-03-25T11:29:00+01:00
2013-03-25T11:29:00+01:00
Ce n'est pas vraiment une surprise que l'on parle de pollution mais l'eau...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Ce n'est pas vraiment une surprise que l'on parle de pollution mais l'eau minérale qui coule au travers des couches de terrain donc censée être filtrée et parfaitement consommable! Or l'eau , c'est la vie. Chacun devra encore plus balayer devant sa porte, limiter les déchets, limiter la consommation de médicaments, manger moins et mieux pour soutenir les agriculteurs qui s'engagent dans une agriculture raisonnée, se bouger pour aller chercher son pain dans les boulangeries traditionnelles qui à défaut d'utiliser des farines bio font du "vrai pain", découvrir les aliments qui soignent , acheter sa viande dans les boucheries qui ont l'obligation, elles, d'indiquer la provenance des animaux donc pas surgelés et avec qui vous pourrez discuter (le boucher , pas les animaux !!), épaissir le lait de son bébé avec de l'agar -agar (bio) et non pas des préparations de tout sorte et coûteuses, Désolée, mais le passage en grande surface devra se réduire au stricte minimum et vous ferez des économies d'argent et de fatigue: qui n'est pas fatigué en revenant des supermarchés? de temps? combien de temps passons-nous à regarder toutes ces marchandises dont on n'a pas besoin et devant les caisses? le changement n'est pas là où on l'attend !!!....</span></p>
Le créateur du blog
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Au Salon du Livre de Paris 2013
tag:jm-oullion.blogspirit.com,2013-03-25:2956906
2013-03-25T11:10:00+01:00
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Ce week-end au Salon du Livre de Paris , mes biographies sur Led...
<p><a href="http://jm-oullion.blogspirit.com/media/00/02/563289632.JPG" target="_blank"><img id="media-727704" style="margin-top: 0.7em; margin-bottom: 0.7em; display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" title="" src="http://jm-oullion.blogspirit.com/media/00/02/1066025264.JPG" alt="DSCN1395.JPG" /></a></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;">Ce week-end au <strong>Salon du Livre de Paris</strong>, mes biographies sur Led Zeppelin et Pink Floyd étaient en bonne place sur le <strong>stand de Scrinéo</strong>. Lors de mon bref passage, alors qu'aucune signature n'était prévue, j'ai même eu le plaisir de dédicacer le "Led Zep" à un fan de passage.</span></p>
maplanete
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Saint-Emilion. Un grand vin de Bordeaux s'engage pour la planète et la WWF
tag:maplanetea.blogspirit.com,2013-01-28:3315269
2013-01-28T10:30:00+01:00
2013-01-28T10:30:00+01:00
Saint-Emilion. Alain Moueix, ingénieur agricole et œnologue de...
<p style="text-align: center;"><img id="media-220360" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/01/4253910421.jpg" alt="vente aux enchères,viticulture,bio,biodynamie,action cartitative,wwf,association,ong" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><em>Saint-Emilion. Alain Moueix, ingénieur agricole et œnologue de formation, est l'arrière petit-fils de Jean et Adèle Moueix, acquéreurs du Château Fonroque en 1931 Photo archives Sud Ouest Stéphane Klein</em></span></p><p><strong>Quand un grand vin de Bordeaux, la viticulture bio et la biodynamie, Hollywood et la défense de l'environnement s'associent, les écolos grimpent au 7ème ciel ! </strong></p><p><strong>Caelestis : un vin bio né pour rester exceptionnel<br /></strong></p><p style="text-align: justify;"><img id="media-220361" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/01/1599392768.jpg" alt="vente aux enchères,viticulture,bio,biodynamie,action cartitative,wwf,association,ong" />Le phénomène, rarissime, se produit parfois et cela donne une bien jolie histoire. La viticulture en bio et en biodynamie bordelaise s’est engagée récemment en faveur de la<a href="http://www.wwf.fr/" target="_blank"><strong> WWF (World Wildlife Fund)</strong>,</a> avec la <span class="tip">marque</span> <strong><a href="http://www.caelestis-bio.com" target="_blank">Caelestis</a>,</strong> créée par une association éponyme soutenant ce type de viticulture et le<a href="http://www.chateaufonroque.com/" target="_blank"> <strong>Château Fonroque</strong></a>, grand cru classé de Saint-Émilion élevé en biodynamie par<a href="http://www.chateaufonroque.com/fonroque/2/18/l-implication-d-alain-moueix.html" target="_blank"><strong> Alain Moueix.</strong></a> Le troisième larron dans cette affaire d'écologie haut de gamme n'est autre que le compositeur polonais,<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Jan_A._P._Kaczmarek" target="_blank"> <strong>Jan A.P. Kaczmarek</strong>,</a> récompensé en 2004 par un oscar hollywoodien pour la <span class="tip">musique </span>du film<strong><a href="http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=32458.html" target="_blank"> "Neverland"</a>,</strong> avec Johnny Depp et Kate Winslet. L’artiste a apposé, sur chacune des bouteilles proposées à la vente, la mention « un vin naturellement pur est source d’inspiration pour ma musique ». Il a également composé une musique spécialement pour l’événement, intitulée <a href="http://www.caelestis-bio.com/japk-music.html" target="_blank"><strong> « Caelestis Inpromptu </strong>»</a>, disponible sur <a href="http://www.caelestis-bio.com" target="_blank"><strong><span class="external external_icon">www.caelestis-bio.com</span>.</strong></a></p><p style="text-align: justify;">Ensemble, ils ont imaginé une <a href="http://www.viti-net.com/actualite/terroirs/article/vente-aux-encheres-caritatives-d-un-grand-cru-bordelais-en-biodynamie-69-86178.html" target="_blank"><strong><span class="tip">vente aux enchères</span> caritative</strong></a>, où <strong>15 bouteilles de Caelestis</strong> seraient vendues au profit de la WWF, dans trois grandes villes du monde.