Last posts on Bush2024-03-29T13:02:44+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/Bush/atom.xmleurocitoyenhttp://eurocitoyen.blogspirit.com/about.htmlLa guerre aux portes de l’Europe : nouveau défi pour la diplomatie de l’Uniontag:eurocitoyen.blogspirit.com,2008-08-09:16076562008-08-09T15:35:00+02:002008-08-09T15:35:00+02:00L’Europe se retrouve une fois de plus dans l’obligation d’affirmer une...
L’Europe se retrouve une fois de plus dans l’obligation d’affirmer une position unique pour assurer une parole de paix alors qu’un conflit s’ouvre entre deux Etats de l’ancien bloc soviétique, séparés de l’Europe par la Mer Noire. C’est une nouvelle crise majeure qui démarre, presque 20 ans après l’éclatement de l’URSS et la fin de la guerre froide.Ce samedi 9 août, la Géorgie a en effet déclaré « l’état de guerre » pour faire face à une agression de la Russie. Le parlement géorgien a voté à l’unanimité la mobilisation générale pour 15 jours, après que des avions russes ont bombardé le territoire géorgien et que des troupes russes ont commencé à mener « des opérations de grande échelle sur le terrain » selon les termes employés par le président géorgien, Mikheïl Saakachvili. Le gouvernement géorgien précise que « l’état de guerre » n’est pas une déclaration de guerre au sens strict, mais une réaction défensive. 2 mille soldats géorgiens basés actuellement en Irak sont rappelés chez eux. La Géorgie aurait déjà abattu une dizaine d’avions russes en quelques heures. Une trentaine de chars russes auraient également été détruits. Plusieurs centaines de personnes seraient mortes, des militaires mais aussi des civils. Les forces aériennes russes ont dévasté le port de Poti sur la mer Noire, zone stratégique pour le transport des ressources énergétiques de la mer Caspienne vers l'Europe.L’offensive des forces russes sur le territoire géorgien a été lancée pour soutenir la république autonome d’Ossétie du Sud, qui subit une répression de la part des troupes géorgiennes. L’Ossétie du Sud nourrit une volonté séparatiste depuis 1989. A l’époque, le pouvoir géorgien avait mené une répression brutale contre les provinces d’Abkhazie à l’Ouest et de l’Ossétie-du-Sud, à l’Est. <strong>L'Europe au pied du mur</strong>L’Union européenne doit trouver aujourd’hui la capacité diplomatique de favoriser le retour à la paix et au dialogue pour assurer la liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes et tracer le chemin de la démocratie dans une région qui vit des tensions séparatistes depuis la fin des années 80. Dans un communiqué du 8 août, la <a href="http://www.ue2008.fr" target="_blank">présidence française</a> de l’Union déclare que l’Europe « appelle toutes les parties à la cessation immédiate des hostilités et à la reprise sans délai des négociations, afin de permettre une solution politique à la crise, dans le respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de la Géorgie ». Le communiqué ajoute que « l'Union européenne, en liaison avec l'ensemble des protagonistes, travaille à un cessez-le-feu, afin de prévenir une extension du conflit ». De son côté, le président George W. Bush a réclamé l'arrêt "immédiat" des combats en Ossétie du Sud et des bombardements russes. "La Géorgie est un pays souverain et son intégrité territoriale doit être respectée", selon M. Bush, qui s'exprimait de Pékin où il assiste aux JO.<a href="mailto:lwpf2003@yahoo.fr" target="_blank"><em>Laurent Watrin</em></a><strong>Je vous invite à visiter le nouveau site lancé par le MoDem en Lorraine, consacré aux questions européennes</strong> : <a href="http://www.europe-modem-est.eu" target="_blank">ICI</a>
Europehorizonhttp://europehorizon.blogspirit.com/about.htmlIsraéliens et Palestiniens s’engagent à négocier la paixtag:europehorizon.blogspirit.com,2007-11-28:14317032007-11-28T11:25:49+01:002007-11-28T11:25:49+01:00Le président américain, George Bush, a annoncé hier, à Annapolis (Maryland),...
