Last posts on beaute2024-03-29T03:00:42+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/beaute/atom.xmlpjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.html[Recherche en Marketing] | Découvrez le dernier numéro de @RFM, la revue de l'@Adetem | L'intégral de l'éditorialtag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2017-07-19:30947412017-07-19T15:27:05+02:002017-07-19T15:27:05+02:00 EDITORIAL REVUE FRANCAISE DU MARKETING 06/2017 | n° 259 La RFM est la...
<p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/00/01/1749227169.jpg" id="media-969239" alt="" /></p><p style="text-align: center;"><strong>EDITORIAL REVUE FRANCAISE DU MARKETING 06/2017 | n° 259</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>La RFM est la plus ancienne revue française de marketing.</strong> Elle occupe une place éminente au sein des publications scientifiques en sciences de gestion, tant par son accréditation par la FNEGE et l’AERES, que par l’originalité de son positionnement éditorial : la RFM souhaite renforcer le lien entre la recherche académique et sa mise en œuvre dans l’univers professionnel en encourageant toute initiative visant à la co-production d’articles entre académiciens et professionnels, et plus largement en favorisant toute coopération renforcée entre les meilleurs laboratoires de recherche universitaire et les entreprises les plus performantes dans les secteurs les plus divers.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-969232" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/00/586354176.jpg" alt="digital, rfm, pacitto, jourdan, rdm; adetem, cosmetique, beaute, maquillage, distribution" width="296" height="148" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>La distribution telle que nous la connaissions depuis les années d’après-guerre vit une mutation sans précédent depuis l’apparition du digital </strong>: aux Etats-Unis, mais pas uniquement, les grandes enseignes de distribution subissent la concurrence des acteurs du e-commerce, les obligeant à une remise en question de leur modèle économique, sous peine de disparaître. L’ère du numérique conduisant à une « ubérisation » de la société vient bouleverser les comportements d’achat en rendant notamment le consommateur co-acteur voire co-créateur de son expérience d’achat. La prise en compte de ce bouleversement doit être impérativement pris en considération par le secteur de la distribution et se traduire par des adaptations ou des modifications plus radicales dans les modes de fonctionnement. Il nous est donc apparu nécessaire de privilégier les enjeux de la distribution abordés dans trois des cinq articles qui forment le présent numéro. Deux autres articles complètent utilement ce numéro : l’un a trait au rôle de socialisation aux comportements écologiques joué par les personnages « verts » auprès des plus jeunes publics, l’autre montre l’apport des modèles de la satisfaction à la compréhension de la mobilité des habitants dans le cadre de la politique publique d’urbanisation de la ville de Casablanca. Nous avons ainsi choisi d’adresser deux problématiques actuelles, la refonte de la distribution et l’urgence écologique, tout en montrant l’universalité du raisonnement marketing qui peut également s’étendre aux politiques publiques.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-969233" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/00/01/529737648.jpg" alt="digital, rfm, pacitto, jourdan, rdm; adetem, cosmetique, beaute, maquillage, distribution" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>Le premier article écrit par les professeurs Philippe Jourdan et Jean-Claude Pacitto de l’université de Paris Est, est intitulé « La globalisation de la distribution peut-elle s’affranchir des particularités régionales ? Une étude des déterminants de la pénétration sur le marché mondial de la beauté ».</strong> Les enseignes de distribution se sont appliquées à développer des modèles de distribution dont la vocation est mondiale : un même type de magasin, une offre identique, des prestations de service inchangées dans chaque pays. Ces enseignes dans de nombreux secteurs sont pour autant demeurées très diverses. Ainsi, dans l’univers des cosmétiques, les drugstores, les chaînes de parfumerie, les grands magasins et les enseignes en nom propre forment quelques-uns des réseaux les plus présents sur le marché mondial. Les auteurs s’interrogent dès lors fort justement sur les déterminants de la performance commerciale, qu’ils ont choisi de résumer en prenant la pénétration comme variable dépendante : si tant d’enseignes de nature différente coexistent sur un même marché, existe-t-il d’autres déterminants de la performance commerciale ? La localisation géographique, qui sous-tend des différences d’environnement, de culture et de mentalité entre autres, est ainsi retenue, de même que l’ancienneté d’implantation sur un marché et la densité des points de vente. Les auteurs modélisent la pénétration en s’appuyant sur un modèle de variance-covariance afin d’isoler les effets des variables indépendantes retenues mais également de leur interaction sur la pénétration. Au final, le modèle se révèle fortement explicatif et montre qu’il existe bien des effets propres mais également conjoints des variables retenues. Ainsi, sur le marché mondial des produits cosmétiques, il n’existe pas de modèle de distribution prééminent prenant la forme d’un format unique assuré d’une performance supérieure à celle de tous les autres. Les résultats, validés sur une base de données conséquente et étendue (15 pays couvrant l’Europe, le Moyen-Orient, l’Amérique centrale et du Sud et l’Amérique du Nord) plaident en faveur d’une approche intermédiaire, une généralisation teintée d’adaptation locale. En effet, si la nature du point de vente conditionne la performance commerciale, il en est de même de la localisation géographique et de l’interaction entre ces deux dernières variables.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-969234" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/01/2914253728.jpg" alt="digital, rfm, pacitto, jourdan, rdm; adetem, cosmetique, beaute, maquillage, distribution" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>Le second article nous est proposé par le professeur Gilles Marion, enseignant-chercheur à l’EM Lyon. Intitulé « L’usage des lieux d’échange : furetage, contacts et expérience de l’acheteur », </strong>il aborde une problématique d’une grande actualité qui forme l’un des grands défis auquel est confronté la distribution aujourd’hui. « Ils se baladent dans les rayons et vont acheter en ligne et ils comparent les prix avant d’acheter en magasin ! » : c’est ainsi que l’auteur choisit de décrire les acheteurs contemporains qui ont choisi de « s’affranchir des sources d’information et d’approvisionnement élaborées à leur intention ». Parce qu’ils multiplient les points de contact avec les offres et les marques, les nouveaux acheteurs remettent en question l’approche classique du marketing appuyée sur la psychologie, la sociologie ou la culture du client. L’étude des relations interactives au sens « des médiations techniques et humaines qui définissent et rapprochent les objets et les sujets de consommation » devient dès lors incontournable, au même titre que devient obsolète le seul recours au modèle « stimulus-réponse ». Pour illustrer son propos, l’auteur se focalise sur l’expérience de « furetage » en magasin et en ligne en tant que mode d’accès aux biens. L’auteur documente deux évolutions fortes, la première a trait à la multiplication des points de contact et des sources d’information (stratégie omni-canale), la seconde à une substitution progressive de l’usage à la possession dans le rapport aux biens (consommation collaborative). Face à la multiplication des points de contact, l’approche par l’optimisation du seul mix-marketing semble désormais inopérante et il est plus avisé d’adresser la totalité du vécu de l’expérience de consommation en s’intéressant à l’ensemble des processus d’achat. Ce changement de paradigme amène à s’interroger sur la validité de l’ensemble de considération, tel que défini par Howard en 1957, et sur la fiabilité des marchés simulés qui ne reproduisent que très partiellement le vécu complexe du consommateur qui « agit et interagit pour effectuer un processus d’apprentissage en jonglant avec les contacts ». En conclusion, la distribution n’est plus réductible à une seule variable du mix marketing, mais s’apparente à une suite de relations interactives non nécessairement hiérarchisées. Fort de ces conclusions, l’auteur choisit d’adresser un agenda de recherche ambitieux, focalisé sur l’étude des lieux d’échange, digitaux, physiques ou relationnels.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-969235" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/01/2429800976.jpg" alt="digital, rfm, pacitto, jourdan, rdm; adetem, cosmetique, beaute, maquillage, distribution" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>Le troisième article s’articule comme une première réponse à cet agenda. L’auteur, Elodie Huré, professeure à l’Ecole de Commerce de Rennes, dans le cadre d’une recherche qualitative présentée sous le titre « Entre Drive et Supermarché : une exploration de l’intégration d’expériences de magasinage »,</strong> adresse la nécessité de gérer d’une manière « intégrée et synergétique » les canaux et les points de contact disponibles, de façon à « ce que l’expérience client à travers les canaux et la performance des canaux soient optimisées ». Dans le cas de la distribution alimentaire, l’auteur s’applique à décrire l’interaction du drive et du supermarché dans le cas d’une stratégie de distribution multicanale intégrée, plus proche du cross-canal (combinaison) que du multicanal (en silos) et tendant vers l’omni-canal (intégration). Pour cela, le concept d’expérience en tant qu’interaction entre une personne, un lieu de vente et un motif de magasinage est mobilisé, étant entendu que l’expérience omni-canale est ici protéiforme et sans limitation stricte, ni spatiale ni temporelle. Onze entretiens qualitatifs ont été menés, en plaçant au centre l’expérience digitale de magasinage, puis celle en magasin qui l’a précédée et suivie. Il en ressort que l’expérience de magasinage physique évolue à la faveur de l’achat en ligne : il est certes moins fréquent, moins routinier mais il acquiert également une valeur émotionnelle supérieure. Le recours au drive ne signifie pas non plus le renoncement à toute relation humaine, le contact avec le personnel pouvant même se révéler chaleureux. Le parcours sur le site Internet de l’enseigne alimentaire peut aussi s’inspirer du cheminement par rayon adopté en magasin. Il s’agit certes ici d’un premier travail exploratoire, mais les conclusions plaident en faveur de l’intégration des expériences et de la prise en compte du contexte dans l’optimisation des expériences.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-969236" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/02/3614681280.jpg" alt="digital, rfm, pacitto, jourdan, rdm; adetem, cosmetique, beaute, maquillage, distribution" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>Le quatrième article nous fait quitter l’univers de la distribution pour aborder le sujet de l’éco-socialisation, autrement dit de l’apprentissage du comportement écologiquement responsable. Deux enseignants-chercheurs tunisiens, Soumaya Askri Jendoubi et Hechmi Najjar, nous proposent une recherche conduite auprès d’un jeune public et intitulée « Eco-socialisation des enfants : réflexion prospective sur la contribution des personnages emblématiques ‘verts’ ».