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Caelestis : "Près des étoiles, près de la terre", mais pas en magasin</strong></p><p style="text-align: justify;">Mais il y a un hi<img id="media-220265" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/00/395961452.jpg" alt="vente aux enchères,viticulture,bio,biodynamie,action cartitative,wwf,association,ong,biodynamie,bio" width="124" height="112" />c. Vous aurez beau chercher chez tous vos cavistes préférés, vous ne trouverez pas Caelestis (qui signifie « près des étoiles, près de la terre ») en magasin. Si <strong>Chateau Fonroque</strong>, qui remonte à l'époque Napoléonienne, a créé l'un des vins les plus rares au monde, le <strong>"Caelestis symbolique Grand Cru", classé en biodynamie,</strong> c'est uniquement pour le mettre en vente aux enchères et ce, pour récolter des fonds afin d'aider aux projets internationaux de la première organisation mondiale de protection de la nature. Qu'on se le dise : on ne joue plus ici dans la catégorie "vin de messe" bio et on oublie le cubi de "son" producteur de vin bio, "tellement bon" et "pas cher".</p><p style="text-align: justify;"><strong>En écologie comme ailleurs, le luxe ne connaît pas la crise</strong></p><p style="text-align: justify;">Et elle est où, la crise ? Caelestis est une affaire qui marche ! <strong>Deux ventes aux enchères</strong> ont déja eu lieu : à Londres (Royaume-Uni), le 27 novembre 2012, puis à New York (Etats-Unis), le 9 janvier 2013. Les ventes de deux fois cinq bouteilles de Caelestis, présentées dans un <span class="tip">coffret</span> en bois centenaire recyclé et en forme de livre, ont rapporté<strong> 992 euros</strong> (pour WWF Royaume-Uni) et <strong>1.127 euros (</strong>pour WWF<span class="tip"> USA</span>). Pas mal.<strong> La troisième vente aux enchères en ligne</strong>, celle de<strong> Hong Kong,</strong> est en cours et sera accessible<strong> jusqu’au 31 janvier</strong>. La vente de Hong Kong sera-t-elle plus généreuse que celles des deux autres capitales ? Ou pas ? A suivre...</p><p style="text-align: justify;"><strong>Sensibiliser à l'impact écologique de la production de vin</strong></p><p><strong>L'association veut pérenniser l'événement :</strong> à l’image des <span class="tip">Hospices de Beaune</span>, Caelestis a l'ambition de réaliser une vente aux enchères annuelle. Le deuxième objectif de ce projet est en effet de sensibiliser la population à l’impact écologique de la production et de la <span class="tip">consomm</span><span class="tip">a</span><span class="tip">tion</span> de vin. Et dans le vin haut de gamme, il y a du boulot. Comme l'a expliqué à l'AFP <a href="http://www.viti-net.com/actualite/terroirs/article/vente-aux-encheres-caritatives-d-un-grand-cru-bordelais-en-biodynamie-69-86178.html" target="_blank"><strong>Grazyna Lallemand,</strong></a> bénévole chez <span class="external external_icon">Caelestis</span> : "Parmi un total de 176 <span class="tip">grands crus classés</span> de <span class="tip">Bordeaux</span>, il n’en existe que quatre certifiés en bio, dont trois en biodynamie". On est d'accord avec elle, c'est vraiment trop peu ! Mais cela fait bien de Caelestis l’un des grands crus classés les plus rares au monde.</p><p><strong>Pourquoi pas en France ?</strong></p><p><strong><img id="media-220362" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/00/1115499578.jpg" alt="vente aux enchères,viticulture,bio,biodynamie,action cartitative,wwf,association,ong" />Greenwhashing de luxe, publicité verte à bon compte pour la haute-viticulture girondine ?</strong> Cessez de ronchonner: c'est quand même la WWWF qui encaisse ! <strong>Et d'ailleurs, pourquoi pas une vente aux enchères de Caelestis en France, à Paris ou à Bordeaux, pour la<a href="http://www.wwf.fr/" target="_blank"> WWWF France</a> ? </strong>Et si on en touchait deux mots à sa présidente, la navigatrice<strong><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Isabelle_Autissier" target="_blank"> Isabelle Autissier</a> ?</strong></p><p>En résumé, si vous êtes un écolo amateur de grands crus au portefeuille bien garni, Caelestis est fait pour vous ! Vous ferez du bien à la WWF et donc à la planète. Il vous reste encore trois jours pour participer à la vente aux enchères en ligne de Hong Kong. Alors, à vos souris: <a href="http://www.caelestis-bio.com/news.html" target="_blank"><strong>cliquez ICI !</strong></a></p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p><strong>►<strong> </strong><strong></strong>PLUS D'INFO</strong></p><ul><li><strong>Le site de Caelestis : <a href="http://www.caelestis-bio.com/" target="_blank">cliquer ICI</a></strong><strong></strong></li><li><strong>Le site de la WWF France :<a href="http://www.wwf.fr/" target="_blank"> cliquer ICI</a></strong><strong></strong></li><li><strong>Le site de Chateau Fonroque (Saint-Emilion) : <a href="http://www.chateaufonroque.com/fonroque/2/histoire.html" target="_blank">cliquer ICI</a><br /></strong></li></ul>
Regis
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Manger sainement pour pas cher
tag:regis-pnl-coaching.blogspirit.com,2013-01-21:2946649
2013-01-21T11:14:00+01:00
2013-01-21T11:14:00+01:00
Beaucoup de gens cherchent aujourd'hui à réduire leurs dépenses, mais le...
<p>Beaucoup de gens cherchent aujourd'hui à réduire leurs dépenses, mais le budget alimentation peut-il être réduit sans inconvénient pour la santé ?</p><p>Cette vidéo répond à la question : oui, contrairement aux idées courantes, il est possible s'alimenter sainement et pour pas cher. Et qui plus est, sans y passer un temps fou.</p><p>Démonstration vidéo :</p><p><br /><iframe width="360" height="270" src="http://www.youtube.com/embed/hOZAG80cLBQ?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p>Enfin, vous pouvez vous documenter en lisant ces livres :</p><p><a href="http://www.amazon.fr/Une-autre-assiette-prot%C3%A8ge-plan%C3%A8te/dp/2702906982/ref=sr_1_3?ie=UTF8&qid=1358761013&sr=8-3">http://www.amazon.fr/Une-autre-assiette-prot%C3%A8ge-plan%C3%A8te/dp/2702906982/ref=sr_1_3?ie=UTF8&qid=1358761013&sr=8-3</a></p><p>Bonnes lectures...</p>
Thierry
http://indisciplineintellectuelle.blogspirit.com/about.html
La volaille, les graines et le renard
tag:indisciplineintellectuelle.blogspirit.com,2012-10-23:2932348
2012-10-23T14:06:51+02:00
2012-10-23T14:06:51+02:00
J’ai le vague souvenir d’une expérience que l’on s’amusait...