Le président américain, George Bush, a annoncé hier, à Annapolis (Maryland), à l’ouverture de la conférence de paix internationale sur le conflit israélo-palestinien, que les deux parties s’étaient mises d’accord in extremis sur une déclaration commune. Le Premier ministre israélien, Ehud Olmert, et le président palestinien, Mahmoud Abbas, ont souligné, parfois avec émotion, le caractère historique de cette conférence.<img src="http://europehorizon.blogspirit.com/media/00/02/31ce0ae046c5c1f55c8639436735018e.jpg" id="media-91544" title="israel,palestine,violence,guerre" alt="766a5fed0617ef146ffe579c61e36099.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" />Litige. «Une telle occasion ne se représentera peut-être pas», a dit Abbas. Ehud Olmert, qui a pris plusieurs fois par l’épaule son homologue palestinien, s’est engagé à entamer des négociations «directes, bilatérales, continuelles et suivies» avec les Palestiniens jusqu’à la fin 2008. «L’heure est venue, et nous sommes prêts», a-t-il dit en ajoutant : «Je n’ai aucun doute que la situation créée dans notre région en 1967 [à l’issue de la guerre des Six Jours, ndlr] changera de manière significative. Ce sera un processus très difficile pour beaucoup d’entre nous, mais il est néanmoins inévitable. Je le sais. Beaucoup le savent.» «C’est le début d’un processus, ça n’en est pas l’aboutissement, et il reste beaucoup de travail à faire», a dit Bush, qui a pris clairement partie pour Israël en affirmant que cet Etat devait être «la patrie des Juifs». Cette question est un sujet de litige majeur entre Israéliens et Palestiniens. Les Palestiniens redoutent que la reconnaissance formelle d’Israël comme «Etat juif» dans un règlement empêche de facto le retour des Palestiniens réfugiés, l’un des enjeux primordiaux des discussions. Les Israéliens craignent, eux, qu’un retour massif des Palestiniens ne modifie l’identité d’Israël et ne mette les Juifs en minorité. La déclaration commune israélo-palestinienne, qui a été lue par le président Bush, donne le coup d’envoi à un an de négociations qui s’achèveront fin 2008, quelques semaines avant l’expiration du mandat de George W. Bush, le 20 janvier 2009.Elle exprime «la détermination de mettre fin aux effusions de sang et aux décades de conflit» entre les deux peuples. Elle promet «une nouvelle ère de paix, basée sur la liberté, la sécurité, la justice, la dignité, le respect et la reconnaissance mutuelle». Les deux parties s’engagent à «lutter contre le terrorisme et l’incitation au terrorisme, qu’il soit le fait des Palestiniens ou des Israéliens». La déclaration réaffirme le concept d’un Etat palestinien vivant «côte à côte» avec l’Etat israélien «en paix et dans la sécurité», en vue de conclure «un traité de paix» en «résolvant toutes les questions, y compris les questions fondamentales sans exception». Ces négociations seront «vigoureuses, continuelles et suivies» et les deux parties se rencontreront régulièrement, lit-on dans la déclaration.Pourparlers. La date de la première session a été fixée au 12 décembre prochain. Mahmoud Abbas et le Premier ministre israélien, qui se sont rencontrés fréquemment au cours des derniers mois afin d’élaborer ce texte, continueront de se rencontrer «deux fois par semaine» afin de suivre le déroulement des pourparlers. La «feuille de route», un accord élaboré en 2003 qui implique parallèlement des engagements palestiniens en matière de sécurité et un arrêt de la colonisation israélienne, sert de base de travail aux deux parties. Les Etats-Unis dirigeront un «mécanisme» comprenant Israël et la partie palestinienne destiné à «suivre la mise en place» de la feuille de route. Les obligations liées à celle-ci doivent demeurer en vigueur «jusqu’à la conclusion d’un traité de paix».
Bernard LECOMTEhttp://lecomte-est-bon.blogspirit.com/about.htmlRemember Budapesttag:lecomte-est-bon.blogspirit.com,2006-06-24:8679272006-06-24T00:20:00+02:002006-06-24T00:20:00+02:00Je me disais bien que l’année 1956, cinquante ans après, passait étrangement...
Je me disais bien que l’année 1956, cinquante ans après, passait étrangement inaperçue dans les médias. Oubliés, le XXème Congrès du PCUS, le rapport Khrouchtchev, les émeutes ouvrières de Poznan, l’insurrection de Budapest écrasée par l’Armée Rouge ? Occultée, cette année mémorable où le communisme s’est distingué du stalinisme, où l’Europe de l’Est a connu sa première révolte générale, où Sartre a adhéré au PCF ?Heureusement, George Bush veille. Jeudi, il s'est rendu personnellement à Budapest pour célébrer avec emphase le souvenir du soulèvement hongrois contre les forces du mal. Surpris, l’Américain : il a fait un bide ! Mais qui pensait-il épater en prononçant, loin du centre ville, un discours aseptisé devant 500 officiels encadrés par autant de policiers ? Et en décidant tout seul, comme ça, ex cathedra, Amerika's first, de célébrer à la mi-juin le cinquantenaire d’un événement qui s’est produit en octobre ?