</strong> Les auteurs soulignent à juste titre l’importance du jeune public dans l’adoption de comportements de consommation écologique, en raison de leur nombre mais également des perspectives qu’ils dessinent pour l’avenir. Ils ciblent leur démarche sur le rôle que jouent les personnages emblématiques dans l’effort de socialisation écologique des enfants. Ils définissent l’éco-socialisation comme « le processus par lequel un enfant apprend directement ou indirectement des connaissances, des compétences et des valeurs écologiques grâce aux personnages emblématiques en vue d’avoir une conduite responsable ». De nombreuses marques recourent en effet à des personnages emblématiques, souvent fictifs, pour véhiculer un message et servir de caution à une identité de marque. Trois grandes familles de personnages : les personnages de marque, les personnages publicitaires ou bien les personnages de licence. Ces personnages permettent de développer chez l’enfant la mémorisation de la marque, la reconnaissance du produit, la personnification, la compréhension du message et au final l’attachement à la marque. Ils forment en cela des agents de socialisation. Le personnage vert peut alors être défini comme « le signe figuratif doté d’une connotation et d’une identité écologique et associé à des produits verts ». Pour tester l’impact de ces personnages dans une publicité, les auteurs mènent une expérimentation quantitative en comparant les réactions à deux types de stimuli (avec et sans personnage vert) auprès d’un public d’enfants de 8 à 11 ans. Dans une troisième partie, les auteurs ajoutent un texte écrit afin de vérifier l’apport à la compréhension du message de la présence du personnage vert. Le produit est un shampoing écologique de marque fictive afin d’éviter toute influence de connaissance antérieure. Le questionnaire est naturellement adapté dans sa formulation à l’âge cognitif des enfants. Les résultats valident les hypothèses sur la contribution des personnages verts à la socialisation écologique des enfants. La dimension émotionnelle exacerbée par la présence du personnage est celle qui conditionne le plus l’intention d’achat. L’appropriation par les enfants du personnage peut également les amener par mimétisme à adopter son comportement et par là même à agir de façon plus écologique. Ces enseignements ont le mérite d’être très opérationnels pour les marques qui ciblent ces jeunes publics et souhaitent développer une consommation responsable.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-969238" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/02/01/3927146864.jpg" alt="digital, rfm, pacitto, jourdan, rdm; adetem, cosmetique, beaute, maquillage, distribution" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>Le choix du dernier article a été dicté par une considération : montrer l’apport du marketing à d’autres champs d’application que la seule consommation. L’auteur, Mr Ezzohra Belkadi, professeur à l’Université Hassan II de Casablanca, a choisi de transposer un modèle américain de la mesure de la satisfaction des consommateurs à celle des résidents d’une grande ville de pays émergents, en l’occurrence Casablanca au Maroc.</strong> Ce travail, intitulé « Les déterminants et conséquences de la satisfaction des résidents dans les pays en développement : application du modèle américain de l’indice de la satisfaction des consommateurs à la ville de Casablanca », s’inscrit dans un courant de recherche favorisé par les pouvoirs publics et les collectivités territoriales visant à promouvoir les facteurs d’attractivité des grandes métropoles dans le cadre du développement régional. Ce facteur d’attractivité est conçu au sens le plus large et s’inscrit donc au-delà des seuls critères économiques. Le rapprochement avec les outils développés par le marketing semble donc une évidence dans le cadre de ce qui s’appelle désormais le « marketing territorial » : le territoire devient un produit particulier à promouvoir et les résidents des métropoles un segment stratégique en termes de satisfaction et de qualité de vie. L’auteur se propose d’identifier les facteurs qui déterminent la satisfaction des Casablancais vis-à-vis de leur ville de résidence. Pour cela, il s’appuie sur la généralisation du modèle américain de l’indice de satisfaction des consommateurs (ACSI) aux résidents-clients en quelque sorte. L’intérêt de cette transposition est qu’elle a déjà été testée dans le champ disciplinaire du management public et territorial dans le cas de la ville de New-York. Le modèle en particulier établit l’importance du lien entre la qualité des services fournies et la satisfaction retirée par les publics, consommateurs, citoyens ou résidents selon la problématique : ce lien est à la base des 4 hypothèses formulées par le chercheur. Leur validation s’appuie sur une enquête réalisée auprès de 294 résidents de la ville de Casablanca en 2016. La qualité perçue se décline sur les services publics suivants : transport, enseignement, loisirs, infrastructures, sécurité, bibliothèques, propreté, espaces verts. L’intention de mobilité est en outre assimilée au concept de fidélité dans les études de consommation : un résident satisfait songera, en effet, moins souvent à changer de résidence. A l’issue du test de son modèle, l’auteur valide ses 4 hypothèses : la satisfaction des résidents est donc bien impactée par la qualité des services publics telle que définie ; en outre, il existe bien une relation positive entre la qualité perçue des services publics et la confiance dans les autorités locales, ainsi qu’une relation négative entre la satisfaction et l’intention de mobilité. L’intérêt de cet article est de montrer qu’il est possible d’étendre au champ du management public les concepts et les modèles traditionnellement attachés à la mesure de la satisfaction dans le domaine de la consommation : le marketing devient ainsi pluriel. Etant moi-même originaire de Corse et enseignant-chercheur dans l’Ile de Beauté à l’université de Corte, l’apport du champ disciplinaire du marketing à la promotion d’un territoire fait évidemment écho à mes propres centres d’intérêt en matière de recherche.</p><p style="text-align: justify;">Je vous souhaite à tous une bonne lecture de ce numéro et suis heureuse de partager avec vous le plaisir que j’ai eu à le composer.</p><p style="text-align: center;"><strong>Thérèse Albertini | Enseignant-chercheur | Université de Corte (Corse)</strong></p><p><strong><img id="media-969228" style="margin: 0.2em auto 0.7em; display: block;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/02/01/1699968208.jpg" alt="#albertini, #corte,#paoli, #rfm,#adetem" /></strong></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlBaromètre #Cross-canal | produits de beauté | Internet et Enseignes Spécialisées font reculer les Enseignes de Massetag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2017-06-07:30920372017-06-07T09:39:00+02:002017-06-07T09:39:00+02:00 COMMERCE PHYSIQUE VS. COMMERCE DIGITAL Produits de beauté : la...
<p style="text-align: center;"><strong>COMMERCE PHYSIQUE VS. COMMERCE DIGITAL</strong></p><p style="text-align: center;"><strong>Produits de beauté : la nécessité d’une expérience physique condamne-t-elle l’e-commerce ?</strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-964296" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/00/925784644.JPG" alt="cosmetique,shampoing,produits pour le corps,beaute,cross-canal,multicanal,magasin,enseigne,e-commerce,digital" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>Poursuivant son étude mensuelle cross-canal, Promise Consulting | Panel On The Web s'est intéressée aux lieux d'achat favoris des Français pour leurs produits de beauté (maquillage, soin, shampoings & produits pour le corps).</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Le Baromètre Cross-Canal</strong> mesure la performance comparée des circuits de distribution traditionnels et de e-commerce par segments de marché. Il fait suite aux enseignements d’un ouvrage de référence publié par Promise Consulting sur les Nouveaux Comportements de Consommation et intitulé « Le Marketing de la Grenouille » (Editions Kawa | <a title="http://bit.ly/2k1N4rf" href="http://bit.ly/2k1N4rf" target="_blank">http://bit.ly/2k1N4rf</a>). Pour plus d’informations : <a title="http://promiseconsulting-blog.com" href="http://promiseconsulting-blog.com" target="_blank">http://promiseconsulting-blog.com</a>.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Si les enseignes commencent à intégrer ces tendances</strong> en adoptant des stratégies dites « omnicanales », la naissance de pure players dédiés exclusivement à la beauté et à l’hygiène s’annonce complexe. Plusieurs facteurs semblent en effet freiner leur développement, même si le secteur du maquillage et du soin ont vu l’émergence d’acteurs nouveaux dont le développement commercial s’appuie essentiellement – sinon exclusivement – sur le digital (ex. Birchbox, Smashbox, etc.). En effet, en raison de la nécessité de l’expérience physique qu’impose ce type de produits, l’achat en ligne paraît souvent risqué pour le consommateur. Pour autant, sous la pression de sites de vente en ligne de produits cosmétiques et d’hygiène comme Feelunique.com, Santemoinschere.com ou Allbeauty.com, les enseignes physiques, qui continuent d’être les lieux d’achat favoris des consommateurs français, ont bien entamé leur révolution digitale. </p><p style="text-align: justify;"><strong>Suite à un premier volet consacré aux vêtements,</strong> la lingerie, les chaussures et les parfums, puis à un deuxième consacré aux produits alimentaires, Promise Consulting a souhaité mesurer le taux de pénétration des canaux pour les pr<strong>oduits de beauté (maquillage, soin, shampoings et produits de bains)</strong>, et enfin la satisfaction et l’intention de recommandation à l’issue du dernier achat effectué en fonction des lieux d’achat.</p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #000080; color: #ffffff;"><strong>QUELQUES CONCLUSIONS FORTES</strong></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-964297" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/01/2632528254.jpg" alt="cosmetique,shampoing,produits pour le corps,beaute,cross-canal,multicanal,magasin,enseigne,e-commerce,digital" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>la pénétration de l’e-commerce est encore loin derrière celle des magasins physiques</strong> et les Français dans leur grande majorité ont encore le réflexe de se rendre en hypermarchés ou dans des enseignes spécialisées en proportions importantes (au minimum 81% des achats sont effectués en magasins).</p><p style="text-align: justify;">Pour autant, les enseignes traditionnelles auraient tort de se reposer sur leurs lauriers car l’étude met en exergue deux points inédits :</p><p style="text-align: justify;"><strong>1- Le commerce digital surclasse les hypermarchés et les supermarchés en termes de satisfaction dans les trois univers mais les enseignes spécialisées font jeu égal avec le digital en maquillage et en soin pour la peau.