<p style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica;"> </p><p style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica; min-height: 14px;"> </p><p style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica;"><span style="letter-spacing: 0.0px;">J’ai le vague souvenir d’une expérience que l’on s’amusait à faire au poulailler quand j’étais gamin. D’une main, on saisissait la tête d’une poule pour l’abaisser brusquement bec vers le sol où, de l’autre, l’on traçait tout aussi vivement un trait. La volaille restait là un moment, tétanisée, hypnotisée. Cela faisait rire et nous donnait un futile sentiment de supériorité. Pourtant, nos cerveaux d’hommes modernes manifestent quotidiennement les mêmes faiblesses que celui du volatile. Le débat autour de l’étude du professeur Séralini sur la nocivité des OGM, avec les réactions de certaines institutions, nous en donne un exemple récent. Nous voilà rendus à compter les rats! Et si nous relevions le bec pour voir l’ensemble de la basse-cour et, si possible, au delà de son grillage ?</span></p><p style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica; min-height: 14px;"> </p><ol><li style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica;"><span style="letter-spacing: 0.0px;">Il y a un présupposé que l’on oublie derrière la réglementation actuelle des OGM, c’est qu’au départ les plantes génétiquement modifiées ont été présumées "équivalentes en substance» à leurs homologues non transgéniques. Ceci explique la légèreté et le secret des expériences scientifiques conduites par les industriels avant leur mise en marché et le faible degré d’exigence des institutions de surveillance. Or, ce présupposé n’est rien d’autre qu’une croyance fondée sur une représentation réductrice du végétal. Il n’a rien de scientifique. </span></li></ol><p style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica; min-height: 14px;"> </p><ol><li style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica;"><span style="letter-spacing: 0.0px;">Que les études en question concluent à l’innocuité ou à la nocivité des organismes testés du point de vue de leur consommation, elles se limitent au registre des causalités directes à court terme. Or, si l’humanité se met à consommer des OGM, ce ne sera pas sur la durée de vie d’un individu mais sur les milliers de générations à venir. Au delà des effets cumulatifs et génétiques du temps long, cette consommation ne se fera pas dans le vide artificiel d’un laboratoire. Elle se combinera à la consommation d’autres substances naturelles ou artificielles que l’espèce ingèrera au cours des siècles. Nous avons là des interactions multiplicatrices d’imprévus. </span></li></ol><p style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica; min-height: 14px;"> </p><ol><li style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica;"><span style="letter-spacing: 0.0px;">Tout l’intérêt porté en ce moment au danger possible de consommer des OGM nous fait oublier un risque encore plus lourd: celui de la recombinaison spontanée, en pleine nature, de ces organismes avec les autres plantes. Ces hybridations aléatoires peuvent déséquilibrer désastreusement notre écosystème. Elles peuvent inhiber la capacité reproductrice de certains végétaux, engendrant l’extinction de certaines espèces, et conférer à d’autres jusque là inoffensifs une immunité qui les transforme en envahisseurs redoutables. Il ne s’agit donc pas seulement de ce que nous voulons ou non avoir dans notre assiette. Il s’agit de la gestion du vivant là où nous vivons, et même de la gestion de l’autosuffisance alimentaire dont on va voir dans les mois et les années à venir qu’elle n’est pas une stratégie moyenâgeuse. </span></li></ol><p style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica; min-height: 14px;"> </p><p style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica;"><span style="letter-spacing: 0.0px;">Regardons maintenant au delà des limites de la basse-cour.</span></p><p style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica; min-height: 14px;"> </p><ol><li style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica;"><span style="letter-spacing: 0.0px;">Dans un objet de consommation ne comptent pas seulement ses qualités intrinsèques mais aussi le processus qui a permis de le produire et, au delà encore, le système social que sa production engendre et développe. Un fruit ou un légume ne saurait me satisfaire parce qu’il est «bio» si, à côté de cette caractéristique, il est fondé sur une monoculture, des emplois mal rétribués et de longs transports routiers. Un <em>smartphone</em> n’est pas qu’un objet intelligent, ce sont les conditions de travail de ceux qui le fabriquent, les ressources que l’on épuise, la répartition de la valeur ajoutée entre les parties prenantes, le mode de vie qui en résulte pour l’utilisateur. S’agissant des OGM, il convient de prendre en compte le business model - pardon: le modèle économique - dont ils sont le levier, et le monde qu’il engendre. L’arsenal des brevets qui les caparaçonne et la stérilité dès la première récolte conduisent à l’asservissement de ceux qui les utilisent et à l’appropriation par des intérêts privés de l’autonomie alimentaire de l’humanité. A travers la solution technique, c’est non seulement la richesse mais le pouvoir qui sont impitoyablement drainés pour remonter entre les mains des promoteurs de ladite solution. </span></li></ol><p style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica; min-height: 14px;"> </p><ol><li style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica;"><span style="letter-spacing: 0.0px;">Ceci me conduit à mon cinquième point, le plus important selon moi. Le débat technique est un enfermement. En ce qui concerne la nocivité des OGM, il escamote un niveau essentiel: le choix du monde et de la société dans lesquels nous voulons vivre. Il nous conduit à oublier que c’est au politique d’encadrer le commerce et non au commerce d’encadrer le politique. Choisir ce qu’elle mange ou ne mange pas, ce qu’elle accepte ou non sur son territoire, relève du droit imprescriptible d’une communauté. Elle n’a même pas à s’en justifier, il lui revient seulement d’en assumer les conséquences. S’il n’y a pas consensus, les règles publiques doivent protéger les préférences de chacun, en l’occurrence en obligeant à l’étiquetage et à la traçabilité des produits contestés et en permettant les conditions nécessaires aux cultures alternatives. </span></li></ol><p style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica; min-height: 14px;"> </p><p style="margin: 0px; font-size: 12px; font-family: Helvetica;"><span style="letter-spacing: 0.0px;">En résumé, le renard n’a pas sa place dans le poulailler même s’il nous explique toutes les précautions qu’il prendra pour ne pas effrayer la volaille.</span></p>
Regis
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Que penser des OGM ?
tag:regis-pnl-coaching.blogspirit.com,2012-10-21:2931924
2012-10-21T15:29:01+02:00
2012-10-21T15:29:01+02:00
Pour savoir exactement à quels dangers s'attendre, il est de coutume...
<p><span style="font-size: small;">Pour savoir exactement à quels dangers s'attendre, il est de coutume de faire des études sur les rats, dont la vie est plus courte que la notre, deux ans en moyenne.</span></p><p><span style="font-size: small;">Or les autorités européennes ont accepté que les études statistiques sur les OGM soient limitées à 3 mois, sur la demande des industriels concernés... L'argument de ces derniers étant que les études statistiques coûtent cher et qu'il fallait aller de l'avant, lancer les cultures OGM à gande échelle, ainsi apparaitraient plus facilement les effets secondaires...</span></p><p><span style="font-size: small;"><em><strong>Nos enfants deviendront-ils des rats de laboratoire ?</strong></em></span></p><p><span style="font-size: small;">Je vous invite à voir ce documentaire video, paru sur France 5 le 16 octobre dernier. Il commente la seule étude réalisée sur une durée de 2 ans, ce qui semble bien la moindre des choses. Les résultats sont édifiants :</span></p><p><span style="font-size: small;"><a href="http://www.pluzz.fr/ogm-vers-une-alerte-mondiale---2012-10-16-20h35.html">http://www.pluzz.fr/ogm-vers-une-alerte-mondiale---2012-10-16-20h35.html</a></span></p><p><span style="font-size: small;">Merci au professeur Seralini, à Corine Lepage, à France 5 et à tous ceux qui ont participé à cette étude, malgré les barrages qui leur ont été faits.</span></p><p><span style="font-size: small;">Bonne vidéo.</span></p>
maplanete
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Les sextoys passent au vert
tag:maplanetea.blogspirit.com,2012-05-21:3315040
2012-05-21T10:00:00+02:00
2012-05-21T10:00:00+02:00
L'air de la campagne favorise la libido... Photo DR C'est bien...
<p style="text-align: center;"><img id="media-190254" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/00/1476509829.jpg" alt="campagne-libido.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><em><span style="font-size: xx-small;">L'air de la campagne favorise la libido... Photo DR</span></em><strong><br /></strong></p><p><strong></strong><strong>C'est bien connu, l'air de la campagne est bon pour la libido... Qu'on peut désormais entretenir, de retour à la ville, avec des sextoys 100 % bio. </strong>Car vous n'imaginez pas la puissance de l'écologie : elle se niche aujourd'hui réellement partout, même dans les secteurs de consommation les plus inattendus, comme celui de l'industrie et du commerce des jouets dits "intimes", où l'on propose des produits alliant plaisir et santé !<strong> <br /></strong></p><p>Non ? Si.</p><p><a href="http://www.arbredesplaisirs.com/" target="_blank"><strong>"L'Arbre des plaisirs",</strong></a> est le premier site français à ne commercialiser en ligne que des sextoys, godemichets, vibromasseurs et autres jouets intimes, garantis sans phtalates, substance contenue dans bon nombre de produits de l'industrie plastique et considérée comme potentiellement nocive. Avec un concept : se faire plaisir sans risque pour la santé, tout en protégeant la nature. Le site revendique d'ailleurs sur sa page d'accueil, sa conformité à <span>la<a href="http://www.assemblee-nationale.fr/13/dossiers/interdiction_phtalates.asp" target="_blank"><strong> l</strong></a></span><a href="http://www.assemblee-nationale.fr/13/dossiers/interdiction_phtalates.asp" target="_blank"><strong><span>égislation française du 3 mai 2011, qui interdit l'utilisation des phtalates, des parabènes et des alylphénols.</span> </strong></a>En réalité, la loi a bien été votée à l'Assemblée nationale, mais pas encore au Sénat...<strong><span><br /></span></strong></p><p><strong>Le coût du "green-safe" sextoy<br /></strong></p><p><img id="media-190262" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/00/00/3328307166.jpg" alt="FRAISE.jpg" />Certes, comme la fraise bio, le sextoy bio est un poil plus cher que le sextoy avec phtalates. Mais le surcoût en vaut la chandelle. Les écolos avertis le savent bien :<strong> la présence de phtalates, c'est un risque de cancer et de stérilité.</strong> Une<a href="http://humrep.oxfordjournals.org/content/27/5/1451.abstract" target="_blank"> <strong>étude qui vient d'être publiée dans la revue britannique "Human reproduction"</strong></a>, confirme, pour la première fois, que les phtalates affectent bien la production de testostérone chez l'adulte. Trois équipes françaises, sous la direction de Bernard Jégou, de Bruno le Bizec, à l'école vétérinaire de Nantes et de Daniel Zalco à l'Inra de Toulouse, ont participé à<strong><a href="http://blog.santelog.com/2012/04/13/phtalates-testicules-exposes-testosterone-diminuee-human-reproduction-2/" target="_blank"> cette étude, qui met en évidence une chute de 30 % de la production de testostérone en 24 heures</a></strong>, pour des patients exposés à deux phtalates très courants. On imagine alors sans peine les conséquences sur la santé, de l'utilisation répétée d'un sextoy avec phtalates : le risque d'une contamination du fait du contact direct de l'objet avec les muqueuses de l’organisme n'est pas qu'un fantasme. Que du plaisir sur le moment, mais après...</p><p style="text-align: center;"><img id="media-190272" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/01/3092499738.jpg" alt="arbre planté.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><em>Photo DR</em></span><strong><br /></strong></p><p><strong>Le commerce en ligne du sexe dans la cour du green business <br /></strong></p><p>Soucieux de la santé de leur prochain et tout aussi désireux d'assurer leur réussite commerciale, les premiers écolos du monde du plaisir ont ainsi créé leur site de vente en ligne : "L'arbre des plaisirs". D'autres sites commercialisent sur la toile des produits similaires sans phtalates, comme <a href="http://www.bonbonrose.ch/accueil-sextoys-touche-vibromasseur--sextoys-silicone--sans-phtalates.htm" target="_blank"><strong>"Bonbon Rose"</strong></a>, ou <strong>"</strong><a href="http://www.abylis.fr/sex-toys-sans-phtalates.asp" target="_blank"><strong>Abylis"</strong>.