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>2- L'e-commerce s'impose face aux points de vente physiques en matière de recommandation, à l'exception du maquillage toutefois grâce à la forte attractivité des enseignes spécialisées. </strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>ETUDE COMPLÈTE SUR DEMANDE AUPRES DE</strong> <a title="PHILIPPE.JOURDAN@PROMISECONSULTINGINC.COM" href="mailto:PHILIPPE.JOURDAN@PROMISECONSULTINGINC.COM" target="_blank">PHILIPPE.JOURDAN@PROMISECONSULTINGINC.COM</a></p><p style="text-align: justify;"><strong>EN SAVOIR PLUS SUR L’OUVRAGE « LE MARKETING DE LA GRENOUILLE »</strong> : <a title="http://bit.ly/1J9f7vi" href="http://bit.ly/1J9f7vi" target="_blank">[Marketing de la Grenouille]</a></p><p><strong>TELECHARGER LES INFOGRAPHIES</strong> : <a title="http://bit.ly/2quYFXA" href="http://bit.ly/2quYFXA" target="_blank">[Infographies]</a></p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/02/01/1130751112.jpg" id="media-964091" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ffffff; background-color: #000080;"><strong>AVIS D'EXPERT</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Philippe JOURDAN, Associé fondateur Promise Consulting, Professeur des Universités, membre de l’American Marketing Association (AMA)</strong> : </p><p style="text-align: justify;"><img id="media-964272" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/00/02/3610577072.png" alt="cosmetique,shampoing,produits pour le corps,beaute,cross-canal,multicanal,magasin,enseigne,e-commerce,digital" />« Cette étude barométrique consacré à l’univers des produits de beauté illustre l’apport d’une stratégie cross-canal ou multicanal dans la consolidation d’un modèle économique basé sur la densité d’un réseau de points de vente diversifiés et experts. Nous avons souvent été questionnés en tant que conseil sur notre appréciation du risque d’ubérisation du secteur de la beauté. La performance comparée des magasins physiques et des plateformes de e-commerce en termes de pénétration, de satisfaction et de recommandation, montrent que la complémentarité des deux circuits (sinon leur interpénétration) est aujourd’hui davantage plébiscitée par les consommateurs que leur concurrence frontale.</p><p style="text-align: justify;">Le risque de disruption est sans doute plus prononcé dans l’univers du maquillage (alors qu’il est moindre dans l’univers du soin) mais <span style="color: #000000; background-color: #ffffff;">d’une </span>façon générale, l’univers de la beauté ne réunit pas les conditions d’une « ubérisation » à court terme : le secteur comporte un grand nombre d’acteurs tant en fabrication qu’en distribution, il est fortement innovant et comporte peu de rentes de situation, les circuits de distribution sont souvent divers et longs, la technologie, si elle est un facilitateur de services, n’est pas au cœur de la valeur ajoutée des offres dans aucun des segments (maquillage, soin, shampoings & produits pour le corps), les coûts d’accès au marché demeurent élevés, mais surtout les produits achetés sont avant tout expérientiels : le consommateur est demandeur d’essais, d’échantillons, de conseils, et partant la distribution physique conserve des atouts dont elle sait pleinement jouer ».</p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #000080; color: #ffffff;"><strong>METHODOLOGIE</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Cette étude a été menée par Promise Consulting auprès de 1 003 personnes (522 femmes et 481 hommes)</strong> représentatifs de la population française et âgées de 18 ans et plus. La période de collecte des informations s’étend du 20 au 26 mars 2017 et s’est effectuée via l’Access Panel de Promise Consulting sur Internet. La méthode des quotas a permis de s’assurer de la représentativité de l’échantillon sur les critères de genre, d’âge, de régions d’habitation, de taille de commune, de composition du foyer et de revenus du foyer;</p><p style="text-align: justify;">Les résultats présentés dans le cadre du présent communiqué de presse portent sur la<strong> population féminine uniquement pour les catégories maquillage et soin et sur une population mixte hommes et femmes pour la catégorie shampoings & produits pour le corps.</strong></p><p style="text-align: justify;">Les résultats sont ici publiés pour les catégories de produits d’hygiène, de maquillage et des soins pour la peau. D’autres catégories de produits on fait ou feront l’objet de publications ultérieures dans les semaines à venir (si vous souhaitez en savoir plus ou être tenu informé : <a title="lcorpechot@agence79.com" href="mailto:lcorpechot@agence79.com">lcorpechot@agence79.com</a>).</p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #000080; color: #ffffff;"><strong>LES MAGASINS PHYSIQUES DEMEURENT INDÉTRÔNABLES EN TERMES DE LIEUX D’ACHAT</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #ffffff; color: #000080;"><strong><span style="color: #000000;">L’ACHAT EN MAGASIN DOMINE ENCORE LARGEMENT DANS L’UNIVERS DE LA BEAUTE</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #ffffff; color: #000080;"><strong><span style="color: #000000;">Un constat qui n’est pas réellement une surprise : </span></strong><span style="color: #000000;">l</span><span style="color: #000000;">es circuits traditionnels que sont les enseignes spécialisées et les hyper et supermarchés, quel que soit le produit en question, restent à ce jour les lieux d’achat de produits de beauté les plus fréquentés par les consommateurs et ce, dans une très large mesure. En effet, qu’il s’agisse de maquillage <strong>(81%)</strong>, des soins pour la peau <strong>(82%)</strong> ou des produits d’hygiène <strong>(92%),</strong> les magasins physiques devancent sans conteste l’e-commerce en termes de lieux d’achat favoris des consommateurs français. </span> </span></p><p style="text-align: center;">[Télécharger]</p><p style="text-align: justify;"><strong>L'EXPERIENCE PHYSIQUE A L'ACHAT : UNE NECESSITE</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 10.0pt; color: black;">A l’instar des produits alimentaires, l’expérience en magasins est très majoritairement privilégiée pour des achats de produits cosmétiques ou d’hygiène</span></strong><span style="font-size: 10.0pt; color: black;">. Pour ce type de produits, le consommateur a besoin d’une expérience physique : toucher, sentir, voir le produit, le tester sur soi sont des éléments essentiels pour orienter son achat, notamment en raison des risques d’allergie ou des précautions à prendre en fonction du type de peau. Le besoin de conseil à l’achat et la possibilité de tester le produit grâce à des échantillons sont autant de facteurs qui déterminent un achat de produit cosmétique en magasin plutôt que sur Internet. Même si la part des achats sur le Web augmente chaque année, les consommateurs gardent donc leurs habitudes en termes de lieux d’achat pour leurs produits de beauté.</span></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 10.0pt; color: black;">UNE LENTE EVOLUTION DE L’E-COMMERCE DANS L'UNIVERS DE LA BEAUTE</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10.0pt; color: black;"><strong>L’e-commerce cependant s’installe peu à peu dans le paysage de la beauté</strong> : 18% des femmes de 18 à 60 ans ont effectué leur dernier achat de maquillage en ligne contre 19% pour les produits de soin et 9% pour les shampoings et les produits pour le corps (hommes + femmes). Logiquement le maquillage est le produit le plus souvent acheté en ligne : moins risqué, davantage acheté par les plus jeunes, de plus faibles valeur unitaire, les produits de maquillage s’adaptent mieux au commerce à distance.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10.0pt; color: black;"><strong>Résultat notable</strong> : si le taux de pénétration des achats en ligne est comparable entre tranches d’âge en maquillage, cela n’est pas le cas dans les univers des produits de soin et plus encore les shampoings et produits pour le corps : les 45+ achètent en réalité plus souvent en ligne ces deux dernières catégories de produits, dont ils sont – il est vrai – plus gros consommateurs pour eux-mêmes ou leur foyer. Plusieurs raisons l’expliquent : en matière de produits de soin, les plus jeunes – 18-44 ans – sont contraints budgétairement et se rendent prioritairement en hypermarchés et supermarchés alors que les sites de soin pour le visage en ligne sont souvent orientés vers des offres premium ; en matière de shampoing et de produits pour le corps, la domination du mass s’impose à toutes les tranches d’âge. C<strong>’est au final dans l’univers des shampoings & des produits pour le corps que la pénétration des achats sur Internet est la plus basse<span style="text-decoration: underline;">.</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10.0pt; color: black;">[Télécharger]</span></p><p><strong>LES POINTS DE VENTE PHYSIQUE PEUVENT COMPTER SUR LA DENSITE DE LEUR RESEAUX DE POINTS DE VENTE</strong></p><p style="text-align: justify;">Avec la multiplication des supermarchés et des hypermarchés à proximité des villes, les consommateurs bénéficient d’une multiplicité de lieux pour effectuer leurs achats de produits de beauté. L<strong>es points de vente physiques au-delà des grandes surfaces ont également reconquis les centres villes, proposant une offre de proximité qui séduit les citadins</strong>. Le consommateur a donc la possibilité de s’offrir simplement et rapidement le produit qu’il recherche, tout en disposant d’une interaction directe avec le personnel du point de vente et la possibilité de tester le produit avant de s’engager à l’acheter, dans les rayons spécialisés ou mieux encore dans les points de vente dédiés à la beauté des grandes enseignes alimentaires (ex. Monop’Beauty).</p><p style="text-align: justify;"><strong>Au-delà des enseignes de la grande distribution, la distribution spécialisée complète utilement la couverture</strong>. Les chaines de beauté (ex ; Séphora, Nocibé, Marionnaud), les enseignes en nom propre (Yves Rocher, Body Shop, Kiko en maquillage), les rayons beauté des grands magasins et les parapharmacies forment un réseau particulièrement dense et étendu de points de vente de produits de beauté sur notre territoire.</p><p style="text-align: justify;">Notons que la province devance systématiquement Paris lorsqu’il s’agit de faire ses achats sur le Web et plus particulièrement pour le maquillage et le soin. Cela peut notamment s’expliquer par l’éloignement de certains Français avec les enseignes physiques précités. <strong>Le Web peut également tirer son épingle du jeu sur les produits haut de gamme ou les produits à tarifs réduits, faisant par exemple l’objet d’un déstockage</strong>. En effet, si le délai de livraison est souvent un frein à l’achat, notamment pour des raisons de besoin immédiat qui concernent surtout les produits d’hygiène, l’e-commerce dispose d’une carte à jouer sur son offre premium, ou bien sur des modèles économiques plus originaux, tels que l’abonnement ou l’assortiment de produits pré-choisis.</p><p style="text-align: center;">[Télécharger]</p><p style="text-align: justify;"><strong>LE WEB COMME OUTIL CROSS-CANAL : UN AUTRE MOYEN DE FIDELISATION POUR LES ENSEIGNES COSMETIQUES</strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;">En effet, nombreuses sont les enseignes disposant d’une offre quasi identique sur internet à celle que l’on peut trouver en magasins. Sephora, Nocibé, Yves Rocher, ou même L’Oréal et Vichy, tous disposent de leur offre e-commerce, <strong>ce qui leur permet de multiplier les points d’accès aux produits pour que le consommateur puisse combiner les avantages d’un magasin traditionnel avec la liberté d’Internet.</strong> Cette multiplication des points d’accès permet de fidéliser un peu plus la clientèle des magasins, cette dernière connaissant déjà leur expertise et la variété de leur offre.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><strong>De ce fait, il ne s’agit pas forcément dans cette étude d’une opposition marquée entre enseignes physiques et enseignes digitales</strong>. Pour l’e-commerce, il s’agit souvent de plateformes Internet créées et gérées par des enseignes qui ont décidé d’intégrer une stratégie omnicanale. Le choix demeure entre se déplacer pour ses produits nécessaires et inconnus, ou se faire livrer des produits que l’on connait ou des produits haut de gamme.