</a> Mais l'originalité de "L'arbre des plaisirs" est de ne vendre que des sextoys sans phtalates. La démarche écolo de "L''Arbre des plaisirs" c'est du sérieux. Pas question de faire du business n'importe comment : solidaire et soucieux de protéger la nature, le site se conforme aux exigences du développement durable. Il propose ainsi la récupération et le recyclage des objets vendus et participe à <strong><a href="http://www.arbredesplaisirs.com/cms.php?id_cms=26" target="_blank">des projets de développement en priorité dans les pays du Sud, en partenariat avec l'association bien connue, Alter Eco.</a></strong> La priorité est donnée au financement de projets qui créent une activité économique pérenne et ce, dans le respect de l'environnement, comme l'agriculture biologique ou la reforestation.</p><p><strong>Un "jouet" acheté, un arbre planté</strong></p><p>Enfin, "L'Arbre des plaisirs" a pour ambition de devenir forêt : le site associe ses clients à une action en faveur de la planète, avec <a href="http://www.arbredesplaisirs.com/cms.php?id_cms=27" target="_blank"><strong>Pur projet.</strong> P</a>our chaque sextoy acheté sur son site, un arbre sera planté par<strong> <a href="http://www.purprojet.com/fr/" target="_blank">l’organisation Pur Projet.</a></strong> Et pas d'entourloupe à craindre : chacun, averti par mail, pourra visualiser son arbre, sur Google Earth.</p><p><strong>La reforestation de la planète sera-t-elle plus rapide avec "L'Arbre des plaisirs" qu'avec<a href="http://maplanetea.blogspirit.com/tag/no%C3%ABl" target="_blank"> le recyclage des sapins de Noël</a> ?</strong> La question se pose d'autant plus que certains sextoys, au menu de la sélection du site, ont l'air de vrais sapins de Noël... Précision indispensable : contrairement aux sapins "recyclables" du père Noël, ceux de "L'Arbre aux plaisirs" sont strictement réservés aux adultes.</p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p>► <strong>EN SAVOIR PLUS SUR LA DEMARCHE ECOLOGIQUE DE <a href="http://www.arbredesplaisirs.com/" target="_blank"> "L'ARBRE DES PLAISIRS"</a><br /></strong></p><ul><li><a href="http://www.arbredesplaisirs.com/25-presentation" target="_blank"><strong>Des sextoys recyclables : 1 sextoy à 50%</strong></a></li></ul><p>Si l'on fait recycler son ancien sextoy vibrant en le retournant à "L'Arbre des plaisirs", on gagne 50% de réduction sur l'achat de son prochain "jouet" (à choisir sur une liste proposée par le site) en partenariat avec l<a href="http://www.altereco.com/" target="_blank">’</a><strong><a href="http://www.altereco.com/" target="_blank">association Alter Eco</a>.</strong> En outre, en plus de l'action citoyenne de recyclage, le site reverse 1 € à Alter Eco. L'association Alter Eco a été créée par les salariés de la société éponyme, en 2006, (société pionnière de Commerce Equitable) sous le statut de la loi de 1901 (à but non lucratif).</p><ul><li><strong>Une action citoyenne : <a href="http://www.arbredesplaisirs.com/cms.php?id_cms=27" target="_blank">1 arbre pour 1 sextoy</a></strong></li></ul><p>Chacun peut, à son niveau, faire une action en faveur de la planète. C’est pourquoi "L’Arbre des Plaisirs" a décidé d’associer ses clients à ce projet. Ainsi, pour chaque sextoy acheté, à choisir sur une liste proposée par le site, un arbre est planté.<em><br /></em></p><p><em></em>►<strong>LES PHTALATES, C'EST QUOI ?</strong></p><p><strong>Dans l’industrie plastique, les phtalates sont une large famille de substances utilisées comme additifs du polychlorure de vinyle (PVC), pour l'assouplir.</strong> Seuls trois d’entre eux sont soumis à une procédure d’autorisation avant mise sur le marché selon le règlement européen REACH : le DEHP, le BBP et le DBP.</p><p><strong>Ils se retrouvent dans une large gamme de produits industriels, ménagers et de consommation.</strong> Et la liste est longue : dans des cosmétiques, huiles et lubrifiants, des détergents, des emballages alimentaires, des adhésifs, des peintures, des encres, des produits pharmaceutiques, des chaussures... Ils servent aussi de fixateurs et de conservateurs, et utilisés dans les emballages et films alimentaires, ils contaminent aussi les aliments. L’<span class="spip_in">Union européenne les avait déjà interdits</span> dans les articles de puériculture, les jouets et les cosmétiques, mais leur usage restait autorisé dans de nombreux autres produits d’utilisation courante. <strong>En France, leur interdiction a été votée par la<a href="http://www.assemblee-nationale.fr/13/dossiers/interdiction_phtalates.asphttp://www.plasticseurope.fr/centre-dinformations/salle-de-presse/communiques-de-presse-2011/cp-3-mai-2011-vote-de-linterdiction-des-phtalates-par-les-deputes-la-filiere-plastique-salarme-dune-interdiction-generale-et-inadaptee.aspx" target="_blank"> loi du 3 mai 2011,</a></strong> selon laquelle les pthalates "auraient des effets délétères sur la mise en place du <span class="spip_in">potentiel reproducteur masculin dans l’espèce". A</span>u grand dam de <a href="http://www.plasticseurope.fr/centre-dinformations/salle-de-presse/communiques-de-presse-2011/cp-3-mai-2011-vote-de-linterdiction-des-phtalates-par-les-deputes-la-filiere-plastique-salarme-dune-interdiction-generale-et-inadaptee.aspx" target="_blank">l'industrie du plastique, qui demande l'abrogation de cette loi.</a></p><p>►<strong>LIRE AUSSI</strong></p><ul><li><a href="http://maplanetea.blogspirit.com/archive/2012/04/12/fil-vert.html" target="_blank">Des pesticides aux phtalates : quel futur pour l'humanité ? Ma Planète, 13 avril 2012</a></li><li><a href="http://www.lavie.fr/actualite/france/yvan-lachaud-l-interdiction-des-phtalates-est-une-question-de-sante-publique-06-05-2011-16608_4.php" target="_blank">"L'interdiction des phtalates est une question de santé publique" La Vie, 6 mai 2011</a></li><li><a href="http://www.sudouest.fr/2012/05/11/le-bisphenol-a-denonce-par-des-scientifiques-712011-4585.php" target="_self">Le bisphénol A dénoncé par des scientifiques Sud Ouest 11 mai 2012</a></li></ul><p> </p><p><em><br /><br /></em></p>
maplanete
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Agroalimentaire. En France, le bio ne connaît pas la crise
tag:maplanetea.blogspirit.com,2012-02-24:3314970
2012-02-24T10:00:00+01:00
2012-02-24T10:00:00+01:00
Un joli panier de légumes bio. Photo SO Demain s'ouvre à Paris le...
<p style="text-align: center;"><img id="media-171590" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/00/4240366343.jpg" alt="agriculture biologique,salon international de l'agriculture,sia paris,bio" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;"><em>Un joli panier de légumes bio. Photo SO</em></span></p><p><strong>Demain s'ouvre à Paris le <a href="http://www.salon-agriculture.com/" target="_blank">Salon international de l'agriculture</a> (25 février au 5 mars).</strong> Rendez-vous annuel obligé des femmes et hommes politiques qui ne manqueront pas cette année d'y défiler en nombre, à la veille des échéances électorales à venir, il est aussi un bon révélateur de la santé de l'agriculture et de ses produits. Ce qui est bien plus important. <strong></strong></p><p><strong>En 2012, la bonne nouvelle c'est qu'en France, le bio ne connaît pas la crise. Selon les estimations de l'<a href="http://www.agencebio.org/actualites.asp?FK_categorie=4&pk_actualite=111&n1=3" target="_blank">Agence Bio</a> publiées le 14 février dernier, le marché des produits issus de l'agriculture biologique a bondi de 10 % en 2011, et quadruplé en dix ans. Il est passé de 1 milliards d'euros en 2001 à quatre milliards d'euros en 2011, et représente aujourd'hui environ 2,6% de la consommation alimentaire en France. Quant aux surfaces agricoles bio, elles ont doublé dans la même période. Il est vrai qu'on part de tellement loin dans ce domaine...</strong></p><p><strong>Une belle performance à nuancer</strong></p><p>L'effet de la crise se fait néanmoins sentir, car si le chiffre d'affaire global des ventes explose, le nombre de Français qui consomment régulièrement des produits bio s'érode progressivement depuis deux ans. En 2011, 40% des Français ont déclaré consommer au moins une fois par mois des produits biologiques, alors qu'ils étaient 43% en 2010 et 46% en 2009 (sondage réalisé par l'institut CSA pour l'Agence Bio). Par ailleurs, les nouveaux convertis au bio sont moins nombreux. En 2011, 3% des acheteurs de bio déclarent consommer des produits biologiques depuis un an, contre 8% en 2010.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-171594" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/02/00/3778724569.jpg" alt="agriculture biologique,salon international de l'agriculture,sia paris,bio" /></p><p style="text-align: center;"><em><span style="font-size: xx-small;">Magasin Bio Knock (Bègles, Gironde). Photo archives SO<br /></span></em></p><p><strong>Plus de points de vente, mais des prix encore trop élevés</strong></p><p>Un frein au développement de la consommation bio reste les prix des produits jugés trop élevés. Pourtant, le bio s'est démocratisé, avec la multiplicaton des ouvertures d'enseignes spécialisée (Biocoop, La Vie Claire, Naturalia, La Vie Saine...).<strong> On n'en dénombre pas moins de 9 rien qu'à Bordeaux, sans compter l'offre bio des étals présents sur les différents marchés.</strong> Les hypers et supermarchés ont aussi accrû leur assortiment bio, créant des lignes de produits bio avec leur marque propre. Les prix se sont ainsi réduits, grâce à l'augmentation des volumes, mais encore insuffisamment : plus de 90% des consommateurs considérent que des prix moins élevés favoriseraient l'essor du marché. Les prix des produits bio restent en effet de 20 % à parfois 50 % plus élevés que les produits issus de l'agriculture conventionnelle.<br /><br />De leur côté, les consom'acteurs fidèles, qui ont appris à mieux consommer, différemment et durablement, et peut-être aussi suffisamment aisés pour continuer à acheter régulièrement ce type de produits, sont de plus en plus convaincus de la qualité de leur choix. Cela suffit à expliquer la bonne santé du marché du bio, dans un contexte où la consommation stagne dans les grandes surfaces alimentaires.</p><p><strong>Bio, mais pas assez local</strong></p><p>Dans leur panier, les consommateurs de produits biologiques placent en premier lieu des fruits et des légumes. Puis viennent les produits laitiers et les oeufs. Malheureusement, l'origine "France" de ces produits reste bien insuffisante.<strong> Surtout si l'on considère que, pour être vraiment durable, le bio se doit aussi d'être local.</strong> Or, si les surfaces agricoles cultivées en bio ont doublé en France, passant de 419 750 hectares à 950 000 en 2011, pour représenter aujourd'hui 3,5%, de la suface agricole cultivée, on est encore loin des objectifs du Grenelle de l'Environnement (6% fin 2012 et 20% en 2020), et surtout loin de pouvoir satisfaire les attentes des consommateurs. Plus du tiers des produits bio consommés en France sont importés depuis l'Union européenne ou d'autres pays.<br /><strong></strong></p><p><strong>Le bio : stop ou encore ?</strong></p><p>L'Agence Bio estime que le marché du bio a encore un bel avenir en 2012. La crise économique ne devrait pas avoir d'impact sur la consommation, qui devrait encore augmenter. Une autre étude, publiée le 6 février dernier, vient cependant doucher cet optimisme. Pour le<strong> <a href="http://www.xerfi.fr/Agro-alimentaire/Etudes_sectorielles_Precepta-Marche_des_produits_biologiques_1IAA49.awp" target="_blank">cabinet Xerfi,</a></strong> la croissance du marché alimentaire bio en France va ralentir, pour plafonner à une augmentation de 5 % en 2015, avec un chiffre d'affaires de 4,5 milliards d'euros, en raison de la dégradation de la conjoncture économique. Avec la crise, explique Xerfi, les consommateurs établissent des priorités : et les prix des produits bio sont plus élevés que ceux de l'alimentation traditionnelle.</p><p><strong>Encore !</strong></p><p>Pessimiste ou optimiste, aucune étude sur l'avenir du bio ne saurait remettre en cause les bienfaits de ce type d'alimentation pour la santé des consommateurs. Promouvoir l'agriculture bio et aider à son développement est un enjeu majeur pour l'avenir de notre agriculture et notre bien-être. Rendre possible l'objectif du "bio pour tous", pourrait peut-être constituer un levier plus efficace pour réduire le déficit de la sécu, que le déremboursement des médicaments. Ce jour là, parions que le Salon international de l'agriculture de Paris sera devenu le plus grand salon international du bio...</p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon</strong></a></p><p> ►<strong>PLUS D'INFO</strong> <br /><strong></strong></p><p> </p><ul><li><strong>Le bio au Salon International de l'Agriculture de Paris :</strong></li></ul><p><strong>L’Agence BIO et ses partenaires iront à la rencontre du public au Salon International de l'Agriculture, Porte de Versailles à Paris (stand 3C93). </strong>L'espace BIO s'adressera à la fois aux professionnels et au grand public (adultes et enfants), avec pour objectifs de répondre à toutes les questions sur les principes et les valeurs de l’agriculture biologique, de faire découvrir la diversité et les saveurs des produits bio, et d’apporter des informations aux professionnels souhaitant convertir leurs activités à l’agriculture biologique. <br /><br /></p><ul><li><strong>Le site de l'Agence Bio : <a href="http://www.agencebio.or" target="_blank">cliquer ICI</a></strong></li><li><strong>Le site du cabinet Xerfi</strong> <strong>: <a href="http://www.xerfi.fr/Agro-alimentaire/Etudes_sectorielles_Precepta-Marche_des_produits_biologiques_1IAA49.awp" target="_blank">cliquer ICI</a></strong></li></ul><p><strong>►LIRE AUSSI </strong></p><ul><li><a href="http://www.sudouest.fr/2011/09/13/l-agriculture-bio-peut-elle-nourrir-le-monde-497419-4720.php" target="_blank"><strong>L'agriculture bio peut-elle nourrir le monde ?</strong></a></li><li><a href="http://www.sudouest.fr/2011/05/25/bio-d-aquitaine-veut-se-muer-en-une-force-de-proposition-407865-4720.php" target="_blank"><strong>Bio d'Aquitaine veut se muer en une force de proposition</strong></a></li></ul>
Ariane
http://ariane.blogspirit.com/about.html
Du pain, du beurre... le bonheur !
tag:ariane.blogspirit.com,2011-12-04:2459653
2011-12-04T07:30:00+01:00
2011-12-04T07:30:00+01:00
Il y a quelque temps, j'avais entendu parler des Maîtres de mon Moulin ,...