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><strong>De même l’hypothèse qui consiste à cantonner l’achat en magasin à la découverte de nouveaux produits et l’achat sur Internet à une fonction de rachat (ou de réapprovisionnement) n’est pas vérifiée</strong>. Le succès des offres de Smashbox et Birchbox en particulier montre que l’essai de nouveaux produits n’est pas l’apanage des seuls points de vente physiques. Les magasins physiques eux-mêmes ont développé des espaces privilégiés pour le réapprovisionnement – à l’instar de certaines recharges de parfum – une manière originale de concilier la fidélisation du client au point de vente et un engagement en faveur du développement durable.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ffffff; background-color: #000080;"><strong>INTERNET : UNE AVANCE EN TERMES DE SATISFACTION VIS-A-VIS DES HYPERMARCHES UNIQUEMENT </strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Internet devance en termes de satisfaction avant tout les hypermarchés et les supermarchés </strong>qui sont donc les grands perdants de la confrontation. Ceci est essentiellement vérifié pour les shampoings & produits pour le corps (+11 points) et pour les produits de soin pour la peau (+8 points) et demeure contenu pour le maquillage (+3 points). Faut-il y voir une explication de l’érosion relative de la position autrefois dominante des circuits de masse dans la distribution en particulier des shampoings & produits pour le corps ? Nous le pensons.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Internet et les circuits plus spécialisés font en revanche jeu égal sur les catégories phares de la cosmétique que sont le maquillage (41% vs 42%) et le soin (47% pour tous les deux)</strong>. Il est vrai que les achats sur Internet dans ces deux catégories sont souvent le prolongement de l’achat en magasins spécialisés (les sites marchands sont détenus par les enseignes physiques, Séphora, Nocibé, Marionnaud ou Yves Rocher par exemple). En outre, le web-to-store ou le store-to-web, parfaitement maîtrisés par bon nombre d’acteurs contribuent à situer l’achat en ligne et en magasin le long d’un seul et même continuum.</p><p style="text-align: justify;"><strong>A souligner que les écarts de satisfaction entre Internet et les magasins physiques au profit des enseignes spécialisées sont systématiquement plus élevés auprès des 18-44 ans</strong>, clientèle particulièrement « choyée» par ces formats de distribution s’agissant de leurs achats en maquillage et en soin (offres, prix, services, événements, fidélisation, ambiance en magasin, etc.).</p><p style="text-align: justify;"><strong>Rappelons que la satisfaction client demeure très complexe</strong>, notamment dans son rapport avec la fidélisation. Un client peut en effet être satisfait et infidèle, ou au contraire fidèle bien qu’insatisfait à titre occasionnel. La satisfaction est également à mettre en relation avec deux autres variables psychosociologiques : d’un côté les attentes, dont on peut supposer qu’elles sont différentes en nature et en intensité selon que l’on achète en ligne ou en magasin ; de l’autre, l’engagement généré qui demeure élevé s’agissant de l’achat des produits visés dans cette étude. Le grand nombre de marques, la diversité des enseignes, le recours à une innovation constante et des lancements nombreux de nouveaux produits sont autant d’incitations à être peu fidèle, même si l’on est par ailleurs satisfait.</p><p><strong>SATISFACTION : LES ENSEIGNES SPECIALISEES FONT JEU EGAL AVEC INTERNET EN MAQUILLAGE ET SOIN</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>S’agissant de la satisfaction éprouvée lors du dernier achat, les enseignes spécialisées génèrent une satisfaction au niveau de celle d’Internet en maquillage (42% vs 41%) et en soin (47% pour les deux).</strong> La commodité, le choix et le prix forment les atouts du média digital. Les enseignes spécialisées ont su en revanche capitaliser sur la proximité, le service, l’offre, le conseil et l’ambiance dans le point de vente. Elles ont également intégré avec intelligence l’outil digital en amont et en aval de la visite en magasin, mais également sur le lieu de ventes où les applications connectées se multiplient.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Cette conclusion ne s’applique pas à l’univers des shampoings & produits pour le corps.</strong> Internet recueille la satisfaction la plus élevée, bien que son taux de pénétration lors du dernier achat demeure encore faible (9%) et au niveau de celles des enseignes spécialisées sur un marché dominé par les hypermarchés & supermarchés.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Une conclusion s’impose</strong> : <strong>les hypermarchés et les supermarchés sont les grands perdants de la triangulaire entre Internet, circuits de masse et circuits spécialisés</strong>. Ils recueillent une satisfaction en retrait sur les trois univers, et le plus souvent sur les deux tranches d’âge.</p><p style="text-align: justify;"><strong>SERVICE IRREPROCHABLE ET QUALITE AU RENDEZ-VOUS POUR L’E-COMMERCE</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Internet est plus souvent choisi pour un achat de commodité et de facilité </strong>lorsque l’on connait déjà le produit que l’on souhaite acheter. Le taux élevé de satisfaction après des achats en ligne peut s’expliquer par deux raisons : une habitude d’achat en ligne que motive une bonne connaissance du produit et de sa qualité ou l’achat d’un nouveau produit dont la qualité, la rapidité de livraison et le service avant et après-vente répondent aux exigences du consommateur.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Mais les achats sur Internet disposent également d’autres atouts</strong> : en matière de produits de soin, les pure players en ligne parient également sur de nouveaux modèles économiques, l’abonnement à un prix fixe pour une offre découverte tous les mois se substitue à l’essai et à l’achat en magasins dans le cas des Box. Certaines marques pointues (Cinq Mondes, Payot, etc.) – davantage en soin qu’en maquillage il est vrai – ont fait le pari d’une commercialisation uniquement sur le Web ou bien encore d’un essai dans le cadre d’un SPA et d’un salon de beauté et d’un rachat en ligne uniquement pour poursuivre la routine de soin à la maison.</p><p style="text-align: justify;">On peut également noter que pour les 3 catégories de produits, <strong>les acheteurs s’étant rendus sur internet les plus satisfaits sont les personnes âgées de plus de 44 ans</strong>. Pour autant, comme le met en lumière cette étude, il s’agit de la catégorie de personnes dont les achats se font encore très majoritairement en magasins. Cela démontre non seulement l’évolution des mentalités par rapport aux achats en ligne, mais aussi que la qualité des services et des produits proposés en ligne répondent aux attentes élevées d’une catégorie de personnes dont les habitudes d’achat demeurent pourtant bien ancrées, mais pour combien de temps</p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #000080; color: #ffffff;"><strong>TAUX DE RECOMMANDATION : A L’EXCEPTION DU MAQUILLAGE, INTERNET IMPOSE SON TEMPO</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><strong>INTERNET
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.html@YvesRocherFR accentue son développement à l’international | #beaute #cosmetique #promiseconsulting-blogtag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-12-23:30850592016-12-23T16:09:00+01:002016-12-23T16:09:00+01:00 20/12/2016 16:00:00 FRANCHISE COSMÉTIQUE | OUVRIR UNE FRANCHISE [LIRE...
<p><strong>20/12/2016 16:00:00 FRANCHISE COSMÉTIQUE | OUVRIR UNE FRANCHISE</strong></p><p><a title="[LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]" href="http://www.toute-la-franchise.com/news-440671-yves-rocher-developpement-international.html" target="_blank">[LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]</a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Spécialisée dans la distribution de produits cosmétiques, l’enseigne Yves Rocher, célèbre aux quatre coins du globe, continue d’affirmer son leadership dans ce secteur d’activit</span>é. La marque à récemment fait acquisition de l’enseigne israélienne Sabon, connue pour ses savons artisanaux découpés devant le client. Une acquisition qui s’inscrit dans la politique du groupe qui souhaite désormais réaliser (d’ici dix ans) 50% de ses ventes hors de la zone euro.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Avec l’acquisition de la marque Sabon (dont les revenus sont estimés à 100 millions d’euros, et qui compte près de 165 magasins implantés à travers le monde notamment au Japon et aux Etats-Unis), l’enseigne Yves Rocher affirme une fois de plus son ambition de conquérir le marché international</span>. Positionné sur un marché très porteur, l’enseigne poursuit son développement à travers le monde à un rythme effréné. Ciblant actuellement des pays émergents tels que le Mexique et l’Afrique (où le groupe a déjà quelques partenariats), Yves Rocher ambitionne de réaliser d’ici 10 ans, la moitié de ses ventes hors de la zone euro comme le révèle le PDG du groupe, Bris Rocher, dans une interview accordée aux Echos« L<span style="text-decoration: underline;">es deux tiers de notre chiffre d'affaires se font aujourd'hui en zone euro. Ce n'est pas forcément la région la plus dynamique. Notre objectif est de réaliser la moitié de nos ventes hors de ce périmètre dans les dix ans</span>. »</p><p style="text-align: justify;"><strong>Désormais incontournable dans le secteur de la cosmétique, le réseau Yves Rocher accentue un peu plus son développement sur le marché international avec l’intégration de Sabon, qui offre au groupe l’occasion de faire du Japon son septième marché le plus productif. </strong></p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/00/2953252706.png" id="media-947174" alt="" /></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlLe Groupe Rocher (France) achète l'israélien Sabon (175 magasins) | @YvesRocherFR #promiseconsulting-blogtag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-12-23:30850572016-12-23T10:54:00+01:002016-12-23T10:54:00+01:00 [LIRE L'ARTICLE EN ENTIER] Sigal Kotler-Levy et Avi Piatok,...
<p style="text-align: justify;"><strong>[LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]</strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Sigal Kotler-Levy et Avi Piatok, co-propriétaires de la marque de cosmétiques israélienne Sabon</span> (qui exploite 175 magasins dans le monde entier) ont annoncé cette nouvelle qui a fait le tour des rédactions des journaux économiques : “la société française de cosmétiques, Groupe Rocher, prend le contrôle de l’entreprise Sabon afin de renforcer ses capacités mondiales et d’accélérer son expansion à l’étranger”.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Les détails financiers de l’opération n’ont pas été divulgués, mais le Groupe Rocher prend le contrôle (51%) de Sabon à une valeur estimée à 125 millions d’euro</span>s.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Sabon est une marque privée de produits de bain, de soins corporels, de toilette et d’ambiance domestique</span>. Elle a une forte présence en Israël, au Japon et aux États-Unis, ainsi que dans plusieurs pays d’Europe et d’Asie. Avec l’achèvement de l’acquisition, Sabon rejoint le portefeuille global de marques du Groupe Rocher.</p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/00/263267689.jpg" id="media-947170" alt="" /></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlLes #cosmétiques pour hommes, marché d'avenir ? | #Canada @adetem @Loreal #promiseconsulting-blogtag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-12-22:30850562016-12-22T15:00:00+01:002016-12-22T15:00:00+01:00 Les produits de beauté pour hommes, un marché d'avenir et qui le restera?...
<p style="text-align: justify;"><strong>Les produits de beauté pour hommes, un marché d'avenir et qui le restera? De nombreuses marques spécialisées ont éclos grâce au commerce électronique et la mode du hipster barbu mais soigné, sans pour autant faire de l'ombre aux géants des cosmétiques.</strong></p><p>PHOTO FOURNIE PAR TRIUMPH</p><p><a title="[LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]" href="http://www.lapresse.ca/vivre/mode/beaute/201612/19/01-5052817-les-cosmetiques-pour-hommes-marche-davenir.php" target="_blank">[LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]</a></p><p><strong>ÉTIENNE BALMER</strong><br /><strong>Agence France-Presse</strong><br /><strong>Paris</strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Karine Schrenzel, codirigeante du groupe français de vente en ligne spécialisé ShopInvest, a le sourire</span>: son pôle de cosmétiques masculins devrait connaître une croissance de 65% cette année.</p><p style="text-align: justify;">«<span style="text-decoration: underline;">Un homme a deux barrières» face aux produits de beauté</span>: «Il n'a pas forcément envie de passer un samedi après-midi à flâner dans les boutiques de cosmétiques, et il a une certaine pudeur, que le web permet complètement d'effacer», estime cette femme d'affaires interrogée par l'AFP.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Sur ses deux sites spécialisés en la matière, MenCorner et Comptoir de l'homme</span>, les produits les plus plébiscités sont des huiles à barbe, des autobronzants, des colorations pour cheveux, des crèmes minceur ou dépilatoires.</p><p style="text-align: justify;">«<span style="text-decoration: underline;">Ces produits sont très surpondérés sur internet</span>» par rapport aux ventes en magasins, où dominent les classiques déodorants, gels douches, shampooings et autres produits de rasage, selon Mme Schrenzel, qui mise sur ces créneaux de niche pour se démarquer de la grande distribution et d'Amazon.</p><p style="text-align: justify;">Les grands groupes ont souvent des marques avant tout féminines, avec des gammes masculines venues par la suite. D<span style="text-decoration: underline;">es marques originales, créées dès le départ pour les hommes, «ont vraiment une carte à joue</span>r», estime-t-elle.</p><p style="text-align: justify;">En 2015, le marché de la beauté pour hommes, ou «grooming» (hors produits de rasage, savons, dentifrices et parfums) <span style="text-decoration: underline;">représentait des ventes mondiales de 17,4 milliards d'euros, 30% de plus qu'en 2011, selon le cabinet d'études Euromonitor</span>.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Cependant, cela représente toujours moins de 10% du marché total des cosmétiques.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Design dandy et rétro</strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">En Occident, les hommes ont longtemps été réfractaires aux produits de beauté</span>. «Dans l'univers judéo-chrétien, l'esprit et le corps étaient complètement séparés», rappelle à l'AFP Michèle Verschoore, spécialiste en dermatologie cosmétique chez L'Oréal et auteure d'un Guide de la beauté au masculin, paru début 2016.</p><p style="text-align: justify;">Mais aujourd'hui, «l'idée venue d'Asie se globalise, il n'y a plus de tabou masculin sur le bien-être», surtout chez les jeunes, ajoute Mme Verschoore.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Aux États-Unis, puis en Europe, de nombreuses marques indépendantes haut de gamme pour hommes</span> sont apparues ces dernières années, en particulier dans le domaine du soin de la barbe, affectionnant souvent un design dandy et rétro, comme les britanniques Captain Fawcett ou Apothecary 87.</p><p style="text-align: justify;">Lames et Tradition s'inscrit dans la même veine. Lancée il y a un an et demi, cette petite marque française vend notamment des huiles à barbe estampillées «naturelles» et «made in France», principalement à des professionnels. «<span style="text-decoration: underline;">Les barbiers ça pousse comme des champignons»</span>, se réjouit Stéphane Couty, le fondateur et patron de cette TPE (très petite entreprise), qui cherche à se développer à l'export. «On a été rentable dès notre première année», ajoute cet ancien du BTP.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Didier Arthaud, fondateur de la marque 66°30</span>, est sur un créneau au développement plus lent, les crèmes de soin visage pour hommes, bio de surcroît. Il sera rentable cette année, pour la première fois depuis le lancement de sa marque en 2009.«On est sur la niche de la niche», car «globalement les hommes sont moins sensibles au bio que les femmes», en ne l'associant pas à l'efficacité qu'ils recherchent avant tout dans les cosmétiques, selon cet ancien cadre de grandes entreprises françaises.</p><p style="text-align: justify;">L'entrepreneur met en garde ceux qui verraient les cosmétiques pour hommes comme un nouvel Eldorado: «L<span style="text-decoration: underline;">es mentalités vont beaucoup moins vite que les marketeurs</span>».</p><p style="text-align: justify;"><strong>Et les grands distributeurs sélectifs, tels Sephora, Nocibé ou Marionnaud, privilégient les poids lourds du secteur comme Biotherm (groupe L'Oréal), Clinique ou Clarins, relève-t-il.</strong></p><p style="text-align: justify;">Enfin, quand un acteur indépendant commence à devenir intéressant, il finit souvent par être mangé par un gros poisson.</p><p style="text-align: justify;">Cet été, la marque américaine Dollar Shave Club, qui vend en ligne par abonnement des rasoirs et des produits de soin pour hommes, a été ainsi avalée pour un milliard de dollars par le néerlandais Unilever (Axe, Rexona, Dove...), leader mondial des cosmétiques pour hommes (hors rasage) devant le français L'Oréal.</p><p> </p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/01/3190662572.jpg" id="media-947167" alt="" /></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.html#Shiseido veut se hisser dans le top 5 mondial du #parfum [#luxe #beauté #soin]tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-10-20:30815432016-10-20T10:00:00+02:002016-10-20T10:00:00+02:00 Photo : 1ère boutique de Shiseido, Tokyo, quartier de Ginza, en 1916 -...
<p><em>Photo : 1ère boutique de Shiseido, Tokyo, quartier de Ginza, en 1916 - Droits site Internet de la marque - Autre vue de Tokyo aujourd'hui</em></p><p><em>DOMINIQUE CHAPUIS Le 07/10 à 17:07 </em></p><p><strong>Le géant japonais vise un milliard d’euros de ventes pour sa licence Dolce&Gabbana dans le dix ans.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Shiseido lance une grande offensive mondiale dans le parfum.</strong> Et c'est la France qui sera la base de cette reconquête. C'est ce qu'annoncé le groupe vendredi à l'occasion de la visite à Paris de son PDG, Masahiko Uotani, le premier dirigeant, non issu du sérail, et bien décidé à faire bouger les lignes.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Ce dernier a lancé en 2015 une vaste réorganisation des activités au niveau international,</strong> la France devenant à cette occasion le Centre d'excellence pour les parfums de Shiseido, ainsi que le siège européen de l'entreprise. Alors que les Etats-Unis vont développer « leur expertise » dans le maquillage et le Japon dans les soins. « Ma mission est de transformer la compagnie en un leader mondial,en s'appuyant sur notre héritage, a souligné Masahiko Uotani, et ce alors que nos ventes montent mais que nous sommes moins profitable ». Le géant vise 10 milliards de dollars de chiffre d'affaire en 2020 (contre 7 milliards en 2015) avec 10 % de résultat opérationnel.</p><p style="text-align: justify;"><strong>D'ou la mise en place de ce plan, dont les fondations seront achevées en 2017,</strong> avant « l'accélération grâce à notre nouveau modèle, désormais tourné vers les consommateurs, en terme de marketing », a poursuivi le dirigeant, avec toujours pour moteur, l'innovation. Au total, près d'un milliard de dollars sera investi dans cette nouvelle stratégie.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Les deux usines françaises renforcées</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Les parfums, qui représentent aujourd'hui près de 15 % de l'activité de Shiseido, seront un axe stratégique de cette relance.</strong> «Notre objectif est de passer de 5,8 % de parts de marché dans les fragrances au niveau mondial, à 9 % dans les 5 ans », a lancé Louis Desazars, le PDG de la nouvelle entité Shiseido Group EMEA. Avec déjà dans son portefeuille, les jus Issey Miyake, Narciso Rodriguez ou Alaïa Paris, le géant japonais mise sur sa dernière acquisition, la licence parfums Dolce&Gabbana pour y parvenir. « C'est une marque très souriante, avec une forte identité et une incroyable notoriété, poursuit le patron Europe. Notre volonté est de plus que doubler ses ventes pour atteindre 1 milliard d'euros dans les dix ans ». Ce qui permettrait au groupe de remonter dans le classement mondial des parfums,du 7ème au 5ème rang derrière l'Oréal, Coty ou LVMH. Les parfums de niche Serge Lutens, une référence dans la haute parfumerie, acquis en décembre, seront aussi un pilier de cette reconquête. Alors que la parfumerie de niche est un segment porteur au niveau mondial (+15 % en 2015). L</p><p style="text-align: justify;">(...)</p><p style="text-align: justify;"><a title="http://bit.ly/2e811oG" href="http://bit.ly/2e811oG" target="_blank">[LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]</a></p><p> </p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/02/02/4131559862.2.png" id="media-938760" alt="" /></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.html[ACTU] - Mon amour de #Panda chez #Sephora [@TonyMoly #TonyMoly #beaute]tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-05-04:30722172016-05-04T16:05:00+02:002016-05-04T16:05:00+02:00 Les Panda’s Dream White Sleeping Pack et Eye Patch de Tony Moly : mon...
<p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/00/00/3800706837.jpg" id="media-918162" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>Les Panda’s Dream White Sleeping Pack et Eye Patch de Tony Moly : mon amour de panda chez Sephora</strong></p><p style="text-align: justify;"><em>Cela n'est plus un secret mais pourrait être la révélation pour l'année 2016 : les marques coréennes de beauté ont une ambition mondiale et pourraient envahir nos linéaires.</em></p><p style="text-align: justify;"><strong>Depuis quelques mois déjà, le marché Chinois se tourne vers les marques coréennes de beauté et de maquillage.</strong> Ce n'était pas une surprise dans la mesure où les marques asiatiques ont toujours eu une ancrage régional élevé. De l'avis des clientèles concernées, les marques asiatiques, essentiellement japonaises et coréennes jusqu'à présent, ont toujours bénéficié d'une côte élevée en Asie en raison de leurs réponses jugées meilleures à des attentes spécifiques (texture, blanchiment, lutte contre les agents polluants, hydratation nourrissante, etc.).</p><p style="text-align: justify;"><strong>Ce qui est une surprise, c'est l'ambition qu'elles affichent désormais de venir également proposer leurs produits sur nos marchés et - pardonnez du peu - en entrant par la Grande Porte</strong> puisque la marque coréenne Tony Moly annonce le référencement de sa marque Panda chez Sephora, le premier réseau de parfumeries français et un des leaders mondiaux dans sa catégorie.</p><p style="text-align: justify;">Cliquer sur le lien suivant pour vous convaincre du travail de persuasion déjà effectué auprès de certaines bloggeuses : <a href="http://bit.ly/24xHIXa" target="_blank">http://bit.ly/24xHIXa</a>.</p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlLes produits cosmétiques français superstars à l'international ! [#2015 #export #cosmetique]tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-03-23:30689762016-03-23T10:56:00+01:002016-03-23T10:56:00+01:00 Les produits cosmétiques français superstars à l'international ! Les...
<p style="text-align: justify;"><strong>Les produits cosmétiques français superstars à l'international !</strong> Les exportations de cosmétiques ont en effet atteint un un niveau record en 2015, portées par les effets de changes positifs liés à la hausse du dollar face à l'euro et par une forte dynamique à destination du Moyen Orient, indiquent les chiffres publiés ce mercredi 16 mars par la Fédération des entreprises de la beauté (Febea) sur la base des données douanières.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Dans le détail, les ventes à l'export des crèmes de soin, parfums et maquillage fabriqués en France ont atteint 11,8 milliards d'euros l'an dernier, contre 11,3 milliards en 2014. Une performance qui permet à la balance commerciale du secteur d'atteindre un niveau record de plus de 9 milliards d'euros.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Les crèmes de soin sont restées, de loin, les produits les plus exportés (42,5%) en 2015, devant les parfums (33%) et le maquillage (24,5%)</strong> qui a connu cependant les plus forts taux de croissance. Portées par le tout visuel et la mise en scène de soi véhiculés par les réseaux sociaux, les exportations de rouges à lèvres ont grimpé de 17%, celle des fards à yeux de 10% et celles des poudres de 12%.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Les ventes du secteur réalisées en France étaient quant à elles estimées, en 2015, aux environs de 12 milliards d'euros.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><a class="lien-contextuel" title="LVMH : Actualités du groupe français d'entreprise spécialisé dans le luxe - Usine Nouvelle" href="http://www.usinenouvelle.com/lvmh/" target="" rel="">LVMH</a>, L'ORÉAL ET CHANEL, LE TRIO GAGNANT</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Tiré par les grandes marques des groupes LVMH (Dior), L'Oréal (Lancôme) ou Chanel, la cosmétique française conforte sa position de troisième poste excédentaire de la balance commerciale française, derrière l'aéronautique et les vins et spiritueux.</strong></p><p style="text-align: justify;">Les exportations à destination de l'Union européenne, premier débouché (49%) du secteur, ont augmenté de 5,8% l'an dernier et ont grimpé de 15% à destination des <a class="lien-contextuel" title="Toute l'information économique et industrielle aux Etats-Unis" href="http://www.usinenouvelle.com/etats-unis/" target="" rel="">Etats-Unis</a>, deuxième marché des cosmétiques français, pour atteindre 1,1 milliard d'euros, grâce à la hausse du dollar. Elles ont également décollé à destination des Emirats arabes unis, avec une hausse de 15% à 420 millions d'euros.</p><p style="text-align: justify;">La tendance a en revanche ralenti vers l'Asie (16,2% des exportations), où les ventes à destination de la Chine ont limité leur hausse à 8%, après une augmentation de 16,5% en 2014, pour cause de ralentissement économique et de moindre consommation locale.</p><p style="text-align: justify;"><strong><span class="interTitre">LES IMPORTATIONS DE PRODUITS ASIATIQUES EN FORTE HAUSSE</span></strong></p><p style="text-align: justify;">Dans le sens inverse, à noter que les importations françaises de produits cosmétiques en provenance de Chine, du <a class="lien-contextuel" title="Toute l'information économique et industrielle sur le Japon" href="http://www.usinenouvelle.com/japon/" target="" rel="">Japon</a> ou de Corée du Sud ont nettement augmenté. Des marques chinoises comme Herborist, qui mettent en avant la pharmacopée traditionnelle, ou la coréenne Erborian séduisent les consommatrices avec un marketing très ciblé.</p><p style="text-align: justify;"><strong>"De nouvelles marques arrivent en France. Elles sont très qualitatives, avec un packaging haut de gamme, et rencontrent un certain succès",</strong> déclare à Reuters Virginie d'Enfert, directrice des affaires économiques de la Febea. Si la balance commerciale avec la Chine reste largement positive (420 millions d'exportations pour 86 millions d'importations), "il y là une tendance et ces marques peuvent devenir, demain, des acteurs importants du marché", ajoute-t-elle.</p><p><a href="http://bit.ly/21AoZHe" target="_blank">[LIRE L'ARTICLE]</a></p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/02/600978572.png" id="media-911397" alt="" /></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.html30 ans, le pire #âge pour la #peau [#beaute #cosmetique #age #glamour]tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-03-23:30689742016-03-23T10:41:00+01:002016-03-23T10:41:00+01:00 Par Alice Elia / 18 MAR. 2016 En savoir plus sur...