<p style="text-align: left;">Il y a quelque temps, j'avais entendu parler des <a href="http://www.farinesdemeule.com/" target="_blank">Maîtres de mon Moulin</a>, une boulangerie atypique à Cucugnan, du côté de Perpignan, par Jean-Philippe de Tonnac alias <a href="http://www.facebook.com/groups/106773742716027/" target="_blank">Universal Bread</a>, le concepteur du Dictionnaire Universel du Pain.</p><p>Or, cette semaine, j'ai eu la surprise de découvrir que cette passionnée de bonne cuisine qu'est <a href="http://ariane.blogspirit.com/archive/2011/10/21/rencontre-avec-camille-et-caroline-gourmandes-bcbt.html" target="_blank">Caroline L.</a>, avait fait le voyage de Cucugnan et qu'elle m'en ramenait une auguste miche de pain. A peine me l'eut-elle remise que, impatiente d'y goûter, je décidais que ce serait la base de mon déjeuner, tout simple et ô combien délicieux : du pain, du beurre.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-630477" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://ariane.blogspirit.com/media/02/02/2844729560.JPG" alt="P1040655.JPG" width="399" height="265" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-630478" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://ariane.blogspirit.com/media/01/01/3545199544.JPG" alt="P1040657.JPG" width="405" height="259" /></p><p style="text-align: left;">J'ai d'abord goûté le pain tout seul pour l'apprécier dans sa stricte "nudité", avant de la savourer avec du beurre. En fait, il s'est révélé étonnant d'équilibre et même de modestie : il ne présente ni une forte acidité comme de nombreux pains au levain, ni une saveur nettement salée, ni une croûte trop croustillante ou trop cuite qui ferait oublier la mie. Du coup, c'est à la fois un régal en tant que tel et un compagnon probablement idéal pour de nombreux mets auxquels il ne veut pas voler la vedette.</p><p style="text-align: left;">Ce pain d'exception provient d'une endroit étonnant où Roland Feuillas, ancien ingénieur, a repris avec sa femme un moulin pour relancer une chaine complète de fabrication du pain. Cela va ainsi du choix des semences, des variétés anciennes, et d'une agriculture biologique à la vente en boulangerie en passant par le métier de meunier et l'utilisation de meules de pierre, une lente fermentation, la cuisson dans un four qui parait impressionnant. Tout cela lui permet de faire des recherches très fines sur la qualité du pain qu'il veut obtenir. Et ce pain est non seulement délicieux à savourer et porteur d'un savoir ancestral, mais aussi, promet-il, excellent pour la santé, car riche en fibres et doté de propriétés nutritionnelles bien différentes de la plupart des pains d'aujourd'hui et du coup parfaitement toléré par des personnes qui se pensent en délicatesse avec le pain ou qui croient devoir s'en priver. Il défend plus largement le droit des consommateurs à avoir un pain de haute qualité et à en connaître les process de fabrication.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-630702" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://ariane.blogspirit.com/media/00/00/1544521240.2.JPG" alt="boulanger, cucugnan, maitres de mon moulin, bio, roland feuillas, qualité du pain" width="397" height="264" /></p><p style="text-align: left;">De grands mercis à Roland Feuillas pour le travail qu'il fait et le partage de son savoir et à Caroline pour avoir été une messagère gourmande. Elle avait d'ailleurs rapporté une autre miche pour un accro au pain, dont vous connaissez peut-être le blog, <a href="http://painrisien.com/histoire-dun-voyage-de-pain-et-dun-partage/" target="_blank">Painrisien</a>, qui arpente infatigablement la capitale en quête de bonnes boulangeries.</p><p style="text-align: left;"><em><a href="http://www.farinesdemeule.com/" target="_blank">Les Maîtres de mon Moulin</a>, Cucugnan, Aude, 04 68 33 55 03</em></p>
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Led Zeppelin, même les dragons ont une fin : sortie officielle
tag:jm-oullion.blogspirit.com,2011-10-31:2419696
2011-10-31T12:27:49+01:00
2011-10-31T12:27:49+01:00
Après "Pink Floyd, magiciens, alchimistes et milliardaires", j'ai le...
<p><span style="color: #000000;"><a href="http://jm-oullion.blogspirit.com/media/02/02/1031002015.jpg" target="_blank"><img id="media-622724" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://jm-oullion.blogspirit.com/media/02/02/3547665658.jpg" alt="book_98.jpg" /></a>Après "Pink Floyd, magiciens, alchimistes et milliardaires", j'ai le plaisir de vous annoncer la sortie de ma nouvelle biographie rock : "<strong>Led Zeppelin, même les dragons ont une fin"</strong> aux éditions des Carnets de l'Info.</span><br /><br /><span style="color: #000000;">Monstre sacré du rock, Led Zeppelin a marqué l’histoire de la musique populaire de son empreinte de plomb. </span><br /><br /><span style="color: #000000;">Jimmy Page, Robert Plant, John Bonham et John Paul Jones : quatre rock héros, quatre musiciens inventifs et fougueux qui ont accouché d’un nouveau genre musical, le hard rock, quatre artistes fusionnels qui ont incarné durant une douzaine d’années un Dragon de Feu crachant des riffs gorgés d’électricité sur une rythmique surpuissante...</span><br /><br /><span style="color: #000000;">Lire la suite de la présentation sur le blog officiel du livre : </span><br /><span style="color: #000000;"><a class="main" style="text-align: left; text-decoration: none; color: #327999; white-space: normal; font-weight: normal; cursor: pointer;" title="http://ledzeppelin.hautetfort.com/archive/2011/10/25/led-zeppelin-meme-les-dragons-ont-une-fin-parution-officiel.html" href="http://ledzeppelin.hautetfort.com/archive/2011/10/25/led-zeppelin-meme-les-dragons-ont-une-fin-parution-officiel.html" rel="nofollow" target="_blank"><span style="color: #000000;">http://ledzeppelin.hautetfort.com/archive/2011/...</span></a> </span><br /><br /><span style="color: #000000;">N'hésitez pas à me contacter si ce sujet vous intéresse !</span></p>
Jean-Pierre GRAND
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Semaine du goût dans les écoles
tag:www.jeanpierregrand.fr,2011-10-21:2413372
2011-10-21T18:11:00+02:00
2011-10-21T18:11:00+02:00
Dans le cadre de la 22 ème semaine du goût, j’ai déjeuné aujourd’hui à...