<p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/02/1880762732.jpg" id="media-911396" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"> </p><p><strong>Par <a href="http://www.glamourparis.com/beaute/le-bon-geste/articles/30-ans-le-pire-age-pour-la-peau/26823">Alice Elia</a> / </strong><strong>18 MAR. 2016</strong></p><p><strong>En savoir plus sur http://www.glamourparis.com/beaute/le-bon-geste/articles/30-ans-le-pire-age-pour-la-peau/26823#Drf8Vdw1IoKowYoS.99</strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>A 30 ans, il paraît qu’on est plus sûre de soi, plus épanouie et finalement plus belle qu’à 20 ans.</strong> Franchement, pas sûr. Pourquoi ? D’abord parce que, physiologiquement, c’est à la trentaine qu’apparaissent les premiers signes de vieillissement qui font douter. Ensuite parce qu’en général c’est à ce moment-là qu’on construit sa vie personnelle (ou pas) et qu’on accède à des responsabilités professionnelles (ou pas), ce qui suppose une énergie considérable (ou, à défaut, un sentiment de ratage pesant). Mais surtout l’époque semble imposer aux trentenaires une série de contraintes inédites.</p><p style="text-align: justify;"><strong>"Les transformations de la société et les progrès du féminisme ont élargi le champ des possibles à l’infini, explique Nathalie Rozborski, directrice conseil international mode et beauté chez Nelly Rodi.</strong> Ce qui représente à la fois une immense victoire et… une somme d’exigences épuisantes. Les trentenaires veulent avoir toutes les casquettes : celle de la super-pro, de la jeune maman, de la meilleure copine, de la housewife accomplie, de l’amante, de la socialite… ".</p><p style="text-align: justify;"><strong>Résultat : en multi-entreprise permanente, chacune court après un fantasme de perfection démultiplié qui ne lui laisse aucun répit.</strong> Sans compter les nouvelles normes de réactivité et de performance qui régissent l’univers professionnel. Conséquence : des niveaux de stress sur-élevés, un sentiment de fatigue abyssal, un manque chronique de sommeil, et, à force, une sensation de vieillissement accéléré.</p><p style="text-align: justify;"><strong>"Il n’est pas dit qu’elles vieillissent plus vite, tempère la dermatologue Nadine Pomarède. En revanche, ce qui est sûr, c’est qu’elles se préoccupent du vieillissement de plus en plus tôt, dès 25 ans.</strong> Carrière, enfants, soirées… Elles veulent tout, mais il ne faut surtout pas que leur visage accuse le coup. Leur investissement sur la peau (dans tous les sens du terme) est énorme. C’est devenu à leurs yeux une condition de réussite professionnelle et sociale." Evidemment, le fait que l’époque soit dominée par des modèles de réussite précoce n’incite pas à la patience. D’où, peut-être, une intolérance accrue à tout signe de faiblesse cutanée. Au premier rang des inculpés : le stress (53 %), la fatigue (59 %) et la pollution (35 %)*, mais aussi une persistance désespérante de l’acné.</p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/1WxITBq" target="_blank">[EN SAVOIR PLUS]</a></p><p style="text-align: justify;"> </p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlL’Oréal Luxe lance son site d’e-commerce Ma Beauté Luxe [#loreal #luxe #e-commerce]tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-03-18:30688832016-03-18T09:11:46+01:002016-03-18T09:11:46+01:00 Après L’Oréal Paris, c’est au tour de la division Luxe de L’Oréal de...
<p style="text-align: justify;"><strong>Après L’Oréal Paris, c’est au tour de la division Luxe de L’Oréal de proposer des box beauté. Elles sont vendues via un site internet dédié baptisé Ma beauté luxe. Le site permet aussi d’acheter une large sélection des produits commercialisés par les principales marques de la division.</strong></p><p style="text-align: justify;">On n’est jamais mieux servi que par soi-même. L’Oréal poursuit son développement en e-commerce avec le site Ma Beauté Luxe. Cette plateforme développée pour la division Luxe de L’Oréal vend des box beauté. Pour 29 euros, ils composent une boîte contenant cinq miniatures de produits des marques de L’Oréal Luxe. Ils ont actuellement le choix entre 126 produits en taille mini, parfums soins ou maquillage. Pour les indécis, le site propose un "diagnostic". En répondant à quelques questions, les internautes se voient suggérer des produits répondant à leurs attentes.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Box beauté déjà composées</strong></p><p style="text-align: justify;">Ma Beauté Luxe vend aussi des box déjà composées baptisées "Prêt-à-beauté", également vendues à 29 euros. Il s’agit de coffrets thématiques ou de boîtes consacrées à une marque de la division Luxe. Par exemple, actuellement, sont mises en avant des box Biotherm Homme, Lancôme, Khiel’s ou Urban Decay ou des coffrets Cocoon et Week-end en amoureux. Avec chaque box, le consommateur reçoit un bon de réduction de 10 euros pour 70 euros d’achat sur le site.</p><p style="text-align: justify;"><strong>456 références vendues à l'unité</strong></p><p style="text-align: justify;">En effet, Ma Beauté Luxe ne vend pas que des box. Le portefeuille du site comprend 456 références en format vente. Les marques de la division commercialisées par le site sont, pour l’instant, Lancôme, Khiel’s, Giorgio Armani, Biotherm, Cacharel, Diesel, Paloma Picasso, Urban Decay et Viktor & Rolf. Le grand absent est donc Yves Saint-Laurent car la marque a son propre site internet (yslbeauty.fr). Tout comme Helena Rubinstein (helenarubinstein.com) et Clarisonic (clarisonic.fr).</p><p style="text-align: justify;">Côté services, les frais de livraison sont offerts sans minimum d'achat. L'Oréal Luxe fait appel au service So Colissimo de La Poste et promet une livraison en 48h après le départ du colis du centrelogistique de la division installé à Ingré, près d'Orléans (Loiret).</p><p style="text-align: justify;">La division Luxe n'est pas la seule à proposer des box beauté. Du côté de la branche Produits grand public, L'Oréal Paris en propose depuis trois ans. Autrefois nommée Instant Beauty Box, elles ont récemment été rebaptisées L'Or Box et sont vendues 19,50 euros. Elles contiennent trois produits L'Oréal Paris en taille réelle, des goodies et/ou des échantillons. Sur le site marchand L'Oréal Paris, la livraison n'est gratuite qu'à partir de 40 euros d'achat.</p><p><a href="http://bit.ly/1XzAAoV" target="_blank">[RETROUVER L'ARTICLE DANS LSA-CONSO.FR]</a></p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/00/00/2519163604.png" id="media-911178" alt="" /></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlArrivées en masse dans les années 1990, les #microbilles bientôt bannies dans les #cosmétiquestag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-03-09:30680362016-03-09T12:00:00+01:002016-03-09T12:00:00+01:00 Nous l'avons ici maintes fois annoncé : les Etats-Unis renforcent...
<p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/02/00/1941260231.jpg" id="media-909411" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>Nous l'avons ici maintes fois annoncé : les Etats-Unis renforcent progressivement leur législation visant à restreindre l'usage de certains produits ou composants jugés nocifs pour la santé et l'environnement dans les produits de soin et de beauté. Une illustration : l'interfiction prochaine de produits à base de microbilles en raison de leur pouvoir de dissémination élevé dans l'environnement marin.</strong></p><p style="text-align: justify;">Extrait de Que Choisir, 06 Mars 2016</p><p style="text-align: justify;">Présentes dans certains produits cosmétiques, ces minuscules billes relâchées par milliards dans l'environnement seront bientôt interdites aux États-Unis. Vous pouvez anticiper la probable future interdiction européenne en évitant dès maintenant les produits qui en contiennent.<br /> <br />Arrivées en masse sur le marché de l’hygiène-beauté dans les années 1990, les microbilles (microbeads, en anglais) améliorent l'effet exfoliant des cosmétiques et le pouvoir nettoyant des gels douches et des dentifrices. Elles sont faites de polyéthylène ou de polypropylène, une famille de plastiques bon marché et sûrs, utilisés depuis des décennies en emballage alimentaire.</p><p style="text-align: justify;">La première alerte est venue de Nouvelle-Zélande. Des chercheurs de l'université d'Auckland ont publié en 2009 un article dans la revue Marine Pollution Bulletin. Ils se sont aperçus que les stations d'épuration ne filtraient pas ces microbilles, trop petites (entre 0,1 et 0,02 mm), et qu'elles finissaient dans le milieu marin. De nombreux travaux ont complété ce constat. Le dernier en date, publié en janvier 2016, émane de l'Ifremer (Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer). Conduite par Arnaud Huvet, directeur du laboratoire d’écotoxicologie de Brest, l'étude a montré que les microbilles, en très fortes concentrations, perturbaient le cycle de vie des huîtres, qui les absorbent comme du phytoplancton. Cela confirme les travaux de François Galgani, également chercheur à l'Ifremer, qui avait évoqué à plusieurs reprises la nocivité de ces microbilles.</p><p style="text-align: justify;">En volume, comme il en faut plusieurs centaines de milliers pour faire un gramme, elles représentent une fraction infime des quelque trois millions de tonnes de déchets en plastique générés chaque année par un pays comme la France. Le problème est leur capacité de dissémination et leur persistance. Chimiquement stable, le polyéthylène met des décennies à se dégrader.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Bientôt bannies des États-Unis</strong><br />Les États-Unis ont adopté une loi d'interdiction de portée nationale fin 2015 qui entrera en vigueur début 2017. La Californie et l'Illinois (État qui borde les Grands lacs) avaient déjà légiféré dans ce sens. Il est fort probable que l'Union européenne s'oriente elle aussi vers une interdiction des microbilles à brève échéance. La question sera examinée lors d'une conférence internationale à Lanzarote (Canaries) les 25 et 27 mai 2016.</p><p style="text-align: justify;">La protection de l'environnement pose souvent des dilemmes, nombre de produits étant à la fois néfastes et très utiles. Rien de tel dans le cas des microbilles. On cherche en vain une étude sérieuse démontrant leur efficacité cosmétique.<strong>L'Oréal a d'ailleurs annoncé que ses produits n'en contiendraient plus à partir de 2017.</strong></p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/1M2bw3z" target="_blank">[RETROUVER L'ARTICLE DANS QUECHOISIR.ORG]</a></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.html#Halal cosmetics: believing in the #label [via #organicmonitor]tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-03-09:30680412016-03-09T11:00:00+01:002016-03-09T11:00:00+01:00 Eco-labels are becoming increasingly evident in the cosmetics industry....
<p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/02/02/2510090011.jpg" id="media-909419" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>Eco-labels are becoming increasingly evident in the cosmetics industry.</strong> Ethical consumers are looking for organic, natural, cruelty-free and similar logos on their cosmetic products. However, a new label is emerging that is targeted at one of the fastest growing consumer groups in the world. The Halal cosmetics label is designed for Muslim consumers, comprising 20% of the global population.</p><p style="text-align: justify;">The Halal label is already well-established in the food industry. It has been gaining popularity in the cosmetics industry since the Malaysian government introduced the Halal cosmetics standard (MS 2200: 2008) in June 2010.</p><p style="text-align: justify;"><strong>The Halal label is given to cosmetic and personal care products that meet the strict rules of Sharia law. Like natural / organic standards,the Halal standard has a permitted and prohibited set of ingredients.</strong><br /> <br /><strong>The Halal label appeals to Muslim consumers seeking integrity and authenticity in their cosmetic and personal care products.</strong> Concerns about animal-derived ingredients – such as gelatine and collagen - in cosmetic products are fuelling demand. Some consumers perceivesuch products as ethical as they typically avoid such ingredients.</p><p style="text-align: justify;"><strong>International sales of Halal-certified cosmetics and personal care products are upwards of USD 5 billion.</strong> A growing number of cosmetic and ingredient firms are taking up Halal certification in Asia. The highest adoption rates are in Muslim countries where multinationals that includeColgate-Palmolive and Avon have launched certified products. As will be shown at the Asia-Pacific edition of the Sustainable Cosmetics Summit, international chemical firms like BASF and CP Kelco are also getting ingredients certified for such markets.</p><p style="text-align: justify;">(...)</p><p style="text-align: justify;">At present, 57 certification agencies are authorised to certify products according to the Halal cosmetics standard. <strong>Although the highest adoption rates are in countries like Malaysia and Indonesia, certification is also catching on in Europe and North America.</strong> In the latter regions, a growing number of Muslim consumers are interested in Halal-certified products. However, these products often fall short in terms of their ecological credentials as the formulations are similar to conventional cosmetics.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Organic Monitor sees high potential for such products in the Middle-East and Asia.</strong> In many of these countries, the market for natural & organic cosmetics is growing by over 20% a year. Rising consumer affluence, coupled with growing knowledge of cosmetic formulations, is making consumers pay a premium for cosmetics that meet their ethical / religious beliefs. However, they have to decide between Halal-certified conventional cosmetics and natural & organic products not meeting Sharia rules. With a lack of local brands of natural & organic cosmetics in these regions, there is a clear gap in the marketplace. A major challenge is formulating cosmetic products that meet two or more standards, as many European brands have discovered.</p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/1Rw24aF" target="_blank">[READ THE FULL ARTICLE]</a></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.html#Dakar: plongée dans l'univers des #cosmétiques estampillés #Halal [Business Forum]tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-03-09:30680392016-03-09T10:30:00+01:002016-03-09T10:30:00+01:00 Par Mansoura Fall, 06 Mars 2016 Dakar, 6 mars (APS) - La...
<p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/02/3476640011.png" id="media-909416" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><em>Par Mansoura Fall, 06 Mars 2016</em></p><p style="text-align: justify;"><strong>Dakar, 6 mars (APS) - La diversité d’articles, vêtements, cosmétiques, services et même stimulants sexuels, dits halal exposés au premier Forum africain du Business halal qui s’est tenu à Dakar témoigne de la richesse de ce marché basé sur les préceptes de la religion musulmane, a constaté l’APS.</strong></p><p style="text-align: justify;"><br />A travers cette exposition les visiteurs ont pu découvrir que le potentiel du marché halal au Sénégal ne se limite pas seulement aux produits alimentaires. ’’Le halal est un concept religieux qui renvoie à ce qui est permis pour le musulman dans sa consommation et au sens le plus large dans son style de vie’’, selon Khadiyatoulah Fall, président du Salon international du business musulman (SIBM).</p><p style="text-align: justify;"><br />Cette rencontre qui a pris fin samedi avait pour thème : ‘’Vers une dynamisation des échanges commerciaux avec les pays du Golfe et d’Asie’’.</p><p style="text-align: justify;"><br />Pour le Pr Fall, ‘’il y a un potentiel incroyable pour le Sénégal (…) tout est réuni pour que le business halal puisse éclore’’. Robes, huiles essentielles, crèmes pour le corps et lait de cheveux, rien n’a été laissé au hasard dans cette exposition où les senteurs se mêlent aux couleurs savamment choisies dans les stands, notamment par ce couturier habillé en tailleur gris, rencontré par l’APS, vantant la qualité de ses vêtements halal.</p><p style="text-align: justify;"><br />’’J’ai voulu monter une ligne de vêtements destinés à un public en tenant compte des morphologies, des longueurs, des contingences religieuses, sociales, culturelles et professionnelles’’ a expliqué Pathé Dia soulignant que sa collection de vêtements est halal ‘’car elle obéit à des normes et standards’’. Pour ce couturier d’une quarantaine d’années, qui a aussi participé au 1er Salon Muslima de l’entrepreunariat féminin et du business halal organisé en janvier dernier à Dakar ‘’il n’est pas normal que l’on ne produise pas assez’’ pour le marché sénégalais. Il a déploré l’habitude de certains de toujours consommer les vêtements d’Orient alors qu’au niveau de la confection, ‘’tout peut se faire ici comme cela se fait à Madagascar, au Maroc ou en Turquie’’.</p><p style="text-align: justify;"><br />Plus loin, ce sont les produits cosmétiques de Coumba Lèye Diop qui attirent l’attention. Au milieu des savons, lait de corps, parfum, cette jeune femme au teint noir, voile sur la tête a pris le soin de bien indiquer sur des étiquettes la composition de ses produits, à base de cacao ou de karité.</p><p style="text-align: justify;">Cette ‘’amoureuse’’ de produits naturels s’est aussi lancée dans la production de gammes intimes et stimulants sexuels halal destinées aussi bien aux femmes qu’aux hommes. ’’Le maquillage, le sexe, le lait de corps tout peut être halal à condition de l’utiliser comme il faut’’ a t-elle fait valoir avec assurance. ’’Mes produits sont halal car aucun ingrédient prohibé ne se trouve dans la composition’’ a-t-elle expliqué précisant l’importance de toujours vérifier la composition des produits que l’on consomme, car il peut arriver que l’on trouve ‘’du sang de requin dans les rouges à lèvres, ou bien du placenta dans les produits pour cheveux ou même de la gélatine de porc dans certains cosmétiques’’.</p><p style="text-align: justify;"><br />Amadou Cissé, responsable d’une entreprise de vente de produits naturels, a rappelé que le halal est aussi ‘’une certification qui pousse à être intègre dans la production’’ car selon lui ‘’la personne qui achète du halal veut être rassurée qu’il n’y a pas de produit illicite et que tout est conforme à sa consommation’’. Outre les vêtements et produits cosmétiques, cette exposition a prouvé que le halal est un business très vaste touchant de larges secteurs comme celui des banques, du tourisme et même des médias avec le lancement d’un magazine 100% halal, comme l’explique Betty Ndiaye.</p><p style="text-align: justify;"><br />Directrice de publication de ce bimestriel islamique féminin, cette diplômée en communication précise que tous les textes et articles écrits dans ce magazine sont authentifiés et attestés par des imams et savants musulmans. ’’C’est un magazine halal, car d’abord les bras des femmes sont floutés dans les photographies car nous n’avons pas le droit de les dévoiler selon l’Islam (…) et il n’y a rien qui puisse déroger aux préceptes de l’Islam’’, a soutenu la jeune femme voilée. On retrouve dans ce magazine des rubriques relatives à l’enseignement islamique, des conseils et bonnes pratiques, des biographies ou encore des recettes de cuisine halal.</p><p style="text-align: justify;"><br /><strong>Durant le Forum de Dakar, les experts ont relevé qu’en Afrique le potentiel du marché du halal est estimé à 150 milliards de dollars US. Le halal non alimentaire qui est estimé à 2300 milliards de dollars US porte sur des objets et services dont la production et le management se réclament également des recommandations de l’islam.</strong></p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/1QB1EDi" target="_blank">[LIRE L'ARTICLE COMPLET]</a></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlPeut-on lancer de nouvelles marques ”pépites” en France ? [#cosmetique #distribution #indies]tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-02-26:30673652016-02-26T09:59:00+01:002016-02-26T09:59:00+01:00 Paru dans Cosmetiquemag, Mars 2016, Angélique Vallez d'Erceville...
<p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/02/00/2646894354.jpg" id="media-908119" alt="" /></p><p style="text-align: justify;">Paru dans Cosmetiquemag, Mars 2016, Angélique Vallez d'Erceville</p><p style="text-align: justify;"><strong>Alors que des pépites américaines ou britanniques font le buzz et s'invitent dans les rayons, les petites nouvelles sont rarement françaises. Avec ses marques patrimoniales et la maturité de son marché, l'Hexagone s'apparente à une montagne difficile à franchir.</strong></p><p style="text-align: justify;">«En France, l'espace est encombré avec une très forte concentration de la distribution . Le ticket d'entrée est très élevé.La percée de nouvelles marques est sans doute plus facile au Royaume-Uni ou aux États-Unis.» <strong>[Philippe Jourdan]</strong></p><p style="text-align: justify;">«Trois conditions sont nécessaires pour réussir : avoir une histoire , un actif qui fait la différence et être appuyé par un groupe avec des moyens ,car il faut injecter des millions d'euro dans la machine.» <strong>[Laurent Pelletier, directeur général d'IXI]</strong></p><p style="text-align: justify;">«Quand un marché est mature, les routines se figent. Les détourner devient plus compliqué et plus coûteux. les Françaises attendent certes de nouvelles franchises, mais plutôt de la part des marques existantes" <strong>[Philippe Jourdan]</strong></p><p style="text-align: justify;"><a id="media-908118" href="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/00/02/173447364.PDF">[TÉLÉCHARGER L'ARTICLE]</a></p><p style="text-align: justify;"> </p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlLa pensée a-t-elle une utilité industrielle ou la dérive du consumer insight ? A lire et à méditer... [#philosophie #beatag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-02-16:30666372016-02-16T10:30:00+01:002016-02-16T10:30:00+01:00 Les grandes marques de cosmétique font souvent appel aux services de...