<p style="text-align: justify;"><a href="http://www.jeanpierregrand.fr/media/00/01/1046144028.JPG" target="_blank"><img id="media-620777" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.jeanpierregrand.fr/media/00/01/2248871054.JPG" alt="jean pierre grand, castelnau le lez, ecoles, restauration, nutrition, bio, semaine du gout, montpellier" /></a>Dans le cadre de la 22<sup>ème</sup> semaine du goût, j’ai déjeuné aujourd’hui à la cantine d’une école de ma commune.</p><p style="text-align: justify;">Depuis 2008, la ville de Castelnau-le-Lez agit pour faire évoluer les habitudes nutritionnelles de ses écoliers en améliorant la qualité de sa restauration scolaire.</p><p style="text-align: justify;">Equilibre et variété des menus élaborés ; légumes et fruits proposés systématiquement en entrées et desserts ; limitation des apports en graisse, sucre et sel ; interdiction complète des OGM, … tels sont les grands axes d’une politique destinée à sensibiliser les plus jeunes à l’équilibre nutritionnel, tout en éveillant leur goût et leur curiosité alimentaire.</p><p style="text-align: justify;">Nos exigences vont bien au-delà de celles du décret du 30 septembre 2011 relatif à la qualité nutritionnelle des repas servis dans le cadre de la restauration scolaire.</p><p style="text-align: justify;">En plus de cette démarche, nous dépassons les préconisations du Grenelle de l’Environnement en matière de restauration biologique. En effet, un repas bio est servi dans les restaurants scolaires depuis 2008 et depuis septembre 2011, 80 % des fruits servis sont issus de l’agriculture biologique.</p><p style="text-align: justify;">Ensuite, je me suis rendu à Montpellier dans une classe pour une leçon de goût dispensée par un professionnel de renom. Je n’ai pas manqué de rappeler aux enfants que le « repas gastronomique français » avait été inscrit au patrimoine immatériel de l’Unesco.</p>
Ariane
http://ariane.blogspirit.com/about.html
Cantines santé, oui à condition que ce soit bon !
tag:ariane.blogspirit.com,2011-10-21:2334508
2011-10-21T06:59:00+02:00
2011-10-21T06:59:00+02:00
On parle beaucoup de nos jours de manger santé, du sain, du bio, du...
<p style="text-align: left;">On parle beaucoup de nos jours de manger santé, du sain, du bio, du naturel.... Certains restaurants parisiens se sont un peu spécialisés là-dedans depuis plus ou moins longtemps (ce qui ne veut surtout pas dire que les autres nuiraient à la santé, oh que non !). Pourquoi pas mais l'important, c'est surtout que ce soit bon ! On n'a absolument pas besoin de déconnecter plaisir du goût et alimentation saine. J'ai testé quelques adresses pour voir.</p><p style="text-align: left;">Par exemple, j'ai déjeuné plusieurs fois chez <strong><a href="http://super-nature.fr/home/home.html" target="_blank">Supernature</a></strong>, une "cantine" bio du 9ème arrondissement et c'est toujours un grand plaisir. Ils proposent une assiette "Super Vitalité" (tout un programme !) qui est un festival de couleurs, de parfums, de textures (là, on ne voit pas certains éléments cachés sous la salade). Et si je prends un jus d'herbe au jus de pomme pour l'accompagner, je me régale aussi (chacun ses goûts !). Et bien sûr, il vaut mieux aimer les <a href="http://ariane.blogspirit.com/archive/2010/04/17/graines-germees-les-4-b.html" target="_blank">graines germées</a> !</p><p style="text-align: center;"><img id="media-619806" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://ariane.blogspirit.com/media/00/02/104887386.JPG" alt="P1030815.JPG" width="392" height="256" /></p><p style="text-align: left;">J'apprécie aussi les assiettes variées et goûteuses de <a href="http://www.poussepousse.eu/fr/" target="_blank">Pousse-Pousse</a> mais je regrette que l'espace soit vraiment petit. La patronne, Laurence Aboucaya, est une activiste du bio depuis des années (sans doute un peu trop detox attitude pour moi). Et ce n'est pas donné !</p><p style="text-align: center;"><img id="media-619805" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://ariane.blogspirit.com/media/02/01/1498112255.JPG" alt="P1030501.JPG" width="393" height="270" /></p><p style="text-align: left;">Après être passé devant des dizaines de fois, j'ai enfin goûté à la cuisine de <strong>Guenmai</strong>, restaurant macrobiotique "historique" à St Germain des Prés : une assiette complète avec légumes crus et cuits, des céréales, des légumes secs, un peu de tofu (élément qui change selon les jours), le tout plutôt bon et parfumé. Toutefois, je m'en lasserais sans doute si c'était ma cantine quotidienne. Et l'environnement est un peu austère...</p><p style="text-align: center;"><img id="media-619810" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://ariane.blogspirit.com/media/00/00/1711053144.JPG" alt="P1040163.JPG" width="473" height="254" /></p><p style="text-align: left;">En revanche, je préfère passer sous silence le nom d'un autre restaurant de la rive gauche qui existe depuis de longues années, où les clients semblent aussi tristes que les assiettes, de banals légumes vapeur et de la "graine" sans aucun attrait.</p><p style="text-align: left;">Et vous, avez-vous d'autres suggestions à faire dans le même style ?</p><p style="text-align: left;"><em>Guenmai, 2 bis rue de l'Abbaye, Paris 6ème, 01 43 26 03 24 </em></p><p style="text-align: left;"><em>Pousse-Pousse, 7 rue Notre-Dame-de-Lorette, Paris 9ème, </em>01 53 16 10 81</p><p style="text-align: left;"><em>Supernature, 12 rue de Trévise, Paris 9ème, 01 47 70 21 03</em></p><p style="text-align: left;"> </p><p style="text-align: left;"> </p><p> </p>