<p style="text-align: justify;"><strong>Les grandes marques de cosmétique font souvent appel aux services de philosophes et de sociologues. La pensée a-t-elle une utilité industrielle ?</strong></p><p style="text-align: justify;">En 2006, Gilles Boëtsch a été contacté par une agence de communication, qui lui a présenté le directeur commercial du groupe allemand Beiersdorf, numéro deux mondial de la cosmétique, propriétaire de la marque Nivea. Ancien directeur du conseil scientifique du CNRS, Boëtsch est anthropobiologiste, spécialisé sur les représentations du corps, et les liens qui existent entre la culture et la biologie. Il a notamment étudié la reproduction des agriculteurs dans le canton limousin de Châteauponsac.</p><p style="text-align: justify;">Les gens de Nivea souhaitaient monter «un observatoire sur le changement de comportement des Français par rapport au corps», dit-il. Boëtsch a mis sur pied une équipe, avec l’historien Georges Vigarello, le philosophe Bernard Andrieu, le sociologue David Le Breton ou la dermatologue Nadine Pomarède.</p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/1U3zpyI" target="_blank">[LIRE LA SUITE]</a></p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/00/01/132667503.png" id="media-906531" alt="" /></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlLeila Hadioui, égérie de la marque de cosmétiques italienne Flormar : une ambition pour le Maroc [#beaute #flormar]tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-02-16:30666342016-02-16T10:20:00+01:002016-02-16T10:20:00+01:00 Leila Hadioui est une mannequin et animatrice télé, icône de la mode et de...
<p style="text-align: justify;"><strong>Leila Hadioui est une mannequin et animatrice télé, icône de la mode et de la beauté marocaine déjà très appréciée dans le pays.</strong></p><p style="text-align: justify;">C’est sans doute pour cette raison que la prestigieuse marque de cosmétiques italienne <strong>Flormar</strong>, installée au Maroc depuis 2012 l’a choisi comme égérie pour sa nouvelle campagne.</p><p style="text-align: justify;">Leila accompagnera la marque dans l’ensemble de ses actions de communication et de ses événements à travers le Maroc, l’occasion pour la Flormar d’affirmer son désir de devenir la marque favorite des marocaines.</p><p><a href="http://bit.ly/1QDogiK" target="_blank">[LIRE LA SUITE]</a></p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/02/00/1462058404.jpg" id="media-906523" alt="" /></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlLe #packaging, première représentation du #cosmétique [#beaute #design]tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-02-16:30666332016-02-16T10:10:00+01:002016-02-16T10:10:00+01:00 Le packaging est la première chose qu'un consommateur voit d'un produit...
<p style="text-align: justify;"><strong>Le packaging est la première chose qu'un consommateur voit d'un produit cosmétique.</strong> Et son look, ses codes, sa technicité influent fortement sur la perception du produit lui-même comme de la marque qui le propose. Des interactions décisives que Sandy Gregory, de la WestRock Company, est venue décrypter lors de la 12e édition du salon PCD qui s'est tenue à Paris 3 et 4 février 2016.</p><p style="text-align: justify;"><strong>LA CONVERGENCE DU SOIN ET DE LA BEAUTÉ</strong></p><p style="text-align: justify;">Deux approches restent fondamentales en cosmétique, a rappelé l'intervenante :<br />• <strong>le soin, qui est associé aux packagings plutôt blancs et épurés</strong>, et correspond à un besoin de prendre soin de soi : la consommatrice attend une efficacité du produit à moyen ou long terme, et doit faire confiance à la marque pour le choisir ;<br />• <strong>la beauté, dont les codes sont plus glamours et colorés</strong>, et qui répond au souci de l'apparence : l'attente est ici beaucoup plus immédiate et le produit, à l'instar d'un rouge à lèvres ou d'un fond de teint, doit faire la différence dès l'application.</p><p style="text-align: justify;"><strong>La tendance qui s'affirme actuellement est la conjonction entre ces deux types classiques d'attente</strong> : les consommatrices cherchent de plus en plus des produits qui conjuguent soin et beauté. Un packaging réussi doit donc associer les codes visuels et les modes de délivrance du produit qui permettent aux consommatrices de le percevoir comme tel, et aux marques de se positionner à la jonction de ces deux valeurs fondamentales.</p><p style="text-align: justify;"><strong>L'étude de WestRock a défini quatre segments de consommatrices,</strong> qui se retrouvent partout dans le monde, et sont caractérisés par leur niveau d'implication vis-à-vis du produit cosmétique (le nombre d'étapes qu'elles suivent dans leur routine beauté, l'importance de leurs recherches d'informations sur les produits par exemple sur Internet, l'influence que les blogueuses ont sur elles, combien elles sont prêtes à dépenser, etc.). Les plus impliquées étant généralement clientes des marques les plus premium.</p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/1PMFFFU" target="_blank">[LIRE L'ARTICLE COMPLET]</a></p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/01/1513447381.jpg" id="media-906522" alt="" /></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlSubstances chimiques et produits de soin pour bébés : les ONG s'en mêlent ! [#bebes #soin #lingette #beauté]tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-02-16:30666312016-02-16T10:00:00+01:002016-02-16T10:00:00+01:00 Lingettes pour bébés : trop de substances chimiques "à risque élevé" Dans...
<p style="text-align: justify;"><strong>Lingettes pour bébés : trop de substances chimiques "à risque élevé"</strong></p><p style="text-align: justify;">Dans le cadre d'une étude récente réalisée pour le compte d'un grand laboratoire de produits pour bébé, nous avions attiré l'attention de notre client sur la sensibilité exacerbée des consommatrices, aujourd'hui rejointes par les autorités législatives, sur la présence de substances irritantes ou chimiques, supposées ou réelles, dans les lingettes nettoyantes. La presse semble s'emparer de l'affaire. Une illustration, s'il en était besoin, que le besoin de réassurance est une attente forte pour les produits cosmétiques, a fortiori lorsqu'ils s'adressent aux jeunes bébés (...)</p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/02/01/1502151424.jpg" id="media-906521" alt="" /></p><p style="text-align: justify;">La plupart des produits cosmétiques utilisés en France dans le cadre de la toilette des bébés renferment des produits chimiques dangereux. C’est ce que met en évidence une étude du 15 février rendue publique par l’ONG Women in Europe for a Common Future (WECF).</p><p style="text-align: justify;">Pour les besoins de cette étude, l’association a étudié 341 produits cosmétiques pour bébés proposés à la vente dans les pharmacies, parapharmacies, supermarchés et magasins biologiques de l’Hexagone durant l’été 2015. Parmi eux, 299 produits ont révélé la présence de substances "à risque élevé", selon les critères retenus par le comité scientifique pour la sécurité des consommateurs (SCCS) et l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).</p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/20W2fq1" target="_blank">[LIRE LA SUITE DE L'ARTICLE]</a></p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/245fp30" target="_blank">[LIRE LE DOSSIER DU FIGARO]</a></p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/1RGepNP" target="_blank">[LIRE LE DOSSIER DE LA DEPECHE]</a></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.html[#LUXE #BEAUTE #PARIS] - Le Marais, labo parisien de la beautétag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2015-12-04:30615832015-12-04T10:16:55+01:002015-12-04T10:16:55+01:00 Depuis un an, l'ouverture d' enseignes dédiées aux parfums et aux...
<p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/00/01/596949190.jpg" id="media-895008" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: helvetica, arial, sans-serif;"><em>Depuis un an, l'ouverture d' enseignes dédiées aux parfums et aux cosmétiques s' est accélérée dans ce quartier de Paris. Des marques internationales aux PME françaises, chacun y cherche une vitrine permanente ou éphémère.</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: helvetica, arial, sans-serif;">Entre le numéro un et le numéro 50 de la rue des Francs-Bourgeois à Paris, soit 600 mètres, pas moins de 15 enseignes dédiées à la beauté ont pris leurs quartiers. Dernière installée, Chanel, qui a ouvert mi-octobre sa première boutique permanente dédiée à la beauté. Et ce après avoir testé le retail durant un an et demi dans un pop-up store rue Saint-Honoré. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica, arial, sans-serif;"><span style="font-size: 12pt;">"Chanel a sa propre notion de l'éphémère" plaisante Sophie Vergés, porte-parole de la marque. Pourquoi avoir changé de quartier pour implanter le magasin permanent ? "L'opportunité d' une belle adresse et un espace suffisant pour pouvoir nous exprimer , répond Sophie Vergés . Mais </span><span style="font-size: 12pt;">nous sommes situés du côté "mode" de la rue ." (...)</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica, arial, sans-serif;"><span style="font-size: 12pt;">En effet, le haut de la rue, entre le numéro 30 et 50, est plutôt constitué d'enseignes de textile. La beauté s'infiltre toutefois peu à peu, car, juste après Chanel, les passants découvrent une parfumerie Marionnaud et une pop-up store Urban Decay, la marque de maquillage californienne rachetée, il y a trois ans, par l'Oréal. Bien sûr, ce n'est rien comparé au début de la rue. La première boutique est dédiée au maquillage professionnel : Bobbi Brown. Et ensuite, c'est presque à la "queue leu leu" (...)</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica, arial, sans-serif;"><span style="font-size: 12pt;">"Beaucoup de marques essaient d'implanter leurs boutiques en nom propre, un phénomène qui va s'accentuer sans l'ambition forcément forcément d' en faire leur réseau principal, affirme </span><span style="font-size: 12pt;">Philippe Jourdan, dirigeant de l' agence Promise Consulting. Pour les marques de maquillage, par exemple, deux raisons expliquent ce phénomène. D'abord, en parfumerie, leur place est restreinte et le merchandising est celui du retailer. En plus, tous leurs concurrents sont présents. Elles recherchent donc des espaces pour s' exprimer pleinement. Ensuite les boutiques en propre permettent de répondre à la concurrence des marques enseignes telle Kiko."</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: helvetica, arial, sans-serif;"><strong>Pour lire la suite : <a title="LSA Concepts" href="http://bit.ly/1le6Il9" target="_blank">LSA Concepts</a></strong></span></p>
Le créateur du bloghttp://etrangenature.blogspirit.com/about.htmlVidéo : c'est beau l'univers quand même...tag:etrangenature.blogspirit.com,2011-01-23:20943662011-01-23T00:33:46+01:002011-01-23T00:33:46+01:00 Quelques minutes de pure beauté. Enjoy ! Merci à Evelyne pour...
<p style="text-align: justify;">Quelques minutes de pure beauté. Enjoy !</p><p><object style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" width="390" height="300" data="http://www.dailymotion.com/swf/video/xew6hv?width=&theme=none&foreground=%23809443&highlight=%23C2E165&background=%23232912&start=&animatedTitle=&iframe=0&additionalInfos=0&autoPlay=0&hideInfos=0" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="data" value="http://www.dailymotion.com/swf/video/xew6hv?width=&theme=none&foreground=%23809443&highlight=%23C2E165&background=%23232912&start=&animatedTitle=&iframe=0&additionalInfos=0&autoPlay=0&hideInfos=0" /><param name="allowFullScreen" value="true" /><param name="allowScriptAccess" value="always" /><param name="src" value="http://www.dailymotion.com/swf/video/xew6hv?width=&theme=none&foreground=%23809443&highlight=%23C2E165&background=%23232912&start=&animatedTitle=&iframe=0&additionalInfos=0&autoPlay=0&hideInfos=0" /><param name="allowfullscreen" value="true" /></object><strong></strong></p><p>Merci à Evelyne pour m'avoir signalé cette vidéo.</p><p>J.<strong><br /></strong></p>